d'Allemagne DM 99, d'Europe DM 139, du reste du monde DM 159.
Pour commander @{fg shine}Amiga-Special@{fg text}
DM 6,90 (+ port?). Contacter I.A. media Verlagsgesellschaft bmH
Pour l'ann
e DM 75,90.
@{fg shine}R e v u e s a n g l a i s e s@{fg text}
@{fg shine}Amiga Format@{fg text}
Somerton, Somerset TA11 6BR (abonnement Europe
39.95 pour 12 num
@{fg shine}CU Amiga@{fg text}
Tower Publishing, Tower House, Sovereign Park, Lathkil St, Market
Harborough, Leics LE16 9EF (abonnement Europe 12 num
@ENDNODE
@REM JANVIER -------------------------------------
@NODE jNewsInt " News Internationales (01-86)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S I N T E R N A T I O N A L E S@{fg text}
@{" Petro Tyschtschenko : Discours
Cologne (01-86)" LINK jPetroT}
@{" Schmitt : Allocution
Cologne (01-86)" LINK jSchmitt}
@{" Gilles Bourdin : annonces
l'Amiga Expo de Paris (01-86)" LINK jGbourdin}
@{" Kittel : Amiga CHRP (01-86)" LINK jKittel}
@{" Nucleus : Serveur ARexx pour VLab Movieshop (01-86)" LINK jNucleus}
@{" Reportage Amiga Expo dans notre prochain num
ro " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/AmigaExpo.16"}
(un avant go
t en @{" p " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Foule.8bt"} @{" h " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Fromantic.8bt"} @{" o " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Lecteur.8bt"} @{" t " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/BUGSS.8bt"} @{" o " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Membreh.8bt"} @{" s " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/TURTLE.8bt"})
@{" Amiga en Australie (01-86)" LINK jAustralie}
@{" Amiga en Espagne (01-86)" LINK jSpain}
@{" Photos num
riques (01-86)" LINK jPhotoNum}
@ENDNODE
@NODE jPetroT " Petro Tyschtschenko : Discours
Cologne (01-86)"
@TOC jNewsInt
@{fg shine}AT pr
voit de vendre 400 000 Amiga en 1996@{fg text}
@{"Petro Tyschtschenko" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Petro.8bt"} a donn
quelques informations int
ressantes
suppl
mentaires dans son discours
Cologne pendant l'expo en novembre:
"Le premier A4000T est sorti d'usine
Philadelphie le 31 octobre. Amiga
est devenu une entreprise allemande qui poss
de non seulement son propre
me, mais encore une technologie informatique autonome.
@{fg shine}Q u e f a i s o n s - n o u s p o u r l e f u t u r ?@{fg text}
"Notre Power Amiga doit enrichir le monde de l'ordinateur. Un processeur
puissant comme le PowerPC, en combinaison avec notre OS super-efficient, va
s'imposer. D
but 1997, devrait arriver sur le march
le premier Power
Amiga. Jusque l
, les d
veloppeurs et les constructeurs de p
riques
ont le temps de se pr
parer au nouveau standard. Pour cela, nous allons
assurer un soutien
tendu. Nous d
sirons ainsi renforcer le choix de
logiciels autour de l'Amiga.
l'aide de notre partenaire strat
gique Motorola, nous sommes
assur
s d'atteindre cette barre haut-plac
"Cette ann
e, nous avons planifi
80000 A1200, 6000 A4000T, et 14000
moniteurs. Cela repr
sente un chiffre d'affaires de 80 millions de DM.
Pour 1996, notre pr
vision est de 300 millions de DM. Nous voulons vendre
400000 Amiga, 100000 moniteurs et 50000 lecteurs de CD ROM. En outre, le
set-top box est en cours de r
alisation et devrait
tre pr
en 1996."
(Ed: les chiffres de production estim
e pour 1995 sont
la baisse par
rapport aux estimations initiales de 25000 A4000T et 100000 A1200. Gilles
Bourdin de AT nous affirme que cette baisse est due uniquement aux retards
de production).
@ENDNODE
@NODE jSchmitt " Schmitt : Allocution
Cologne (01-86)"
@TOC jNewsInt
@{fg shine}S c h m i t t
"Nous n'avons pas achet
l'Amiga pour no
l!"@{fg text}
Dans une allocution en pr
sence des d
veloppeurs europ
l'expo de
Cologne, le PDG d'Escom, @{"Manfred Schmitt" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Schmitt.8bt"}, a fait le tour des
nements
s depuis son achat de l'Amiga aux ench
New York en avril.
Amiga Technologies compte quarante personnes (NDLR: le chiffre un mois
plus tard est de cinquante personnes, d'apr
s Gilles Bourdin) et les
produits Amiga sont actuellement distribu
s dans vingt pays. Schmitt a
licit
Petro Tyschtschenko et son
quipe pour cet exploit.
"Nous savons tous que l'Amiga est un ordinateur
patant. Mais ce n'est pas
simplement un ordinateur, c'est une institution, avec les groupements
d'utilisateurs, une communaut
, des fans et m
me les "Amiga-lovers"...
Habituellement, dans le monde informatique, quand le produit phare
dispara
t le march
s'effondre imm
diatement. L'Amiga
tait absent pendant
un an et demi mais le march
me s'il s'est un peu r
tait encore
et encore significatif. C'est remarquable. C'est une confirmation de la
qualit
du concept Amiga et de la fid
des utilisateurs.
@{fg shine}N o s c o n c u r r e n t s n o u s s o u s - e s t i m e n t@{fg text}
"Je crois que certains de nos concurrents sous-estiment la puissance et
le potentiel de ce qui est repr
par le nom Amiga. Nous ne le sous-
estimons pas. Nous savons parfaitement ce que nous avons, et croyez-moi,
nous allons en faire quelque chose!
"L'Amiga n'est pas seulement priviligi
par sa communaut
d'utilisateurs, il a
galement l'une des meilleures bases d
veloppeurs. Les
logiciels du domaine public et shareware sur Amiga sont meilleurs et la
quantit
disponible n'a pas son
gal sur d'autres plate-formes. Le support
veloppeur est l'une de nos priorit
s principales. Il sera surtout
disponible en forme de services connect
s via les pages Web ou les serveurs
FTP. Nous voulons simplifier au maximum les proc
dures de certification.
"Nous avons
tabli des contacts avec les soci
dition de
logiciels pour s'assurer que leur d
veloppement Amiga se reprend. Nous
allons
galement contacter des
diteurs non-Amiga.
"Depuis que nous avons d
l'op
ration Amiga, il y a eu plusieurs
rumeurs concernant nos projets futurs. L'un d'eux racontait que l'Amiga
tait qu'un coup rapide pour la saison de no
l. C'est un r
ve de la
concurrence!
Amiga n'est pas un projet
court terme, mais un
lement dans notre
strat
gie multim
dia. Pour donner
l'Amiga l'avenir qu'il m
rite, comme
plate-forme majeur pour la multim
dia, vid
o, et applications 3D, nous
allons
tendre le syst
me avec le processeur PowerPC l'ann
e prochaine.
@{fg shine}L a f o r c e d e l ' O S@{fg text}
"Le choix de PowerPC
tait fait pour sa vitesse et aussi parce que
c'est actuellement le seul processeur RISC couramment utilis
dans les
ordinateurs personnels. Ceci est une assurance que les quantit
s dont on
aura besoin seront disponibles
un prix attractif sur un march
de mass.
"Amiga OS est la v
ritable force de la plate-forme sur laquelle il
tourne. Nous sommes conscients que nous avons un syst
me d'exploitation
pourvu d'une v
ritable capacit
de travail en multi-t
ches d
s le d
but,
sans besoin des quantit
s excessives de m
moire qu'infligent les autres.
C'est l
la raison pour laquelle nous allons nous concentrer sur
lioration de l'AmigaDos et son portage sur d'autres processeurs. C'est
la meilleure fa
on d'
largir la base install
e et de capturer des parts de
march
sur Windows et Macintosh.
"L'impl
mentation du processeur PowerPC sera le premier pas dans cette
voie. Plus tard, ce processeur remplacera les circuits 68000 dans toute la
gamme. Ceci est possible gr
la gamme des versions fournies par
Motorola, du 602 jusqu'au 604.
@{fg shine}C o m m u n i c a t i o n@{fg text}
"Multim
dia ne veut pas dire seulement son et animation, mais
galement
communication. Nous allons utiliser la technologie Amiga pour fournir des
solutions r
seau d'un tr
s bon rapport prix-performance. Ceux-ci peuvent
tre commercialis
s sous forme de set-top box ou comme ordinateurs Amiga
s du logiciel et du mat
riel n
cessaire. (NDLR: Gilles Bourdin promet
un package Internet pour janvier. Il comportera un Amiga 1200, modem PCMCIA
et logiciels pr
-install
s. La vitesse du modem sera de 14.4 ou 28.8kbauds
et le prix sera entre 1000 et 1500DM en Allemagne. On ne sait pas si la
partie modem-logiciels sera vendue s
ment pour ceux qui ont d
Amiga).
Mr Schmitt a conclu: "Actuellement le march
de l'ordinateur est
largement occup
par les plate-formes Intel et MicroSoft. Nous pensons que
cette combinaison n'est pas satisfaisante pour toutes les utilisations. Il
y a un fort march
pour l'ordinateur familial en dessous de 1000DM
(3500FF). Pour surfer l'internet, d
penser 2500DM (8750FF) pour un PC n'est
pas ce que j'appellerais une solution orient
e vers la famille.
Indubitablement, ce sont des segments du march
l'Amiga 1200 peut
plus comp
titif."
@ENDNODE
@NODE jGbourdin " Gilles Bourdin : annonces
l'Amiga Expo de Paris (01-
@TOC jNewsInt
@{fg shine}L e c t e u r s H D p o u r l e s A m i g a 1 3 0 0
@{fg text}
Dans une session de questions-r
ponses
l'Amiga Expo de Paris, Gilles
Bourdin, porte-parole d'Amiga Technologies, a donn
la liste des prochaines
productions de chez AT.
*les moniteurs 17 pouces et 15 pouces multi-synchrones, qui seront
capables d'afficher tous les modes de l'Amiga, seront disponibles peu apr
le Cebit expo en Allemagne en Mars, o
ils seront expos
* le nouvel Amiga 1300 (souvent appel
le 1200+), avec un chipset
modifi
pour permettre de contr
ler les lecteurs HD standards. Ces lecteurs
seront l'une des innovations de la machine, d'autres
tant un processeur
plus rapide et la possibilit
de rajouter de la RAM directement sur la
carte m
re. Cette nouvelle carte m
re sera de technologie r
cente par
contraste avec la technologie de fabrication vieillisante et co
teuse des
actuels Amiga.
* la prochaine version de l'OS sera pour les PowerAmiga, disponible
avec les premi
res machines PowerAmiga, d
but 1997,
* Un chipset sp
cifique Amiga sera une caract
ristique de base de tous
les Amiga
venir. Ceci n'emp
chera pas la possibilit
d'utiliser une carte
graphique sur bus PCI.
ponse
d'autres questions, Gilles Bourdin a
galement confirm
* que l'actuel Amiga 4000T n'aura pas de lecteur HD, le fabricant des
lecteurs HD Amiga n'ayant plus la possibilit
de les fabriquer, et le
lancement d'une s
rie sp
ciale
tant trop co
teuse. Les possesseurs de ces
machines seront oblig
s d'acheter un lecteur HD s'ils en ont absolument
besoin, plusieurs mod
tant disponibles chez les fabricants de
riques.
* qu'
partir de l'ann
e prochaine, Amiga Technologies d
butera une
campagne publicitaire pour l'Amiga dans les journaux PC en France, en
Allemagne et ailleurs.
* qu'une conf
rence internationale de d
velopeurs aura lieu en
Allemagne bient
t, probablement en f
vrier.
* que Amiga Technologies trouve parfaitement normal les marges de son
distributeur en France, Innelec.
* que la soci
Apple a annonc
une conf
rence de presse qu'elle
avait l'intention de porter son syst
me d'animation QuickTime sur Amiga.
(Ed: Escom passe actuellement des publicit
s en double page dans les
journaux Amiga britanniques sous le titre "L'homme de Escom fait de la
magie avec un A1200". Ces publicit
s donnent les adresses des 200 magasins
Escom en Grande-Bretagne o
l'Amiga se trouve en vente depuis d
cembre. Le directeur d'un magasin auquel nous avons t
, confirmait
qu'il avez re
u cinq machines dont deux
tait d
vendues. Il pense qu'il
aura
galement des p
riques Amiga en vente
partir du d
but de
l'ann
e prochaine. C'est une nouvelle importante dans le sens o
Escom est
apparemment pr
faire tout en son pouvoir pour mettre l'Amiga en avant
du public et associer les noms "Escom" et "Amiga".).
@ENDNODE
@NODE jKittel " Kittel : Amiga CHRP (01-86)"
@TOC jNewsInt
@{fg shine}K i t t e l : A m i g a C H R P@{fg text}
@{"Dr Peter Kittel" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJanvier/Kittel.8bt"}de Amiga Technologies a donn
quelques d
tails
suppl
mentaires devant 400 d
veloppeurs italiens
l'IPISA 95 (Incontro
Programmatori Italiani per lo Sviluppo su Amiga, ou R
union des
veloppeurs Amiga Italien)
Milan le 18 novembre. Le sujet principal de
cette conf
rence
tait la programmation objet-orient
, et les participants
ont re
u deux CD-ROMs et beaucoup de documentation.
D'apr
s Dr Kittel les Power Amiga haut-de-gamme seront compatibles CHRP
(le Common Hardware Reference Platform de Apple et IBM). Ceci autoriserait
l'utilisation de components standard (et donc peu co
teux) du march
. Le
bas de gamme ne sera probablement pas aux normes CHRP.
Des circuits graphiques custom sont d
en cours de pr
paration, mais
pas chez AT. Si possible, ils permettront des
crans 24-bits, des modes
chunky, et audio 16-bits. Il ne s'agit pas du chipset AAA, qui est "mort",
(comme le projet "Hombre" de Commodore), mais certaines fonctions AAA
peuvent
tre implement
es sur les nouveaux chips graphiques de l'Amiga. Le
futur amiga
ste aura sans doute la possibilit
de choisir son sous-syst
graphique, en achetant diff
rentes cartes PCI (Amiga ou autre).
Le nouveau programme pour d
veloppeurs est en train de se mettre en
route. Les d
veloppeurs certifi
s sont divis
s en non-commercial ($100US
par an), et commercial ($300US par an). Pour devenir d
veloppeur
commercial, on doit montrer un produit existant ou presque fini. Les
veloppeurs commerciaux auront un support t
phonique.
Parmi les participants
tait A.Longo, programmeur de Breathless, un
Doom Amiga pour les machines AGA qui a impressionn
beaucoup de monde par
sa fluidit
. Il a promis une version pour machines acc
es et cartes
graphiques
con- di tion que la version actuelle se vende bien.
JXScan_ToDisk, JX100_ToDisks. Pas de documentation !
* @{fg shine}SEK'D@{fg text} : Samplitude-MS 2.10. Pas de documentation !
* @{fg shine}MovieShop@{fg text} : MovieShop 2.6 ... Pas de documentation !
* @{fg shine}Xi-Paint@{fg text} : Xi-Paint 2.429 ... Pas de documentation (J'ai protest
avec v
mence lors de mon appel pour mon clavier et ils m'ont envoy
manuel en anglais, ils l'ont
galement en allemand...)!
@ENDNODE
@NODE fCloanto " Cloanto Personal Suite (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}U n e o e u v r e u n i q u e
Cloanto Personal Suite@{fg text}
Tout le monde Amiga connait les logiciels Personal Paint et Superbase.
Notre ami Italien Michele Console Battilana de la soci
Cloanto nous
propose une compilation sur CD-ROM de ces deux logiciels plus Personal
Write, Personal Fonts et une quantit
d'autres choses.
Ce package est assez int
ressant car en plus il contient une pl
iade
d'animations, d'images et de docs.
Une fois de plus, les italiens nous montrent comment pr
senter un CD.
Le design est vraiment tr
s beau dans son @{"emballage style bobine de film" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicFEVRIER/Cloanto.jpg"}
contenant le CD. Bien s
r, l'emballage ne fait pas tout, il faut voir le
contenu.
Ce qui frappe le plus est la qualit
avec laquelle le CD est pr
La documentation en AmigaGuide est disponible en fran
ais, anglais,
allemand et italien. Les traductions et la pr
sentation en Guide est sans
faut et vraiment compl
te. Chaque logiciel poss
de sa doc mais certains
ne l'ont qu'en anglais, ce qui est le point sombre du package.
@{fg shine}On trouve dans ce CD:
Personal Paint Version 6.4 @{fg text}
Derni
re version de ce programme qui peut s'installer sur disque dur ou
marrer du CD lui m
me. Ceci m'am
signaler un d
tail que
j'appr
cie, c'est que les divers logiciel contenus ici peuvent soit
s'installer avec l'installer Commodore standard, soit s'ex
cuter depuis le
Personal Paint a
test
plusieurs fois dans Amiga News. Pour
compl
ter le dessin, on peut dire que c'est une
manation compl
te de
Deluxe Paint avec des outils en plus et des facilit
s surtout vis-
-vis des
crans sup
rieurs. PPaint 6.4 c'est en plus le support des cartes
graphiques sous cyberGFX, EGS et autres
mulations
Il travaille en Vmem et utilise les Datatypes pour le
chargement/sauvegarde des images, des UNDO multiples. Il g
re aussi les
animations dans tous les derniers modes Amiga, les transparences d'
cran et
une fonction de REDO assez utile comme dans TV-Paint.
@{fg shine}SuperBase Personal 4@{fg text}
Le second logiciel est assez connu, c'est SuperBase 4, en version
Personal SBase. Ce logiciel est un excellent base de donn
es, similaire
SBase Pro 4 mais moins le langage de programmation DML.
@{fg shine}Personal Write@{fg text}
C'est un logiciel de traitement de texte simple et assez ancien de
conception mais possedant des fontions int
ressantes. Il n'utilise
cependant pas les ScreenModes et, par cons
quent, ouvre son propre
cran
dans peu de r
solutions disponibles. Il est loin d'
la hauteur d'un
WordWorth, il ne poss
de pas de correcteur syntaxique, mais propose quand
me une fonction de mailing qui peut trouver son utilit
@{fg shine}Personal Font Maker@{fg text}
L
aussi, une "vieillerie" qui vous permettra de cr
er ou modifier
toutes les fontes que vous d
sirez. Il vaudra mieux utiliser Personal Font
Maker 2 qui se trouve lui aussi sur le CD. Il est plus r
cent et bien plus
performant.
@{fg shine}DIR DIFF@{fg text}
Voici un logiciel vraiment tr
s int
ressant et qui peut devenir
indispensable
l'utilisateur qui r
alise des backups de sauvegardes
res, des copies ou des mises
jour de fichiers. Son utilit
est
incontestable en backup de mise
jour. En effet, il compare les fichiers
d'apr
s de nombreux crit
res param
trables avant une copie d'un m
fichier et remplace ou pas d'apr
s ces crit
res. L'avantage est que sur
un backup journalier par exemple, il n'est plus n
cessaire de v
rifier quel
fichier doit
tre sauv
par rapport a la derni
re sauvegarde. De plus, lors
des copies de fichiers, DirDiff poss
de une v
rification d'
criture tr
fiable. Il devient indispensable pour qui cr
e des masters de CD-ROM en
rifiant par exemple deux fois les adresses en RAM d'un block lors d'une
erreur d'entr
e/sortie. DirDiff permet une
conomie en ressources
inestimable en ne copiant pas donc les fichiers qui ne le n
cessitent pas.
Ce logiciel est certainement, avec PPaint, l'un des indispensables du CD.
@{fg shine}C
a r t i s t e s@{fg text}
On trouve un grand nombre d'animations connues dans le monde Amiga,
toutes regroup
es dans un format Anim standard (et FLI aussi). Les images
sont aussi pr
sentes, telles celles de Jim Sach, Eric Schwartz, ... .
Avec les Kara Fonts par exemple, on retrouve des fontes bitmap
color
es. Le CD contient 27 fontes diff
rentes en couleur
utiliser avec
les logiciels de dessin ou de titrage.
Le plus
tonnant reste
suivre. En effet, outre les documentations en
Amigaguide de l'Amiga Dos et ses commandes, de l'ARexx (Ed: sur ma 3000 ces
deux ne fonctionnent pas...), Amigaguide et de l'ASCII Amiga, on d
couvre
dans ce CD une compilation des plus c
bres best sellers de la
rature. Ainsi toujours en format Guide, on pourra lire, 20000 lieux
sous les mers, Le magicien d'Oz, la guerre des mondes, de la terre
lune ,... en tout 45 nouvelles enti
res mais en versions anglaises. Sans
parler des 18 autres livres, mais eux, en version ... italienne.
@{fg shine}P o u r f i n i r . . .@{fg text}
Ce CD-ROM au prix de 499 Francs est sans nul doute une oeuvre unique de
la part de CLOANTO qu'il faut poss
der ou moins pour Personal Paint 6.4 et
Dir Diff. C'est aussi un recueil de fonts et d'images qui peuvent toujours
rendre des services, sans oublier Superbase et
un niveau moindre Personal
Write et Personal Font Maker pour ceux qui en auraient besoin. Dans tous
les cas, la pr
sentation et la documentation tout en Amigaguide sont
mement agr
ables. Une bonne id
e sachant que Personal Paint 6.4 seul
ja 399F.
@{fg shine}Eric Laffont@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fPackinternet " Deux packs Internet (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D e u x p a c k s I n t e r n e t p o u r A m i g a
Internet Inside et @net@{fg text}
Les amiga
stes dans les universit
taient l'un des premiers groupes
"grand public"
profiter des possibilit
s offertes par l'Internet.
@{"Assis devant les terminaux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/internet.256"}
de gros syst
mes UNIX, ils
changaient en temps r
el et
une
chelle
taire, des informations et des logiciels de domaine public.
Notre premier article
ce sujet, par Batchman,
tait publi
dans le
ro 14 de juin 1989. C
dric Beust a suivi en d
cembre 1990 avec une
rie d'articles (ANews N
31, 32, 33 et 41) qui valent le d
tour encore
aujourd'hui. Plus tard, Gilles Bourdin et d'autres ont continu
de signaler
les d
buts de l'ouverture des r
seaux au grand public.
Alors quelle ironie que l'Amiga soit l'un des derniers syst
informatiques
tre fourni en packages "cl
s en main". Mais enfin les
Contrairement au Mac et au PC, installer une solution Internet sur
Amiga n
cessitait des connaissances particuli
res des protocoles ainsi que
diverses informations concernant le site h
te de connection. Les outils
Internet et r
seaux existent depuis longtemps sur Amiga. Que cela soit
AmiTCP/IP, @{"AMosaic" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/mosaic.256"}, @{"GuiFTP" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Guiftp.16c"} ou autre utilitaire de Mail et IRC, tout se
trouve dans le DP. Pourtant la rigidit
et complexit
de l'installation a
courag
beaucoup d'amateurs. Il
tait indispensable d'
laborer un script
d'installation facile et compr
hensible.
C'est ainsi que sont apparues plusieurs solutions plus ou moins bien
faites en domaine public, et maintenant deux packages commerciaux en
ais, Internet Inside de Cuda/Adept et @NET de Phoenix/Almathera.
Bien entendu, si vous d
sirez une solution rapide et facile, il vous
reste
bourser environ 200F et tout devrait bien se passer. Nous allons
voir les deux solutions qui s'offrent
vous: Internet Inside et @Net.
Avant de commencer signalons que les deux utilisent des versions d
(disponibles en DP), des logiciels AmiTCP et AMosaic, plus d'autres
utilitaires qui facilitent la vie pour FTP, Mail et IRC.
@{fg shine}I n t e r n e t I n s i d e@{fg text}
Vendu d'abord lors du salon Amiga Expo 95 sur le stand Cuda, Internet
Inside a eu beaucoup de succ
s. Son installer est facile et fonctionne avec
la plupart des modems existant. N
anmoins, dans sa version vendue
l'expo,
ce script poss
de quelques petites erreurs qui peuvent, selon votre
configuration de syst
me et votre modem, emp
cher le pack de fonctionner.
* Tout d'abord, lorsque le script vous demande de rentrer le taux de
"MTU", celui-ci est par d
faut propos
1500. Ce taux est correct pour
environ 80% des modems. H
las, pour un supraFax par exemple, ce taux doit
tre imp
rativement r
1006. Un taux
1006 semble fonctionner avec
100% des modems. Il aurait
plus judicieux de r
gler le taux par d
faut
1006.
* D'autres probl
mes peuvent survenir dans certaines configurations. Le
premi
r intervient si vous utilisez le compilateur C GCC. Si la version de
la librairie "IXEMUL.Library" n'est pas une version plus r
cente que la 39,
alors AMosa
crit en GCC) ne fonctionnera pas et demandera une autre
librairie. Internet Inside ne la fournit pas!
* Un autre probl
me intervient lors du lancement d'AMosaic sur certaines
configurations. Dans tous les cas, la pile (stack) du logiciel est
insuffisante. Je vous conseille de la porter au moins
50000 (avec la
fonction Ic
ne/Information du Workbench) afin d'
viter des plantages
excessifs.
* AMosaic peut planter lors de l'affichage des images car le fichier
Password est mal install
. En effet, ce fichier contenant le mot de passe
et se trouvant dans le r
pertoire AMITCP:DB doit imp
rativement se terminer
s le mot "HOME" par le signe "/" ou ":" s'il sagit d'une assignation.
Ce n'est pas le cas lors de l'installation et nous avons remarqu
que dans
certaines configurations l'ajout de "/" ou ":" corrigeait les erreurs
d'assignations et par cons
quent de plantages (merci
rome Chesnot qui
nous a communiqu
cette solution).
* Si vous poss
dez d
MUI,
vitez d'installer celui du pack, car un
probl
aux versions de la MUIMaster.library peut survenir selon la
version.
@{fg shine}A t t e n t i o n
l a f a c t u r e !@{fg text}
* Ceux qui n'ont pas rencontr
ces probl
mes ont pu essayer de se
connecter sur Planet.NET, qui devait fournir un mois d'abonnement gratuit.
A ce jour (le 11 Janvier 1996), le seul num
ro accessible avec le pack sous
Planet.NET n'est que le 36 68 53 89 (2.23F la minute!), car les mots de
passe n'ont toujours pas
valid
s par Planet! Assurez-vous que votre
mois de connection gratuit commence bien
la date d'ouverture de votre
compte et non pas de la date d'achat du logiciel. Cuda nous signale que
Planet va changer ses protocoles de communication IP en ajoutant les
rifications "CHAP et PAP". Ceci obligera tous les possesseurs du pack
Internet Inside
s'enregister pour AmiTCP/IP car seule la version
enregistr
e valide ces modes. CUDA nous assure qu'il va mettre
jour le
pack gratuitement et livrer une nouvelle version de AmiTCP/IP qui permettra
la connection
Planet. Cette mise
jour comprendra un nouveau script
normalement corrig
et revu qui, lui aussi, fera partie de la mise
jour.
Le pack Internet Inside est livr
en fait avec AmiTCP 4.0, Amosaic
2.0(beta), @{"MUI ADT" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/mui.16c"} (FTP), ATALK, AmigaELM et TIN, le tout sur quatre
disquettes.
Mis
part ces probl
mes d'installation, le tout fonctionne bien, mais
las je n'ai pu le tester que sur le service GROLIER.FR car mon login sous
Planet n'est toujours pas activ
!. CUDA offre avec le concours de Planet
(service de l'
diteur Pressimage) une gratuit
de un mois d'acc
Planet.NET le jour o
cela fonctionnera.
@{fg shine}@ N E T d e P h o e n i x@{fg text}
Sous le m
me principe que Internet Inside, @Net de PHOENIX DP est un
script d'installation facile, destin
vous connecter sous le site
GROLIER.FR et installer facilement AmiTCP, Amosaic et d'autres utilitaires.
Contrairement au package pr
dent, le script d'installation est 100% d
au site GROLIER et de ce fait ne vous demande pratiquement rien lors de
l'installation. C'est
ce jour le script le plus facile. Cependant, il est
assez difficile de le modifier, si vous changez de prestataire et que vous
quittez GROLIER.
Il existe cependant trois petits probl
mes lors de l'installation, qui
sont plus g
nants que catastrophiques.
* Le premier, et celui qui me g
ne le plus, est que tous les fonts du
me se retrouvent r
s sur le TOPAZ.FONT. Cela est un peu g
nant de
voir tout son bureau r
organis
, car le script efface vos pr
rences
"font.prefs" et impose Topaz 8. Je vous conseille donc avant l'installation
de @Net de copier dans "ENVARC:SYS/" le fichier "FONT.PREFS" dans un
endroit sur, d'installer @Net, et puis de replacer ce fichier ensuite pour
rer votre environnement. L'explication de ce changement vient du fait
que sur certaines configurations, GUIFTP ne fonctionne pas bien si les
fontes syst
me (Topaz) ne sont pas utilis
es (explications @Net). Il y
avait deux solutions au probl
me, soit de patcher GUIFTP, soit de changer
les fonts utilis
s par le Workbench.
* Le second concerne aussi AMosaic qui comme pour Internet Inside
cessite une pile de 50000 au moins pour commencer, mais aussi que tous
les utilitaires indispensables
AMosic ne soient pas install
s. En effet,
pour
couter un son ou voir une image JPEG par exemple, le script n'a pas
fait les installations des logiciels n
cessaires. Ainsi, cela sera
vous
de le faire
la "main".
* Le troisi
me ne se verra dans certains cas que lors de l'envoi de
mails. Le package a oubli
d'initialiser la variable d'environnement
"UUCPSendMail". Il faudra donc ajouter la ligne suivante dans le script
"Startnet" se trouvant dans "Bin": SetEnv UUCPSendMail Mail.club-
internet.fr. Maintenant, tout devrait parfaitement fonctionner.
Le plus important de ce package est le choix du site de connection.
GROLIER (club-internet.fr) d'Hachette est un site AMINET, donc privil
pour nous amiga
stes. En effet, charger des softs directement sur son site
d'accueil va toujours beaucoup plus vite que de se connecter sur un autre
site. De plus, ce site Aminet est tr
s fourni et un des plus complets de la
te, le Sysop de Grolier
tant aussi un fana d'Amiga. Une Hotline est
aussi disponible, beaucoup plus pr
sente que celle de Planet.net qui ne
nous r
pond plus!. Son num
ro est le (1) 47 45 99 10. @Net propose un grand
nombre de logiciels de communication car dans sa version d
finitive il sera
sur CD-ROM.
Il peut aussi
tre livr
avec des disquettes, mais toujours avec le CD,
dont le contenu est pratiquement tout ce qui se trouve dans le r
pertoire
COMM d'Aminet en plus de l'indispensable AmiTCP 4.0 (d
mo) et Amosa
c 2.0
@NET offre aux acheteurs une gratuit
de un mois chez GROLIER.FR qui
vous permettra surtout de d
couvrir le site AMINET qui, je pense, a
normement contribu
la survie de l'Amiga dans le monde.
@{fg shine}P o u r c o n c l u r e@{fg text}
INTERNET INSIDE de CUDA/ADEPT ou @NET de PHOENIX sont deux solutions
pratiquement
quivalentes avec une plus grande facilit
d'installation pour
@Net, un meilleur prix et un CD-ROM d'utilitaires indispensables.
Seulement, @Net n'offre pas la possibilit
de changer de site d'accueil de
votre compte contrairement
Inside qui est plus param
trable en ce
domaine, bien qu'il faille quand m
me manier l'
diteur ASCII pour le script
de connection. Dans tous les cas, les deux utilisent les m
mes logiciels du
domaine public et l'enregistrement pour AmiTCP est vivement recommand
car
la version enregistr
e est plus rapide!. C'est donc plus un script
d'installation et une brochette de DP que vous achetez qu'un v
ritable
logiciel. Il fallait cependant le faire. Maintenant il m'arrive moins
souvent de passer sous Shapeshifter afin d'utiliser Netscape, pour pr
AMosa
c 2 sur Amiga. Si un choix devait
tre fait entre ces deux packages,
... je vous laisse le faire.
Sachez que Planet.net ou GROLIER co
peu pr
s 100 Francs
d'abonnement par mois plus les communications en local pour peu que vous
habitiez une grande ville dans laquelle se trouve un noeud (n
de t
phone
relai). Dans tous les cas, et en attendant la version officielle d'Amiga
Technologies pr
vue pour le printemps (qui de toute fa
on utilisera Amosa
et TCP), ces deux packs sont les seuls existants et pratiquement
rationnels.
@{fg shine}Distribution et prix@{fg text}
Workbench 3.0 minimum (pour AMosaic 2.0) et un disque dur sont
cessaires pour faire de l'internet avec ces packs.
@ NET est commercialis
par PHOENIX DP en version CD-ROM ou disquette
la demande. Il offre une connection gratuite de un mois sur GROLIER.fr
(site Aminet). Le prix du tout est de 149F. Notons que l'abonnement
Grolier.fr ne co
te que 77F/mois.
Internet Inside est commercialis
par CUDA Informatique et Adept
Development en version quatre disquettes. Il offre une connection gratuite
de un mois sur Planet.net.fr. Le prix du Pack Internet Inside est de 249F
et l'abonnement
Planet.net coute 99F/mois.
@{fg shine}Note:@{fg text} Si vous avez Internet Inside et que vous d
Avant de commencer, expliquons ce qu'est AmiTCP et Amosa
c. AmiTCP/IP
est le logiciel permettant de cr
er et g
rer le protocole de communication
entre votre Amiga et le site Internet. Il est indispensable. AMosaic est
l'utilitaire permettant de circuler sur Internet et de visualiser le pages
WEB, c'est
dire graphiques, textes, son, animations,
la norme HTML.
Lors des transferts de fichiers ou le t
chargement on pr
rera utiliser
un logiciel comme GUIFTP ou MUIADT qui n'affichent pas les textes et images
mais permettent de parcourir l'arborescence d'un site un peu comme avec un
Opus sur Amiga. Les logiciels permettant de dialoguer et communiquer en
direct avec d'autres utilisateurs (IRC) sont aussi indispensables sur
Internet. Sans compter sur un gestionnaire de courrier
lectronique et un
lecteur de News (annonces, actualit
s). Ces divers logiciels se trouvent
bien
videmment sur les packs @NET de PHOENIX DP/Almathera ou Internet
Inside de CUDA/ADEPT, mais quelquefois seulement en version d
mo, ce qui
impose une d
pense suppl
mentaire pour s'enregistrer ult
rieurement.
@{fg shine}S o l u t i o n s D P@{fg text}
Sur Aminet (DP), il existe trois solutions assez in
gales en qualit
Je ne vais pas m'attarder sur la premi
re, tellement elle est peu
fonctionnelle: c'est le script KAIA. Il existe cependant sur Internet une
solution correcte et qui fonctionne, le script INTERINSTALL. Il n
cessite
AmiTCP 4.0 ainsi que AMosaic 1.2 ou 2.0 le tout en version d
mo ou
enregistr
e. Il propose des scripts de connection sur divers sites et
fonctionne parfaitement pour peu que l'on connaisse un peu ce que l'on
fait. Ce n'est pas encore pour le d
butant ou pour celui qui veut du
"Install and enjoy" mais cela facilite
ment les choses et en plus
cela marche.
On peut trouver ce script ainsi que les deux logiciels cit
s sur Aminet
dans le r
pertoire Comm/TCP et AMosaic. Derni
rement, j'ai d
couvert un
nouveau package DP sur Aminet qui s'appelle "VARKNET" en trois disquettes,
mais
l'heure o
cris ces lignes, je n'ai pas encore eu le temps de le
tester. De plus, il n'est qu'en version "b
ta". En fait nous voyans
aujourd'hui les versions "commerciales" des solutions Internet.
@{fg shine}Eric LAFFONT@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fMmexperience " M.M.Experience (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M . M . E x p e r i e n c e
Un rival pour SCALA ?@{fg text}
La sortie d'un nouveau logiciel de pr
sentation multim
dia sur Amiga
est une chose tr
s rare. Il est vrai que pour faire mieux que Scala, il
faut se lever de bonne heure. Nous avons re
u chez Amiga News un nouveau
logiciel de chez Optonica appel
M.M.Experience, destin
ce march
multim
dia et cr
ation interactive. Il faut d
saluer la sortie d'un
nouveau logiciel dans cette nouvelle p
riode de renouveau de l'Amiga. Pour
ce qui est du logiciel lui-m
me, il poss
de quelques atouts par rapport
son concurrent direct Scala, mais aussi pas mal de lacunes et un certain
manque de souplesse.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
@{"Le package de MME" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/package.256"} est vraiment bien pr
dans son coffret et
classeur de qualit
. On y trouve, outre une documentation (en anglais), les
deux disquettes contenant le logiciel avec son num
ro de s
rie inclus.
L'installer de Commodore proc
de sans probl
l'installation du logiciel
et de ses librairies. Une fois le tout copi
sur dur, on peut commencer
travailler. Notez qu'il est possible d'utiliser MME
partir de disquettes
et peu de m
moire (2Mo), ce qui ouvre ses applications
des configurations
1200 de base. Il ne n
cessite pas non plus de l'AGA et peut donc
fonctionner avec les anciens Chipsets Amiga (ECS) ausi bien qu'en AGA
jusqu'
256 couleurs. Le tout s'explique par la relative anciennet
conception du programme lui-m
me. Comme on peut le voir dans le menu
"About", sa conception date de 1991 et cela se voit. Les requesters qui
lui sont propre, n'utilisent pas l'ASL, la pr
sentation des fen
tres est du
style 1.3. Il ne peut certainement pas rivaliser avec Scala dans aucun des
domaines, mais peut n
anmoins rendre de quelques services.
@{fg shine}L e l o g i c i e l@{fg text}
Il faut d
comprendre que ce logiciel est essentiellement destin
la cr
ation d'applications multim
dia, dans le but de cr
er un CD par
exemple ou une arborescence contr
lable
la souris dans les sp
cificit
d'un Amiga standard. Il n'y a pas de modules externes disponibles et seuls
les modes IFF proches de la machine sont support
s. l'aspect g
ral du
logiciel est assez simple d'utilisation. On a vite fait le tour du
programme et la documentation peut ne pas
tre consult
e tant
l'environnement est peu satur
en fonctions.
@{"L'
cran de d
part" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Mmex.32c"} se situe au bas de la page et propose de cr
er ou
charger un projet qui debiendra notre lieu de travail. On y trouve deux
parties possibles, soit les options de navigation de type: charger/sauver
un projet, Ajouter une page, importer, effacer, copier, et l'indispensable
about, soit les gadgets contenant les modules de cr
ation.
@{"Ces modules" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Modules.16c"} sont r
partis en sept parties distinctes. La premi
renferme celui de cr
ation des boites de s
lection que l'on activera
ensuite en cliquant dessus (gadget). Il existe sept types de boites avec
des textes, des images, des listes
l'int
rieur. On peut aussi charger des
brosses qui peuvent devenir des boutons/gadgets. Cette partie est assez
ressante surtout en ce qui concerne les bo
tes de listes o
le logiciel
va cr
er directement les gadgets permettant de faire d
filer leur contenu.
La seconde concerne les options d'une page et de son contenu. Elle g
re la
page en cours et permet de contr
ler les effets des gadgets, la dur
e de
sentation et en fait les
nements contenus dans la page en cours. Le
troisi
me bouton est celui des effets sp
ciaux. Ces @{"effets de transition" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/efx.16c"}
sont au nombre de 60. Il s'agit ici uniquement d'effets de pages assez
simples de type scrooling, pas de d
placement de brosses ni de
trajectoires, uniquement des effets de transition entre deux images ou
animations.
Le quatri
me bouton concerne la recherche des pages. Il est assez utile
lorsqu'un script commence
devenir assez long et comporte un grand nombre
de pages. On peut ici utiliser les gadgets de d
placement x1, x10 ou x100
pages. Chaque page poss
de un nom et un num
ro associ
. Le cinqui
me module
est ici pour nous faciliter le travail de cr
ation. Cette option permet de
lectionner des programmes externes qui pouront
tres utilis
s pour
modifier, ex
cuter ou cr
er des applications directement en les appelant de
MME sans avoir
les chercher dans l'arborescence du disque. C'est une
petite facilit
de travail assez utile. Ainsi, il est possible d'appeler
Dpaint par exemple depui MME.
Le sixi
me module concerne la visualisation des sons et des images sans
avoir
les charger ou les jouer dans le script du projet en cours. Utile
pour la recherche. Le dernier bouton est celui des pr
rences du syst
Ici, on r
gle le format d'
cran utilis
, le contr
le de la souris et des
messages. C
solutions, seuls les modes vid
o PAL ou NTSC sont
possibles en entrelac
ou non. On a aussi droit
trois modes d'Overscan
jusqu'
un maximum de 736x566 en mode PAL/ Hires/ Interlace/ Overscan Max.
Les possesseurs de machines AGA (1200 & 4000) peuvent avoir jusqu'
256
couleurs tandis que les machines ECS (500, 600, 2000 & 3000) auront un
maximum de 64 couleurs (en Extra Half Brite). Le format des images doit
rativement
tre en IFF ainsi que pour les sons. Le logiciel n'utilise
pas les datatypes et donc pas de possibilit
de charger de images dans un
autre format. Le logiciel est cependant capable de jouer des animations
dans tous les formats d'anim IFF jusqu'au Ham8 et CDXL.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Evidemment, dans un monde domin
par Scala, la sortie d'un nouveau
logiciel multim
dia sur Amiga se heurte dans tous les cas
la comparaison
vitable. Il est vraiment tr
s difficile de faire mieux que Scala et l'on
s'en rend bien compte en d
couvrant M..M.Experience. Ce soft ne sera pas
un grand danger pour Scala. Sa conception assez ancienne et ses faibles
possibilit
s d'effets de brossses, de gadgets et de cr
ation font qu'il
sort un peu tard. En 1991, il aurait certainement eu du succ
s. Cependant,
des applications pour la cr
ation de CD-Rom voire de syst
mes de
sentation sont envisageables avec lui si vous n'avez jamais vu Scala.
Certes il poss
de certaines options assez int
ressantes. Le fait qu'il
puisse marcher sur de tr
s petites configurations lui permet d'int
resser
quelques utilisateurs. Il reste toujours capable de cr
er de tr
s belle
sentations et de g
rer facilement un script et une arborescence. Il est
dommage de critiquer autant un nouveau logiciel, mais lorsque l'on a
utilis
Scala, il devient difficile d'
tre compr
hensif envers un logiciel
moins performant. Je ne peux que vous conseiller de l'essayer quand m
avant de l'acheter pour savoir s'il vous convient vraiment.
@{fg shine}Eric LAFFONT@{fg text}
Editeur : @{fg shine}Optonica @{fg text}
Prix : @{fg shine}39.95 Livres, soit 350F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fImagine4.0 " Imagine 4.0 (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I m a g i n e 4 . 0 ( e t 3 . 3 )
Ah, les ombres douces...@{fg text}
Une nouvelle version d'Imagine vient de sortir avec de nombreuses
fonctions int
ressantes: motion blur, ombres douces, Metaballs... Mais
comme nous avons rat
la version 3.3 qui, elle aussi, apporte son lot de
nouveaut
s, nous allons voir ensemble les changements qu'apportent ces deux
versions et tout
a pour le m
me prix :-).
@{fg shine}T o b e o r n o t t o b e 4 . 0 ?@{fg text}
Premi
re am
re constatation, l'interface n'a pas chang
depuis la
version 3.0 (ni d'ailleurs depuis la version 1.0 :-(...). Bref, ne soyons
pas m
disant...
(Ed: Lucas ne l'a pas vu, mais il existe dor
navant chez VitePro une
documentation de 260 pages en fran
ais traitant des versions 3.0, 3.1, 3.2,
3.3 et 4.0)
@{fg shine}U n e p l a i n t e d a n s l e d
s e r t@{fg text}
Depuis la version 3.2, Imagine peut ouvrir son
cran de travail en 256
couleurs, ce qui lui permet de faire de nombreuses choses int
ressantes.
Mais les concepteurs d'Imagine n'ont pas tenu compte de la lenteur de notre
pauvre AGA en 256 couleurs, surtout en DBLPal... Sans carte graphique,
Imagine n'est malheureusement pas utilisable dans ce type d'
cran (on peut
voir le r
affichage de gadgets!). Bref, une utilisation judicieuse des
crans Amiga aurait permis d'avoir un
cran de travail Imagine en 16
couleurs et un nouvel
cran en 256 couleurs qui serait ouvert (ou passerait
devant) seulement quand on en a besoin. Mais voil
, Impulse donne la l
impression de ne pas vouloir utiliser les sp
cificit
s de l'Amiga
(ScreenMode, Requ
tes syst
mes, Datatypes, Multi-
cran, Intuition, ARexx,
Clavier syst
me...). En attendant les nouvelles machines l'Amiga n'est pas
d'une rapidit
mentielle, alors piti
Impulse, faites nous une version
qui utilise les nombreux avantages de notre magnifique OS.
@{fg shine}N o u v e a u t
s 3 . 3@{fg text}
A partir de cette version, la requ
te d'attribut des objets a
grandement am
e (cf @{"Image 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Imagine1.256"} et @{"Image 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Imagine2.256"}). Elle a vraiment gagn
ergonomie et de nombreux nouveaux types de mappings sont maintenant
disponibles (Specular, Hardness, Shininess , Brightness, Fog Length, Index
Of Refraction, Ambient Light et Roughness). Ces derni
res possibilit
s sont
s int
ressantes pour r
aliser de nombreux effets. Les couleurs se
param
trent maintenant plus facilement dans les textures algorithmiques. Il
est possible de d
sactiver une texture ou un mapping, de voir une image qui
tre mapp
e, d'effectuer un clone d'une texture ou d'un mapping, de
choisir la brillance de l'objet de 0 a 256, d'effectuer un Quick render
directement sous la requ
te d'attribut, de choisir un label
une texture
un mapping, de d
finir les param
tres par d
faut des objets... Enfin,
une grande avanc
e dans ce niveau. Malheureusement, seul l'affichage en 256
couleurs permet un rendu (plus ou moins rapide) sur une sph
re ou un cube
de la texture, donc pas tr
s utilisable sur un Amiga sans carte graphique
rapide...
Si vous travaillez sur un
cran en 256 couleurs, Imagine vous donne la
possibilit
de visualiser l'image qui est en train de ce calculer. Cette
affichage en 32 niveaux de gris, permet d'
viter de calculer une animation
compl
te et se rendre compte
la fin que ce n'est pas du tout ce que l'on
voulait obtenir... A qui n'est-ce pas arriv
! De m
me, sur un
cran 256
couleurs, l'image de backdrop est en 32 niveaux de gris.
D'autres petites bricoles ont
implant
es: choix de l'
diteur
tail, spline,...) au d
marrage d'Imagine, param
trage du nombre de
points pour les sph
res CSG (pour le rendu en scanline) et une fonction
"smoth fracture" qui permet de lisser une courbe.
@{fg shine}@{"E t l a 4 . 0 ?" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Imagine4.24b"}@{fg text}
La premi
re fonction qui a le plus
ma curiosit
@{"les ombres douces" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Im31.256"}
. En effet, ce type de fonction manquait cruellement
Imagine. Elle permet
un rendu plus proche de la r
. La douceur des ombres se param
tre sur
l'axe x de la lampe. Dans le pr
rence, on contr
le le nombre de lampes
qu'Imagine va cr
er pour r
aliser l'op
ration. Ce type d'ombres douces sont
s bien r
es mais tr
s lentes
calculer
Par exemple: un petit objet qui met 27 secondes pour se calculer passe
4 minutes 42 secondes avec des ombres douces param
45 lampes. Ce
param
tre peut aller jusqu'
200, merci Impulse... Ce n'est pas un PowerPC
150 Mhz qu'il nous faudra, mais une vingtaine! :-). Bref, pour
l'exemple ci-dessus (Cf Image 3), le rendu devient 10 fois plus lent (ou
moins rapide pour les optimistes :-).... Donc, de bien belles images, mais
il faut de la patience... beaucoup de patience....
Une autre nouveaut
de taille, la fonction motion blur qui permet une
plus grande fluidit
dans le mouvement rapide. Malheureusement, pour
aliser cette op
ration, Imagine recalculera totalement toutes les images
plusieurs fois (le nombre est param
dans le projet) d
es dans le
temps et composera apr
s l'ensemble. Plus le nombre est important, plus
l'animation est fluide, plus c'est lent...
Pour la cr
ation de formes organiques, une m
thode de mod
lisation par
metaballs a
implant
e. Pour cr
er un objet blods, il suffit de cr
des sph
res, de les grouper et d'appliquer la dite fonction. Vous avez
maintenant une peau sur votre objet. Pour une fois, Impulse a eu la bonne
e de ne pas figer la fonction. Je m'explique un peu mieux: si vous
alisez des "State" sur le groupe de sph
res, Imagine recalculera pour
chaque image l'objet. Comme quelques images valent mieux qu'un long
discours (ennuyeux), reportez-vous
@{"l'Image" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Im41.256"}.
Un fonction importante de lissage des objets fait son apparition. Elle
permet de r
aliser, tr
s facilement, des formes courbes comme une voiture (
@{"ex1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Im51.16c"} - @{"ex2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Im52.16c"}).
toiles ont
grandement am
es. Ce ne sont plus maintenant des
pixels d'une seule couleur, mais de plusieurs couleurs, ce qui devient
maintenant utilisable. Les effets peuvent
tre param
s dans le modeleur,
pour
tre utilis
s comme un outil de mod
lisation ou pour r
aliser des
tests. La fonction "Cascade Group" permet de grouper les objets en cascade.
Dans le Stage Editor, Imagine 4.0 peut changer automatiquement une image en
backdrop pour r
aliser du "rotoscoping". Et enfin, la possibilit
d'effacer
des fichiers directement sous Imagine (int
ressant pour les personnes sur
PC :-).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Comme d'habitude, je reste mitig
sur ce produit. En effet, de
nouvelles fonctions (int
ressantes) sont
chaque fois int
es, mais
l'ergonomie g
rale n'a pas beaucoup chang
au cours des versions. De
plus, la limitation de l'espace en rendu trace est toujours pr
sente! Il
reste tout de m
me un outil relativement complet pour un prix comp
titif.
Alors de gr
ce Impulse, revoyez l'ergonomie, utilisez les sp
cificit
s de
l'Amiga et Imagine deviendra un outil formidable.
@{fg shine}Lucas JANIN
lucas.janin@ramses.fdn.org@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fNewsVideo " News Vid
o (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" AMIGA (02-87)" LINK fAmigaVideo}
@{" Video Grand public (02-87)" LINK fVideogp}
@{" Vid
o institutionnelle (02-87)" LINK fVideoinsti}
@ENDNODE
@NODE fAmigaVideo " AMIGA (02-87)"
@TOC fNewsVideo
@{fg shine}A M I G A & V I D E O@{fg text}
@{" AMIGA ACTION (02-87)" LINK fAmigaaction}
@{" MANUEL Fran
ais (02-87)" LINK fManuelfr}
@{" KRP (02-87)" LINK fKrp}
@ENDNODE
@NODE fAmigaaction " AMIGA ACTION (02-87)"
@TOC fAmigaVideo
@{fg shine}A M I G A A C T I O N@{fg text}
SPRINGFIELD MULTI MEDIA (Angleterre) propose @{"un pack 1200" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/AmigaAction.8bt"} d
Pour environ 9000F vous repartez avec un 1200
d'un disque dur de 170
Mo, de 4 Mo de m
moire suppl
mentaire, et d'un Genlock LOLA L2000 (celui ci
tant
d'entr
sortie YC et composite PAL). Cet ensemble est d
un usage grand public et permet d' effectuer ses premiers titrages, pour un
t somme toute raisonnable. L'ensemble est livr
avec le pack logiciel
o (SCALA MM300, PERSONAL PAINT et photogenics) et bureautique
(traitement de texte wordworth, base de donn
es et jeux). D'autre part, SMM
comprend dans le prix une formation d'une demi-journ
@ENDNODE
@NODE fManuelfr " MANUEL Fran
ais (02-87)"
@TOC fAmigaVideo
@{fg shine}M A N U E L F r a n
a i s@{fg text}
Vous avez achet
pour No
l un pack AMIGA 1200 et constat
avec surprise
que certains de vos logiciels
taient en anglais. Alors, si sous souhaitez
disposer d'une version avec un manuel en fran
ais, CIS vous propose pour
SCALA MM300 la version fran
aise et un upgrade vers SCALA MM400 (payant).
@ENDNODE
@NODE fKrp " KRP (02-87)"
@TOC fAmigaVideo
@{fg shine} K R P
( Tables de montages, etc...)@{fg text}
La soci
VITEPRO devrait en assurer la distribution en France.
sitez pas
les contacter. Tel 16 146 38 17 15
@ENDNODE
@NODE fVideogp " Video Grand public (02-87)"
@TOC fNewsVideo
@{fg shine}V i d e o G r a n d p u b l i c@{fg text}
@{" JVC , SVHS ECONOMIQUE (02-87)" LINK fJvcsvhs}
@{" TBC pas cher (02-87)" LINK fTbc}
@{" SAMSUNG SV-3000 (02-87)" LINK fSv3000}
@{" Cam
scope num
rique DVC (02-87)" LINK fCamenumdvc}
@{" JVC, DVC aussi (02-87)" LINK fJvcdvc}
@{" LCD SHARP (02-87)" LINK fLcdsharp}
@ENDNODE
@NODE fJvcsvhs " JVC , SVHS ECONOMIQUE (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}J V C , S V H S E C O N O M I Q U E@{fg text}
Ce @{"nouveau magn
toscope" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Jvc.8bt"} propos
un prix plancher (aux alentours de
5000F) n'en est pas moins
de la technologie "PRO DIGI", dont le
traitement num
rique du signal vid
ne pas confondre avec un TBC)
permet l'am
lioration du rapport signal sur bruit, de la d
finition vid
et la r
duction du "jitter" vid
Pour le montage, il dispose de nombreuses fonctions et d'un jog
shuttle. Le son st
o est am
par le proc
NICAM. Ce magn
toscope
devrait donc ravir aussi bien les vid
ophiles que les utilisateurs avertis
(ne serait-ce qu'en tant que lecteur de montage). Alors, si vous ne
souhaitez pas attendre sa version PAL/ SECAM (pr
vue pour la fin de
l'ann
e 1996 ), vous pourrez toujours traverser le "Channel" puisque il est
disponible depuis peu sur les
talages des commer
ants anglais .
@ENDNODE
@NODE fTbc " TBC pas cher (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}T B C p a s c h e r@{fg text}
Le WVCTB-500 de LEKTOPACKS est annonc
aux alentours de 4000F et
gre des r
glages de correction de couleurs et de contraste. Sans
tendre
une utilisation professionnelle ou institutionnelle, il
devrait ravir les utilisateurs de mat
riels YC ou composite PAL grand
public.
@ENDNODE
@NODE fSv3000 " SAMSUNG SV-3000 (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}S A M S U N G S V - 3 0 0 0@{fg text}
La r
rence dans les magn
toscopes multistandard
tait jusqu'
sent
le PANASONIC NVW1E (pratiquement sans concurrence depuis 5 ans) mais,
aujourd'hui, il vient de trouver un s
rieux concurrent, le SAMSUNG @{"SV 300W" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Sv3000.8bt"}
qui transcode pratiquement dans tous les formats (PAL, SECAM, NTSC 3,58 et
4;43 mesecam). Pour am
liorer les copies, le SV300W dispose de 4 t
(traitement diamond), d'un alignement num
rique, et d'une fonction
lioration des contours. Le son en st
o est enregistr
par deux t
audio qui permettent le doublage.
Pour les particularit
s vid
o, le SAMSUNG dispose de fonctions telle la
lecture stroboscopique que je consid
rerai comme "gadget", pour un appareil
qui a surtout pour vocation le transcodage ou la copie plus que le
montage. Pour finir avec les bonnes surprises, ce magn
toscope peut lire
aussi les cassettes SVHS et dispose d'une connectique YC, (en plus des
classiques RCA audio/vid
o). Concernant le prix, il est en rapport avec la
finition: 9990FTTC. Mais comme on dit, la qualit
se paie.
@ENDNODE
@NODE fCamenumdvc " Cam
scope num
rique DVC (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}S H A R P@{fg text}
SHARP a pr
son @{"cam
scope num
rique DVC" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Sharp.8bt"} de type 3CCD ( c'est la
mode l
-bas para
t-il). Tarif annonc
18000F. Aucune date pr
vue pour le
march
europ
@ENDNODE
@NODE fJvcdvc " JVC, DVC aussi (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}J V C , D V C a u s s i@{fg text}
Mais @{"mini DVC" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Jvcdvc.8bt"}, puisque sa taille (150*80*45 mm pour 520 g) lui permet
de rentrer dans une poche de pantalon. L'oculaire, escamotable, mesure 1,
27 cm et int
gre un
cran
cristaux liquides couleur. A l'utilisation, le
concept "push and use" est ici pouss
l'extr
me car, si cette appareil
est un concentr
de haute technologie, il n'en reste pas moins r
un utilisateur "lambda". L'objectif, un zoom *10 qui ouvre
1,6,
dessert un capteur mono CCD de 570.000 pixels. Il est
noter que les
parties extr
mes du capteur sont r
es au stabilisateur num
rique
dans le cam
scope). Le son num
rique respecte la norme DVC
o 16 Bits, 48 Khz ou mono 12 Bits
32 Khz avec 4 pistes).
La finition en aluminium bross
et la t
commande fournie
(pratiquement de la taille d'une carte de cr
dit) lui donne un look
solument high tech. Parmi les options pr
vues: une base qui devrait
permettre le liaison avec un micrordinateur pour le montage off-line et,
plus tard, en virtuel on-line. Disponible ce mois-ci dans les boutiques de
TOKYO aux environs de 15000F, il devrait se trouver sur le march
europ
vers la fin de l'ann
e 96.
@ENDNODE
@NODE fLcdsharp " LCD SHARP (02-87)"
@TOC fVideogp
@{fg shine}S H A R P et le LCD@{fg text}
SHARP abandonne les recherches sur la technologie des
crans
tube
cathodique pour se concentrer sur le LCD, le constructeur a d'ailleurs
cemment
Osaka un
cran de 28 pouces et pr
voit pour l'automne
96 un mod
le 42 pouces. D'autre part apr
s SONY et son
cran plasmatron de
28 pouces, Samsung et PANASONIC se lancent aussi sur ce march
d'avenir.
Peut-
tre verrons nous pour No
l 96 les premiers t
viseurs
base de
technologie LCD, rel
guant alors nos bons vieux tubes cathodiques au stade
d'antiquit
s ou "d'aquariums
lectrons". De la m
me fa
on que pour les
platines
microsillons
l'arriv
e du lecteur CD audio, microsillon appel
aujourd'hui par nos jeunes enfants "crins crins ".
@ENDNODE
@NODE fVideoinsti " Vid
o institutionnelle (02-87)"
@TOC fNewsVideo
@{fg shine}V i d
o i n s t i t u t i o n n e l l e@{fg text}
@{" PANASONIC AJD 700 (02-87)" LINK fPanaAJD700}
@{" ECOUTEZ VOIR (02-87)" LINK fEcoutezvoir}
@ENDNODE
@NODE fPanaAJD700 " PANASONIC AJD 700 (02-87)"
@TOC fVideoinsti
@{fg shine}@{"P A N A S O N I C" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Pana.8bt"} A J D 7 0 0@{fg text}
(pr
au NAB 95)
Cette cam
ra devrait aussi r
pondre aux attentes des amateurs fortun
(n'ayant pas trouv
satisfaction dans le cam
scope num
rique grand public,
SONY, dont ils esp
raient au moins une version v6000 et id
alemenent
une version EVW 300). En effet, propos
e courant juin 1996 aux environs
de 120 000FHT (certes 4,5 fois le prix d'une VX 1000) , l' ADJ700 offre
un excellent rapport qualit
/ prix (professionnellement parlant bien s
r).
Extr
mement compact et bien
quilibr
(d'un poids total de 5kg), cette
ra d'
paule (format DVC large bande, objectif interchangeable, et
viseur monochrome 1,5 pouces), est de la m
me famille que l'UVW 100 SONY
ou l' AGDP 800 PANASONIC. La t
te de cam
ra 3CCD comporte des capteurs de
410,000 pixels, au format 1/2, et le traitement num
rique sur 10 bits
devrait permettre une excellente restitution d'image. Les cassettes au
format DVC PRO permettent une dur
e maximum de 63 minutes. La sensibilit
qui en position 0 dB donne 2000 lux
F8, passe
2 lux pour 30 dB
F4.
L'obturateur fonctionne du 1/50 au 1/2000 de seconde . Tous les r
glages
de cam
ra sont m
morisables sur carte PCMCIA. Le son PCM offre deux
pistes. Parmi les points fortement appr
s par les JRI: la consommation,
qui ne d
passe pas 20 watts, autorisant ainsi une autonomie de 1 heure 30
avec la batterie fournie en standard, et 5 heures avec le mod
le dionic
100. La cam
ra comporte aussi des entr
es/sorties vid
o num
rique.
@ENDNODE
@NODE fEcoutezvoir " ECOUTEZ VOIR (02-87)"
@TOC fVideoinsti
@{fg shine}E C O U T E Z V O I R
Plateau de tournage@{fg text}
De nouvelles prestations pour la soci
EV, puisque ces nouvelles
installations lui permettent de proposer un plateau tournage de plein pied
Clichy (240m2, puissance
lectrique de 80 Kw,
clairage 50 Kw, jeu d'orge
24 canaux, nacelle
vatrice), ainsi que toute sorte de commodit
@{fg shine}Pour de plus amples informations, contactez:
cutive les images du concours de cerfs-volants film
par votre voisin de palier avec son plan-s
quence interminable, son
scope en vrille au sens propre comme au sens figur
et un bon mal de
coeur vous envahissant...
Pour rem
dier une fois pour toutes
ce ch
timent, deux solutions: si
vous
tes vraiment
la limite de l'implosion, dites-lui de se mettre
l'aquarelle ou bien pr
tez-lui Amiga News pour la lecture de cet article
dont cette premi
re partie n'aura comme seul but que de mettre en avant
quelques-unes des principales techniques du cadrage et de la r
alisation
travers cette exp
rience originale. Moteur!
@{fg shine}Q u i n e t e n t e r i e n . . .@{fg text}
Alberto Dubini, ing
nieur Italien passionn
de deltaplane et de sable
fin s'est concoct
un engin hybride compos
d'un Zodiac surmont
d'une aile
de deltaplane standard. Voler et se sentir libre comme un oiseau, c'est
bien, mais rapporter des images pour soi-m
me et les amis lorsque l'on est
seul dans les airs, c'est une autre paire de manche.
Apr
s avoir d
couvert "l'artiste", deux solutions se pr
sentaient
moi:
sachant qu'on ne croise pas ce genre d'engin tous les jours, la facilit
de filmer depuis la plage le d
collage, deux trois tours dans les
airs puis l'amerrissage. R
sultat des courses (n'oubliez jamais que vous
filmez pour votre plaisir mais
galement pour celui des futurs
spectateurs) j'aurais fait visionner le sujet une fois ou deux, puis
s vite la cassette aurait pris la poussi
re sur une
re...
L'autre solution choisie aura
de forcer un peu le destin et d'aller
demander au pilote l'autorisation d'effectuer un petit reportage sur lui et
sa dr
le de machine, ce qu'il accepta de bonne gr
Alberto
tait
galement f
ru de vid
o. Il avait d
bidouill
me permettant d'installer un cam
scope de poing l
ger avec compl
ment
optique type "grand angle" judicieusement plac
dans le dos du navigateur
pour les prises de vues a
riennes, ainsi qu'un m
me syst
d'asservissement pour les prises lat
rales en bout d'aile. L
encore, le
grand angle permet d'embrasser la totalit
du Zodiac volant. Le seul d
faut
ne fut pas le syst
me lui-m
me mais l'absence d'un stabilisateur optique
qui aurait adouci certaines des vibrations caus
es par la turbine...
Restaient les prises de vues au sol afin de relayer et cha
ner les
rentes vues dans les airs, sur terre ou en bateau, ce fut ma V5000 qui
fut mise
pied d'oeuvre.
@{fg shine}E t l e s t o r y b o a r d d a n s t o u t c a ?@{fg text}
La veille du tournage, les doigts de pieds en
ventail, nous avons
en revue le stylo
la main les differents plans susceptibles d'
utilis
s et leur fa
on d'
tre "raccords". Nous nous sommes mis d'accord sur
roulement du tournage de style classique,
savoir commencer par
filmer les diff
rentes
tapes de la confection du montage de l'aile sur le
bateau mis en image par une s
rie de plans d'ensemble, de plans de coupe,
ceux-ci
tant bien
videmment affin
s et
s lors du montage
veloppement le mois prochain). Puis, le d
part depuis la plage, un tour
dans les airs suivi d'une interview et une balade au dessus du golfe.
@{fg shine}S u r l e t e r r a i n@{fg text}
Arm
de ma fid
le V5000, trois cassettes Hi 8 de 60 minutes et trois
batteries np77, la prise de vue d
marre
9h30, l
l'eau est encore d'un
calme plat. Comme
l'accoutum
e, j'ai oblit
le t
moin d'enregistrement
externe d'un adh
sif noir, de fa
ce que mon interlocuteur reste
naturel et ne sache jamais si je suis r
ellement en "rec"ou pas. Une autre
astuce
utiliser sans retenue, c'est de laisser tourner votre cam
scope
la fin d'une prise... C'est souvent dans ces moments pr
cis que la personne
en face de vous, tr
s souvent se "lib
re" et redevient vraiment elle-m
Alberto fait le plein d'essence, et se fait aider afin d'arrimer les
ements de la voile au bateau.
Ayant une id
cise de la musique sur laquelle je vais "coucher" mes
images, je choisis de filmer les diff
rentes
tapes en prenant bien soin de
faire un maximum de plans de coupe, (c'est primordial)
savoir, par
exemple, apr
s un plan moyen du navigateur tendant un mousqueton pour
relier les c
bles au bateau, zoom avant violent manuel sur le mousqueton en
question afin d'avoir un autre angle de cette m
me action, mais serr
sur
le l'anneau de m
tal manipul
. Au montage, deux possibilit
s s'offrent
vous: soit vous voulez accentuer l'action "live" et vous gardez
l'image
ce zoom "coup de poing"(que vous ne pourrez r
aliser qu' au moyen d'une
bague de zoom d
brayable), soit vous nettoyez ce plan. En ce qui me
concerne, j'ai pr
garder la totalit
de ces quelques menues secondes,
en poussant le vice de synchroniser et le d
part et l'arriv
e du zooming
manuel avec un double coup de batterie dans le morceau musical des "Tears
for Fears" que j'avais choisis.
Le hasard peut parfois bien faire les choses, car si la synchronisation
pouvait se faire sur les points d'entr
e du lecteur et de l'enregistreur,
elle est toujours plus hasardeuse sur le mouvement en recul du zoom
pourtant synchrone avec le deuxi
me coup rythmique en point de sortie. Si
ces quelques mots vous paraissent un tantinet ardus, pas de panique, nous
nous pencherons sur tout ce qui est montage, d
rushage, assemblage et
insertion la prochaine fois.
@{fg shine}T o b e " r a c c o r d " o r n o t t o b e !@{fg text}
Point capital, je n'oublie pas de VARIER mes angles avec des plong
des contre-plong
es, mais attention, servez-vous en en toute connaissance
de cause. La plong
e, comme son nom l'indique, donne le sentiment d'
craser
le personnage, alors qu'au contraire, la contre-plong
e lui donnera
toujours une impression d'importance.
Premi
re des choses
faire, filmer l'envol
e de l'engin, ses
placements et courbes dans les airs et son retour sur le sable fin. Puis,
je prends place dans le petit si
ge baquet rehauss
derri
re Alberto,
casque sur les oreilles
cause du bruit assourdissant que g
re le
moteur. Alberto tire doucement la barre vers lui et l'envol
e s'effectue
sans probl
me apr
s quelques cahots. Le premier r
xe me fait prendre la
mer turquoise et le paysage en oubliant que j'aurai besoin des in
vitables
plans de coupe sans lesquels j'aurai s
rement les pires difficult
raccord. Je prends bien soin de filmer sous tous les angles le principe de
fonctionnement de l'engin, filme en gros plan une main qui tient fermement
la barre, la boussole qui nous indique le cap, ou bien les ombres et
res du soleil jouant avec la voilure. Le retour sur la plage
s'effectue apr
s une vingtaine de minutes. Je prends bien soin
d'enregistrer les proc
dures de l'amerrissage, ce qui sera fort important
pour la suite...
@{fg shine}F a
o n d ' o r c h e s t r e r v o s i d
e s . . .@{fg text}
A cet instant pr
cis, j'ai donc des plans de l'assemblage du zodiac et
de sa voile, le d
collage, le retour et des plans dans les airs, de quoi
faire d
quelque chose de correct. Pourtant, il manque encore quelque
chose de bien utile: ayant film
dans les airs mais
des altitudes
rentes le golfe, la mer, sans oublier quelques bateaux (important),
nous repartons
deux dans une autre embarcation, Alberto
quelques
blures avec sa dr
le de machine. En plein milieu du golfe, je profite
du fait que l'eau ne bouge quasiment pas pour effectuer un travelling, les
deux embarcations
voluant
vitesse
gale, mon cam
scope bien cal
sur
paule et j'accentue l'impression de coller
l'action en zoomant
rement vers lui.
Puis, apr
s un code convenu, Alberto d
colle et effectue de nouveau
plusieurs boucles, en passant de temps en temps au dessus ou tr
s de
nous. . .
Pour quelle raison avoir film
souvent les m
mes sc
nes au large?
Au montage, l'action d'une part ne sera pas fig
e depuis la plage, mais
au contraire donnera l'impression de coller
l'action, o
qu'elle se
situe, d'autre part, filmer des bateaux depuis les airs en les prenant en
chasse, en les survolant d'assez pr
s et en les d
passant n'
tait pas
innocent...
En avez-vous devin
la raison?
J'ai quelques plans similaires DEPUIS mon bateau qu'Alberto a survol
. Monter ces plans aux axes diff
rents en une seule et m
quence
en parrall
le avec successivement des plans depuis les airs, puis de notre
bateau avec le zodiac volant qui arrive sur nous, encha
cut avec un
autre plan de l'embarcation que j'avais film
e au pr
alable et ainsi de
suite: au montage, nous avons comme r
sultat la sensation d'avoir une seule
quence mont
e en parrall
le faite
deux cam
ras, une embarqu
e (ce qui
est le cas de le dire) depuis notre coquille de noix au ras des flots,
l'autre dans les airs, ou pour changer les axes, "en virtuel" depuis
d'autres embarcations film
es au gr
de la balade. Bref, si vous n'avez pas
la chance ou les moyens (comme moi) de posseder deux cam
scopes, il ne
vous reste plus qu'
faire preuve de d
brouillardise !
@{fg shine}I n t e r v i e w . . . O n e n c h a
n e !@{fg text}
Celle-ci sera faite loin du bord afin d'
viter la cohue des
vacanciers... A ce sujet, n'oubliez pas d'avoir en g
ral avec vous une
bonnette sur votre micro, surtout si c'est une prise directe, car vous
risquez sans une prise casque pour
coute et v
rification de ce qui
s'enregistre d'avoir la majeure partie des paroles noy
es par le vent et en
fin de compte une s
quence importante inutilisable... Une autre astuce,
chez d'influencer les questions, d'amener les r
ponses afin que celles-ci
collent avec les images que vous avez d
tourn
es et qui seront plac
en insertion (d
velopp
le mois prochain), ce principe
tant par nature
s souvent utilis
Enfin nous filmerons son d
collage avec (en post-production) fuite
progressive du son en direct mix
d'un morceau musical tr
s lent pour
casser volontairement le rythme, en accord avec cette fois-ci les
rents plans (film
s pendant le vol) des paysages merveilleux de la
Corse.
Comme il se doit, m
me combat pour le retour d
finitif et
l'amerrissage, il faudra se servir en parrall
le des plans film
s depuis la
plage du zodiac
la limite de l'amerrissage encha
"cut" par le plan
directement depuis la machine volante touchant l'eau.
@{fg shine}E N C O N C L U S I O N@{fg text}
J'ai l
chement profit
du froid de l'hiver pour vous donner un peu de
baume au coeur en vous pr
sentant ce reportage r
dernier avec
mise
cart du "cours" th
orique au profit de la pratique, afin de
montrer que l'on peut arriver
faire pas mal de choses avec un cam
scope
et un peu d'imagination. Pour les mauvaises langues qui trouveront ce
reportage impossible
mettre en pratique, sachez que ce n'est pas
l'originalit
en elle m
me du sujet film
qui compte, mais simplement les
rentes fa
ons d'en tirer les meilleurs plans et les meilleures images,
ce que vous serez capables de faire, je n'en doute pas, m
me s'il ne passe
pas tous les jours un fou volant au dessus de vos t
Nous avons maintenant notre banque d'images, nous verrons le mois prochain
comment les utiliser.
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@{"Accrochage au bateau" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Accbateau.8bt"}
@{"Solution pour voler cool" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Cool.8bt"}
@{"Coup d'oeil sur l'armature" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Armature.8bt"}
@{"Plan de coupe" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Pcoupe.8bt"}
@{"Les dernieres verifications" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Derverif.8bt"}
@{"Anticiper le mouvement" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Anticip.8bt"}
@{"Cadrage dans l'action" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Cadraction.8bt"}
@{"Plan contre-plong
e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Contrep.8bt"}
@{"Plan moyen pour interview" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Moyen.8bt"}
@{"La s
quence
vasion" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Evasion.8bt"}
@{"Le Pied" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Lepied.8bt"}
@ENDNODE
@NODE fGsirius " Genlock Sirius (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}G e n l o c k S i r i u s I I
Incrustations propres, le son bien pens
...@{fg text}
Comme son compagnon et indispensable TBC, il est r
par
Electronic Design. Il n'y a vraiment rien
redire sur la qualit
produit et sur la documentation qui l'accompagne. Elle est en Fran
ais,
s claire, et ne passant rien sous silence.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
@{"Le bo
tier" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Genlock.8bt"} par lui-m
me pr
sente les diff
rentes zones ou sections de
travail avec beaucoup de logique et toutes affect
es de touches pseudo-
sensitives tr
s agr
ables
utiliser. Toutes les connections sont sur la
face arri
re, ce qui d
gage bien le plan de travail. L'installation du
logiciel est
vidente, et une disquette Scala accompagne le tout. Pour se
faire la main, des excercices sont propos
s dans la documentation. Les
adeptes du langage ARexx seront combl
s: il ex
cute leurs scripts. Le
raccordement
l'Amiga est sans probl
mes, les c
bles sont fournis (c'est
le moins qu'on puisse attendre!), par contre, si le fonctionnement sur un
A4000 est possible sans alimentation externe, il n'en est pas de m
me sur
les autres mod
les. Certes, on trouve partout ce genre d'alim, mais on
aurait bien aimer la trouver dans la boite...
ce prix l
c'eut
plus
que normal...
gant m
me. Bref! Heureusement le SIRIUS II propose en fait
bien plus qu'une capacit
Genlock. En effet, il prend en compte la gestion
du Son, l'Alpha Chanel (transparence Vid
o) et le contr
le BlueBox
(incrustation d'une image dans une couleur "d
Ce bo
tier est plein de ressources !
@{fg shine}L e b u t@{fg text}
Un genlock, comme chacun sait, est avant tout un m
langeur. Pour ce qui
nous concerne, c'est un m
langeur qui permet de mixer Image Informatique et
Image Video. Basiquement, c'est la possibilit
de r
aliser un g
rique sur
des images qui d
filent. On imagine facilement que pour synchroniser deux
signaux, il est indispensable qu'ils aient la m
me Base de Temps. En
d'autres termes, il faut et il suffit qu'ils balayent l'
cran de mani
identique.
Pour ce faire, le signal de r
rence sera pris dans le signal Video,
qui en comporte toujours un. C'est l'Amiga qui se synchronise sur la vid
C'est ce qui explique qu'il faut
teindre la machine avant de brancher la
source vid
o, car c'est au d
marrage qu'il prendra en compte le signal de
synchronisation Vid
Le Genlock Sirius II r
alise cette op
ration sans qu'il y ait grand
chose
lui reprocher. Des comparaisons avec une carte Genlock Impact
Vision IV24 ont
faites et il s'en sort tr
s bien. On peut regretter
cependant qu'il n'offre pas une sortie "FlickerFixer", comme l'IV24,
sachant que dans les circuits d'un genlock, le travail est
moiti
fait
pour en arriver l
@{fg shine}D e s c r i p t i o n@{fg text}
Mode STAND-BY.
Le Genlock Sirius II a deux modes de fonctionnement:
Local ou Remote
En mode Local: toutes les interventions se font sur le bo
tier
l'aide
des touches et/ ou des curseurs.
En mode Remote: l'appareil est command
par le logiciel, double-clicker
sur l'ic
ne Sirius-Hotkey et l'
cran de contr
le appara
t. Dans un premier
temps, restons en mode Local. En l'absence de signal Video, le Genlock
reste en mode Stand-by: il est transparent par rapport
l'Amiga et peut
ainsi rester toujours branch
Mode GENLOCK.
Brancher une source Vid
o, si possibleYC, c'est toujours meilleur et
marrer l'Amiga. Les voyants Local et Power s'allument, appuyer sur la
touche RVB, l'image Vid
o doit
tre pr
sente DERRIERE l'image Amiga:
l'image Informatique est incrust
e dans l'image Vid
o. Ca marche !
Maintenant, ouvrez DPaint (ou Scala). Dpaint ouvre un fond d'
cran
couleur 0: c'est le noir, en l'absence des trois composantes RVB. Par
faut, cette couleur est la couleur transparente. C'est ainsi que vous
verrez la vid
o sur votre
cran DPaint o
vous pourrez bien s
r dessiner,
taper un texte ou jouer une animation.
Voil
! un Genlock c'est
Dessiner un rectangle au centre de l'
cran: la vid
o est derri
re (photo
Gen.1). Actionner la touche INVERT sur le bo
tier ou activer l'option KEY
INVERT dans l'
cran Main Control si vous
tes en Remote. L'image vid
appara
t dans le rectangle: c'est une incrustation inverse (photo Gen.2).
Une remarque ici,
propos des couleurs. Chacune des composantes RVB
peut varier de 0
255. Pour obtenir des incrustations de qualit
, surtout
si vous utilisez le rouge ou tout autre couleur conteneant beaucoup de
rouge, ne d
passez jamais la valeur de 190, car vous risqueriez d'obtenir
une d
coupe du signal qui risque de "baver"... sur les bords!
@{fg shine}A l p h a - C h a n n e l@{fg text}
Cette appellation que l'on rencontre souvent dans le jargon de la
o, a trait
la transparence plus ou moins prononc
e d'une couleur. Le
Sirius II g
re tr
s bien ce param
tre, en mode REMOTE, en ajustant avec
cision la quantit
de BLEU au moyen du curseur de la section VIDEO. Pour
tenter de mat
rialiser le ph
ne de transparence, on a appliqu
sous
DPaint un d
des 16 premi
res couleurs de la palette par d
faut,
devant une image vid
o en mode GENLOCK. La photo Gen.3 montre bien que
certaines couleurs sont parfaitement transparentes. La photo Gen.4 a
obtenue en activant KEY INVERT. Ainsi, en inversant l'incrustation, on
constate que c'est bien le BLEU ou les couleurs contenant beaucoup de bleu
taient les couleurs transparentes. Une autre utilisation possible de
l'Alpha-channel est de permettre d'appliquer
l'ensemble d'une image un
"filtre" color
, qui lui donnera un aspect S
pia, Brun ou Or par exemple.
@{fg shine}B l u e - B o x@{fg text}
Cette ch
re Boite Bleue qui nous permet de voir la carte de Fran
e dans
le Bulletin M
o de la t
! Le (la) pr
sentateur (trice) est film
(e)
devant une toile bleue. Les Pros appellent cette couleur le BLEU-VIDEO.
C'est dans cette couleur que l'on incruste l'image m
o. Le Sirius II
offre cette possibilit
, en REMOTE et option Blue-Box, mais ce n'est pas
toujours
vident. Conscient de cette d
licate op
ration, le constructeur
nous permet de d
finir une marge d'impr
cision par action sur les deux
curseurs de param
trage Delta. Il faut syst
matiquement les positionner
50% parce qu'il est tr
licat de d
finir un Bleu pur, contenant peu de
composantes Blanc ou Noir. La fen
tre Color peut
tre promen
e sur l'image
et positionn
l'endroit de la couleur d'incrustation. Ensuite,
l'aide
des curseurs RGB et HSV Model, on affine la transparence. Si vous avez
un sujet devant un "bleu-video", vous n'aurez aucun probl
me. Les
glages qu'offre le logiciel sont pr
cis. Aussi le meilleur conseil que
l'on puisse donner est de se procurer 1 ou 2 m2 de cette toile (on en
trouve chez les distributeurs de "matos-Pro"), ne serait-ce que pour se
faire la main. On vous dit volontiers qu'elle n'importe qu'elle couleur
peut
tre choisie, il suffit de la calibrer avec les curseurs, c'est vrai,
mais l
je vous souhaite bien du plaisir avant d'y arriver!
Ce n'est pas pour rien que cette Box est appel
e Blue! Alors, filmez
avec ce bleu l
De plus la bo
te-bleue est un vrai jouet! Vous obtiendrez des effets
surprenants du genre solarisation, d
tourage... qui peuvent
tre d'un r
t pour travailler une image!
@{fg shine}L e s o n@{fg text}
Tout ou presque est permis. C'est classique mais bien pens
et donc
s efficace. A noter une particularit
majeure qu'est la fonction FOllOW
MODE. Soit en mode LOCAL soit en mode REMOTE, le Sirius II permet
d'accrocher le son
la vid
o. Le r
sultat est qu'il suit automatiquement
les ouvertures ou les fermetures de la video sans probl
me! La proc
dure
est tr
s simple
mettre en oeuvre .
C'est bien, pas compliqu
(BlueBox!), les incrustations sont propres et le
son n'est pas laiss
pour compte. C'est plus qu'un bon point. Des manques?
Oui, l'absence d'alimentation, pas de flickerfixer, et le prix (autour de
8000F). C'est du bon mat
riel d'accord, mais la majeure partie des
composants sont des Int
s vendus par milliers. Enfin, ce genlock vaut
quand m
me qu'on y songe dans un environnement Video-Amiga.
@{fg shine}Pierre Tiberi@{fg text}
@{"Ecran de contr
le" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gencontro.8c"}
@{"R
glages audio " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Audio.8c"}
@{"R
glages vid
o " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Regvideo.8c"}
@{"BlueBox " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Bluebox.8c"}
@{"Connectique " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Sirius.16c"}
@{"Exemples d'incrustations 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gen1.256"}
@{" 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gen2.256"}
@{" 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gen3.256"}
@{" 4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gen4.256"}
@{" 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Gen5.256"}
@ENDNODE
@NODE fVideoToaster " Video Toaster Flyer (02-87)"
@TOC MAIN
@{fg shine}V i d e o T o a s t e r F l y e r
Le montage virtuel non-lin
aire Drag&Drop@{fg text}
Lors de notre passage chez Rave Video et NewTek, nous avons pu go
aux joies du montage virtuel non-lin
aire sur Amiga avec le Video Toaster
Flyer.
@{fg shine}C
H a r d w a r e@{fg text}
@{"Le Flyer" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Flyer.256"} est une carte additionnelle qui travaille conjointement avec
le @{"Video Toaster" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/VtLogo.256"}. Ce dernier est une @{"table de mixage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicFEVRIER/Table.16c"} video A/B Roll entre
quatre sources vid
o, deux sources num
riques (DV1 DV2) et un fond. Cette
carte travaille en NTSC avec ses quatre entr
es composites. Le Flyer a deux
es et deux sorties analogiques audio (gauche et droite). Un DSP
(ADSP2115) assure le mixage audio jusqu'
8 voies en 16bits, avec une
qualit
CD (44.1KHz). trois ports SCSI II sont pr
sents et sont affect
s de
la mani
re suivante: deux pour la vid
o, un pour l'audio. Le Flyer a
galement un port s
rie pour du support de timecode SMPTE. En interne, le
Flyer travaille en qualit
60 trames par seconde, en full overscan
NTSC (752x480).
Le Flyer n'utilise ni la m
thode JPEG, ni la m
thode MPEG pour sa
compression d'images sur disque, mais la m
thode VTASC (Video Toaster
Adaptive Statiscal Coding) bas
e sur la r
duction de qualit
du signal
o. "La d
gradation r
sultante appara
t plus comme du bruit associ
o, il n'y a pas de pixelisation visible."
@{fg shine}S p
c i f i c a t i o n s t e c h n i q u e s d u F l y e r@{fg text}
@{fg shine}Video@{fg text}: (ATTENTION c'est du NTSC !!!)
@{"Amalone" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMARS/Amalone.16c"}, le
portage sur Amiga du jeu de plateau Abalon. Pour ceux qui ne connaissent
pas les r
gles (coucou C
dric), ce jeu de strat
gie se joue sur un plateau
hexagonal, chacun des deux joueurs dispose de quatorze boules (noires
contre blanches). Le but du jeu est d'
jecter six des boules de
l'adversaire hors du plateau gr
d'habiles manoeuvres (comme au Sumo
!). Chaque joueur peut
son tour d
placer 1, 2 ou 3 de ses boules sur une
case voisine. Les boules d
es doivent
tre voisines et align
es et le
mouvement peut s'effectuer dans l'une des six directions. Ce mouvement peut
entra
ner le d
calage de boules adverses adjacentes si le nombre de boules
qui poussent est sup
rieur au nombre de boules pouss
es. C'est ainsi que
l'on
jecte l'ennemi.
Amalone permet de jouer
deux ou contre l'ordinateur (9 niveaux). Les
parties peuvent
tre sauv
es, rejou
es pas
pas, et un mode sp
cial permet
de disposer les billes o
l'on veut pour tester une configuration de jeu.
Sa r
alisation est de bonne facture et une aide en ligne est
disponible.
@{fg shine}+@{fg text} L'int
t intrins
que du jeu.
@{fg shine}-@{fg text} D
placement des billes
la souris d
licat
Auteur : @{fg shine}Tys Veugen@{fg text}
Shareware : @{fg shine}5$ ou 10DM@{fg text}
Configuration requise: @{fg shine}NC@{fg text}
@{fg shine}C o m m e n t s e p r o c u r e r c e s D P ?@{fg text}
Vous avez un acc
s Internet, composez le
@{fg shine}ftp.cnam.fr, ftp.grolier.fr@{fg text} en France pour un acc
s rapide
Aminet.
Si vous pr
rez l'exotisme essayez
@{fg shine}ftp.doc.ic.ac.uk ou bien ftp.wustl.edu@{fg text}
Si les factures t
phoniques sont trop fortes les compil's CDRom
Aminet Set et Aminet sont r
rement mises
jour, guettez les
publicit
s. D'autre part, s'il existe un club pr
s de chez vous, n'h
sitez
pas quelque soit votre niveau
aller y chercher ces logiciels et surtout
les conseils et les astuces des chevronn
@{fg shine}Stephane NICOLE@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mDemos " DEMOS (03-88)"
@TOC MAIN
@{fg shine}@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMARS/Climber.24b"} E M O @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMARS/Burnange.24b"}
par Emmanuel Arnaud@{fg text}
L'actualit
plut
t calme. Profitons-en pour revenir sur la Party
5 et de parler CD Rom et audio... Merci
ceux qui nous envoient leur
production et leur courrier.
Continuez!
@{fg shine}C Y B E R L O G I K l a d
m o@{fg text}
A L C A T R A Z & T R S I
Quand deux groupes l
gendaires s'unissent pour faire une d
mo, cela
ve de la fiction. Cyberlogik est en fait une d
mo publicitaire pour le
nouveau CD de TRSI recordz. R
la Party 5, cette d
mo est un
ritable clip, les effets sont le plus souvent des animations ou
psych
liques comme des tunnels plasma, des logos enflamm
s, des
shadebobs, des rotatingzoomers... Le code est donc plut
t moyen, le travail
port
sur le design cogit
par de nombreux artistes tels Viola Bros,
2Sign, Lazur ou encore BridgeClaw. Les musiques sont tr
s classes, la
premi
re figure d'ailleurs sur le CD Cyberlogik, elle est sign
e Archangel.
La seconde plus soft est de NightShade et agr
mente le scrolling starwars
de la fin... Une d
mo assez sympa
l'image du CD.
@{fg shine}F A K T O R Y@{fg text}
V I R T U A L D R E A M S
Depuis la cr
ation du groupe (1992), chaque ann
e, Virtual Dreams a su
se hisser dans les cinq premi
res places de la Party. Faktory est
apparemment l'oeuvre d'Alien pour la programmation, les graphismes et la
musique. M
me si elle a un go
t d'inachev
, cette d
mo a termin
me. Le
style fait tr
s moderne. Les effets sont agr
ables: des remous sur une
surface liquide, des tourbillons de plasma, un vaisseau en 3D, une boule
tant sur un plasma, un moniteur en 3D avec des animations sur l'
cran.
Une d
mo cybern
tique dirons-nous avec les r
flexions de son auteur: "Les
machines contr
lent le monde..."
@{fg shine}B E N O I T@{fg text}
R A M S E S P R O D U C T I O N
La version finale de cette d
e pour la GASP (Ao
t 95) nous
est enfin parvenue. C'est un hommage
Beno
t Mandelbrot (
ne pas
confondre avec les autres Beno
M...... !) et la d
couverte de ses
formes de fractales. La d
mo se r
sume
un zoom presque infini (mais qui
fait quand m
me 18Mo) sur des Mandelbrots avec des changements de palette
et surtout une musique tr
s speed de Sergio. Les calculs ont
par Dfa, la programmation par Ddg..
@{fg shine}E n m a r g e d e l a s c
n e@{fg text}
@{fg shine}T R S I@{fg text}
L'un des groupes les plus l
gendaires en mati
re de d
mos. Les
inconditionnels se souviendront sans doute de la Red Sector Megademo qui
avait fait un tabac avec ses magnifiques objets en bobs. En dix ans, les
membres de TRSI ont bien vieilli et certains entrent dans la vie active.
Mais ils n'en oublient pas moins la notion de groupe, puisqu'ils ont cr
le label musical TRSI Recordz. Ils permettent
bon nombre de talentueux
musiciens issus de la sc
mos de r
aliser leur r
ve. Leurs deux
derni
res r
alisations sont
tonnantes et promettent un grand succ
s du
label TRSI Recordz.
@{fg shine}C Y B E R L O G I K 2 . 0@{fg text}
T H E N E X T S T E P
Treize tracks issus du monde Amiga remix
s par deux excellents DJs!
C'est en quelque sorte une compil de modules trance voire tr
s speed
remast
s. Puisqu'une dizaine de musiciens ont particip
tels que Groo,
HeatBeat (avec Sainahi Circles, la musique de la d
mo Full Moon), Archangel
(voir Cyberlogik la d
mo...), Skorpik (un polonais...), Chromag et bien
d'autres. D'excellents morceaux que l'on pourrait sans rougir diffuser dans
les toutes les discoth
ques in. La derni
re phrase de la pochette du CD
veut tout dire: "Pure Pleasure... a demonstration of Amiga Technologies
arts."
@{fg shine}C N C D@{fg text}
T h e A L B U M
CNCD c'est bien s
r les auteurs de Closer (d
mo test
e le mois
dernier). Ce groupe a dans ses rangs les meilleurs musiciens de la sc
ne et
voici leur album audio! Un v
ritable chef d'oeuvre musical de trance et
dance. Dix titres que l'on ne se lasse pas d'
couter ont
compos
s par
la bande HeatBeat, Groo, Dizzy and co! Ici, les morceaux sont tr
travaill
@{fg shine}Pour vous procurer ces CDs ou contacter TRSI,
crivez
: TRSI Recordz
Po Box 47 - A.8607 Kapfenberg - Austria...@{fg text}
@{fg shine}L e C D P A R T Y e s t a r r i v
@{fg text}
* A l'heure o
les graveurs de CDs sont bon march
, les organisateurs de
la Party 5 ont eu la bonne id
e de proposer un CD r
unissant toutes les
contributions de la Party 5 bien s
r mais aussi des ann
es 92, 93 et 94...
Plus de 600Mg de d
mos, modules, images pour Amiga et PC. Ce CD, fait
maison, n'est pas vraiment bien pr
: aucune ic
ne, peu d'informations
(seuls quelques fichiers textes...). L'int
side dans son contenu tr
riche.
* C
modules, tout y est, bien s
r les musiques s
lectionn
es par le
jury mais aussi celles non
lues (on retrouve ainsi quelques in
dits de
Strobo, HeatBeat et autres c
s notamment de la Party 3). Pour les
graphismes, on se rend compte de l'
volution de la qualit
des graphistes
aujourd'hui mais en 1992
la Party 2, ce n'est pas mal quand m
me... Les
intros sont elles aussi de plus en plus technique, mais c'est agr
able de
revoir la Tetris intro de Melon, gagnante en 1992.
* Et puis le meilleur pour la fin: les d
mos, chaque ann
e meilleures...
ve, un CD r
unissant State Of The Art, Origin, Nexus 7, Closer, sans
oublier Motion, No!, Vision, Arte, 3D Demo 2, Psychedelic... En bonus, vous
avez droit
une pelle d'images digitalis
es de la @{"Party 4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMARS/Party94.256"}. Les
contributions PC sont elles aussi disponibles sur ce CD (mais sans
commentaires...).
@{fg shine}Pour tout renseignement sur le CD PARTY: E-Mail theparty@cybernet.dk@{fg text}
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
* Quelques
chos de la Synaps Party qui se tenait en Normandie les 12, 13
& 14 janvier: une quarantaine de personnes s'
tait d
e. Au menu, une
tition Bomberman, Gloom en r
seau, graphismes en 15mn et un concours
ral pour toutes les productions confondues... Devant l'enthousiasme des
participants (notamment Saturne et Drifters), le groupe Syndrome,
organisateur de l'
nement, envisage une deuxi
dition de la Synaps
pour l'an prochain...
* La Saturne Party'96 aura lieu
Chelles 77 (comme les deux pr
dentes)
du 26 au 28 Avril. Contacter St
phane au 60.04.05.52.
@ENDNODE
@REM AVRIL ---------------------------
@NODE aNewsInt " News Internationales (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S I N T E R N A T I O N A L E S@{fg text}
@{" Amiga Walker (04-89)" LINK aAwalker}
@{" CEBIT 96 (04-89)" LINK aCebit96}
@{" Dave Haynie consultant aupr
s d'Amiga Technologies (04-89)" LINK aDhaynie}
@ENDNODE
@NODE aAwalker " Amiga Walker (04-89)"
@TOC aNewsInt
@{fg shine}A m i g a W a l k e r
Nouveau design
Nouveau bus
Amiga Technologies cr
e la surprise@{fg text}
Le premier Amiga con
u par Amiga Technologies, d
au CeBit en
Allemagne le 14 mars, a su surprendre; d'abord par son design, mais aussi
par son contenu. Le "Walker" (un mot anglais signifiant marcheur ou
promeneur), comporte plusieurs caract
ristiques qui manquaient
son
cesseur, l'Amiga 1200.
- un bus extensible compatible Zorro II, Zorro III et... PCI!
- un port MIDI
- un lecteur de CD-ROM
- un port s
rie rapide
- un port parall
le am
- une carrosserie modulable, @{"qui monte, qui monte..." SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walkela.8bt"}
@{"_ L _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walker.8bt"} @{"_ E _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walkerenv.8bt"} @{"_ W _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walkerarr.8bt"} @{"_ A _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walkercote.8bt"} @{"_ L _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Winter1.8bt"} @{"_ K _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Winter2.8bt"} @{"_ E _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Winter3.8bt"} @{"_ R _" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Winter4.8bt"}
@{fg shine}Voici le reportage de Jacques Pourtant:@{fg text}
@{fg shine}U n o e u f d e P
q u e s@{fg text}
Majestueux, le stand ESCOM de rouge et de gris s'
talait
lui tout
seul entre deux trav
es. Au milieu, un escalier digne du Lido conduisait
aux bureaux commerciaux, pr
s d'un balcon panoramique. Devant
l'escalier, le comptoir d'accueil; derri
re, le bar et la salle de
rencontres;
droite, les produits Commodore et Escom;
gauche, Amiga et
une piste d'"entertainment" o
des jeux
lots se d
roulaient. Partout des
tesses, des d
monstrateurs, des stewards-grooms, enfin des troupes
nombreuses aux couleurs d'Escom pour s'occuper des visiteurs. Dans l'espace
Amiga, de nombreuses applications, musicales, virtuello-r
alistes,
logicielles, etc... sur les nouveaux moniteurs.
Enfin, derri
re, dans l'ombre, deux exemplaires du nouveau mod
le (le
troisi
tait sur le stand Motorola). Oeuf de P
ques, carrosserie
rodynamique d'avant-guerre, robot-marie, le nouveau design est
concertant et ainsi sans couleurs un peu triste. C'est une question
d'habitude. L'innovation choque toujours. D'ici la commercialisation, son
allure a le temps de se peaufiner et nous le temps de nous accoutumer.
Savoir si cet habillage r
ussira
donner une id
e plus professionnelle et
moins console de jeu
l'Amiga?
Le "Walker", puisqu'il se nomme ainsi provisoirement (parce qu'il
marche!) (il aura vraisemblablement un autre nom, mais un nom propre, pas
de num
ro de s
rie comme 1400 ou autre), est une transition entre le 1200
et le futur PowerPC. La carte m
re de format DIN A4 est
e d'un
68EC030 cadenc
40 MHz. La configuration de base est de 2 Mo de Chip et 4
Mo de Fast extensibles
128 Mo gr
deux socles PS/2 SIMM pour
barrettes standard 72 broches
70 ns. Une horloge
batterie ind
pendante
est d
. Un socle pour FPU peut accueillir un coprocesseur math
matique
68881 ou 68882 asynchrone sans limitation de cadence (donc
connaissance 60 MHz, si on les trouve encore). Le contr
leur est IDE
standard. Il existe un port MIDI pour les applications musicales, un
nouveau port s
rie FIFO (first in, first out) dans les m
mes normes qu'un
PC (c'est-
-dire plus rapides que les anciens ports Amiga), un nouveau port
parall
le EPP compatible avec les imprimantes Hewlett-Packard.
@{fg shine}U n b u s e x t e n s i b l e@{fg text}
Le bus 32 bits, qui provisoirement s'appelle "CPU Slot" est la grande
nouveaut
de la machine. Il d
bouche sur un emplacement unique compatible
Zorro-II, Zorro-III, PCI et CPUTurbo. Cela veut dire qu'un constructeur de
riques peut y brancher un peu n'importe quoi: soit une carte
compatible avec une de ces options, soit un fond de panier plus ou moins
grand sur lequel viendront s'enficher autant de cartes qu'on voudra,
puisqu'il suffira d'enlever le couvercle et de rajouter des
ments
vateurs en nombre ou en dimensions suffisants pour y loger ces
cartes, apr
s quoi on remet le couvercle. L'aspect ext
rieur y gagnera
d'ailleurs s
rement.
Voil
pour le s
r. Les options restent ouvertes quant au modem pr
le lecteur de CD-ROM quadro-speed, la souris standard, un nouveau clavier
aux normes PS2 IBM et le disque dur de base. Le lecteur de disquettes n'est
pas encore fix
. Il est pr
vu un lecteur HD, mais, parce qu'il est
souhaitable de conserver les sp
cificit
s Amiga et de b
ficier des
compatibilit
s MS-DOS, Mac OS, etc... et que r
unir les deux dans un m
lecteur s'av
re probl
matique, des solutions sont aujourd'hui envisag
pour int
grer deux lecteurs, commutables automatiquement ou manuellement.
Aucune d
cision n'a encore
prise. Ce qu'on sait, c'est qu'on souhaite
pouvoir y lire et
crire des disquettes de capacit
s 720 et 880 ko ainsi
que 1,44, 1,76 et m
me 2,88 Mo.
Un nouvel OS sera bien s
cessaire pour ce nouvel ami. Il
s'appellera 3.2 selon toute vraisemblance. Il sera utilisable dans les
Amiga 1200, 3000 et 4000 uniquement. De toute fa
on, le 3.1
tant
particuli
rement stable, les changements ne porteront que sur des bogues
mineures et sur les sp
cificit
s inh
rentes au "Walker".
Il sera n
cessaire de le porter
1 Mo, le 3.1 tenant tout juste dans
les 512 ko actuels. Cinq personnes travaillent actuellement sur le hard du
"Walker" et deux sur le soft.
Je tiens
remercier @{"Heinz WROBEL" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WROBEL.8bt"}, consultant pour Amiga Technologies,
pour toutes les explications d
taill
es qu'il m'a fournies une heure durant
et pour l'appr
hension qu'il a
oblig
de vaincre pour ouvrir les
entrailles encore fragiles de son nouveau-n
, juste pour que VOUS,
veinards. Voyez les photos en premi
re mondiale (m
me les magazines
allemands ne les montreront au plus t
t que fin avril). De toutes mani
res,
la commercialisation est fix
e sur le march
de No
@{fg shine}L e p r i x d u W a l k e r@{fg text}
* Le prix public pr
vu pour le mod
le de base est autour de 1500DM
(environ 5000F).
* Configurations possibles, par exemple: si les modules d'extension bus
comportent deux connecteurs par module, on peut mettre trois modules pour
un total de six connecteurs. Si il y a trois slots dans le module, on peut
mettre deux modules pour un total de six conecteurs. Si les modules
comportant un seul connecteur sont utilis
s, on ne peut mettre que trois
connecteurs. Le bus PCI est auto-config (plug'n'play, en langage PC).
* Il y a une interface PCMCIA sur la carte m
re, mais le slot du PCMCIA
n'est pas d
. Explication de Gilles Bourdin: "C'est un prototype,
va changer, il manque pleine de choses encore".
* La ROM est une ROM prototype de 1Mo de chez AT. Elle est
un stade
assez avanc
mais n'est pas encore d
finitive.
* La carte m
re du Walker a
fabriqu
e par Mazet GmbH en Allemagne,
une soci
de d
veloppement de hardware informatique.
Ceux qui sont press
s de voir ces prototypes, peuvent se rendre au
World of Amiga expo organis
par Amiga Technologies au Novotel
Hammersmith, Londres le 13 et 14 avril.
Dans un communiqu
de presse, AT pr
cise que le design du Walker sera
la base pour les futurs g
rations d'Amiga. Gr
une co-op
ration
rapproch
e avec Motorola et Phase 5, le port de l'AmigaOS vers processeur
PowerPC sera fini dans le temps pr
vu. Le premier Power Amiga sera
disponible au premier trimestre de l'ann
e prochaine comme pr
vu. Gilles
Bourdin nous informe que le Walker lui-m
me sera transformable en Power
Amiga.
Il n'y a pas d'employ
s ex-Amiga chez AT, mais des consultants tels
Dave Haynie et Andy Finkel (un autre technicien d'importance majeur dans
l'histoire de l'Amiga). Tous les deux devaient participer aux conf
rences
pour d
veloppeurs au CeBit le 18 et 19 mars.
@{fg shine}A U T R E S P R O D U I T S@{fg text}
StormC, l'ensemble de d
veloppement C et C++ avec son
diteur wysiwyg
"Storm Wizard" (pour programmer sans
crire une ligne) sont distribu
s par
AT. Amiga Magic, Amiga Surfer et Amiga 4000 T sont les produits de
croisi
re. Les moniteurs M1438S en 14 pouces, 1538S en 15 pouces et le
dernier 1764 en 17 pouces (il n'a pas de S car il n'est pas
ni d'ailleurs mono, il est muet) construits par MicroVitec
taient tous
sents sur le stand. Enfin, un absent qui ne devait arriver que le
lendemain
tait le Q-Drive, lecteur CD-ROM
connection PCMCIA.
@{fg shine}L ' A V E N I R@{fg text}
Une longue conversation avec Gilles Bourdin m'a rassur
e sur la
continuation de l'Amiga. En effet, certains ont pris peur devant les
sultats Escom qui accusaient un d
ficit de 125 millions de marks
la fin
de l'ann
e. Plusieurs causes
cet
tat de choses: bien s
r, le lancement
d'Amiga qui a entra
des frais nouveaux, les fluctuations du march
des
composants, la prodigalit
de Motorola pour les 68060 et bien d'autres
petits ruisseaux qui font les grandes rivi
res. Au niveau Escom, les
actionnaires et les banques se sont d
mettre 100 millions
disposition dont 60 seraient insuffl
s en
vation du capital. Au niveau
Amiga Technologies, Manfred Schmitt, pr
sident du conseil d'administration
d'Escom est toujours "emball
" par les projets Amiga et les soutient
fortement, attitude d'autant plus courageuse que les rentr
es ne sont pas
vraiment consistantes pour le moment.
Au niveau des machines, le projet "PowerPC" continue en parall
le et en
me temps en continuation du projet "Walker". Gilles m'a r
plusieurs reprises combien importante est la collaboration entre Motorola,
phase 5 et Amiga Technologies. Motorola investit fortement en comp
tence,
en moyens et en logistique. Environ une vingtaine de personnes directement
et une soixantaine indirectement, travaillent au projet. Des pr
cisions,
personne ne veut en apporter. PPC 603, 604, pas encore de d
cision. Il est
galement envisageable de laisser un processeur de la s
rie 680x0 en
parall
le pour s'occuper des portions de code non port
es sur PowerPC. En
tout cas, la sp
cificit
de l'Amiga continuera d'
tre avec le noyau exec,
DOS et Intuition, et la vid
o doit rester l'atout majeur de l'Amiga. On
peut s'attendre
quatre canaux audio (
base de l'audio.device) en 16 bits
et au niveau graphique, pas de AAA, mais du 24 bits (chunky et bitmap) avec
peut-
tre encore du canal alpha.
On devrait pouvoir compter sur un Prototype cet automne et pourquoi pas
au salon de Cologne. Il serait ensuite commercialis
dans les d
buts de 97
comme promis et livr
avec entre autres le paquet Surfer et d'ailleurs, la
politique de la maison est de livrer dor
navant des machines toujours avec
un bon environnement logiciel, m
me le 4000.
Sinon, la France devrait exp
rimenter le settopbox en march
pilote. L
encore, les choses progressent. A propos de France, les ventes d'Amiga 1200
ont atteint 1800 unit
s depuis novembre. Les A4000 destin
s au march
ais sont d
vendus.
Une campagne originale va commencer pour le paquet "Amiga Surfer". En
effet, comment toucher un public de jeunes
coup s
r? Chez MacDo. Le mois
prochain commence une campagne monstre: affiches, prix
gagner et pub dans
les magazines de cine news de McDonald's.
La gu
rison de l'Amiga continue, pas aussi vite qu'on le voudrait, mais
il ne faut pas lui enlever son cache-col trop t
t, il pourrait faire une
rechute. Tout va donc bien, doc ? Je vous dois combien? - Un billet
d'entr
e pour le CeBIT 97.
@ENDNODE
@NODE aCebit96 " CEBIT 96 (04-89)"
@TOC aNewsInt
@{fg shine}C E B I T 9 6
Le plus gros salon du monde@{fg text}
D
@{"en arrivant sur le lieu" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cebit.8bt"}, on est accueilli par un immense panneau :
CeBIT 97 du 13 au 19 mars 97. C'est dire l'organisation parfaitement huil
du monstre. Monstre en effet, 24 halles chacune comme un Mammouth et pour
aller
pied en diagonale par les rues, il faut compter un quart d'heure,
le double si on traverse ces halles par l'int
rieur. Mais malgr
les
dimensions et la dispersion, les exposants
tant regroup
s par th
mes, on
arrive
s'y retrouver. Pr
s d'un million de visiteurs, pas une chance de
rencontrer quelqu'un de connu dans ce ma
lstrom, alors quelqu'un
d'inconnu... et bien si, j'ai fait connaissance absolument fortuitement
avec Michele Console Battilana, le tr
s sympathique dirigeant de Cloanto
Italia (PersonalPaint, Personal SBase, Personal Write, PersonalFonts,
etc...) avec qui j'ai d
couvert les nouveaux mod
les d'AT. Nous nous sommes
perdus comme nous nous
tions trouv
s et j'en profite ici pour le saluer.
Donc, pour en revenir
l'expo, bien s
r, on ne peut pas tout voir m
si on y reste une semaine. Pour l'Amiga c'est beaucoup plus simple, un jour
est amplement suffisant puisqu'il n'y avait qu'Amiga Technologies,
Motorola, elctronic-design et Village Tronic qui s'
taient regroup
@{fg shine}E L E C T R O N I C D E S I G N - V I L L A G E T R O N I C@{fg text}
Le stand faisait un peu mont
la va vite avec ses d
cors en carton
d'emballage. L
, une vingtaine de d
monstrations attendaient les curieux,
d'ailleurs peu nombreux. Pas
tonnant non plus, car presque toutes les
monstrations que j'ai sollicit
es n'ont pas fonctionn
pour une raison ou
pour une autre, l
, un code d'acc
s manquant, ici une carte pas encore
arriv
e. Il faut dire que j'y
tais le premier jour et que tout n'
tait pas
partout. La Picasso IV n'
tait pas encore l
. Elle devait arriver
l'apr
s-midi ce qu'elle n'a pas r
ussi
faire.
@{fg shine}La Picasso IV@{fg text} est une carte graphique 64 bits pour Zorro-II ou
Zorro-III. Peupl
e au maximum
4 Mo de RAM EDO 64 bits, elle permet des
performances connues jusqu'
sent seulement sur les cartes VRAM. La
bande passante de 135 MHz permet des balayages horizontaux jusqu'
80 kHz
et des d
finitions du genre 1280 x 1024 en 8 bits
75 Hz. Elle poss
de un
chip sp
cial "Multibridge" qui sert de pont entre quatre syst
mes de bus:
PCI, Digital Video Processing, Zorro II ou III et Multiport. Le bus local
PCI est destin
aux connections, aux contr
leurs VGA haut de gamme et aux
extensions comme MPEG-Converter. Le bus DVP (23 broches) convient aux
genlocks y compris le mode Genlock-II avec 24 bits et 1
8 bits de canal
alpha. Le multiport est un port pr
vu pour l'avenir afin de supporter une
carte grande vitesse s
rie-parall
le. Les connections sont compatibles
MacPicasso. Ainsi, les futurs modules logiciels seront facilement
mentables. Le prix pr
vu est de DM 999 et on l'attend pour mai 96.
Qu'a donc de plus que son a
e la Picasso II+.? Le fait que nouvelle
interface de base doive am
liorer les performances. C'est tout.
@{fg shine}D K B W i l d i r e 0 6 0@{fg text}
La carte acc
ratrice DKB Wildire 060
tait l
et bien l
Malheureusement, l'exemplaire unique
tait mont
dans un 2000 et je n'ai
pas pu la photographier. Mais j'ai vu les performances, et
nage. La
moire en haute vitesse locale 060 (en 64 bits) avec acc
s Interleave
jusqu'
128 Mo (en standard SIMM PS/2), l'acc
s rapide "Posted Write"
RAM, l'interface DMA (qui permet de d
charger le CPU de 90 %)Fast Host 32
bits SCSI-II
10 Mbits/s, l'Ethernet en Twisted Pair avec en option Thin-
Ethernet, l'emplacement PCI (jusqu'
100Mbits/s) utilisable en RAM SIMM, la
compatibilit
avec MegAChip2000/500 (2 Mo de Chip RAM), enfin la
compatibilit
o-Toaster sont des atouts
consid
rer. Elle est plus
teuse que la Blizzard 2060, mais aussi plus prometteuse.
@{fg shine}L e c o i n d u M
g a@{fg text}
Le set MegAChip2000/500
tait l
DM 290.
a fait cher le Mo, mais
c'est la seule possibilit
restante.
@{fg shine}D K B L i n k U P@{fg text}
La carte DKB LinkUP (qui elle aussi avait loup
le rendez-vous),
extension de ports s
rie et parall
le devrait vous procurer les avantages
suivants: compatibilit
au serial.device, compatibilit
MIDI et
tous
les modems de type Hayes, des transferts jusqu'
115200 bauds, emploi de
plusieurs cartes en parall
le, RTS/CTS et XON/XOFF int
s, 4 ports s
extensibles
huit (9 broches standard), Stop-bits 1 ou 2, bits de donn
5, 6, 7 ou 8, parit
odd, even, none, mark ou espace, enfin grosse m
moire
tampon contre les pertes de donn
es. Le port parall
le, lui, est compatible
au parallel.device,
toutes les imprimantes "parall
les" et les nouveaux
standards HP, permettent des transferts jusqu'
400 ko/s, offrent un port
parall
le suppl
mentaire extensible
deux (25 broches standard). Donc pour
tout Zorro-II.
@{fg shine}D K B C o b r a@{fg text}
La carte DKB Cobra, acc
ratrice (68030
28 ou 40 MHz), extension de
RAM SIMM PS/2 jusqu'
128 Mo pour Amiga 1200, avec un socle pr
vu pour FPU
68881 ou 68882, avec une horloge
batterie, optionnellement avec le
contr
leur rapide SCSI "Ferret", poss
de un syst
moire ASIC qui
che les collisions PCMCIA, augmente les performances gr
son Burst-
Mode. Le remapping Kickstart n'emp
che pas de lib
rer la MMU. Une FLASH-ROM
ultra moderne et la technologie FPGA autorisent les mises
jour par
logiciel. Id
ale pour l'
mulation Macintosh, elle est garantie deux ans.
La "Cobra/50" est
e d'un 68030 et d'un 68882 tous deux cadenc
50 MHz.
@{fg shine}D K B 1 2 0 0@{fg text}
La carte DKB 1200 n'est qu'une extension de m
moire (max 8 Mo de fast
RAM 32 bits en PS/2 SIMM) avec socle pour FPU 68881 ou 68882 jusqu'
MHz. M
me en cas d'utilisation du port PCMCIA, 5,5 Mo de Fast RAM 32 bits
sont encore adressables.
La carte DKB Ferret est un contr
leur SCSI-II pour toutes les cartes
turbo DKB. Elle poss
de en outre une prise 25 broches pour l'Amiga 1200 et
est donn
e pour 2,8 Mo/s.
La carte DKB 2632, extension m
moire 32 bits pour A2630 jusqu'
112 Mo
4 emplacements PS/2 SIMM en dehors du domaine auto-config. Elle
aussi est compatible vid
o-toaster (?).
@ENDNODE
@NODE aDhaynie " Dave Haynie consultant aupr
s d'Amiga Technologies (04-
@TOC aNewsInt
@{fg shine}Dave Haynie consultant aupr
s d'Amiga Technologies
Il parle des futurs Amiga multi-OS@{fg text}
@{"Dave Haynie" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Haynie.8bt"}, l'un des principaux ing
nieurs des Amiga chez feu
Commodore, a r
pendant une conf
rence sur Internet le 6 mars, qu'il
participe au d
veloppement des prochains Amiga par Amiga Technologies, la
filiale de ESCOM.
"J'ai eu des contacts avec Amiga Technologies et j'ai propos
mes id
sur l'architecture des syst
mes PowerAmiga. Ils ont un groupe sous contrat
qui travaille sur la conception du syst
me, et je ne pr
vois pas de
nager en Allemagne, mais je suppose que j'ai une vue
longue
ance
qu'ils ne peuvent pas trouver facilement ailleurs. L'un des gros probl
de l'Amiga, et aussi le plaisir, c'est que le reste du monde informatique
ne construit pas des syst
mes comme cela. Alors si vous voulez faire des
Amiga, vous avez besoin de ceux qui ont travaill
sur Amiga par le pass
Haynie a visit
l'Allemagne r
cemment, sans doute dans le cadre de ses
"consultations" avec AT. D'apr
s lui, les allemands sont en train de faire
ce qu'il faut pour assurer l'avenir de l'Amiga.
"Avant la fin de Commodore, j'enqu
tais sur la possibilit
d'utiliser
davantage de composants standards, le passage vers RISC pour une meilleure
performance, un bus PCI pour les cartes standards, etc... Tous ces
veloppements sont bons et n
cessaires.
"En haut de gamme, au moins, un Power Amiga peut
tre conforme avec
PPCP (Ed: autrement dit, CHRP, le Common Hardware Reference Platform de
IBM, Motorola et Apple qui permettra l'utilisation des p
riques et
mes communs par des ordinateurs qui adh
rent au standard), et donc,
vous allez pouvoir lancer n'importe lequel OS PPC sur l'Amiga. C'est une
curit
de plus pour ceux qui ont peur d'acheter un nouveau syst
me. Ceci
permettra
Escom de vendre des ordinateurs aux gens qui n'auraient jamais
achet
un syst
me AmigaOS, et peut-
tre de les encourager
passer sur
AmigaOS. Il sera plus facile pour les 'Amigaoids' de passer les censeurs-
mes dans les grandes entreprises et cela permettra aux firmes comme
Macrosystems, Phase 5, etc., de fabriquer de vrais clones de l'Amiga, s'ils
en ont envie. Tout le monde est gagnant."
@{fg shine}L e m u l t i - m
d i a
v e n i r@{fg text}
En r
ponse
une question concernant son travail de consultation avec
AT, Haynie disait que, parmi d'autres choses, AT lui avait demand
rechercher un projet de "sous-syst
me multim
dia".
"J'ai beaucoup d'id
es. Il y a des choses en cours chez les grandes
s qui fabriquent des composants, mais aussi dans les petites
s qui d
marrent, qui d
passent les chipsets Amiga (m
me AAA) autant
que les premiers Amiga d
passaient les clones PC de l'
poque. Ces
composants seront mont
s de temps en temps sur des clones PC, mais personne
ne va vraiment utiliser quelque chose sur un PC qui ne tombe pas dans le
cadre de Windows. L'Amiga n'a pas de telles contraintes, il est ce que ses
concepteurs d
cident, en hardware et software.
@{fg shine}Une m
me machine pour milieu et haut de gamme@{fg text}
D'apr
s Dave Haynie, les machines de l'avenir ne seront plus
distingu
es les unes des autres entre les diff
rentes gammes.
"Je ne vois pas de multiples syst
mes, simplement des paquets
rents. Vous mettez un processeur plus lent et vous avez un syst
me de
milieu de gamme. Mettez un PowerPC 604 et de la m
moire cache et vous
haut de gamme, mais pour un prix inf
rieur que le haut-de-gamme
d'aujourd'hui."
@{fg shine}H a y n i e e s t o p t i m i s t e@{fg text}
Question: Comment voyez-vous l'Amiga d'ici deux ans? Quelle est la
nouvelle la plus prometteuse que vous ayez entendue?
Haynie: Imaginons que nous sommes d
but 1998; Amiga Technologies a
vendu son premier million de Power Amiga, l'OS est maintenant totalement en
code PowerPC (au moins, les parties qui comptent, certaines choses h
du pass
peuvent rester en code 68000 comme sur le Mac). La machine bas de
gamme sera vendue environ $500 (2500F), et les syst
mes moyen et haut de
gamme d
buteront
environ $1200 (6000F). Deux soci
tes sont d
sur le
march
des clones Amiga, proposant la version PPCP d'AmigaDos sur leurs
mes. Le Power Amiga de base est dot
d'un affichage d'au moins
1280x1024 non-entrelac
, en 24-bits si vous avez suffisamment de m
moire
graphique. Cette machine peut travailler en PAL ou NTSC, et est capable
d'afficher MPEG plein
cran
30 trames par seconde. Elle est
e en
standard de certains composants hardware pour le 3D, un blitter rapide,
General MIDI et 16-bits digital audio I/O. C'est tout cela que je peux
rer, et rien de cela n'est impossible. Je suppose que la nouvelle la
plus encourageante jusque l
qu'AT m'ait interrog
propos de ces
sujets, alors j'ai une id
e que ces d
veloppements peuvent vraiment devenir
"Je crois que le Power Amiga est possible, m
me en ce moment de
dominance Wintel. Si je ne le croyais pas je ne perdrais pas mon temps, ni
celui d'AT. Je ne suis pas chez AT, et je ne suis pas dans une position de
dire exactement ce qui se passera, mais s'ils font ce que je sugg
re, je
crois qu'ils ont toutes les chances d'une Renaissance. Amiga."
@{fg shine}U n p o r t a b l e A m i g a e s t " i n
v i t a b l e "@{fg text}
Question: Allons-nous voir un laptop Power Amiga?
Haynie: Pour moi c'est in
vitable. Simplement parce que, si ce n'est
pour rien d'autre, l'Amiga OS deviendra PPCP conforme, et il va avoir des
laptops PPCP. Il est aussi probable qu'un nouveau bas de gamme Power Amiga
pourrait se traduire assez bien en laptop. Je ne sais pas si AT est
, et la question d'un laptop commercialis
par AT est sans doute
pendante des ventes importantes pr
alables d'Amiga.
@{fg shine}L e W a l k e r@{fg text}
Question: Attendez-vous des annonces importantes au CeBit?
R
ponse: Ils ont un concept que, je crois, ils vont montrer au CeBit et
que @{"j'ai beaucoup aim
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Walkerb.8bt"}. Ils ont une id
e d'une machine qui est diff
rente
de tout ce que vous avez jamais vu chez Commodore.
@ENDNODE
@NODE aActuFrance " Actualit
FRANCE (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" GestaCompte (04-89)" LINK aGestacompte}
@{" T-Shirt (04-89)" LINK aTshirt}
@{" Amiga Magic ? (04-89)" LINK aAmigamagic}
@{" Autres Fronti
res (04-89)" LINK aAutreFrontier}
@{" Amiga
Saint Etienne (04-89)" LINK aAmigastetienne}
@{" Amiga dans les DOM-TOM (04-89)" LINK aAmigadomtom}
@{" En bref (04-89)" LINK aEnbref}
@ENDNODE
@NODE aGestacompte " GestaCompte (04-89)"
@TOC aActuFrance
@{fg shine}G e s t a C o m p t e@{fg text}
Pour assurer la compatibilit
des nouveaux modules de GestaCompte
Factures et Stocks avec les modules Banque et Caisse, il est n
cessaire de
se procurer les versions 1.3 du module Banque et 1.2 du module Caisse.
AFLE propose une mise
jour gratuite de ces deux modules aux
utilisateurs enregistr
s. Il suffit de renvoyer la (les) disquettes
originales avec une enveloppe timbr
e auto-adresss
@{fg shine}AFLE, BP 505,
13091 Aix en Provence Cedex 02.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aTshirt " T-Shirt (04-89)"
@TOC aActuFrance
@{fg shine}T - S h i r t@{fg text}
@{fg shine}L'association Interceptor@{fg text} a obtenu l'autorisation de Escom France
et Amiga Technologies de fabriquer des T-shirts avec le nouveau logo Amiga.
Une seule taille: XL. Prix co
tant 35F (plus frais de port de 15F quel que
soit le nombre de T-Shirts command
s). (Voir en page Associations pour
l'adresse).
@ENDNODE
@NODE aAmigamagic " Amiga Magic ? (04-89)"
@TOC aActuFrance
@{fg shine}A m i g a M a g i c ?@{fg text}
Julien Tiphaine, un acheteur de l'Amiga 1200 Magic Pack, nous
communique quelques "surprises" qu'il a eu en installant les logiciels du
pack sur le disque dur qu'il a install
dans sa machine.
Premi
re surprise: les menus du logiciel TurboCalc sont en allemand.
Deuxi
me surprise: le logiciel Organiser ne veut pas d
marrer.
Julien a trouv
la cause: son Workbench est (naturellement) configur
en fran
ais. Et il a trouv
galement des solutions partielles
ces
probl
"Dans Prefs/Locale, cliquer sur English pour le mettre dans Langue
e avec Fran
ais, puis dans le repertoire Sys:Locale/Catalogs/English
copier les fichiers Organiser.catalogs se trouvant dans le r
pertoire
Organiser/Catalogs. Copier
galement les fichiers TurboCalc.catalogs et
Turbocalcmenu.catalogs qui se trouve dans le r
pertoire
Turbocalc/Catalogs/English."
@ENDNODE
@NODE aAutreFrontier " Autres Fronti
res (04-89)"
@TOC aActuFrance
@{fg shine}A u t r e s F r o n t i
r e s@{fg text}
L'association Fronti
res Informatiques de Marseille envoie le num
ro un
de son "fanzine associatif amigaphile" de 20 pages. Ce @{"premier num
ro" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Autrefront.8bt"}
gratuit contient de nombreux tests de logiciels, graphismes et musiques de
DP qui se trouvent sur le CD Aminet 9. La mise en page (faite sur A1200)
est propre et le rend facile
lire.
@ENDNODE
@NODE aAmigastetienne " Amiga
Saint Etienne (04-89)"
@TOC aActuFrance
@{fg shine}A m i g a
S a i n t E t i e n n e@{fg text}
Amiga existe
Saint Etienne! MSD est une soci
de distribution de
riel informatique, sp
cialis
e dans l'Amiga et... le PC. Elle distribue
une large gamme de p
riques Amiga ainsi que les RAMs, disques durs,
sauvegardes, CDROM, etc. De plus, MSD propose des services de vid
@NODE aDatabasepro "DATABASE PROFESSIONAL (04-89)"
@TOC aTestallemand
@{fg shine}D A T A B A S E P R O F E S S I O N A L@{fg text}
Programme de banque de donn
es munie de nombreux masques.
@{fg shine}Test: Amiga Special 03/96.@{fg text}
@{fg shine}Version @{fg text}: 3.0.
@{fg shine}Marque @{fg text}: Merian Software.
@{fg shine}Prix @{fg text}: DM 98.
@{fg shine}Config @{fg text}: 512 ko RAM, OS 2.04.
@{fg shine}Positif@{fg text}: Immense champ de fonctions d'o
facilit
d'emploi.
Beaucoup de masques tr
s utiles. Am
liorations et nouvelles fonctions.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: N
ant !
@{fg shine}Verdict@{fg text}: Mention tr
s bien.
@ENDNODE
@NODE aImagin "IMAGINE (04-89)"
@TOC aTestallemand
@{fg shine}I M A G I N E@{fg text}
Programme de calcul d'image de synth
se 3D.
@{fg shine}Test: Amiga Plus 03/96.@{fg text}
@{fg shine}Version @{fg text}: 4.0.
@{fg shine}Marque @{fg text}: Impulse.
@{fg shine}Prix @{fg text}: DM 800.
@{fg shine}Positif@{fg text}: Flou de mouvement (motion blur). Modeleur de blobs. Outil
de lissage. Effets FX utilisables dans le modeleur.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Pas de configurabilit
. Syst
me de pr
rences mal con
Pas de d
tection de collision dans les animations. Pas de port ARexx.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: On a l'impression que les programmeurs avaient h
te de
contenter les clients qui demandaient une version majeure depuis un certain
temps. Mais la concurrence veille.
@ENDNODE
@NODE aVtex "VTEX (04-89)"
@TOC aTestallemand
@{fg shine}V T E X@{fg text}
D
codeur et programme de d
codage de vid
otexte.
@{fg shine}Test: Amiga Plus 03/96.@{fg text}
@{fg shine}Version 1.50.@{fg text}
@{fg shine}Marque @{fg text}: HK Computer.
@{fg shine}Prix @{fg text}: DM 99.
@{fg shine}Config @{fg text}: 1 Mo RAM, OS 2.04. Ne fonctionne pas sur Amiga 1000.
@{fg shine}Positif@{fg text}: Prix tr
s int
ressant. Permet la sauvegarde.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Manque de flexibilit
et de confort. N'utilise pas les
pages multiples. Fonte hideuse. N
cessite un receveur s
@{fg shine}Verdict@{fg text}: Le dur et le mou fonctionnent. Quant au confort, on l'a
perdu en route.
@ENDNODE
@NODE aToccata " Toccata (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T o c c a t a
Carte son 16bits Zorro II@{fg text}
On sait que l'Amiga poss
de un syst
me sonore de tr
s grande qualit
capable de digitaliser et cr
er des sons en 8bits mais avec une qualit
qui
passe la majorit
des cartes 16bits d'entr
e de gamme dans le monde PC,
surtout en ce qui concerne la reproduction. La conception de l'Amiga fait
que le son est g
en multit
che et prend tr
s peu ou pas de ressources
sur une t
che (sauf les acc
s disque). Le probl
me vient du fait que bien
qu'il soit de qualit
, c'est toujours du 8 bits.
Ainsi, le taux d'
chantillonnage (sur 256 pas) est quand m
me tr
limit
pour peu que l'on d
sire une qualit
, une finition et une dynamique
plus correcte. La solution pour nos Amiga consistera soit
changer de
chipsets sonore (vaut mieux pas compter sur AT pour cela), soit ajouter une
carte adapt
cet effet. C'est de cette option que nous allons parler
avec la carte Toccata de la soci
Macro-systems.
La Toccata est une carte de digitalisation, reproduction, manipulation
et mixage de sons en 16bits. Pr
e sous forme d'une @{"carte longue" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicAVRIL/Toccatahard.jpg"}, elle
s'ins
re dans un slot Zorro II ou III. Elle est destin
des machines
dant donc ces slots d'extention. Comme en ce moment on trouve des
options de ce type pour 1200, on peut donc dire qu'elle s'adapte
tous les
produits Amiga du moment.
Les connecteurs de la carte sont au nombre de cinq. Toutes ces
@{"entr
es/sorties" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicAVRIL/Toccatahardzoom.jpg"}
sont analogiques. La Toccata est une carte d'acquisition / reproduction
analogique 16bits st
o. Pour le num
rique il faudra se tourner vers la
carte Maestro, toujours de Macro-Systems. Pour en revenir aux connecteurs,
on trouve quatre entr
es st
o et une sortie st
o. Les branchements se
font au moyen de prises Jacks st
o. Dans ces quatres entr
es, une est
e pour un micro, et les trois autres pour des signaux type "Line".
L'int
ressant avec cette carte, c'est que le son provenant de l'Amiga peut
tre mix
avec les entr
es et le son de la Toccata. Cela veut dire que l'on
de une seule sortie derri
re l'Amiga
brancher
sa cha
ne Hifi pour
couter le son produit par les circuits de l'Amiga, ceux de la carte ou
mieux les deux ensemble. Le logiciel de contr
le de la Toccata permet de
mixer entre elles les entr
es. Le niveau de chaque entr
e est configurable
sous Workbench
la souris, le taux d'
chantillonnage 16bits, les
pourcentages de mixage de chaque entr
e, ou m
me, le volume g
ral de
sortie.
@{fg shine}D o n n
e s t e c h n i q u e s@{fg text}
Cette carte va utiliser les ressources de l'Amiga disponible pour s'en
servir de m
moire et de stockage. Elle est capable de faire de
l'enregistrement en "direct-to-disk" sur le disque dur en 16bits au taux
chantillonnage maximum. Une note utile, elle est aussi capable de
digitaliser en mode 8 bits. Cela permet de l'utiliser comme le meilleur
digitalisateur 8 bits disponible sur Amiga. En mode 8 ou 16 bits, 14
quences d'
chantillonnage sont disponibles: de 5513
48000 Hertz
(format DAT) en passant par le mode correspondant au 16bits CD audio
tant
le 44100 Hz. La dynamique de la Toccata est de plus de 95dB dans des
quences comprises entre 10Hz et 22KHz. Pour comparaison en 8 bits la
dynamique maximum atteinte est de 48db.
@{fg shine}L e s l o g i c i e l s@{fg text}
On peut avoir une superbe carte, s'il n'y a pas de logiciels, on ne
peut pas en faire grand chose. La Toccata est livr
e avec deux logiciels
totalement diff
rents. Le premier est celui qui est d
velopp
par la
re MS. Il est extr
mement rudimentaire et ne peut honn
tement
servir qu'
gler la carte ou jouer quelques samples. Heureusement, on
pourra utiliser le second logiciel fourni avec la carte et qui n'est pas de
MS. Il s'agit de @{"Samplitude" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Toccata1.16c"} de chez SEKD Software. C'est certainement le
logiciel de la Toccata. D'une manipulation assez simple, il offre de bonnes
qualit
s en ce qui concerne la digitalisation, l'
dition, la cr
ation et la
manipulation des samples. On peut sampler dans toutes les r
solutions
8/16bits de 5KHz
48KHz. Le nombre de voies n'est pas r
ellement limit
La puissance de ce logiciel de digitalisation et d'
dition de samples n'est
vidente au premier abord. Mais en y regardant de plus pr
s, on
s'aper
oit qu'il est capable par exemple d'
diter et de jouer des samples
de diff
rentes r
solutions et fr
quences. Il sait utiliser le direct to
disk. Autre aspect int
ressant, il peut aussi jouer du son directement avec
les circuits de l'Amiga en 12bits! (pour peu que l'on poss
de un 68020
minimum). Bien entendu, le son de la Tocatta est sans comparaison.
@{fg shine}S a m p l i t u d e@{fg text}
L'
diteur de samples fonctionne tout
fait comme pour Audiomaster, les
zooms, les blocks, les couper/coller, les
chos, r
verb,... tout y est pour
triturer le son. L'utilisation de la Toccata est dans tous les cas
totalement transparente. De nombreux modes de sauvegarde sont disponibles.
On notera que la Toccata peut directement importer et exporter des donn
riques dans le format de la Maestro. Que cela soit en 8 ou 16 bits, la
sauvegarde IFF mono ou st
o est pr
sente ainsi que divers modes plus
particuliers comme les donn
es brutes. Le logiciel Samplitude-MS V2.10 qui
est dans le package n'est pourtant pas le plus int
ressant. La version
Samplitude Pro II l'est bien plus. Le nombre de possibilit
s de cr
ation
son plus vastes telles que la cr
ation de projets
plus de quatres voies,
de sortes de trackers,... Dommage qu'il faille l'acheter en plus aupr
s de
chez SEKD Software. Il n'emp
che que la version MS 2.10 est d
correcte
pour la majorit
des utilisations que permet la Toccata. Aucun autres
logiciel n'est livr
, si ce n'est un petit player de samples 16bits.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
La Tocatta est une carte que l'on a du mal
retirer de son Amiga une
fois ins
e, non pas parce qu'elle est bien fix
e, mais parce que l'on s'y
habitue et on ne peut plus se passer de la qualit
16 bits une fois que
l'on y a go
. La possibilit
de by-passer le son de l'Amiga et de le
mixer au son de la Toccata ou des autres entr
es est une option vraiment
plaisante et quelquefois int
ressante pour un musicien. Le @{"Toccata-control" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Toccata2.16c"}
est en ce point une sorte de table de mixage des diff
rentes entr
Samplitude-MS est l'outil indispensable pour bien exploiter sa Toccata.
Pour les musiciens vraiment int
s, je conseillerai de se procurer
Samplitude Pro II qui leur sera indispensable surtout dans l'
dition et la
ation de tracks.
Un petit point noir quand m
me au tableau, le petit drop (scratch)
sonore au d
but du lancement d'un sampling. Certaines fois il n'appara
pas, mais c'est trop al
atoire pour ne pas le signaler. Le prix est tr
correct pour le produit. Il serait int
ressant que comme pour le graphisme,
une sorte de standard de son 16 bits fasse son apparition sur Amiga et que
les logiciels proposent d'exploiter ce genre de carte. Il ne reste plus
velopper...
@{fg shine}Eric LAFFONT@{fg text}
@{fg shine}Prix :@{fg text} 2462F
@ENDNODE
@NODE aMaestro " Maestro (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M a e s t r o 2 . 0
Carte d'entr
e/sortie de signal num
rique audio@{fg text}
@{fg shine}L e p r i n c i p e@{fg text}
Il s'agit d'une carte longue pour Amiga 2000, 3000 ou 4000 ou du moins
toute machine poss
dant un connecteur Zorro 2. Sur cette carte il y a deux
connecteurs optiques, une en d'entr
e, une en sortie, et un connecteur
d'entr
e coaxiale.
Les entr
es/sorties sont
la norme AES/EBU ou S/PDIF (ces deux formats
riques sont les seuls rencontr
s sur le march
grand public) donc un
lecteur de CD audio poss
dant une sortie num
rique, fournit une excellente
source. Un DAT permettra d'enregistrer nos oeuvres avec une puret
e: le son est num
rique, d'un bout
l'autre de la cha
ne, il n'y a
aucune conversion analogique/digitale (
chantillonnage) ou
digitale/analogique (sauf lors de l'
coute, notre oreille est encore
analogique...). On retrouve directement sur son disque dur les m
informations que celles inscrites sur le CD audio ou le DAT
. Les
quences accept
es par la carte sont: 32 kHz, 44,1 kHz (CD), et 48 kHz.
La configuration minimale est une source num
rique, un Amiga 020' avec un
slot Zorro II, 2Mo de m
moire et un gros disque dur!
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Cette carte longue mais fine (elle peut
tre positionn
e dans le
premier slot d'un A4000) ne poss
de qu'un unique jumper permettant de
choisir le type de connecteur utilis
: coaxial ou optique. Cette carte est
fournie avec deux c
bles fibre optique, permettant le raccordement direct
une cha
ne num
rique.
Le logiciel SamplitudePro fourni avec s'installe "
l'ancienne" avec un
progamme d
(installer ne pla
t pas
tout le monde...). La
configuration utilis
e pour les tests: A4000 040' 16Mo de fast 1Go de
disque SCSI II (un gros disque dur est n
cessaire car 20" de son
sentent 1.8 Mo sur le disque, un morceau de 5' demandera 27 Mo) les
sources num
riques: un lecteur CD Technics, un DAT Sony, l'enregistreur
tant bien sur le DAT.
@{fg shine}L @{"e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestro1.16c"} l @{"o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestro2.16c"} g @{"i" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestro3.16c"} c @{"i" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestro4.16c"} e @{"l" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestro5.16c"} @{fg text}
Le logiciel livr
avec la carte est un mini studio num
rique: il permet
de recup
rer tout signal envoy
sur la carte, de le stocker en m
moire ou
sur disque dur (c'est pr
rable car la taille des donn
es peu
s vite devenir embarassante 3'19"= 34 Mo.
On peut aussi rejouer ces morceaux via la carte et se servir ainsi du
convertisseur du DAT (sur les DAT les convertisseurs sont d'une qualit
rieure...)
Les fonctions d'
dition standard sont pr
sentes: couper, copier,
coller, ins
rer, effacer. Mais il y a aussi des fonctions propres au
traitement du son: fade in/out, normalisation, mise au z
ro, inversion,
chantillonage (ce,
n'importe qu'elle fr
quence). De plus, on peut
travailler sur les amplitudes et effectuer des effets d'
cho et de
ration.
Toutes ces fonctions sont valables sur des buffers param
trables, entre
des zone que l'on peut marquer. Toutes les fonctions sont accessibles
souris, par des racourcis clavier, et la majorit
e peuvent
tre pilot
via un port Arexx.
Les
chantillons peuvent
tre convertis au format AIFF 8 bits (pas de
16 bits snif), Maud, Wav, Dump et au format Maestro. Une librairie DP
(Maestix) permet de rejouer directement les samples ou les donn
es arrivant
de la carte avec Play16 (et m
me avec des effets si on le d
sire).
@{fg shine}L ' i n t
t@{fg text}
Gr
cette carte, on peut obtenir des samples de qualit
partir
d'un CD audio: ce n'est m
me pas nous qui effectuons l'
chantillonnage, il
est d
fait!).
Pour les musiciens disposant d'un DAT, l'
chantillonneur est d'une
qualit
prochable (attention
celle du micro...). Prix d'un DAT
minimum 4500F
@{fg shine}M o n a v i s@{fg text}
J'ai appr
l'acc
s direct au format num
rique (je peux enfin
rer mes enregistrements en 48 kHz pour les retravailler
re), le support du swap disk, l'approche visuelle du signal audio, et
les nombreux racourcis clavier.
La carte en elle m
me n'a qu'un seul d
faut: c'est de ne pas avoir un
port coaxial out car la majorit
des DAT portables sont au format coaxial.
Le logiciel, lui, m'a d
par son non respect du syst
me, et surtout du
multit
che. Il est interdit de travailler sur le m
me disque dur pendant
une op
ration de lecture ou d'
criture via Samplitude (et ce, quel que soit
le mode de gestion: Direct To Disc ou Amigados). Je regrette aussi que la
version de samplitude ne soit pas compl
te: il faut payer 299 Dm (environ
1000 FF) pour la @{"version SMPTE compl
te" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Maestroup.16c"} avec des acc
s un analiseur de
quence, un suround temps r
el, un undo, et surtout un Sample dump MIDI!
La version livr
e est quand m
me fonctionnelle.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
La carte est presque parfaite, sauf le prix de 900 DM. Samplitude
demande encore
murir afin d'acc
der au studio num
rique sur son Amiga: il
manque des fonctions de traitement de signal,
limination de bruit, et
surtout un export en AIF 16 bits.
@{fg shine}Pascal RIELLANT@{fg text}
@{fg shine}MaestroPro est fabriqu
e par MacroSystem
Prix@{fg text}: 900 DM
@{fg shine}G r a v a g e d e C D - D A ( C D a u d i o )@{fg text}
@{fg shine}Michel@{fg text}: je ne r
terais pas les commentaires de Pascal, mes
conclusions vont dans le m
me sens. Toutefois, j'ai d'autres d
tails
mentionner qui sont en relation avec mes activit
s de gravage de CD.
J'ai pu r
aliser deux CD
partir d'un DAT avec l'aide de Maestro et de
Samplitude-MS V2.0.
Dans un premier temps, il faut faire l'acquisition du son,
viter de
faire des samples trop long. Pour 70 minutes d'un seul bloc, le traitement
devient vraiment trop long et lourd; ne pas d
passer une vingtaine de
minutes. Il faut s
parer les morceaux pour que le lecteur de CD puisse
trouver les tracks. Donc, faites le traitement morceau par morceau, c'est
plus simple et plus rapide. Il faut ensuite sauver chaque sample au format
MAUD. Vous devez disposer d'un deuxi
me disque dur de 1 Go et de temps.
Pour finir la pr
paparation, il faut,
l'aide de MasterISO, convertir
les samples au format CD (3
me) disque dur. Pourquoi dans Samplitude les
veloppeurs n'ont-ils pas pr
vu un format de sortie au format CD, pr
graver? Il existe deux formats selon le graveur Most et Least Signifiant
Byte First.
Samplitude ne fonctionne pas bien en multit
che. Par exemple, on ne
peut pas avoir les vu-m
tres en m
me temps que l'acquisition; dommage. Si
on change d'
cran, l'acquisition d
croche.
@ENDNODE
@NODE aVieDraco " La vie avec DRACO (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L a v i e a v e c D r a c o ( 2 )
Voici le deuxi
pisode de notre "DraCo Saga"@{fg text}
Il est consacr
aux performances de notre @{"belle b
te" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Draco.8bt"}.
Il est impossible d'utiliser les programmes de benchmarks traditionnels
comme SysInfo ou AIBB
cause des acc
s directs de leurs routines qui sont
incompatibles avec DraCo.
Le seul logiciel compatible que j'ai trouv
est SysSpeed. J'ai r
les tests quatre fois de suite et les variations sont inf
rieures
5 %.
Cet article aurait d
paraitre le mois dernier. Nous avons diff
parution afin de v
rifier les comparaisons, car il est difficile de donner
une image significative, surtout du fait des diff
rences de conception des
machines. @{"Les voici
sent" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Dracoperf.2c"}.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Comme on peut le remarquer, il est difficile de se faire un avis. A
part quelques items, la sup
riorit
est notoire sur un A4000/040. Par
contre, compar
une carte Cyberstorm, le DraCo c
de des points. La tr
grosse sup
riorit
est en m
moire graphique, puisque ce n'est pas de la
chip RAM ralentie par le chipset Amiga. Nous allons pousser plus loin la
comparaison en travail r
el dans les mois prochains, surtout en travail
o avec VLab Motion.
@{fg shine}D e r n i
r e s a v e n t u r e s@{fg text}
Si vous avez lu mon article du num
ro 87 page 30, vous aurez remarqu
que je n'
tais pas tr
logieux
propos de MacroSystem. Entretemps, j'ai
eu un contact t
phonique avec DeltaGraphX qui s'est
de mon
contentement, MacroSystem leur offrant un des meilleurs contacts qui
soient dans le monde de l'Amiga. Je leur ai donc promis de le mentionner
ici. Mais depuis, j'ai eu de nouveau
faire avec MacroSystem. Devant
mettre
jour mes cartes (Rastaban, Eltanin et Altais), je les ai appel
par hasard sur un autre num
ro et je les ai eus tout de suite, ils m'ont
expliqu
que le num
ro que j'essayais en vain d'appeler avait
abandonn
, voil
pourquoi j'avais toujours du mal
les joindre.
Maintenant, plus de probl
me. Huit jours plus tard, j'avais mes cartes
renvoy
es par UPS.
Tout a
chang
, j'ai dor
navant des cartes 1.1, avec le syst
DraCo 1.3 dat
du 12 janvier 96, la derni
re mouture. Tout marche sur des
roulettes huil
es. Quel plaisir de retrouver le DraCo apr
s une semaine
d'Amiga 2000! Vraiment je ne peux que m'incliner devant la rapidit
, le
professionalisme et la gentillesse des gens de chez MacroSystem, je n'ai
pas eu de chance au d
but,
a arrive, et je retire bien volontiers ce que
j'ai dit le mois dernier.
Deux jours plus tard, comme ils me l'avaient d'ailleurs annonc
phone, j'ai re
u une mise
jour du "drapar.device" qui permet
navant de piloter mon Epson Stylus Color. De plus, ils ont r
pondu en
tail
la longue liste de questions que je leur avais adress
. Je suis le
premier enchant
qu'ils m'aient fait mentir et j'esp
re que Mr
Deltagraphics qui a depuis envoy
son droit de r
ponse enflamm
contre moi
(vous pouvez lire sa grosse col
re contre mon "anectodisme" dans le dernier
ro) sera satisfait de mon revirement qui ne doit d'ailleurs rien
son
opinion, mais
la mienne propre. Mon "anectodisme" peut aller dans les
deux sens. Est-ce que son "fanatisme" est
galement r
versible?
@{fg shine}B r u i t s d e c o u l o i r@{fg text}
Un magazine anglais relate que Macro Systems travaillerait sur une
carte Power PC. N'en sachant pas davantage, j'attendrai un contact direct
avec eux pour en dire plus.
@{fg shine}B i e n t
t s u r v o s
c r a n s@{fg text}
Le mois prochain, comme pr
vu, je d
voilerai tout ce que je sais sur la
compatibilit
DraCo-logiciels Amiga. Ce ne sera sans nul doute qu'un
des lieux provisoire, car tant chez MacroSystem que dans les principales
maisons d'
dition de logiciels Amiga, on s'active
liorer la
compatibilit
@{fg shine}Jac POURTANT@{fg text}
@{fg shine}Michel@{fg text}: d'apr
s les r
sultats du tableau ci-dessus, l'ensemble
A4000 et CyberStorm 060 est plus efficace en calcul et acc
s disque dur.
Les tests SCSI sur le WarpEngine et CyberStorm ont
s avec un
disque Quantum Fireball de 1Go. Pour le Draco, c'est un Fujitsu 1Go. Nous
aurions aim
faire un test encore plus pr
cis, mais... voir courrier du
mois dernier. J'esp
re que, malgr
les chiffres en test SCSI, il sera plus
efficace en r
el avec un VLabMotion.
@ENDNODE
@NODE aBoitiera1200 " Deux Boitiers A1200 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D e u x f a
o n s d ' h a b i l l e r u n A 1 2 0 0@{fg text}
L'habillage en "custom" de l'Amiga 1200 est tr
la mode. Il est vrai
que la machine tel qu'elle est vendue n'est pas sp
cialement pratique,
couvrant une grande partie de l'espace de travail du bureau et tra
nant
derri
re elle une prolif
ration de c
bles de toutes sortes et un gros bloc
d'alimentation. Si vous ajoutez quelques lecteurs externes (CD, disque dur,
Syquest, ZIP...)
a se complique encore plus.
Dans un proche avenir, nous esp
rons vous pr
senter un dossier complet
sur les diff
rentes fa
ons de remplacer la carrosserie "tout-en-un" du 1200
par une solution plus
gante avec clavier s
et bo
tier logeant des
s suppl
mentaires. Ce dossier comportera une partie "faites-le-vous-
me" et une partie comparant les diff
rentes solutions propos
es par
plusieurs fournisseurs.
En avant-go
t, voici les commentaires de deux de nos collaborateurs sur
deux de ces derniers: un desktop 1200 "cl
s en main" de DeltaGraph'X, et un
kit tower 1200 de Turtle Bay.
@{fg shine}L e d e s k t o p q u i c a c h e u n ' 0 6 0
Eric Laffont@{fg text}
Le @{"desktop de DeltaGraph'X" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX1.24b"} contient (dans la configuration test
e) une
carte m
re d'Amiga 1200, une carte Blizzard 060 (sans SCSI), 8Mo de RAM, un
disque dur Fujitsu de 1Go, et un CD 4x Panasonic, le tout dans un joli
tier desktop muni de deux haut-parleurs et d'un clavier s
A1200
avec une interface Micronik. La configuration est vraiment tr
s all
chante.
Avec son processeur 68060
50MHz sur l'excellent acc
rateur Blizzard,
cette machine est beaucoup plus rapide que l'Amiga 4000/40, une machine
haut de gamme vendue actuellement pour 18990F.
A l'allumage, le disque dur ne d
marre pas du premier coup et il faut
faire un reset clavier. Le lecteur de CD-ROM fonctionne bien, et est reli
l'amplificateur interne ainsi que le son de l'Amiga, un tr
s bon point,
me si les deux haut-parleurs situ
s de chaque c
du bo
tier produisent
un son plut
t nasillard. Une fois sous le syst
me, le 1200 et la Blizzard
060 font des merveilles et le tout fonctionne sans probl
@{fg shine}A t t e n t i o n a u x d o i g t s !@{fg text}
L'int
gration du 1200 et le d
coupage de la t
lerie laissent toutefois
desirer. DeltaGraph'X a choisi de d
couper ses bo
tiers manuellement, et
les ouvertures ainsi faites donnent une impression d'un travail non fini.
le de blindage du 1200 reste apparente tout le long du bas de dos du
desktop, et pr
sente, comme les bordures autour de la d
coupe pour le
connecteur PCMCIA, un risque pour vos doigts (et pour la finition de vos
cartes PCMCIA).
Le ventilateur lui-m
me est
moiti
masqu
duisant son efficacit
et le connecteur clavier est mont
sur une plaque de bak
lite peu rigide.
En face avant, le lecteur de disquette du 1200 ne poss
de pas d'enjoliveur,
oubli vraiment d
solant vu le prix d'environ 35F pour une cache en
plastique de ce type et le trou b
ant qui en r
sulte.
En ouvrant le capot, on remarque des dominos pour relier les
connections
lectriques et du papier scotch
pour isoler la Blizzard du
tier m
tal. La Blizzard n'est pas fix
e sauf par son connecteur et
risque de se balancer lors des transports. Le lecteur de CD-ROM et le
disque dur sont bien fix
s sur leur emplacement d'origine. Pour ceux qui
voudraient utiliser une carte graphique, il semblerait difficile de trouver
la place pour un bus Zorro II dans ce bo
tier.
@{fg shine}E n i m a g e s@{fg text}
@{"Un trou sous le boitier, pourquoi ?" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX2.24b"}
@{"Lecteur de disquette sans cache" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX3.24b"}
@{"Ventilateur
moiti
obstru
et cable d'alimentation non fix
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX4.24b"}
@{"Connecteurs avec t
le de blindage non fix
e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX5.24b"}
@{"Prise d'alimentation enfich
e de travers" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX6.24b"}
@{"Vu de dessus, remarquez les dominos et les cables non fix
s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX7.24b"}
@{"Le ventilateur est directement coll
sur le boitier" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX9.24b"}
@{"Sortie PCMCIA, no comment" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX8.24b"}
@{"Alimentation 12v" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX10.24b"}
@{"La Blizzard n'est pas fix
e, attention au transport" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/DGX12.24b"}
@{fg shine}C o m p t o n s@{fg text}
Faisons les comptes. Le desktop que nous avons test
est vendu au prix
de 17600FTTC. Nous avons fait le total du mat
riel comme si nous avions
achet
les diff
rents composants s
ment:
- Amiga 1200 3190F (prix officiel)
- Blizzard 060 5540F (prix Deltagraph'X)
- Ram 8Mo 800F (prix ACS Toulouse)
- Disque dur IDE Panasonic 1Go: 1400F (prix Nash Toulouse)
- CD 4X Mitsumi 390F (prix ACS Toulouse)
- Bo
tier desktop avec alimentation 450F
- Interfaces clavier Micronik 1500F (permet le reset)
Pour un total de 13.270 FTTC.
@{fg shine}C o m m e n t a i r e s s u p p l
m e n t a i r e s
de Eric Porcher@{fg text}
A premi
re vue, le choix mat
riel para
t de bonne augure. La
configuration prendrait la d
nomination "multimedia" sur d'autres plate-
formes! Le milieu du bo
tier est consacr
aux unit
s disques (en
l'occurrence le CD-Rom) et le lecteur de disquettes qui est positionn
verticalement sur la gauche du lecteur CD (malheureusement sans cache).
Plusieurs boutons et molettes sont accessibles permettant de
lectionner la source du son (CD, Amiga ou les deux mix
s), de r
gler le
volume, la balance, les basses et les trebles des haut-parleurs internes.
On trouve aussi l'interrupteur g
ral de marche/arr
t. A noter que la
majorit
des boutons sont associ
s a des leds, m
me le turbo et le reset
sont c
s mais ils n'ont aucun effet r
A l'arri
re, deux c
bles sortent de la partie centrale, l'un
tant
l'alimentation 220V, l'autre celle de la carte m
re (on reconna
t le
connecteur carr
cifique Amiga). Il semble curieux que le choix ne se
soit pas port
sur une rallonge standard comme on trouve sur tous les
towers, ce qui aurait permis de ne pas laisser tra
ner ce fil 220v
(attention, le c
ble n'est m
me pas bloqu
par une pastille d'arr
t). Le
ble 12V sort du bo
tier pour revenir imm
diatement sur la face arri
re du
1200. Il aurait
plus simple de souder directement l'alimentation. Il en
est de m
me pour le son, on doit le faire boucler, de la sortie Amiga
traditionnelle pour venir le reconnecter quelque centimetres plus loin dans
l'entr
e de l'ampli int
aussi, une connection interne aurait
bien plus judicieuse.
Le clavier est un vrai clavier Amiga 1200 mont
dans un bo
tier
plastique type PC.
@{fg shine}Michel: le clavier ne r
pond pas bien, nous l'avons constat
avec le
jeu Gloom lors du d
placement lat
ral du personnage (l'appui de plusieurs
touches simultan
es).@{fg text}
Si le mat
riel de base semble de bonne facture il n'en est pas de m
pour le montage. Etant moi-m
sireux de bidouiller un
tower/bo
tier/usine
gaz, ce montage m'a permis d'acqu
rir suffisamment
d'exp
rience je pense pour ne pas commettre les m
mes erreurs.
@{fg shine}Ed: Nous avons communiqu
ces commentaires
DeltaGraph'X. La soci
pondu avec les informations suivantes:
- qu'elle n'a pas pu trouver un cache de lecteur qui s'adapte
parfaitement au type de lecteur utilis
par Amiga Technologies. Par contre,
un lecteur de A2000 peut faire l'affaire. Le jour ou une solution se
sentera, DeltaGraph'X l'adoptera tout de suite.
- que il n'y a pas de soudure sur la carte m
re pour
viter des probl
avec le Service Apr
s Vente de Innelec en cas de panne sous garantie.
- que plusieurs prix cit
s, notamment ceux de la RAM et du bo
tier, ne
correspondent pas
ses prix d'achat au moment du test.
- que le papier scotch
est "une solution simple et efficace" d
utilis
e par Phase 5 sur ses cartes Cyberstorm.
Le Power Desktop est aussi disponible "pr
booter" en version
standard '060 sans RAM et utilisant le 1200 vide comme clavier au prix de
14400F, et en kit bo
tier pour 1770F.
L e t o w e r d e T u r t l e B a y
Eric Laffont@{fg text}
Turtle Bay Direct propose un @{"bo
tier tower 3/4 hauteur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Turtle1.24b"} de qualit
dont
la @{"face arri
re" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Turtle2.24b"} a
e parfaitement (et professionellement) pour
accueillir les connecteurs du 1200 et le ventilateur prot
par sa
grille. D
dans du galvanis
, une fois les connecteurs du 1200
reviss
s, le tout est parfaitement correct sans d
fauts ni faces coupantes.
L'aspect ext
rieur est parfait, sauf pour le lecteur de disquette o
remarque le m
me probl
me que pour le Desktop de Deltagraph'X: le cache-
lecteur en plastique a
oubli
Ouvrons le bo
tier. On remarque qu'une fois la carte m
re 1200 fix
sur la face arri
re, rien ne le tient
l'int
rieur. Les trous pr
cet
effet ne tombent pas en face des trous de la carte m
re. Il faut donc
bricoler.
La connectique est parfaitement r
e: pas de dominos, scotch ou cales
de bricoleurs du dimanche. Tous les c
blages sortent de la cage
d'alimentation et sont cal
s et prot
s contre les tirages accidentels.
Il n'y a pas de possibilit
d'utiliser le connecteur PCMCIA ni en
interne ni en externe, car pas de d
coupage du bo
tier. La seule solution
consistera
se bricoler une rallonge souple pour un branchement en
interne. Il sera aussi impossible d'esp
rer utiliser une extension de bus
Zorro II car la face arri
re n'a pas
e du tout
cet endroit.
(Ed: Derni
re minute: Turtle Bay proposera un kit PCMCIA (interne ou
externe) au prix de 490F, un kit multim
dia avec CD et haut-parleurs au
prix de 650F, un kit clavier PC pour 490F avec clavier -possibilit
change de claviers- et un kit Zorro II. Certains kits comporteront un
remplacement de la face arri
re du boitier).
@{fg shine}G V P i s t e s a t t e n t i o n !@{fg text}
Il est impossible de connecter le contr
leur SCSI d'une carte GVP ou
type similaire car il n'y a @{"pas assez de place" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Turtle3.24b"} dans le bo
tier, bien qu'il
reste la possibilit
de bricoler une rallonge souple. Avec une carte
ratrice dans le port d'extension du 1200, l'ajout d'un lecteur
Syquest 5.25" ou d'un lecteur de CD-ROM sera d
licate car les connecteurs
de ces derniers touchent la carte. C'est vraiment limite, mais cela
marche. Notez qu'aucun support n'est fourni pour la carte acc
ratrice.
clavier, c'est ici un montage fort simple qui permet d'utiliser un
clavier (fourni) de DCTV.
Pour conclure, je dirai que ce tower est destin
ceux qui veulent un
peu bricoler en ins
rant leur 1200 dans un tower. Pour 1200 Francs TTC,
cela semble un peu
mais correct. Si l'on est bien conscient des
limites cit
es plus haut, on n'aura pas d'autres surprises. La finition du
tier en externe et interne est tr
s correcte.
@{fg shine}C o m m e n t a i r e s s u p p l
m e n t a i r e s
de Eric Porcher@{fg text}
Le but de Turtle a
de concevoir un bo
tier, facile
monter: un
tournevis et une pince sont uniquement n
cessaires. D'ailleurs, avec ces
outils, nous avons pu en une heure d
monter le 1200, monter le tower puis
monter et remettre le 1200 dans son bo
tier d'origine. Tous les c
bles
et la visserie dont on a besoin sont fournis.
La carte m
nu vient se placer verticalement, et tous les
connecteurs se logent dans des trous usin
s proprement sur la face arri
me probl
me que sur le produit DeltaGraph'X: la boucle d'alim, mais ici
c'est compr
hensible du fait que n'importe qui doit
tre capable
d'effectuer la manip (soudure sur carte peu envisageable).
On fixe le lecteur de disquette, on branche la nappe et d
plus de la
moiti
du travail est fait. On connecte quelques bricoles comme la led
disque sur le turbo et on bidouille l'afficheur de fr
quence...
Reste le clavier qui est celui d'un CDTV avec un look d'enfer. Coffret
noir ainsi que toutes les touches 'sp
ciales' (ENTER SHIFT AMIGA CTRL...),
seules les touches centrales sont blanches. A connecter par le biais d'une
mini DIN sur la face avant, il ne permet pas de faire un reset. Celui-ci
sera accessible uniquement par le bouton poussoir sur le tower. La solution
trouv
e pour relier la DIN
la carte m
re est vraiment excellente, elle
consiste
clipper un bo
tier plastique sur le composant qui contr
le le
keyboard.
@ENDNODE
@NODE aWWorth5 " WordWorth 5 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}W o r d w o r t h 5@{fg text}
Digita International nous offre une nouvelle mouture de leur fameux
traitement de texte @{"WordWorth en version 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW5.16c"}. Outre un certain nombre de
nouveaut
s, il est livr
avec un grand nombre de polices, ce qui fait
toujours plaisir. Certains probl
mes des versions pr
dentes semblent
avoir
corrig
s. Le tout est acc
pour le plus grand bien des
utilisateurs d'Amiga 1200 de base pour qui une version SE (Sp
cial Edition)
est disponible.
@{fg shine}L e p a c k a g e@{fg text}
Difficile de parler de ce package vu la quantit
d'astuces et de
fonctions complexes et compl
tes qu'il comprend. Les sept disquettes
d'installation s'installent via l'installer de (feu) Commodore sans le
moindre probl
me. Tr
s peu de demandes
l'utilisateur m
me en "expert
mode". Tout est copi
dans le r
pertoire Wordworth5 et les assignations du
programme se trouvent dans l'ic
ne (.info) du programme. Cette fa
on de
der est vraiment parfaite et devrait
tre employ
e par tous les
programmes dans l'avenir, ce qui all
gerait consid
rablement nos startup-
sequences et autres user-startups. C
documentation, Digita fournit de
s bonnes documentations en g
ral avec leurs produits. Ici aussi donc,
258 pages toutes en couleurs et en images (mais en anglais) permettant pas
pas de d
couvrir le logiciel. En tant qu'utilisateur de Wordworth, il est
possible de dresser le portrait de cet update du programme.
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s@{fg text}
@{"Grab
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW51.24b"}
@{"__________" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW52.16c"}
@{"__________" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW53.16c"}
@{"__________" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW54.16c"}
@{"__________" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/WW55.16c"}
Comme l'annonce le communiqu
de presse, le seul concurrent valable de
Wordworth est en fait Final Writer. Une des nouveaut
s consiste par
ailleurs en un filtre d'importation des documents de Final Writer; utile
pour ceux qui d
sireraient changer de logiciel. Certaines options de Final
Writer n'existent pas encore dans cette version 5 de Wordworth tels que la
correction grammaticale et les effets graphiques pouss
s (rotation de
boites,...). N
anmoins, une quantit
de fonctions sont pr
sentes dans
Wordwoth 5 et non dans Final Writer.
Parmi les nouveaut
s qui apparaissent le plus fr
quement, il y a avant
tout l'utilisation du clipboard de l'Amiga. Ansi WW5 est bien plus
compatible avec le syst
me. Une autre nouveaut
est qu'il est d
sormais
possible d'utiliser toute la panoplie des fontes existantes sur Amiga avec
WW5. Le logiciel installe une s
rie de 50 polices vectorielles
(intelligifonts) mais est capable d'utiliser les Agfa compugraphics, Adobe
postscript, truetypes, sans oublier les Agfa math et surtout les fonts
bitmap de l'Amiga. L'utilisation des fontes bitmap (tiroir Fonts: du
tait un manque
vident des versions pr
dentes. De plus, WW5
sait travailler avec les polices r
sidentes de l'imprimante utilis
e, ce
qui acc
normement l'impression. Ceci nous am
parler de
l'impression. M
me en utilisant les fonts bitmap, la qualit
est parfaite.
Toujours un peu lente sur un 1200 de base mais grandement acc
e si
l'imprimante poss
de des polices r
sidentes que l'on utilise. Le graphisme
est tr
s bien rendu et une nouveaut
de cette version 5 r
side aussi dans
le fait qu'elle est capable de g
rer les images 24bits, de les afficher et
de les imprimer tr
s proprement. Une gestion du postscipt est aussi
sente. On peut soit imprimer un fichier postscipt, soit le sauver pour
l'imprimer ult
rieurement, ou l'importer ailleurs. J'ai aussi appr
cier la
gestion de l'impression en t
che de fond.
WW5 permet de continuer
travailler sur un document pendant une
impression en utilisant une sorte de spooler interne. L'utilisation de
cette option est tr
s souple et ne ralentit en rien le travail. Bien
entendu, la rapidit
du travail en multitache est totalement d
pendante de
la machine utilis
e. WW5 devient un v
ritable outil de PAO: les effets
ciaux de texte et d'images sont saisissants, comparable
ce que peut
donner par exemple Professional Draw. Les inclinaisons, rotations,
spirales, concentriques, ressort, ombres, et des quantit
d'autres,
laissent une marge de cr
ation digne d'un tr
s bon logiciel de PAO. Il va
sans dire que le multicolonnage est disponible. On peut penser que tout
ceci va ressembler
une usine
gaz de type Word6, mais non! C'est
toujours un produit Amiga qui peut fonctionner sur des petites machines et
la puissance des fonctions ne n
cessite pas des m
@{fg shine}D
m a r r a g e@{fg text}
A l'
cran, pas de changement, tout semble identique aux pr
dentes
versions. C'est en consultant les menus que l'on d
couvre certains ajouts,
mais c'est surtout dans les bo
tes de dialogue que cela s'est
Pratiquement toutes les bo
tes poss
dent des nouveaut
s ou plut
t des
facilit
s suppl
mentaires. WW5 g
re aussi directement la carte graphique
Picasso et en g
ral toutes les autres qui fonctionneraient sous CyberGFX.
Pour ma part, je tourne avec une R
tinaZ3 sous R
tinaEmu2.5 (
mulation
Workbench 4-8-16-24bits) pour laquelle WW5 a parfaitement reconnu et la
solution, et la profondeur des plans (m
me en 24bits).
Ici, donc, pas de probl
me d'adaptation, quelle que soit la carte
graphique utilis
e. Comme pour les versions pr
dentes, le plus de WW5
side aussi sur sa facilit
programmer sa Toolbar (barre de gadgets).
Toutes les options contenues dans les menus peuvent appara
cran
sous forme graphique dans cette Toolbar. Ainsi, chacun peut avoir une
version de WW5 totalement adapt
sa fa
on de travailler. On trouvera
aussi un port ARexx qui regroupera les 150 commandes principales de WW5 et
ainsi permettra soit de cr
er des scripts ind
pendants, soit des scripts
utilisables par le "Wizard" de WW5. Cette nouvelle fonction va permettre,
via le port ARexx, de cr
er des macros au programme. Les Wizards fournis en
standard sont assez impressionants. Tr
s facilement on cr
e des pages de
Fax de grande qualit
, des pages de m
mo, mais il y a encore mieux. Les
Wizards incorpor
s dans WW5 permettent aussi de cr
er de v
ritables pages
HTML !. Pour ceux qui ne pratiquent pas Internet, cela ne signifie pas
grand chose. Ce Wizard est en fait un cr
ateur de pages ASCII au format des
pages graphiques d'Internet WEB. Une fois vos pages cr
s et sauv
es, elles
sont lisibles par Mosaic ou Netscape. Tous les liens entre les sons,
images, textes sont directement faits dans WW5! Ce n'est pas tout; un
Wizard permet aussi de cr
er et g
rer son e-mail au format des e-mail
standards (encore de l'Internet). On peut aussi cr
er ses propres Wizards,
vous vous en seriez dout
Une aide en ligne et surtout une aide dirig
e seront pr
sentes. Cette
option ne fonctionnait pas compl
tement dans la version que j'ai eue mais
Digita nous assure quelle est (ou sera) disponible dans la version
commercialis
e en Mars. Une autre fonction int
ressante et que j'utilise
souvent, est la sauvegarde automatique. On peut d
sormais programmer (en
minutes) une sauvegarde r
re de son travail. Toutes les x minutes, le
document sera sauv
. Ainsi fini les pertes dues aux plantages parce que
vous avez travaill
en multit
che avec un soft un peu sale ou qu'une micro
coupure EDF vous a surpris.
WW5 est bien
videment compatible avec tous les produits Digita. On
peut donc importer directement les tableaux de Turbocalc. WW5 cr
directement une sorte de tableau dans le texte poss
dant toutes les
facilit
s d'une bo
te. Les fichiers de Organiser, Datastore, et Personal
Paint sont utilisables sous WW5 et ce, m
me en utilisant les clipboards de
l'Amiga.
Il ne faudrait pas que j'oublie la fonction qui sauve: le UNDO et la
fonction qui peut rendre des services: Le REDO.
@{fg shine}C o n c l u o n s@{fg text}
Beaucoup d'autres facilit
s de travail sont (ou seront) pr
sentes dans
WW5. En attendant la version d
finitive et commercialis
e quand vous lirez
ces lignes, cette version 5 (Beta 2) m'a bien s
duit. Les nouvelles
fonctionnalit
s concernant les polices, l'impression et la manipulation de
texte, la facilit
d'utilisation, le fait qu'il tourne sur un 1200 de base
(2Mo sans disque dur) et bien d'autres, font certainement de WW5 le
logiciel de traitement de texte de l'Amiga. J'esp
re que l'
diteur anglais
Digita n'oubliera pas ses amis fran
ais en proposant un dictionnaire et une
localisation en fran
ais. Il serait dommage de ne pas pouvoir profiter des
facilit
s du correcteur syntaxique.
@{fg shine}F i n a l W r i t e r 4@{fg text}
Comme les gens de Digita comparent souvent WW5
FinalWriter4, il convient
rifier leurs dires. J'ai donc essay
@{"FW4 Lite" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Finalw4.16c"}
L'
cran de d
part ressemble
normement
celui de WORDWORTH lorsque
l'on place sa Toolbar sur le cot
gauche. Manifestement quelqu'un a copi
L'acc
FW4 est assez simple et ne n
cessite pas vraiment la lecture
de la documentation. Les bo
tes de s
lection sont assez semblables dans
leur contenu
celles de WW5. Cependant, elles sont moins compl
tes pour
certaines d'entre elles. Difficile de tester la version "Lite" que j'avais
entre les mains tant elle plantait. FW4 ne veut pas fonctionner avec mon
Magic Menus et certains de mes Dps et patches du syst
me alors que WW5 s'en
accommode tr
s bien. Il faudra essayer une version compl
te et d
finitive
de FW pour se faire une meilleure id
e. Globalement, et en creusant un peu,
il en sort que WW5 est plus performant et complet.
Il manipule bien mieux tout ce qui est polices de caract
res, effets
ciaux sur le texte et les images couleur. Il est quand m
me plus lent
que FW4. Ceci pourrait
tre un peu p
nalisant pour les machines
base de
68020
14Mhz.
FW4 semble plus rapide et moins gourmand en m
moire. C'est quand m
rifier sur la version compl
te. J'ai bien aim
la pr
sentation de FW4:
les pages sont g
es comme des documents d'une base de donn
es. Le r
glage
des pr
rences est pratiquement identique au point de vue de la
sentation
Netscape 2.0!
C'est assez amusant.
Ce n'est pas facile de choisir entre l'un ou l'autre. De toute fa
WW5 est plus puissant et complet que FW4 dans bien des parties.
Moi j'ai choisi,
vous de voir si vous pouvez essayer les deux.
@{fg shine}Eric Laffont@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aAuralsyn " Aural Synthetica V1.0 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S y n t h
t i s e z v o s s o n s !
Aural Synthetica V1.0@{fg text}
Aural Synthetica V1.0 est un nouveau logiciel qui permet la synth
se de
sons, en utilisant des combinaisons de modules de synth
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n , i n s t a l l a t i o n@{fg text}
Le logiciel (450Ko) peut
tre install
sur disque dur par simple copie
(aucun assign n
cessaire) ou laiss
sur disquette. Il fonctionne sous
Workbench v2.04 minimum, un 68020, 2 Mo et de la m
moire Fast sont
conseill
s. Sont fournis sur la disquette: un manuel d'utilisation
(AmigaGuide) et une s
rie d'exercices (en texte) en anglais, 49 patchs
rents (r
glages du logiciel permettant le calcul d'un son).
Au d
marrage, une fen
tre permet de r
gler la taille du son
calculer
(minimum 50Ko). Dans tous les cas, le calcul se fait en 16bits 44.19KHz,
50Ko correspondront
une 1/2 seconde d'
chantillon mono et la moiti
o (25Ko/cot
). Il faut donc pour une utilisation correcte des tailles
rieures. Puis, le logiciel s'initialise et on peut alors commencer
travailler.
@{fg shine}O n a a c c
s
d e u x f e n
t r e s@{fg text}
Je vais ici d
crire rapidement les options pr
sentes dans chacune, ce
qui vous permettra d'avoir un aper
u des capacit
s de ce logiciel.
* La premi
re fen
tre, View sample, permet:
- En acc
s direct : d'
couter le son calcul
, de s
lectionner le c
visionner (left/right/both).
- Par menu d
roulant : d'effacer tous les r
glages effectu
s pour le
calcul d'un son; de charger et de sauvegarder un Patch, c'est
dire tous
les param
tres des diff
rents modules de synth
se qui permettent au
logiciel de calculer un son; de sauvegarder un
chantillon, plusieurs
formats sont dispo1nibles AIFF (16bits Amiga et Mac), Wave (16bits PC), IFF
plusieurs modules (ou "boutons"). Pour une meilleure
compr
hension, il faut consid
rer chaque module comme une unit
physique
d'un synth
tiseur et qui permet de g
rer un signal ou de le modifier.
On a ainsi acc
- Des oscillateurs : ils sont au nombre de 18.
L'oscillateur 1 synth
tise le son, les 17 autres permettent de modifier ce
qu'il produit. Chaque oscillateur peut
tre param
. On peut, entre
autres, choisir le type d'onde (waveform)
mettre, sa phase, son
amplitude, sa fr
quence en ajustant la note et l'octave, et choisir les
connections avec les autres oscillateurs. En effet, il faut pr
ciser les
connections entre chacun des modules (par exemple sortie du 3 sur entr
e du
2 qui est connect
au 1 qui cr
le son) on peut ainsi si l'on n'utilise
que l'oscillateur 1, cr
er des sons
partir d'une onde de base, et si on
utilise des combinaisons, cr
er des sons plus complexes. D'autres @{"options" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Aural1.4c"}
sont accessibles.
- 6 Mixers: chacun permet de mixer le signal de 6 oscillateurs diff
rents
des niveaux r
glables.
- @{"Des modules" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Aural2.4c"} permettant la modification du signal:
- 6 Enveloppe generators: chacun
met un signal qui modifie le volume du
son qui le traverse, l'onde de ce signal est compos
e de 12 points dont on
peut modifier le x (length) et le y(depth);
- 6 modifiers, qui changent la forme du signal (ex.: distortion);
- 6 Wave Shapers qui utilisent des techniques tel que le phaser;
- 6 Filters que l'on peut assimiler
des
qualizers graphiques (action
sur les fr
quences du signal);
- 6 amplifiers qui modifient l'amplitude du signal et permettent de
combiner deux signaux (ex: Add, Sub);
- 6 Delays qui rajoutent un delay l
ger avec ou sans modulation et encore
un nouveau phaser;
- 6 tool boxes qui contiennent un g
rateur de bruit, des filtres (passe
bas, passe haut) et un contr
leur de r
sonnance s
des filtres.
- Le module Waveform qui est un
diteur d'onde. AS donne acc
36 ondes
(pour les oscillateurs). Les 12 premi
res sont celles de base et ne peuvent
tre modifi
es. Les 24 autres sont
la charge de l'utilisateur. On peut
ainsi cr
er ses ondes en utilisant des harmoniques, un g
rateur de bruit,
ou encore l'option Random.
- Le module basic synthe: l'auteur, conscient de la complexit
d'utilisation d'un tel programme, propose 50 mod
les de "synth
tiseurs de
base", c'est
dire 50 combinaisons de connections des diff
rents modules
entre eux et qui permettent de construire des sons diff
rents, le tout
clairement @{"
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Aural1.4c"} sous forme de diagrammes avec quelques
lignes explicatives .
- Le module Patch Programmer: permet de r
aliser son synth
tiseur en
connectant les diff
rents modules entre eux ou de modifier un basic synthe
en rajoutant une connection.
- Enfin le bouton Render qui permet de lancer le calcul du son.
Avec une taille d'
chantillon de 50Ko, et une connection directe de
l'oscillateur 1
la sortie mono gauche (c'est
dire le synth
le plus
simple possible), le calcul prend au minimum 7 secondes sur mon A1200 (4Mo
de Fast). D
s que l'on rajoute des connections, le temps augmente
consid
rablement. La r
alisation d'un son
tant une suite d'essais et
d'echecs, le tout devient vite assez long (surtout si la machine est lente
ou la taille de son choisie grande).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Avec un tel logiciel on peut cr
er une grande vari
de sons,
comparables
ceux des synth
tiseurs des ann
es 70 (pr
cise l'auteur). Il
s'adresse
mon avis
des utilisateurs d
sireux de cr
er leur propres
instruments qui seront
coup s
dits. Le calcul en 44,19KHz permet par
la suite de les modifier dans les meilleures conditions avec un logiciel de
traitement de son. Le son pouvant
tre enregistr
en 16 bits, on pourra
galement dans les meilleures conditions, l'envoyer gr
un logiciel tel
que SampleLink (test ANews n
59), vers un
chantillonneur Midi (protocole
Sample Dump Standard).
J'ai appr
: la quantit
de param
tres permettant un tr
s large
choix de combinaisons, donc de sons. Le calcul en 16 bits. Le fichier
d'exercices bien construit.
J'ai regrett
: le calcul non param
trable (toujours 16 bits,
44.19KHz). Impossibilit
de changer la taille du son apr
s le d
marrage
d'AS. Les couleurs trop sombres de l'
cran, impossibles
changer. Les
Patchs propos
s qui
90% sont peu convaincants (pas de piano...).
Une d
mo circule librement (les fonctions de sauvegarde et taille sont
bloqu
s), pour ceux qui pr
rent tester avant d'acheter.
@{fg shine}R
mi MOREDA@{fg text}
@{fg shine}Prix @{fg text}:
@{fg shine}Distributeur @{fg text}: Seasoft Computing, Grande Bretagne
@ENDNODE
@NODE aOsdevkit " OS Devkit v1.10 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}O S D e v K i t 1 . 0 1
AmigaDos Extension@{fg text}
Depuis sa cr
ation, le langage de programmation Amos n'a0 eu de cesse
voluer. La version initiale, apr
s quelques reliftages, est devenue
professionnelle, apportant un cort
ge de nouveaut
s qui donnent
cet outil
une p
rennit
sur Amiga incalculable.
Pour renforcer les efforts de Fran
ois Lionet, une pl
iade d'extensions
a vu le jour afin de compl
ter les lacunes constat
es. Un domaine cependant
n'avait pas ou peu connu de succ
s; il s'agit des choix technologiques
retenus dans la conception du langage ne le favorisant pas: le
veloppement d'application AmigaDos.
@{fg shine}U n l a n g a g e c o n t r o v e r s
@{fg text}
En effet, la programmation sous Amos faisait abstraction du Workbench,
et les quelques instructions orient
es multit
ches ne permettaient pas de
aliser des applications "full" compatibles. Certains puristes voyaient en
cela une h
sie, rejetant de facto l'utilisation de ce langage, et ce
malgr
la large audience obtenue aupr
s du public par ce dernier. Il est
vrai qu'un programme
crit en Amos, bien qu'utilisant au maximum la
puissance de la machine, n'
tait pas totalement satisfaisant pour l'esprit.
Une passerelle avec le syst
me d'exploitation existe bien, mais cette
coexistence des deux environnements ne favorise pas le dialogue, et
s'affranchit trop souvent des r
gles d'
thique logicielle prescrites par le
funt Commodore. On se retrouvait avec des produits hors normes, sans
homog
avec l'environnement.
De plus, ces tares n'ont eu de cesse de freiner l'expansion de ce
langage, le cantonnant essentiellement
criture de programmes de jeux
(ce qui est d'ailleurs son but initial et sa pr
rence), ob
rant ipso
facto ses chances de reconnaissance dans le monde du d
veloppement
professionnel sur Amiga. En cons
quence de quoi, Amos bien qu'outil de
dilection des d
veloppeurs du dimanche, ne connut pas la renomm
e qui
lui est d
volue.
@{fg shine}L ' e s s e n c e d ' u n e i d
e@{fg text}
Loin de ce sombre tableau, il est bon de noter que malgr
tout, bon
nombre de d
veloppeurs se sont investis dans ce produit, et au premier rang
figure sans nulle doute Brice Fromentin. Ce dernier, soucieux d'
viter les
lourdeurs implacables des errances du C ou de ses avatars, a eu l'id
e, et
surtout la volont
, de mettre au point une extension capable de palier les
carences ci-dessus relev
es. Pour m
moire, rappelons que les extensions
Amos,
crites en assembleur, s'int
grent parfaitement au langage en offrant
de nouvelles instructions utilisables comme un simple " Print ". Conscient
de cette notion, rien de plus simple alors que d'
toffer ce langage
l'infini, l'imagination n'
tant que la seule borne.
De tout cela est n
le OS_DevKit, un excellent raccourci vers le
veloppement d'applications Intuition
partir de ce langage si agr
able
utiliser. Une fois la librairie d'extension int
e dans votre
environnement de programmation, toutes les instructions s'impl
mentent et
ne font plus qu'un avec l'imposante panoplie d
votre disposition.
Le kit, en effet, se pr
sente sous la forme de deux disquettes.
L'installation est semi-automatique, et a pos
quelques soucis,
savoir
entre autre chose qu'il a fallu l'ex
cuter en bootant sur la disquette
d'installation. Hormis ces balbutiements, il ne reste qu'
inscrire
l'extension dans les pr
rences d'Amos. Bien que cela soit facile
aliser, la proc
dure doit
tre suivie avec minutie sous peine de
stabiliser le langage. Une fois ces op
rations r
es, vous d
couvrez
dans votre r
pertoire Amos un fichier d'aide Amigaguide seul
ment
visible de la transformation.
@{fg shine}@{"L e s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Osd1.16c"} @{"p r i n c i p e s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Osd2.16c"} @{"d e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Osd3.16c"} @{"b a s e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Osd4.16c"}@{fg text}
L'appel des fonctions est des plus simples, car il est identique aux
fonctions standard d'Amos. Il suffit d'int
grer les instructions dans votre
code source et de lancer l'ex
cution. Par contre, plus int
ressante est la
dichotomie retenue dans la forme lexicale des noms d'instruction. En effet,
l'auteur, soucieux de les identifier plus facilement, leur a coller, des
extensions.
Les appels de fonctions sont pr
s d'un raccourci significatif. Par
exemple, pour ouvrir un requester ASL, on invoque "_asl Do", o
"_asl" est
le nom de la librairie apparent
e et "Do", la commande
cuter. De la
me mani
re on trouve
galement "_scr Open" o
dans ce cas "_scr" est le
raccourci d'
cran.
Dans un souci de clart
, un mot cl
peut venir s'intercaler dans
certaines hypoth
ses. Par exemple, pour fixer une valeur dans une
structure, on va intercaler un "Set" comme "_spr Set Height" qui fixe la
hauteur d'un sprite. Hormis ces commandes actives, on trouve
galement des
ordres que l'on peut classer dans la cat
gorie "lecture/
criture", et qui
servent
extraire une ou plusieurs valeurs des structures internes. Par
exemple, pour conna
tre le contenu du texte d'un gadget dans une structure
Intuitext on utilise la commande "_gad What Text" (notez la d
signation
triple).
Ce syst
me de notation est efficace, car tr
s parlant, et surtout il
permet d'identifier facilement les commandes. Il pr
sente
galement
l'avantage d'utiliser les noms usuels retenues dans les librairies Amiga.
Le noyau standard d'Amos s'accommode tr
s bien de l'utilisation du
DevKit dans la mesure o
l'ensemble est coh
rent, et que le langage offre
des commandes minimales de gestion du multit
che (par exemple: "Amos to
here"). Ce sont d'ailleurs par ces derni
res que l'ont ouvre une porte vers
le monde Intuition, et que l'on redonne
ventuellement la main au langage.
@{fg shine}L '
t e n d u d e s c o m m a n d e s@{fg text}
Bon nombre de librairies ont vu le jour sur notre syst
me, et cette
extension Amos ne cherche qu'
grer les plus classiques,
savoir
"Exec", "Intuition", "Graphics", "Dos", "Asl" et "Gadtools". Normalement,
avec tout cela, on utilise 95 % des ressources, le reste
tant plus
exotique. Toutes les commandes de base sont impl
es, avec en plus
quelques commandes bonus. En effet, la commande "_Sys Cpu" donne le num
de microprocesseur. Id
al pour faire un utilitaire d'information syst
"_Cold Reboot" r
alise un d
marrage
froid de la machine.
Hormis ces fonctions pratiques, l'organisation des commandes s'ordonne
de mani
re classique. Les appels de librairie sont r
s directement
dans le code de l'instruction AMOS. A l'ouverture de OSDEVKIT, une
initialisation des pointeurs sur les adresses de base librairie est faite.
On retrouve d'ailleurs cela dans les fonctions du genre "_base Asl" qui
retourne une adresse de localisation de la librairie ASL. Par la suite,
chaque appel de fonction, l'OSDEVKIT fait lui m
me les passages de
param
tres dans les registres machines.
Ce syst
me fait quasiment dispara
tre les appels fastidieux
multiples pointeurs et la recherche des num
ros de fonction. C'est en cela
que ce produit peut s'apparenter le plus
une immense macro g
rant pour
vous un grand nombre de commandes syst
mes. Cette extension est une
passerelle logicielle entre les deux environnements (on peut aussi appeler
cela une interface). Ces facilit
s trouvent cependant vite une limite:
aucun contr
le ne s'effectue sur le codage des donn
transmettre. De ce
fait, un utilisateur novice risque de rencontrer de nombreux plantages, car
une bonne connaissance du syst
me d'exploitation est n
cessaire.
Cependant, ces instructions sont compl
es par un judicieux panel de
commandes g
rant l'
criture et la lecture des pointeurs et des structures.
Par exemple, pour ouvrir une fen
tre, on utilise l'instruction "_wnd Open"
suivie entre parenth
ses des valeurs de param
trage. Si on omet ces
valeurs, la fen
tre s'ouvrira avec une pr
sentation par d
faut. On peut
indiquer les coordonn
es du coin sup
rieur gauche ainsi que la hauteur et
la largeur de la fen
tre. On peut enfin passer en ligne les flags
intuition. Dans le m
tat d'esprit, certains passages de param
tres sont
fait par une instruction sp
cifique.
Par exemple, "_scr Def Title" d
finit le titre du futur
cran
ouvrir.
Ou encore, "_scr What Width" donne la largeur actuelle de l'
cran. Tr
souple, ce syst
me de contr
le facilite grandement le travail avec les
librairies et la gestion des appels de fonction. Cela pr
sente aussi
l'avantage d'offrir une lecture ais
e de vos codes sources. Plus besoin de
chercher dans une structure, la ligne qui correspond
une d
finition
particuli
re. La d
finition des offsets les plus courants se fait par
OSDEVKIT.
L'auteur a
galement pris en consid
ration la gestion de certaines
structures complexes. Je pense notamment aux listes cha
es. Il a cr
cette occasion des commandes de gestion qui vont de la gen
destruction, avec bien entendu, des commandes de d
placement et de
recherche. On peut donc ajouter des noeuds ou retrouver une cha
ne pr
cise
dans une liste. Le Workbench 2.0 a introduit des listes particuli
res pour
la gestion de certains
ments graphiques: les TagList. Elles n'ont pas
oubli
es, et r
pondent
la m
me logique que les commandes pr
dentes.
@{fg shine}U n e e x t e n s i o n e n o r@{fg text}
Nul besoin d'en dire plus pour convaincre certains de d
velopper leurs
applications Workbench sous AMOS. Bien que le package se suffise
lui
me, l'absence d'un manuel papier se fait remarquer. La documentation au
format Amigaguide se pr
sente plus comme un index qu'un v
ritable mode
d'emploi. Il est dommageable que l'auteur ne l'ait pas compl
par un
tutorial et un r
des connaissances essentielles
tenir sur la
programmation OS.
Un programmeur AMOS ne poss
dant aucun rudiment de C ou d'assembleur
risque de ne pas y trouver son compte. A l'image de la richesse en
informations distill
es dans le manuel d'Amos, on aurait aim
quelque chose
de plus consistant, permettant
un n
ophite de mettre le pied
trier,
surtout que les documentations techniques sur l'Amiga ne courent pas les
rues (l'auteur promet dans ce domaine quelques am
liorations).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Pour ce qui est des r
sultats, ils sont excellents, m
me si j'ai
constat
un ralentissement certain dans l'ex
cution des programmes par
rapport
ce qu'il est possible de r
aliser avec les m
mes commandes en C
ou en assembleur. L'osmose produite avec Amos oblige
conserver ce dernier
che de fond, ce qui, le connaissant, n'est pas toujours des plus
prudents. Le compilateur Amos r
agit normalement et ne souffre visiblement
d'aucune alt
ration. Par contre vos oeuvres ne fonctionneront qu'
partir
du Workbench 2.0.
En d
finitive, c'est un excellent produit qui ne se contente pas
d'imiter l'interface Intuition sous
cran Amos, et qui facilitera bien des
veloppements futurs pour ceux qui auront le courage de s'immiscer dans
les arcanes du syst
me natif.
@{fg shine}Gill BIHAN
Distributeur @{fg text}: Quartz Informatique
@{fg shine}Prix @{fg text}: OSDevKit 390FTTC.
@ENDNODE
@NODE aDevpac35 " Devpac 3.5 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D e v p a c 3 . 5 0@{fg text}
La derni
re version utilis
e par la plupart des gens
tait la version 3
(cf ANews 54 p 66). Que nous apporte ces 0.5 de plus? Une mise
jour est-
elle justifi
e ou bien n'est-ce int
ressant que pour les nouveaux venus
dans le cercle des fans de l'assembleur.
Les am
liorations de cette nouvelle mouture ne sont
mon avis pas tr
pouss
es. J'entends par l
que si vous
tes un utilisateur de la version 3
vous ne serez pas trop d
. Et le lot de nouveaut
s apport
es au
logiciels, c'est
dire Devpac, Genam et Monam, ne sont pas majeures.
@{fg shine}D e v p a c@{fg text}
Citons une liste tout de m
me int
ressante, Devpac (
diteur source)
dispose d
sormais de num
ros de lignes (il
tait temps, pr
sent dans devpac
2, disparue dans devpac 3). Vous pouvez
galement choisir le mode d'
cran
dans lequel vous travaillerez ainsi que les fontes d'
crans. Le mode de
gestion des pr
rences est diff
rent et donc un peu d
routant si on est
habitu
la version 3, mais on s'y fait.
@{fg shine}@{"G e n a m" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Devpac2.2c"} e t @{"M o n a m" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Devpac3.2c"}@{fg text}
Ils ont subi des modifications mineures. Par exemple, Monam ne plante
plus quand on a
faire
une machine disposant d'un processeur 68040.
Quant
la gestion du processeur 68060, n'ayant aucune note l
dessus dans
la documentation, et ne disposant pas de l'option 68060 dans les
rences, je la juge pour l'instant non impl
me si quand vous
cifiez l'option 68060 via l'option en ligne, il n'en r
sulte pas
d'erreurs. Wait and see! N'ayant pas d'information sur la version 3.14
(version anglaise de Devpac suivant la 3, nous fran
ais disposons de la
version 3.50), je ne puis m'avancer sur les am
liorations de la version
aise, au niveau code par rapport
celle-ci.
@{fg shine}A m
l i o r a t i o n s e x t e r n e s@{fg text}
L'am
lioration majeure
mon sens se situe au niveau des am
liorations
externes au logiciel. Nous disposons alors d'une installation via Installer
en fran
La traduction de la documentation est de bonne facture avec quelques
erreurs. Par exemple les commandes "Shift ." et Shift ," font r
rence au
clavier anglais. Avant Devpac 3.50, nous disposions d'un assembleur
performant mais pas v
ritablement d'un syst
me de d
veloppement complet,
que l'on trouve sur d'autres plate-formes.
Maintenant, quand vous lancez Devpac, il vous suffit de taper sur la
touche Help et un index AmigaGuide @{"appara
t" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Devpac1.2c"}.
Toute une pl
iade d'informations vous expliquant comment d
velopper
tre Amiga (en respectant le syst
me) apparaissent. On passe par le "Style
Guide" qui est pr
par CBM et repris par Amiga Technologies. Celui-ci
vise
une standardisation de la communication entre l'utilisateur et le
logiciel. Ainsi, vous ne serez pas perdu lors de l'utilisation de plusieurs
programmes. Je citerai pour exemple le copier (Amiga c) coller (Amiga v)
etc...
Des cours sont donn
s sur la programmation de certaines biblioth
ques
telle que la gadtools et, sur certains devices, comme le trackdisk. Les
jeux d'instructions de toute la famille 68000 sont pr
sents ainsi que ceux
du FPU (unit
de calcul math
matique) et ceux de la MMU (gestionnaire de
moire, permettant notamment d'utiliser des logiciels de m
moire
virtuelle). N
anmoins, pour le d
butant, il aurait
souhaitable que
chaque instruction soit agr
e d'un exemple montrant ses effets, car si
certaines instructions sont explicites, d'autres le sont beaucoup moins.
@{fg shine}U n e m i n e d ' i n f o@{fg text}
En fait, toutes les documentations ajout
es par ADFI sont int
ressantes
et couvrent pas mal de sujets comme les optimisations pour les plus
acharn
s d'entre vous (quoique les d
mo makers doivent en conna
beaucoup plus sur ce sujet). Une mine d'informations appr
ciable se situe
au niveau des cours, globalement construis en trois parties. Le programme
source devrait
mon avis
tre davantage comment
, je repense
notre
ami qui d
bute. Ensuite vient l'explication. Celle-ci est divis
e en trois
parties, les g
ralit
s qui par exemple pour la biblioth
que iffparse,
vous d
crit le format IFF. Puis vient le principe de fonctionnement et
enfin l'explication, le dernier point
tant le programme ex
cutable.
Il est dommage que pendant que vous regardez le source, vous ne
puissiez pas cliquer sur l'explication, le gadget du guide n'
tant op
rant
qu'une fois que l'on quitte celle-ci. Si vous disposez des autodocs
(documents officiels d
crivant l'utilisation de toutes les biblioth
ques
velopp
es par CBM), vous pourrez les consulter de l'
diteur. Il aurait
judicieux d'y ajouter une consultation des fichiers includes, au cas ou
vous ne vous rappelleriez plus quel champ compose la structure ViewPort par
exemple.
Si vous ajoutez
cela quelques macro instructions, vous aurez l'air de
faire du basic ou presque. Ceux qui ont touch
la programmation en
assembleur sur processeurs 8bits, auront l'impression qu'avec le 680x0, ils
faire
du basic. Pour cela, lisez un peu les articles sur la
programmation en assembleur dans ANews. Comptez les instructions utilis
vous verrez qu'avec tr
s peu d'instructions, on fait
ment de choses.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Il se fait tard, alors je m'appr
vous laisser, mais je tiens
vous dire que l'environnement de cette version est le bienvenu. Vous
pourrez commencer
travailler pratiquement sans rien de plus que ce
produit. Cela s'av
re int
ressant surtout en ces temps de p
nurie en
re de documentations sur Amiga. Quand on sait que des gens comme Jim
Drew auteur de l'
mulateur Mac II, Emplant et Fran
ois Lionnet d
veloppeur
d'Amos utilisent Devpac, c'est une certaine garantie de s
rieux.
Si je trouve que Monam doit se refaire une beaut
, et m
me un lifting
complet, je tiens
saluer les
ditions ADFI pour leur support constant
apport
ce produit. Ce par les temps qui courent n'est pas rien.
@{fg shine}Kamel BISKRI@{fg text}
@{fg shine}Distributeur@{fg text}: Editions ADFI
@{fg shine}Prix @{fg text}: 795F
@ENDNODE
@NODE aNewsVideo " News Vid
o (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
Tout d'abord une grosse col
re de votre serviteur. Nous avons re
u pour
la rubrique Exp
rience Vid
o, un seul courrier! (publi
dans ce num
ro).
Mais o
sont donc pass
s les "vid
amiga
stes"? Seraient-ils en voie de
disparition, auraient-ils fait voeu de silence? Ou peut -
tre se sont t'ils
laiss
s charmer par les sir
nes PC. Et Michel de s'exclamer, que malgr
tout, lui "ne passera jamais du c
obscur", que Windows ne sera jamais le
WORKBENCH. Et Eric de faire remarquer "que pourtant sur AMIGA il y a encore
Scala,
moins que sur PC..." (effectivement, c'est pour tr
s bient
t, nous
le testerons). Bref, que voulez vous,
chaque
poque ses "moulins" (PC) et
ses "Don Quichotte" (Amiga
stes inconditionnels). Aussi pour jouer les
troubles-f
te et couper court
toute pol
mique, vid
astes de tout
standard, unissez vous! Cette rubrique Experience Video est aussi ouverte
aux "PCISTES" (et toc). Alors Messieurs ou Mesdames les "amiga
stes", peut-
tre rel
verez vous le gant (ou souris), et vous mettrez-vous
vos plumes
(pardon, claviers!).
@{" Anniversaire ou d
part
la retraite (04-89)" LINK aAnnidep}
@{" Le DVD ou l'histoire d'un standard en devenir (04-89)" LINK aDvdstandar}
@{" JVC X3 (04-89)" LINK aJvcx3}
@{" ECOUTEZ VOIR (04-89)" LINK aEcouvoir}
@{" JVC cam
scope num
rique (04-89)" LINK aJvccamnum}
@{" Philips t
viseur 29PX 8001 (04-89)" LINK aPhilips29px}
@{" HAMA VIDEOCENTER 230 (04-89)" LINK aHamavcenter}
@{" Amiga & Vid
o (04-89)" LINK aAmigavideo}
@{" MIRO DC20 pour MAC (04-89)" LINK aMirodc20}
@ENDNODE
@NODE aAnnidep "Anniversaire ou d
part
la retraite (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}Anniversaire ou d
part
la retraite ?@{fg text}
Et oui, le VHS
20 ans (1976/1996), et m
me s'il se voit bouscul
par le num
rique avec l'arriv
e du DVD, il fera certainement une entr
honorable dans le troisi
me mill
naire. Quant aux pr
tendants au tr
ne, il
leur faudra certainement encore attendre 2010 pour le remplacer totalement,
moins que... (souvenez- vous du passage du disque audio vinyl vers le CD,
qui fut beaucoup plus rapide que pr
vu, et ceci malgr
le prix des premiers
lecteurs de CD).
@ENDNODE
@NODE aDvdstandar "Le DVD ou l'histoire d'un standard en devenir (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}Le DVD ou l'histoire d'un standard en devenir@{fg text}
Concernant le DVD (Digital Vid
o Disc), les premi
res estimations
volution de march
indiquent que 1998 serait l'ann
e du DVD avec une
vision de vente de deux millions d'unit
s pour le monde. L'avenir nous
dira si ces pr
visions sont r
alistes.
En attendant le r
capitulatif sur les diff
rents formats num
riques
vus pour le mois prochain, voici quelques pr
cisions concernant le DVD.
Ce standard (qui en est un depuis vraiment peu), avait
adopt
1994 par plus de 50 constructeurs (informatique et audiovisuel). Mais comme
toujours en vid
o, chacun des "t
nors" ont essay
de jouer les francs
tireurs, (SONY et PHILIPS en t
te): Rappelez-vous 1976, l'arriv
e des
premiers magn
toscopes de salon. La guerre des standards (VHS, BETAMAX,
VIDEO 2000) faisait rage alors, et ce fut finalement le VHS qui l'emporta
s avoir laiss
le "bec dans l'eau" les malheureux acheteurs des autres
standards (essayez aujourd'hui de trouver des films en BETAMAX ou en
V2000).
Aussi, fin 1995, voyant que l'on
tait reparti comme en '14, pardon
'76, coup de col
re des constructeurs informatiques, exigeant qu'une bonne
fois pour toutes les majors de la vid
o se mettent rapidement d'accord,
sans quoi, ils se verraient oblig
s d'imposer leur propre standard. Aussi,
bon gr
, mal gr
, en novembre 95 ce fut le retour au bercail pour tout le
monde. Le lancement du DVD pouvait alors d
marrer. Techniquement, et sans
trop rentrer dans les d
tails, il faut savoir que le DVD utilise des
disques de type CD audio (12 cm) mais d'une capacit
d'enregistrement
rieure (environ 7 fois). Ce r
sultat est obtenu gr
superposition de deux niveaux d'
criture, et la possibilit
crire sur
les deux faces. Cette nouvelle capacit
va permettre de lire deux heures de
film sur un CD, et cela sans changement de face (d
tail fort d
able
sur les CD vid
o actuels).
La norme de compression MPEG2 dont la qualit
d'image est nettement
rieure au MPEG1, permet d'obtenir une r
solution de 720*480 avec une
parfaite restitution des couleurs et ceci, du fait que l'on travaille en
composante num
rique,
vitant ainsi les probl
mes de proximit
de couleur
(rouge et bleu par exemple). Pour comparer avec l'analogique, il faut
savoir que le VHS grand public est proche du MPEG1 et que le SVHS
professionnel serait l'
quivalent du MPGE2 avec toutefois une d
finition
rieure pour le MPEG2.
Concernant l'
volution de ce standard, il est d
vu plusieurs
capacit
s et supports d'enregistrement. Le SD vid
o (4,7 Go
18 Go) et le
@{"SDROM" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Dvdrom.8bt"} (con
pour l'informatique) autorise seulement la lecture. Le SDRAM, lui, sera
inscriptible et pr
vu pour un usage vid
o ou informatique, pour une
capacit
de 2,6
5,2Go. Parmi les autres am
liorations, et non des
moindres, la qualit
audio
aussi subi une nette am
lioration. Sup
rieur
au CD audio actuel, le DVC va b
ficier des derni
res technologies
appliqu
es au traitement du son (Surround, Dolby ac3).
Alors, si tout ceci vous para
t all
chant, il vous faudra attendre fin
1996, qui sera la date de lancement des premiers DVD. Les prix des
@{"lecteurs vid
o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Dvd.8bt"}
se situera dans une fourchette de 3000F
5000F et, pour mettre en app
les vid
ophiles, il faut savoir que trois cents films seront mis
simultan
ment sur le march
@ENDNODE
@NODE aJvcx3 "JVC X3 (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}J V C X 3@{fg text}
Cette nouvelle @{"cam
ra triCCD" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Jvcx3.8bt"} non-dockable fonctionne en SVHS Pro et
devrait ravir les budgets (actuellement
la baisse) des associations ou
des cellules de communication institutionnelles ne d
sirant pa trop
investir. Lanc
sur le march
anglais
un prix promotionnel, puisque
propos
moins de 40000F (dur
e limit
e) ce cam
scope d'
paule d'une
sensibilit
de 4 lux est
en standard d'un objectif 14x. En
connectique, on dispose d'une entr
e micro auxiliaire (XLR), mais par
contre, d'aucune sortie YC ou YUV; seule une sortie vid
o composite est
disponible. La partie audio dispose de canaux HIFI et d'un g
rateur de
time code. Disponibilit
en France courant JUIN.
@ENDNODE
@NODE aEcouvoir "ECOUTEZ VOIR (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}E C O U T E Z V O I R@{fg text}
La soci
EV nous informe qu'elle dispose d'un studio de capture de
mouvement 3D. Ce syst
me se compose de cam
ras infrarouge pour capturer les
mouvements de corps et de visage et d'un calculateur pour transformer ces
es en animation (fort pratique pour les d
veloppements sur le
virtuel). Pour de plus amples informations, contactez la soci
ECOUTE
VOIR.
@ENDNODE
@NODE aJvccamnum "JVC cam
scope num
rique (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}J V C@{fg text}
JVC annonce qu'il devrait d
marrer d
but juin la commercialisation de
son @{"petit cam
scope num
rique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Jvcnum.8bt"} dont nous avions d
parl
. Celui-ci devrait
tre propos
aux alentours de 13000F. Par contre, il ne disposera pas de
sortie num
rique (seul l'YC sera propos
e d'origine).
@ENDNODE
@NODE aPhilips29px "Philips t
viseur 29PX 8001 (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}P H I L I P S@{fg text}
Un nouveau t
viseur (R
f 29PX 8001) sera bient
t mis sur le march
la vid
o et devrait int
resser les "vid
oinformaticiens" puisqu'il est
d'une entr
e VGA. Ce 29 pouces sera propos
aux environs de 16000F.
France
@ENDNODE
@NODE aHamavcenter "HAMA VIDEOCENTER 230 (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}H A M A V I D E O C E N T E R 2 3 0@{fg text}
Ce deux-en-un int
gre dans une m
me console, un correcteur vid
o et une
table de montage. En fait, ce sont la table de montage vid
oscript 250 et
le correcteur audio/vid
o que l'on retrouve ici r
unis dans un m
boitier. Capable de lire plusieurs types de timecode (RCTC, VITC et GSE
RAPID), d'effectuer un mixage audio ou vid
o, il peut aussi
tre raccord
un micro-ordinateur pour le titrage. Les effets vid
o, comme les
corrections apport
es sur le signal vid
o, sont m
morisables (200 plans).
La table dispose d'une prise GPI et int
gre un r
rateur de synchro.
Prix annonc
7990FTTC.
@ENDNODE
@NODE aAmigavideo "Amiga & Vid
o (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}A m i g a & V i d
o@{fg text}
@{" Vid
o Edit Plug (04-89)" LINK aVeditplug}
@{" SERIE 30 (04-89)" LINK aSerie30}
@{" Movie Shop (04-89)" LINK aMovieshop}
@ENDNODE
@NODE aVeditplug " Vid
o Edit Plug (04-89)"
@TOC aAmigavideo
@{fg shine}V i d
o E d i t P l u g@{fg text}
Nous vous avons indiqu
le mois dernier que le Vid
o Edit Plug
tait
import
par la soci
VITETPRO. Voici les tarifs d
finitifs, ainsi que,
pour rappel les caract
ristiques de la gamme:
Le Vid
o Edit Plug, concurrent direct de l'ex-Vid
o Director de Gold
Disk, est propos
en deux versions (3 ou 4 machines), et se connecte au
port parall
le. Il supporte les standards GPI, SMPTE, GPI, LANC, PANASONIC
et peut aussi commander differentes tables d'effets (VIDEONICS MXI,AVE5
ext). Chacun de ces modules est vendu 1250F. Il g
re le son au niveau
mixage et synchronise le doublage. La version de base est propos
e a 1550F
re trois lecteurs. Une version quatre machines est propos
1850F.
Un pack plus complet sera propos
avec un jog shuttle (mollette de commande
manuelle avant-arri
re) qui peut
tre vendu s
parement 1590 Fr.
@ENDNODE
@NODE aSerie30 " SERIE 30 (04-89)"
@TOC aAmigavideo
@{fg shine}S
R I E 3 0@{fg text}
LA S
RIE 30 se d
cline en trois versions, ES, TES et TES PRO. Cette
interface int
ressera les vid
astes amateurs plus exigeants ou le secteur
institutionnel. Raccord
par un c
ble au port parall
le de l'Amiga, la
rie 30 est beaucoup plus volumineuse (longueur 26cm, largeur 20cm,
hauteur 5,7cm) que le Vid
o Edit Plug, qui est de la taille d'un paquet de
cigarettes. La s
rie 30 peut recevoir plusieurs p
riques, offrant
enfin la possibilit
de faire communiquer entre eux diff
rents standards de
commande de magn
toscopes ou de cam
ras, comme par exemple d'utiliser une
ra grand public (Sony V5000 (lanc)) avec un enregistreur institutionnel
(version TESPRO)
brochage parall
le (JVC s
rie BRS).
Le bo
tier dispose des brochages suivants: 1 entr
e parall
le 25
points, 1 s
rie (9 points), 1 infra rouge, 4 VCR contr
le (8 pin minidin),
1 port 25 broches au standard professionnel. Les versions TES et TES PRO
disposent en plus de 4 entr
es et de 4 sorties timecode de type cinch et
offrent une ouverture sur plusieurs standards de commandes:
- Infra rouge, SONY lanc controls (jack 2,5 mm et minidin 5 broches),
Panasonic 5/11 broches, JVC Jack 3,5,
- RS232 (TES30 et TES30PRO)
- RS422 compatible Panasonic 34 pin, JVC 45pin, ou SONY33 PIN (TES30 PRO
uniquement).
La partie logiciel offre des fonctions similaires
o Director:
copier/coller, marquage de plans ou de s
quences, fonction preview, gestion
d'insertion d'image ou de titrage AMIGA, gestion du time code RCTC, insert
Audio/Vid
o. Mais,
la diff
rence de vid
odirector, il utilise et peut
tre utilis
comme g
rateur de timecode SMPTE/EBU (TES et TES30 PRO
uniquement) et offre une gestion du son beaucoup plus avanc
e. La version
TES PRO peut supporter une extension pour contr
ler jusqu'
toscopes. Des modules de gestion de tables sont pr
vus. Le ES30 est
propos
3550 F, le TES30 6775 F et le TES30 PRO 9795 F.
@ENDNODE
@NODE aMovieshop " Movie Shop (04-89)"
@TOC aAmigavideo
@{fg shine}M o v i e S h o p@{fg text}
Toujours pour les utilisateurs de VLAB MOTION, la soci
TRIADE
COMMUNICATION
Bordeaux nous informent qu'elle distribue les produits de
chez Macro Systemes et propose MOVIE SHOP traduit en fran
Contact: Yan Armand ou Pascal Rullier, t
l: 56 13 37 37
@ENDNODE
@NODE aMirodc20 "MIRO DC20 pour MAC (04-89)"
@TOC aNewsVideo
@{fg shine}M A C a u s s i !@{fg text}
La carte de montage virtuel MIRO DC20 (sur PC, dont un test est pr
pour bient
t), vient d'etre port
e sur plate-forme Macintosh. Propos
e aux
alentours de 8500 F elle sera disponible en version PCI, et donc adapt
la nouvelle carte m
re PowerMac.
@ENDNODE
@NODE aAmicamecrea " Amiga, camescope et cr
ation (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a c a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Le montage
Sachez o
vous mettez les pieds...@{fg text}
Dans le num
ro du mois de janvier, nous avions quelque peu d
terrain parmi les cam
scopes dignes d'
tre envi
s, voire m
me achet
s. Le
domaine du montage qui en est leur extension propre m
rite aussi qu'on y
fasse un d
tour, en tous les cas qu'on y pose au moins des garde fou...
@{fg shine}H i 8 c o n t r e S - V H S . . .@{fg text}
@{fg shine}Qui sort vainqueur?@{fg text}
Le premier avantage ind
niable de l'
volution vers ces versions am
du 8mm et du VHS est d'avoir une r
solution d'image port
quasiment 400
lignes, gain appr
ciable s'il en est lorsque vous
tes en configuration de
montage. Le support sur lequel vous aurez inscrit vos images sera
terminant pour la suite, car vous aurez du mal
viter une d
gradation
d'image lors du report de s
quences du lecteur vers l'enregistreur;
gradation d'autant plus grande si vous avez film
en VHS par exemple...
Des 240 lignes de d
part, combien en aurez vous sauv
s copie?
L'autre force de ces deux formats est le traitement des signaux en Y/C:
gradation se fera nettement moins sentir, et vous sauverez en g
une g
ration suppl
mentaire, la troisi
me, copie de votre "Master".
@{fg shine}Compatibilit
de formats. S'agit-il d'un mariage de raison ou d'une
grosse tromperie?@{fg text}
Il y a la pratique, dont la meilleure illustration est de r
unir un
partisan du S-VHS contre un autre qui ne jure que par le Hi 8.
Mode d'emploi: vous allumez la m
che, vous vous mettez l
rement en
retrait et vous assistez
une bonne foire d'empoigne (au sens figur
, je
l'esp
re), telles les bonnes guerres de clocher d'antan! En redevenant un
tantinet plus s
rieux, on peut imaginer ce que se diraient les deux
res, arguments
l'appui.
En situation de tournage, question de feeling, le Hi 8 tient bon la
route, dans de bonnes conditions de luminosit
les couleurs claquent,
les contours sont mieux d
finis. La r
solution ne d
passera pas les 400
lignes, mais le bruit vid
o est infime. Les professionnels en reportage ne
s'y sont pas tromp
s, la plupart d'entre eux tournent de cette fa
lorsqu'ils ne peuvent embarquer une b
tacam avec eux; soit parce qu'ils
n'en n'ont pas eu l'autorisation, soit parce que l'engin serait un peu
trop voyant dans des coins o
l'actualit
est un peu "chaude". Au retour,
ils reportent leurs images sur bande b
ta, et si leurs s
quences
comportent en majorit
des gros plans, seul l'oeil d'un pro avis
pourra
deviner l'origine du support.
Mais revenons
nos moutons: retour de b
ton, le Hi 8 (cassettes
vapor
) a tendance
tre plus fragile que son confr
re, surtout
lorsque la bande est maintes et maintes fois sollicit
e par des va et vient
du jog shuttle; des "drop out" peuvent apparaitre
a et l
. Il en est de
me lorsque le cam
scopeur grand public enregistre et r
-enregistre la
me bande au gr
de ses envies... On dira ce que l'on voudra, malgr
tout, la fid
, la qualit
d'images apr
s enregistrement est l
@{fg shine}Passons au S-VHS@{fg text}
ce format prend le pas sur son concurrent, c'est non seulement par
sa fiabilit
, du fait que le support est plus costaud et plus exempt de
drops, mais c'est SURTOUT en situation de montage qu'il excelle.
- Pourquoi?
- Serait-ce le meilleur syst
me de montage analogique?
Parce qu'il a une sup
riorit
sur le 8mm/Hi 8, en mati
re d'insertion...
En g
ral, pour qu'elle soit possible, il faut imp
rativement que
votre magn
toscope Hi 8 ou S VHS poss
de une t
te flottante qui permettra
de remplacer une s
quence d
existante par une autre avec une
synchronisation parfaite, le tout sans aucune barre de bruit ni
chirement au point d'entr
e et de sortie. L
les deux formats
rent, c'est au niveau du son, et c'est l
que le S-VHS tire son
pingle du jeu: hormis la piste hi-fi, s'ajoute la piste longitudinale
(mono) que l'on retrouve sur tout bon VHS qui se respecte.
Or, si j'effectue un insert vid
o, le son hi-fi dispara
t, mais le son
d'origine est pr
sur la piste monaurale, avantage sans pareil,
alors que sur le format Hi 8, le son d'origine est effac
en totalit
Si je reprends l'exemple de l'interview du pilote du Zodiac volant
(Amiga News n
87) que j'avais illustr
par des s
quences insert-images
explicatives "sur" ses paroles, j'aurai fait sauter TOUTE la bande son
durant les insertions images. Sony, qui a l'habitude de nous concocter
des bijoux technologiques (EVS 9000 Hi 8), n' a pas jug
bon d'am
liorer
cette lacune. Citons pour exemple @{"la table XV AL 200" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/sonyal200.8bt"} avec jog shuttle et
clavier de titrage s
, produit positionn
dans le milieu de gamme qui
lui, g
re le time code RCTC et VITC (99 s
quences d'affil
e) et peut -
enfin ! - piloter les autres marques tels les enregistreurs Panasonic. Ni
celle-ci ni aucune autre table de la marque ne g
rent l'insertion, une
on comme une autre de ne pas concurrencer sa branche professionnelle,
mais pourtant au risque de perdre une partie de sa client
le. Une note
quand m
me optimiste pour celles et ceux qui ne jurent que par cette
marque: essayez de ronger votre frein jusqu'
la fin du mois de mai, date
laquelle sortira (si tout va bien) le magn
toscope grand public en
Digital Vid
o, nouveau format qui lui, se joue de toutes formes
d'insertions sans aucun probl
me... et va ainsi remettre les pendules
l'heure. Ne me demandez pas le prix, Sony ne le sait pas encore lui-m
...
Quand bien m
me les d
fendeurs du tout S-VHS ont
galement la
possibilit
de travailler en toute qui
tude, par exemple les adeptes des
scopes Panasonic NV MS 4 ou bien NV S 88 qui g
rent le time code vitc
pourront se connecter via la prise Control M au NVHS 1000 EG dont je
parlerai plus loin.
@{fg shine}P i l o t a g e p a r i n f r a - r o u g e@{fg text}
@{fg shine}Id
e de g
nie ou Grosse Arnaque?@{fg text}
Monter avec du mat
riel grand public sans time code rel
ve de l'exploit..
Je me rappelle en des temps imm
moriaux... avoir achet
une table de
montage allemande telle une grosse calculette dont je tairai le nom par
pudeur et qui d'apr
s la publicit
vous assemblait la bagatelle de XX
quences par liaison infra rouge avec une pr
cision de 4/5 images.
Totalement n
ophite
poque, j'
tais tomb
dans le panneau... en me
basant juste sur les conclusions du mode d'emploi/ publicit
Je venais de filmer une course de karting et je d
cidais (apr
s avoir
tant bien que mal calcul
le temps mort entre le d
clenchement de la pause
du cam
scope et celui o
le magn
toscope commencait r
element
l'enregistrement ) d'assembler une quinzaine de s
quences. Je regardais
merveill
le banc pilot
tout seul, avec les petites lumi
clignotantes, la bande du lecteur avancait, reculait, se positionnait en
un image par image avant que le d
clenchement ne se fasse, et ainsi de
suite et puis... et puis j'eus tr
s vite le pressentiment que quelque
chose clochait... J'attendais la fin des op
rations, et apr
s un
rembobinage rapide je mis en lecture ce qui aurait du
tre une suite
d'engins lanc
toute vitesse, plus rapides les uns que les autres, en
quences assez courtes pour rester dans le rythme et la fi
vre des
titions. R
sultat des courses apr
s trois s
quences: un d
calage
tait produit entre la bande 8mm et les chiffres inscrits au compteur,
qui du coup n'avaient plus rien
voir avec les points d'entr
e et les
points de sortie choisis en amont. Je me retrouvais avec exactement le
contraire de ce que j'avais voulu, c'est
dire que le grondement des
moteurs
tait bien pr
sent, mais les karts, eux, avaient totalement
disparu des s
quences. Mon montage n'
tait plus fait que de tron
ons bien
goudronn
s et de montagnes de pneus dans les tournants... Le cauchemar
live!
@{fg shine}P r
r o l l e t g l i s s e m e n t d e t e r r a i n !@{fg text}
Ne riez pas, la m
saventure pourrait bien vous arriver... Regardez-y
deux fois s'il vous prend l'envie d'acheter une table de montage marchant
de cette fa
on. Souvent il est vrai, elles ne co
tent pas bien cher, 1000F
ou 1500F... Mais d
penser cette somme est souvent bien cher pay
pour une
commande qui est excessivement limit
e. L'assemblage multi-s
quences
sans time code est une h
sie: votre bande est bien trop sollicit
e pour
que les chiffres du compteur aient quelque chose
voir avec ce que vous
voulez vraiment. De plus, la bande peut souffrir de l'
chauffement du
toscope, elle est susceptible de se d
tendre, alors, prenez le
parti (avec code ou pas) de monter en mono s
quence; la pr
cision n'en
sera que meilleure.
Heureusement que les diff
rents time code se d
mocratisent, les deux
les plus r
pandus dans le mat
riel grand public sont le VITC pour le VHS/S-
VHS et le RCTC pour le 8mm/Hi. Les diff
rences sont les suivantes: le code
VITC s'inscrit pendant votre enregistrement une fois pour toutes, tandis
que le RCTC, un peu plus souple, peut se r
inscrire pendant la lecture,
pratique pour les masters qui ne sont pas cod
s. Le VITC ne pourra
inscrit que sur une copie de ce que vous avez d
tourn
, appel
e copie
de travail.
@{fg shine}S y n c h r o
d i t i o n m u l t i m a r q u e s@{fg text}
@{fg shine}Les magn
toscopes s'en m
leraient-ils? @{fg text}
Oui, mais... Encore faudrait-il accorder ses violons sur l'
dition
synchronis
e entre le lecteur et l'enregistreur, c'est
dire le
relachement similaire de la fonction pause du lecteur avec la fonction
enregistrement du magn
toscope, surtout si les marques des deux appareils
ne sont pas identiques... Il y a peu de temps encore, ce genre de
consid
ration tournait
l'angoisse, car on ne proposait que de vagues
mes pas tr
s coh
rents, et il valait mieux privil
gier les syst
monomarques pour une meilleure compatibilit
. C'est moins vrai depuis que
certains constructeurs ont enfin saisi les avantages d'inclure une borne
dition dans leurs magn
toscopes, qui ne sont pas l
gion mais qui ont au
moins le m
rite d'exister: voici entr'autres trois marques en S-VHS:
d'abord le {"JVC Hrs 6900 ms" SYSTEM "FASTVIEW
AmigaNews96:PicAVRIL/Jvcs6900.8bt"} qui sait via la t
commande RMV
704 s piloter la plupart des grandes marques, mais par infra rouge,
de une table de montage 8 s
quences et peut asservir un cam
scope de
me marque via la prise sp
cifique, avec double transcodeur en entr
comme en sortie. Citons
galement le @{"Philips VR 9489n" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Vr9489.8bt"} avec entr'autres
les prises "lanc" (Sony, Canon et clones 8MM) et Control M (Panasonic),
et enfin le @{"Panasonic NVHS 1000 eg" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Vhs1000eg.8bt"} en PAL uniquement, (mais nous parlons
montage, oui ou non?) fleuron de la gamme avec correcteur de base de
temps, insertion d'image, time code VITC en lecture/enregistrement et
@{"table de montage int
e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Vhs1000eg2.8bt"}
multi s
quences.
@{fg shine}P a r l e r d e p r
c i s i o n ?@{fg text}
@{fg shine}Entendons-nous bien!@{fg text}
Ne vous fourvoyez pas. Les exigences d'un mat
riel pro au niveau de la
cision n'ont pas grand chose
voir avec le cahier des charges du
domaine grand-public. Si on peut esp
tre pr
l'image sur un banc
ta,il en est tout autrement sur des appareils qui
faut de pouvoir
faire un assemblage de s
quences de temps en temps servent surtout dans la
majorit
des cas
enregistrer le bon film du dimanche soir...
La base m
me du probl
me est l'usage que vous voudrez bien faire de vos
cassettes pleines d'images. Un pr
rushage basique peut se faire par
infra rouge, un clip vid
o mont
en rythme sur une bande son (sujet d'un
prochain num
ro) ne peut souffrir d'un d
calage de plus de 3/4 images... en
tant optimiste! L'exemple type
tant un insert vid
o qui a pour but de
remplacer une s
quence d
existante par une autre. Ce sera dramatique
si le point d'entr
e/sortie est d
... Au mieux, vous aurez quelques
images grignot
es au d
part ou
l'arriv
e, ce qui ne collera plus avec la
bande son, au pire, la s
quence en amont ou en aval de celle que vous
aurez voulu remplacer sera trop amput
e pour vouloir dire quelque chose,
et aura tellement perdu sa signification que vous serez oblig
de proc
l'insertion d'une s
quence suppl
mentaire... Allez, bonne chance!
@{fg shine}Conseil d'ami: @{fg text}
la pr
cision est le NERF DE LA GUERRE en montage. Il ne sert
rien
d'avoir des super machines hyper sophistiqu
es multi s
quences si
l'impr
cision d
passe les 5/6 images. Croyez-moi, au bout du compte...
et au bout de votre montage par la m
me occasion, vous vous en mordrez les
doigts.
@{fg shine}A v a n t d ' a c h e t e r :@{fg text}
Quelques conseils
respecter pour les appareils "grand-public"
1) Assurez vous de la compatibilit
de votre cam
scope ou de votre
lecteur avec la synchro-
dition du magn
toscope dont vous r
vez. V
rifiez
bien que TOUS les modes (assemblage, insertion son, son et vid
o) peuvent
tre pilot
s sans restriction... Attention aux mauvaises surprises...
2) Faites des essais sur la pr
cision, qui est d'une importance
capitale si vous voulez faire un montage correct avec time code. Allez dans
votre magasin avec votre cam
scope par exemple et faites le brancher en
configuration de montage (si le vendeur rechigne, changez de magasin).
3) Evitez les syst
mes pilot
s par infra rouge dont la pr
cision est
bien trop al
atoire pour qui veut faire du travail l
4) Certains magn
toscopes en configuration d'insert audio laissent
entendre un "click sonore" en point de sortie sur la piste longitudinale. A
rifier sur place si vous
tes pointilleux sur la chose.
@{fg shine}E n c o n c l u s i o n@{fg text}
L' appellation "PRO", d
e sous tous les angles, en fait la griffe
d'un marketing effr
et agressif des grandes marques, et peut all
cher
le consommateur qui voudrait avoir pour un prix modeste ce qui constitue
aujourd'hui l'apanage des bancs professionnels: la fiabilit
, la pr
cision.
On ne peut malheureusement avoir le beurre et l'argent du beurre, m
s'il est vrai que des progr
s ind
niables ont
faits au niveau de la
qualit
de l'image ainsi que des supports. La d
mocratisation du time code
est un autre pas en avant, le Digital Vid
o devrait dans quelques temps
concilier tout le monde. Patience et longueur de temps...
Le mois prochain, nous allons franchir ensemble la passerelle qui
conduit vers la gamme institutionnelle, et aller voir si par hasard vous
n'y trouveriez pas votre bonheur...
@{fg shine}Olivier Debats@{fg shine}@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aVievideo " Ma vie en vid
o (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M A V I E E N V I D E O
Exp
rience d'un AMIGA 1200@{fg text}
BONJOUR !
Je me pr
sente: @{"OBIDO 0001" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Obido.8bt"}, l' esclave d'un fana de vid
o. Je suis AMIGA
1200 de naissance, et mon ma
tre m'ayant donn
quelques vitamines du genre
+4Mb de Ram et CD Rom, je me sens plus costaud malgr
une certaine lenteur
d'origine.
@{"Mon ma
tre m'a adjoint quelques copains" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Videoa1200.16c"} tels que Momo, le moniteur
1942, G
le genlock de G-LOCK, et les ins
parables VIDI 24 et TABBY.
Il y a aussi la bande
SONY, les cam
scopes TR805 et V6000, les
tos EVS 1000 et SLV 615 command
s par leur chef monteur VS 10 de
Grundig et dont les images apparaissent sur les moniteurs de r
ration
1084 de Commodore et CM 8802 de Philips.
Il y a encore les petits de la famille Audio: lecteur de CD, DAT, DECK
K7 dirig
s par le maestro SOUND MIXER
de son "equalizer".
Ensemble, nous aidons notre ma
aliser en amateur mais
proprement, les montages de reportages de voyages
tranger ou des
reportages pour le monde industriel.
Mon patron est exigeant, il r
alise beaucoup de rushes dont il ne garde
que le quart environ, en variant les angles de prises de vue, en racontant
toujours une petite histoire dans chaque s
quence. Le r
sultat: un film pas
trop long, rythm
avec une bande son particuli
rement soign
e - c'est
possible en HI-8 - le tout, transf
parfois en VHS si le commanditaire
l'exige, mais gare alors
la baisse de qualit
Moi, je suis en quelque sorte l'habilleur, le d
corateur. A partir de
SCALA 210, je r
alise les g
riques de d
but et de fin, les titres et sous-
titres que G
incrustera sur les images vid
o. Je participe aussi
alisation, gr
DeluxePaint V, de courts dessins anim
dant
chaque film en compl
ment de programme, ou de logos anim
s. J'
labore les
cartes g
ographiques qui seront en mouvement, comme
la t
Je rends
galement de fiers services lors de la postsonorisation car
via DELUXE VIDEO 3, je place au bon endroit, sons et bruitages des
animations,
l'aide d'
chantillons sonores que je rep
che dans des CD ROM.
Malheureusement, souvent de qualit
diocre et entach
s de bruits de fond.
Si c'est n
cessaire, je digitalise des sons ext
rieurs pour les
retravailler sur AUDIOMASTER.
Je n'ai pas eu le privil
ge de r
aliser le pilotage des machines ni
l'assemblage des s
quences vid
o, car mon ma
tre dit qu'il lui est trop
difficile, seul, de surveiller les magn
toscopes et de contr
simultan
ment le montage des plans, l'incrustation d'images, le niveau du
son d'origine. De plus, les logiciels de d
rushage et d'assemblage ne
livrent pas de molettes JOGSHUTTLE qui apportent un confort pr
cieux lors
de la recherche des plans.
J'aide aussi mon patron, gr
ma copine l'imprimante HP 560C et
STUDIO 2, dans la r
alisation d' affichettes de pr
sentation des films. Le
courrier est
tabli avec FINAL COPY. L'archiviste c'est l'incontournable
Mr. DIROPUS 4! sans qui, ce serait l'anarchie dans le classement des
fichiers.
Mon ma
tre m'aime bien. Je le sens car il n'y a pas un jour o
il me
laisse. Sauf quand il part en voyage. Il m'aime d'autant plus que je le
fais souffrir. C'est vrai que je dispose de tellement de possibilit
s et de
glages, de tant de petits secrets, de tellement de logiciels, dont
certains ne sont pas toujours bien au point, que je le fais suer, d'autant
plus que les possibilit
s d'aides et d'assistance sont quasi inexistantes.
Moi aussi je l'aime! J'ai r
ussi, avec quelques autres hobbies,
occuper
sa nouvelle vie de retrait
et j'en suis fier !
Globalement, il est satisfait de notre travail
tous, m
me si cela
manque un peu de confort ou si certains logiciels font des caprices, comme
SCALA qui n'a jamais assez de m
moire CHIP si le g
rique est un peu
et accompagn
de musique.
Mon ma
tre dit aussi que je suis trop petit pour effectuer du montage
virtuel, dommage, car j'aurais aim
! Il me reproche souvent d'
tre petit et
regrette de ne pouvoir acheter mon grand fr
re AMIGA 4000, car trop
teux. Alors, en attendant des temps meilleurs et les d
veloppements de
la vid
o digitale, il me garde. J'esp
re qu'il ne m'abandonnera pas un jour
au profit de ces voyous de PC qui font tellement de progr
s en vid
o en
tant toujours moins. Si ma famille n'y prend garde en n'
tendant pas mes
aptitudes et en ne n'am
liorant pas ma garde-robe de logiciels bien au
point et aussi de CD ROM convenables, je crains alors qu'il ne me trompe
avec les filles de "Pentium". Mais je suis s
r qu'il en serait malgr
tout
s triste et qu'il me regretterait.
@{fg shine}OBIDO 0001@{fg shine}@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aModoctamed " Cr
er un module avec OCTAMED (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C r
e r u n m o d u l e a v e c O c t a m e d ( 2
... la suite du mois dernier@{fg text}
Nous allons comme promis poursuivre la r
alisation du module du mois
dernier.
Tout d'abord quelques pr
cisions: j'ai choisi, pour cet exercice, Octamed,
car il est plus complet que Protracker. Le choix de la version 3 a
termin
par le fait qu'elle est distribu
e par les soci
s de DP en
version compl
te et
prix DP. Bon, assez bavard
, au boulot!
Je citerai parfois des parties de @{"l'image" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Octamed.8c"} du mois dernier (cases 1
* Chargez le logiciel; chargez le module: menu FILES option LOAD SONG.
On se retrouve sur le Block 0, nous avions cr
un Block 1 et copi
dessus
le Bloc 0. Si vous faites PLAY SONG (menu PLAY) seul le block 0 sera jou
Pourquoi ?
Parce qu'il faut r
gler les Positions c'est
dire l'ordre d'encha
nement
des diff
rents blocks cr
Pour cela (apr
s avoir fait STOP biens
r), on utilise la partie gauche
du menu PLAY (Zone 1). A la base un 00 est inscrit. Cela signifie qu'il
faut jouer le Block 00 en premier, et, comme c'est le seul inscrit, ce sera
le seul jou
* Cliquez sur le +, le 00 devient 01.
Ainsi, si vous faites PLAY SONG, c'est
sent le Block 1 et uniquement
le Block 1 qui est jou
, cliquez sur STOP.
* Cliquez sur INS (ins
re), un 00 s'inscrit, en poussant le 01 vers le
bas. La case 7 qui avant affichait 0001/0001, affiche 0001/0002, c'est
dire que l'on est sur la 1i
re position, et qu'il y a 2 positions au total.
Cliquez sur la fl
che simple qui descend (Zone 1), ainsi on grise le 01, et
la case 7 affiche 0002/0002 (position n
2 sur un total de 2).
* Faites CONT. SONG le module est jou
partir de la position que l'on a
choisi, ici la 2 (Block 1). Quand un module est jou
et que la derni
position est lue, le tout repart en position 1.
C'est ainsi que l'on pr
cise l'encha
nement des blocs. On peut de la
me mani
re encha
ner plusieurs fois le m
me Block.
Dans cette zone 1 : DEL efface la position gris
e, +/- permettent de
rentrer le num
ro du Block correspondant
la position, et le INS avec la
che permet d'ins
rer le block courant (celui affich
cran et dont
le num
ro est inscrit dans la case 5).
A pr
sent nous avons en position 1 le Block 0 et en 2 le Block 1.
* Nous allons faire un "Fade In" sur le Block 0 qui fera office d'intro.
Tout d'abord dans le menu PLAY dans la zone 2 un bouton Dec est
lectionn
* Cliquez sur Hex. Dec signifie que les chiffres de param
tres des effets
seront en d
cimal (chiffre classique). Vous passez en Hex (hexad
cimal) qui
est le mode de Protracker afin que ses utilisateurs puissent suivre.
* S
lectionnez le Block 0 si vous vous trouvez sur le block 1 (gr
case 5).
* Positionnez la barre de saisie sur la ligne 000 du Track 0, activez le
mode EDIT (touche ESC ou case 3) inscrivez un C
la 3i
me colonne
(Descriptif 1, Col 3), vous obtenez C-3 10C00.
* Appuyez sur la touche F8, la barre de saisie se positionne ligne 032,
toujours
la 3i
me colonne (vous y
tes normalement) rentrez
nouveau C
la barre de saisie descend d'une ligne. Remontez
la ligne 032 et
inscrivez un 4 en colonne 4 (les chiffres sont rentr
s au clavier mais pas
avec pav
rique). Vous obtenez C-3 10C40. C est l'effet de r
glage du
volume de la note. Ainsi on vient d'indiquer que la note en ligne 1 sera
e au volume 0 et la note en ligne 032
40 (volume maximum possible, 64
cimal).
* Placez-vous n'importe o
entre la ligne 000 et la ligne 032 mais ni sur
la 000 ni sur la 032.
* Allez dans le menu RANGE et choisissez l'option Vol de la ligne SLIDE
(Descriptif 2), il s'inscrit alors
chaque ligne (entre la 000 et la 032)
un C avec en valeur des chiffres croissants de 00
40 de mani
(descriptif 1). On vient de faire notre "Fade in". Ecoutez (PLAY BLOCK).
* A pr
sent, chargez en instrument n
3 (en proc
dant comme le mois
dernier) un
chantillon type string (Ex: wow, Nightmare). Si vous n'en avez
pas, prenez un instrument qui boucle (loop) et qui vous pla
t dans un
module d
existant.
Pour cela, apr
s avoir sauvegard
le votre,
* Chargez le module en question, s
lectionnez l'instrument (case 1) et
sauvegardez-le gr
l'option SAVE INSTR du menu FILES.
* Rechargez votre module, puis en instrument 3 le son ainsi r
Allez dans le menu SMPED et s
lectionnez si ce n'est pas d
fait l'option
LOOP ON. 2 barres verticales bleues apparaissent, ce sont les points entre
lesquels l'
chantillon va
tre r
. Pour changer leur position,
lectionnez la barre
placer en cliquant
son sommet puis cliquez au
point de destination.
* Repassez en mode pattern, placez vous sur le track 1,
la ligne 000
rentrez la note A-1 3000 (touche N). Faites un "Fade in" comme pour le
track 0 mais entre la ligne 000 et 064. Passez sur le Block 1, sur le track
1 placez ligne 000 colonne 3 un 1 et colonne 5 un 4 (--- 00104), faites
pareil ligne 032 avec un 2 colonne 3 et un 4 colonne 5. Faites PLAY SONG,
le Block 0 est jou
avec les deux "Fade in", arriv
au block 1 le son de
l'instrument 3 (track 1) monte vers les aig
es apr
tre pass
sur la
ligne 000 et redevient normal apr
s la ligne 032. L'effet 1 = Pitch up =
augmentation de la fr
quence
laquelle est jou
l'instrument. 4 unit
correspondent
un 1/2 ton, l'effet 2 donne l'inverse. Ici on monte de 4
la ligne 000 donc 1/2 ton (A -> A#) et
la ligne 032 on redescend
d'un demi-ton.
Voil
, c'est fini pour cette fois, enregistrez le module. Notez
l'existance de l'option ST-MODULE du menu FILES, qui permet de sauvegarder
au format Soundtracker/Protracker pour utiliser le module dans SCALA par
exemple.
Vous savez
sent rentrer des notes, les effacer, cr
er un nouveau
bloc, r
gler l'encha
nement des blocs (positions). Nous avons appris en
plus 3 effets C, 1 & 2. Vous devriez
tre en mesure de continuer le module
seul, en rajoutant, @{"une harpe ou un piano" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Guitare.8bt"} par exemple.
Le mois prochain, nous verrons tous les effets d'Octamed (plus de 10),
pour vous permettre d'enrichir vos musiques de variations diverses.
@{fg shine}R
mi MOREDA@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aInternet " Internet (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}a l e i h p a r g o t p y r c r u s t e n r e t n I
Attention, on vous
coute...@{fg text}
La cryptographie est une n
cessit
absolue pour le d
veloppement des
services marchands sur tous les r
seaux informatiques. Elle permet
l'authentification d'une transaction et sa confidentialit
. Nagu
re, sa
pratique relevait exclusivement de l'arm
e, mais depuis que l'information
se num
rise et circule dans des milieux ouverts (comme Internet), sa
vulgarisation est imminente.
@{fg shine}I n t e r n e t e s p a c e d e l i b e r t
?@{fg text}
Si le clich
"pirate et Internet" est bien r
pandu, celui de "services
secrets et Internet" l'est d
beaucoup moins. Mais,
en croire certains,
(1) Internet serait l'un des lieux les plus surveill
s du monde. La NSA,
(National Security Agency) une "Grandes Oreilles", intercepte pratiquement
toutes les ondes radio-
lectriques de la plan
te. (C'est pratiquement la
seule chose qu'on conna
t d'elle). Il est certain que celle-ci, ainsi que
les autres services secrets, existe depuis le d
but sur les r
seaux. Ce
n'est pas tant pour d
jouer un complot de la DGSE (Direction G
rale de la
curit
rieure) ou du CCC (Chaos Computer Club, groupe de pirates
allemands) que l'Internaute cherche
crypter ses messages mais plut
t pour
server le peu d'intimit
qu'il lui reste ou se pr
server de la
malveillance de plus petites pointures (mais tout aussi nuisibles). Vous
l'aurez donc compris, la cryptographie est un sujet sensible, source de
bats enflamm
s sur Internet.
@{fg shine}P r i n c i p e d u c r y p t a g e@{fg text}
La cryptographie (du grec kryptos, cach
, et graphein,
crire) est
l'ensemble des techniques permettant de prot
ger une communication au moyen
d'un code graphique secret (ou cl
). Une des machines de cryptage les plus
bres de l'histoire est sans nul doute Enigma, utilis
e par les
militaires allemands. C'est dans le but de casser son code que les
calculateurs
lectroniques virent le jour.
Le principe des premiers syst
mes de cryptage
tait le suivant: A et B
changent des messages avec une cl
C que chacun d
tient. Craquer le code
revient
trouver C ou voler C. La gestion de la cl
est donc un probl
fondamental puisque c'est un des points faibles du syst
me: il faut pouvoir
la distribuer de fa
r et chacun doit pouvoir la prot
ger efficacement
contre le vol. Actuellement, le principe est diff
rent. A poss
de une cl
publique Cpu qu'il distribue librement et une cl
priv
e Cpr qu'il garde
jalousement. B utilise Cpu pour coder son message pour A. Lui seul pourra
coder gr
Cpr. Si A veut communiquer avec B, il doit avoir la cl
publique de ce dernier.
@{fg shine}P G P ( P r e t t y G o o d P r i v a c y )@{fg text}
Phil Zimmerman est le g
nial auteur de PGP, le syst
me de cryptage le
plus populaire d'Internet. Adul
par les internautes pour leurs avoir
fourni un logiciel tr
s puissant et gratuit, il est devenu la b
te noire
des autorit
ricaines qui n'ont pas du tout appr
de voir un tel
produit
la port
e de tous.
Ne pouvant pas lui reprocher son invention (un am
ricain a le droit
gal de crypter ses communications), il fut accus
d'avoir viol
les lois
rales sur l'exportation des logiciels de cryptages qui ne doivent pas
der une cl
rieure
40 bits. Apr
s maints d
boires judiciaires,
il fut lib
et continue
l'heure actuelle
liorer son syst
me. Son
action
lanc
l'un des d
bats les plus attendus et a permis un d
volution de l'administration am
ricaine sur ce sujet.
@{fg shine}PGP est une combinaison de RSA IDEA et MD-5.@{fg text}
RSA (Auteurs Ron Rivest, Shamir Adi, Adleman Leonard) est l'un des
premiers cryptosysteme
publique. Il supporte des cl
s de 1024 bits.
Il est utilis
en partie pour la protection des codes nucl
aires des arm
ricaine et russe.
IDEA (International Data Encryption Algorithm, auteurs James L. Massey
et Xuejia Lai) permet
chaque codage d'un m
me texte avec une m
me cl
donner un texte crypt
diff
rent. Il utilise une cl
de 128 bits. L'attaque
frontale sur la cl
(c'est-
-dire essayer toutes les combinaisons)
cessite un million de processeurs testant chacun un million de cl
seconde pendant dix mille milliards d'ann
es. Une autre m
thode d'attaque
consiste
aborder le probl
me d'un point de vue math
matique mais les
transformations non lin
aires qui interviennent se rangent dans la
gorie des probl
mes math
matiques extr
mement difficiles
soudre.
@{fg shine}L i b e r t
,
g a l i t
, f r a t e r n i t
@{fg text}
La France poss
de l'une des l
gislations sur la cryptographie les plus
restrictives du monde. Notre voisin et partenaire
conomique, l'Allemagne,
autorise sa libre utilisation
des fins d'authentification.
L'article 28 de la loi 90-1170 du 29.12.90 stipule qu'il faut soumette
claration pr
alable tout moyen ou prestation permettant
l'authentification d'un message et
autorisation pr
alable dans les autres
cas. Toute sortie du territoire francais d'un cryptosyst
me est interdit
moins qu'il ait b
d'une d
rogation de la CIEEMG (Commission
Interminist
rielle pour l'Etude des Exportations de Mat
riels de Guerre).
C'est le SCSSI (Service Central pour la S
curit
des Syst
d'Information) qui examine les dossiers de demande concernant l'utilisation
@{fg shine}M i n i - Q u e s t i o n n a i r e@{fg text}
La rubrique ayant plus d'un an, il est grand temps de faire un peu le
point. J'attends vos (nombreuses) r
ponses
renvoyer
mon adresse e-mail
(titre [Mini Quizz]) ou
C. Villemin - Mini Quizz BP 41 21301 Chen
Cedex. Tous les commentaires sont les bienvenus. Un tirage au sort
signera dix gagnants qui recevront un origami (non ce n'est pas un
poisson d'avril!). Le tirage aura lieu le jour de la prochaine parution
d'Anews. N'oubliez pas d'indiquer vos coordonn
@{fg shine}1.La rubrique Internet doit:@{fg text}
a. dispara
b. doubler de taille
c. rester comme elle est.
@{fg shine}2. Le niveau est:@{fg text}
a. trop bas
b. correcte
c.trop haut
d.versatile
@{fg shine}3. Les sujets abord
s sont@{fg text}
a. top nuls
b. int
ressants
pend
d. trop techniques
e. pas assez techniques
@{fg shine}4.Vous voudriez lire:@{fg text}
a. un num
ro sp
cial sur Internet de A
b. une deuxi
me rubrique des produits Internet sur Amiga
c. cette rubrique suffit.
@{fg shine}5. Vous
tes sur Internet@{fg text}
a. oui
b. non
c. peut-
* Si oui pr
cisez le mat
riel (Amiga ou autres) le type de connexion
(personnelle, professionelle) sinon indiquez si vous allez prochainement
vous connecter ou pourquoi vous ne voulez pas.
@{fg shine}6. Voici une liste non exaushitive de futurs (?) sujets@{fg text}
* Droit sur Internet - HTML un langage de description de donn
es pour WWW
- La libert
d'expression - Les prestataires Internet - Dossiers
(les jeux, la sf, les magazines on-line, les bonnes adresses etc.) - Les
espaces Gopher, Wais, etc.
* Indiquez ceux qui ne vous int
ressent pas du tout et des sujets que
vous voudriez voir aborder.
@ENDNODE
@NODE aLwpratique " LightWave en pratique (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e
en pratique BackGround Forever...@{fg text}
Je ne sais pas si vous avez compris quelque chose
l'exercice du mois
dernier?
Eh bien moi non plus!
Apparemment, la r
daction a red
couvert la fonction couper/coller et s'est
bien amus
e avec cette derni
Ne vous inqui
tez plus, plut
t que d'avoir une salade incompr
hensible et
indigeste sur une page, nous
talerons les exercices difficiles sur deux
ros d'AmigaNews.
Info: Sur le BBS de CIS la derni
re version du PAR Amiga et le kit de
veloppement plug ins, sont
down loaded...
Attention, il vous faudra passer par les news et autres conf
rences pour
pouvoir t
charger quelque chose.
ro du BBS de CIS: 56 36 28 48.
@{fg shine}Exercice 12 1/2: BackGround Forever...
Le modeleur@{fg text}
Comme annonc
en f
vrier, nous allons utiliser le background, pour nous
permettre de faire une sc
ne comportant un nombre d'objets tr
s important
(depuis le temps qu'on vous le promet!)
Cela peut aller jusqu'a des centaines de milliers de polygones sur un
Amiga 1200, et un chouia de place sur disque dur. C'est la moindre des
choses lorsque l'on s'attaque
la super production LightWavienne...
En regardant @{"l'image finale" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicAVRIL/Meteor.jpg"}, vous comprendrez que nous nous dirigeons
tout droit vers un mur de m
orites qui p
se au bas mot quelques 200 000
polygones!
Mais avant d'en arriver l
, passons par toutes les
tapes, la premi
tant, comme toujours, le modeleur.
En premier lieu, il nous faut cr
er plusieurs formes de m
orites
l'aide de sph
res que nous allons d
former. Pour une question de rapidit
nous nous limiterons
cinq mod
C'est parti:
ez une sph
re de base
* Enclenchez la fonction magnet
@{"Avec la souris:" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwmagnet.8c"}
le bouton de gauche sert
lectionner la partie de l'objet
magn
tiser
tandis que le bouton droit sert
donner le sens et l'amplitude du
tisme.
Apr
s avoir fait souffrir votre sph
re pendant plusieurs heures, vous
vous retrouvez devant un objet totalement incalculable!
Si vous ne me croyez pas, envoyez-le dans le layout, enclenchez le
smoothing, lancez le calcul et vous comprendrez. Dans le genre techno on ne
fait pas mieux, et en animation je ne vous en parle m
me pas, les polygones
sautent dans tous les sens. Mais pourquoi me direz-vous?
Si vous avez fait l'essai, retournez au modeleur et, s
lectionnez un
polygone sur votre sph
* Appelez le requester d'informations (touche i)
Dans la nouvelle fen
tre, LW vous indique:
- le nombre de polygones s
lectionn
- le type
- le nombre de points utilis
s pour cr
er le polygone en question
Et le plus important en ce qui nous concerne
- le flatness, en bon fran
ais la plan
itude, plus elle sera
e et plus
le polygone sera tordu ou vrill
Avec ce type de polygone, LW perd les p
dales et le calcul correct d'un
objet de ce genre est impossible.
@{fg shine}L e r e m e d e@{fg text}
* polygone:Transform/subdiv/metaform
- @{"validez et le tour est jou
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwinfo.8c"}, les polygones sont tripl
s voir quadrupl
Notre m
orite est devenu propre et peut
tre calcul
sans probl
* Aussi, vous ferez 5 m
orites diff
rentes en usant de la m
thode.
- N'oubliez pas de nommer leurs surfaces au fur et
mesure en M
or. Bien
r, la surface est identique pour tous.
- N'oubliez pas non plus de les sauvegarder, cette fois ci avec un nom
rent: M
orite1, M
orite2, etc...
Ce sera tout pour cette premi
re partie. Le mois prochain, nous nous
attaquerons au Layout. Bon courage.
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aCauchemar " Le cauchemar de Piednoel (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}" @{"J e v e n d s m o n 3 0 0 0" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Machine.8bt"} ,
@{"j ' a c h
t e u n P e n t i u m !" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pcpoub.8bt"}
Il suffit de calculer...@{fg text}
Quand un vieux routard de l'Amiga t
phone
la r
daction pour
annoncer qu'il "passe sur PC", ca fait dr
le. Mais dans le cas de notre
correspondant Alain Piedno
l, ce n'
tait qu'un cauchemar. Il est parti
refaire ses calculs, et, quelques semaines plus tard, il nous a reveill
avec une autre histoire, celle qui suit.
@{fg shine}L e 4 0 0 0 T f a c e
l a c o n c u r r e n c e@{fg text}
En attendant l'arriv
e effective du 4000T en France (et donc son test),
j'ai tent
de comparer l'offre Amiga Technologies avec l'offre des
constructeurs de PC et du Mac. Pour un prix avoisinant les 20000F, que
trouve-t-on sur le march
et quels sont les avantages et inconv
nients des
rents syst
@{fg shine}L a p u i s s a n c e@{fg text}
Les deux ann
es de retard que l'Amiga a pris (bien malgr
lui) sur ses
concurrents directs (PC et Mac), se ressentent cruellement au niveau de la
puissance du microprocesseur principal. Le 68040 des 4000 avait
poque
une puissance au moins
gale aux 486 des PC cru 94 et aux Quadra d'Apple.
Malheureusement, la chute de Commodore a entra
un arr
t brutal de la
e en puissance de l'Amiga. En 1995, le PC s'est dot
du Pentium (ou
586) et le Mac du PowerPC 601. Les technologies ayant
, ces
processeurs peuvent d
sormais
tre cadenc
haute vitesse (plus de 100
Mhz), ce qui accro
t d'autant la rapidit
de leurs calculs. En ce d
d'ann
e 1996, la puissance des processeurs s'accro
t encore: le PC commence
quiper du Pentium Pro (686) tandis que le Mac
volue gr
ce au PowerPC
604. En ce qui concerne l'Amiga, la carte 68060 d'Amiga Technologies
devrait arriver d'ici quelques mois et les PowerPC 603 et 604 avant la fin
de l'ann
e (chez Phase 5). L'Amiga ne rattrapera r
ellement son retard
qu'en 97 gr
ce aux PowerPC 604 des futurs PowerAmiga.
@{fg shine}L e m a t
r i e l
PC@{fg text}
Pour environ 20000 F, on peut s'offrir un PC "multim
dia" dot
d'un Pentium
cadenc
au moins
120 Mhz, d'au moins 8 Mo de RAM (extensible
128 Mo),
de 1
4 Mo VRAM (m
moire vid
o) permettant un affichage de 256
16,7
millions de couleurs, d'un disque dur de 800 Mo ou plus, d'une carte son 16
bits, d'un lecteur de CD-ROM quadruple vitesse, d'un lecteur de disquettes
HD, d'un
cran 14 pouces (ou 15 pouces), d'un bus Fast IDE (parfois SCSI
2), de 3 slots PCI ou ISA. Bien s
r, vu le nombre de constructeurs de
compatibles PC, cette petite description est loin d'
tre exhaustive (en
plus ou en moins).
@{fg shine}Macintosh@{fg text}
Chez Apple, la seule offre s
rieuse dans cette gamme de prix correspond au
PowerMac 7500. Ce dernier est dot
d'un PPC 601
100 Mhz sur carte fille,
de 8 Mo de RAM extensible
256 Mo (ou 512 avec les futures Rams de 64 Mo),
de 2 Mo de VRAM (extensible
4), d'un disque dur de 500 Mo, d'une carte
son 16 bits, d'une carte vid
o affichant 16,7 millions de couleurs, d'un
lecteur de CD-ROM quadruple vitesse, d'un lecteur de disquettes HD, d'un
bus SCSI 2 et de 3 slots PCI. Par contre, il est livr
sans clavier et sans
cran.
@{fg shine}Draco@{fg text}
Le DraCo est actuellement le premier et seul clone Amiga. Pour 20000F, il
de en standard une carte vid
o permettant d'afficher jusqu'
16,7
millions de couleurs, un 68040, un lecteur de CD-ROM quadruple vitesse, un
lecteur de disquettes HD, un disque dur de 1 Go, de 4 Mo de RAM extensible
128 Mo. Equip
du bus DraCo, les transferts des donn
travers ces bus
sont plus rapides que sur les bus Zorro 3 du 4000T. Il est
galement
de bus Zorro 2. Il est possible d'y connecter une carte processeur Dec-
Alpha (+ 15 000F) pour acc
rer les calculs comme sur les stations haut de
gamme
processeurs Risc Alpha fonctionnant sous Windows NT (Raptor,
RenderSaurus, etc.). Enfin, on peut y ins
rer une carte VLab Motion pour
aliser des effets sp
ciaux vid
o et une carte d'acquisition sonore 16
bits. L'
cran n'est pas fourni.
@{fg shine}Amiga@{fg text}
A notre 4000T il manque donc quelques "petites choses" propos
es par les
concurrents: le lecteur de CD-ROM (+ 1200 F), la carte vid
o pour obtenir
16,7 millions de couleurs (+ 4000 F), le son 16 bits (+ ????), le lecteur
de disquettes HD. Quant
la limite des 16 Mo de RAM du 4000, elle fera
bient
t partie du glorieux pass
de l'Amiga: la carte 68060 qui remplacera
terme la carte 68040, est
e de slots d'extension m
moire permettant
d'installer comme chez les autres constructeurs, jusqu'
128 Mo de RAM.
@{fg shine}L e s y s t
m e d ' e x p l o i t a t i o n@{fg text}
Les PC actuels sont livr
s avec Windows 95 et quelques applications
passe-partout (int
s type Works). Dans cette gamme de prix, c'est le
me d'exploitation qui se rapproche le plus du syst
me d'exploitation
de l'Amiga pour son multit
che, son syst
me de fen
tres et menus, sa
poubelle (c'est
croire que d'anciens ing
nieurs Commodore ont particip
laboration de certaines fonctions). Plus agr
able que son pr
cesseur
Windows 3.1, il n'en reste pas moins que Windows 95 n'est pas enti
rement
compatible avec ce dernier. Sa fiabilit
en regard de tel ou tel mat
riel
ou de tel ou tel logiciel, n'est pas certaine (absence de gestionnaires
quats, bogues). Il demande
galement de grandes ressources: jusqu'
Mo sur disque dur, au moins 6 Mo de Ram et au moins un PC 486 (c'est la
configuration conseill
e par Microsoft). N
anmoins, seule la pr
sence d'un
Pentium et de 16 Mo de Ram, permettent une utilisation rationnelle de ce
Pour le n
ophyte et si l'Amiga n'existait pas, le syst
me MacOS 7.5
serait l'outil id
al. Convivial, simple, beau et color
sont les adjectifs
majeurs que l'on peut lui donner. N
anmoins,
force de vouloir faire
simple, le Mac est beaucoup moins convivial qu'il n'y para
t. Les erreurs
me sont g
ralement fatales pour les travaux en cours et ne sont pas
du tout expliqu
es dans les manuels (donc reproductibles
l'infini).
L'absence du multit
che rend impossible la communication en temps r
d'applications entre elles. L'absence d'acc
s au DOS et la pr
sence de
fichiers syst
me cach
s rendent impossibles certaines erreurs de
manipulation, mais rendent
galement impossible la correction d'erreurs de
configuration.
La gestion de la m
moire n'est pas dynamique: il faut allouer un espace
moire fig
pour chaque application qu'il est ensuite, impossible de
modifier en cours d'utilisation. Cette absence de gestion dynamique de la
moire est un d
faut majeur: on est enferm
dans un syst
me aux fronti
limit
es, malgr
l'emploi de la m
moire virtuelle sur disque dur. Pour les
applications muscl
es telles que Photoshop ou XPress, cela implique
beaucoup de m
moire (32 Mo pour commencer
se sentir
l'aise) et un
espace libre important sur le disque dur. En effet, un document XPress peut
peser 80 Mo et m
me beaucoup plus! Enfin, le MacOS 7.5 moins gourmand que
Windows 95, prend malgr
tout 20 Mo sur le disque dur et 2 Mo de Ram.
L'AmigaOS 3.1 commun au DraCo et
l'Amiga est ce qui se fait de mieux
sur les ordinateurs personnels d'entr
e de gamme. Il est r
ellement
multit
che (depuis 10 ans). Le travail sur plusieurs applications en m
temps est un v
ritable jeu d'enfant: chaque application a son
cran que
l'on visite en d
ant ces derniers
la souris. De plus gr
ARexx,
on peut relier les applications entre elles pour cr
er des applications
particuli
res r
ellement tr
s puissantes et en temps r
el. Il p
peine, au grand complet, 4 Mo sur le disque dur et prend moins de 256 Ko
de Ram! La gestion dynamique de la m
moire est exemplaire, nul besoin de
s'en pr
occuper. Son seul d
faut est que cette derni
re n'est pas prot
La personnalisation du bureau est sans limites. A l'aide de programmes DP
tiers comme Yak, MagicWb et ToolManager, le Workbench de l'Amiga supplante
sans difficult
s en fonctionnalit
et en aspect, Windows 95 et le syst
7.5 du Mac. Enfin, l'Amiga garde une compatibilit
ascendante exemplaire,
ce qui n'est pas toujours le cas des deux autres syst
mes d
crit. L'Amiga
de ainsi, le syst
me d'exploitation le plus convivial de notre
comparatif.
@{fg shine}A v a n t a g e s e t i n c o n v
n i e n t s
PC@{fg text}
Le choix PC apporte de nombreux avantages d
l'effet de nombre (le
nombre d'utilisateurs, de constructeurs et d'
diteurs). Les prix pratiqu
sur les p
riques et les cartes additionnelles sont les plus bas du
march
. L'offre logicielle est
poustouflante tant par sa diversit
que par
sa quantit
. On y retrouve une partie de la cr
me des logiciels Amiga et
Mac. Avec un PC et Windows 95, on acc
de AU standard plan
taire de
l'informatique. Par contre, l'actualit
informatique, la course
puissance et aux performances, font que chaque ordinateur PC se retrouve
s vite d
. Bien que les PC soient souvent dot
s de bus CPU
permettant d'ins
rer un processeur plus rapide, l'utilisateur pr
changer carr
ment de machine pour suivre l'
volution du march
. Le prix
d'un PC neuf avec toutes les ressources n
cessaires, est souvent moins
que le prix des indispensables cartes et p
riques qu'il faudrait
ajouter pour arriver au m
sultat.
Un PC c'est du consommable, bon pour la poubelle au bout de 5 ans. En
effet, les
diteurs de logiciels menant une guerre commerciale sans fin, ne
prennent plus le temps d'assurer la compatibilit
de leurs produits vers
les machines d'hier. Les logiciels demandent de plus en plus de ressources:
moire, espace disque, puissance du processeur. Le fringuant 486 de 1994
commence
montrer ses limites et est d
brad
en dessous des 10 000F sur
talages. A l'utilisation, le PC vient
peine de se doter de fonctions
que l'Amiga conna
t depuis 10 ans: la poubelle, le multit
che, le "plug &
play". D'un abord plus ais
que par le pass
, il persiste n
anmoins des
s fort d
ables: lourdeur des ressources n
cessaires, applications
nombreuses mais souvent hors de prix, trop sp
cifiques ou trop complexes,
installation de p
riques parfois difficile et d
routante.
Le c
statique et impersonnel du PC alli
une logith
"professionnelle" (traitement de texte, tableur, gestion, comptabilit
fait qu'il s'est int
presque naturellement dans la plupart des
entreprises. C'est ce qui fait, encore aujourd'hui, son immense succ
Malgr
cela, on n'a pas vraiment d'
tat d'
l'utiliser: c'est un outil
comme un autre. D'ailleurs les utilisateurs de PC ne jurent pratiquement
pas au travers de leur machine, mais au travers des logiciels qu'ils
utilisent : Word, Excel, etc. C'est la logique du monde PC. Sur le march
de l'occasion et si on a le malheur de garder son ordinateur plus de 2 ou 3
ans, ce dernier peut devenir vraiment difficile
revendre, m
un prix
risoire. Qui voudrait aujourd'hui d'un PC 386?
@{fg shine}Macintosh@{fg text}
Chez Apple, avec la gamme des PowerMac 7500, 8500 et 9500, le Mac devient
volutif: auparavant, si on voulait
voluer en puissance, il fallait
obligatoirement changer de machine. Depuis le dernier trimestre 1995, il
est dor
navant possible de faire
voluer ces ordinateurs en changeant de
processeur et de Rom, tous deux implant
s sur carte fille. Le but avou
d'Apple est de concurrencer le PC sur son propre terrain avec la pseudo
convivialit
du syst
me 7.5 en plus. On retrouve dans la logith
que du Mac,
les grands standards de la logith
que PC: Word, Excel, etc. Malgr
cela,
l'image du Mac reste cantonn
son utilisation premi
re: la PAO. C'est
pourquoi on trouve plus facilement des Mac dans les maisons d'
dition que
partout ailleurs.
Malheureusement, les logiciels vraiment int
ressants sont chers, voire
s chers. Un Photoshop vaut 3000 F, un XPress vaut 9000 F, un logiciel de
composition multim
dia vaut 20 000F et plus! De plus, ces grands titres qui
ont fait son renom (Photoshop, XPress ou encore Illustrator) sont aussi
disponibles dans la logith
que PC (au m
me prix). Que reste-t-il au Mac:
pas seulement son joli syst
me d'exploitation mais aussi son
me et son
histoire. A l'instar des compatibles PC, le Mac et son utilisateur ont une
relation homme-machine comparable
celle de l'Amiga et de son utilisateur.
Pour finir, puisque nous avons compar
le PowerMac 7500 au 4000T, outre le
clavier et l'
cran, il faut pr
voir l'achat de bo
tiers m
moire
suppl
mentaires (pour obtenir au moins 16 Mo) et d'une carte m
moire cache
d'au moins 256 Ko (2500F), indispensable pour d
verrouiller la puissance du
PPC 601. A la revente, le Mac perd moins de sa valeur que le PC, car comme
pour l'Amiga, il est dot
d'un potentiel d'inconditionnels acceptant de
payer le prix fort.
@{fg shine}Draco@{fg text}
Le DraCo dispose en standard du syst
me d'exploitation de l'Amiga et ce
n'est pas rien! Ainsi, une bonne partie des logiciels Amiga fonctionnent
sur aussi sur DraCo. Mais l'inconv
nient majeur du DraCo, est qu'il ne
de pas les puces sp
cifiques Amiga. Un certain nombre d'applications
Amiga ne peuvent donc pas
tre utilis
es sur un DraCo: impossible
d'utiliser Scala par exemple. C'est bien dommage.
@{fg shine}Amiga@{fg text}
L'Amiga c'est l'ordinateur
volutif par excellence. Il est toujours
possible de "gonfler" et de mettre au go
t du jour un Amiga, m
me un simple
A1200. Ceci est d'autant plus vrai sur les s
ries 2000, 3000 et 4000. Le
2000 qui a 10 ans peut devenir presque aussi puissant qu'un 4000 actuel! Du
jamais vu sur les autres plates-formes. La compatibilit
IDE et/ou SCSI
permet d'utiliser une grande partie des p
riques du march
. Par
contre, les 2/3/4000 sont dot
s de bus PC-AT qui permet en th
orie
d'utiliser des cartes PC dans l'Amiga (modems, cartes son ou autre).
Malheureusement, personne ne s'est jamais r
ellement pench
sur cette
particularit
pour
crire les gestionnaires ad
quats. Esp
rons que cet
de fait changera dans le futur lorsque les Amiga seront dot
s de bus PCI!
L'Amiga poss
de une logith
que plus r
duite que ses concurrents, moins
performante dans certains domaines notamment en Bureautique, mais aussi
beaucoup moins ch
re. Par contre, il poss
de des applications dans le
domaine de l'image (dessin, animation, 3D, vid
o) et du multim
dia tr
performantes et m
me parfois in
es sur PC ou Mac.
Comme l'Amiga sait parfaitement
muler un Mac (avec le logiciel
ShapeShifter ou avec une carte Emplant), toute la logith
que de ce dernier
est potentiellement disponible. Il sait
galement
muler sans carte
additionnelle le monde UNIX et dans une moindre mesure le PC. Pour une
meilleure
mulation de ce dernier, des cartes PC Pentium seront bient
disponibles pour l'Amiga. Sur le march
de l'occasion, l'Amiga reste
souvent
un prix proche de celui d'achat: il d
cote tr
s peu. Un vieux
A2000 de base de 9 ans vaut encore aujourd'hui environ 2 000F. Il suffit de
comparer
ce que vaudrait
l'heure actuelle un PC
base de 286!
@{fg shine}BeBox un possible "outsider"@{fg text}
Cet ordinateur d
pourvu de toute logith
que except
son syst
d'exploitation, est propos
de base en version bi-processeurs PowerPC 603
100 Mhz, extensible
8 (huit PowerPC)! Il devrait
tre fourni nu, c'est
dire sans clavier, sans disque dur, sans m
moire, sans
cran, sans carte
o ni carte son, pour permettre
l'utilisateur de se fournir en
riques type PC
moindre co
t. Sa naissance officielle devrait avoir
lieu dans le courant de l'ann
e. J'ai re
u trop peu d'informations au
sujet du BeBox pour pouvoir l'int
grer
ce comparatif. Par contre, les
rumeurs semblent prometteuses. Et Dave Haynie en a un...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Aujourd'hui l'achat d'un Amiga 4000 est-il un bon choix? Difficile
dire. D'une part il est difficile de pr
voir ce que l'avenir r
servera
ellement
l'Amiga. On en est presque
prier St Motorola et St Escom
pour que son avenir redevienne aussi brillant qu'il l'
tait avant la
mission de son ancien constructeur.
D'autre part, sa modeste puissance actuelle vis
vis de la concurrence
n'en font pas un foudre de guerre: il est moins performant qu'un PowerMac
ou qu'un PC Pentium. L'absence d'un CD-ROM et d'un lecteur HD en s
rie sur
le 4000T est un argument de vente plus que douteux. Mais avant de passer du
obscur de la force, posez-vous les questions essentielles: suis-je
perdre 5000F/an sur mon PC (ordre d'id
e de la d
cote du mat
riel
par rapport
volution), suis-je pr
penser 3000 F pour acheter un
simple traitement de texte et une somme exorbitante pour un logiciel de 3D?
A quoi sert mon Amiga: la concurrence est-elle capable de m'offrir
quivalent avec la m
me convivialit
et surtout au m
me prix?
L'Amiga pr
curseur dans bien des domaines (premier ordinateur
proposer le multim
dia, le multit
che, un lecteur de CD-ROM en s
rie avec
le CDTV, la d
mocratisation de l'acc
l'imagerie de synth
se) est
encore aujourd'hui une machine agr
able, pleine de charme, potentiellement
ative et in
e dans certains domaines tout au moins dans un rapport
qualit
/prix.
Vous n'
tes pas encore convaincu ? Alors je vous donne rendez-vous le
mois prochain, car j'aurais l'honneur de tester pour vous un Amiga 4000 T
version 96: @{"le mien" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Ilove.8bt"}
@{fg shine}Alain Piedno
l@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aInternetmac " Internet facon MAC (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I n t e r n e t f a
o n M a c
Avec Shapeshifter@{fg text}
Vous avez certainement
un peu d
u des exp
riences DP de l'Internet
sur Amiga. AMosaic qui plante toutes les minutes, le mail al
atoire,
l'installation et la modification des scripts rebarbatifs, les packages
"commerciaux" d
faillants, ... bref la catastrophe. Si vous en avez assez
et que vous poss
dez un configuration performante, une solution s'offre
vous: Shapeshifter.
@{fg shine}Q u o i ?@{fg text}
Shapeshifter, c'est l'
mulation Macintosh sur Amiga. Ce logiciel est
vraiment ce qui se fait de mieux dans le genre. Comme il est DP et que
l'enregistrement ne co
te qu'environ 200F, c'est une
mulation
poss
sans h
siter. Ainsi il sera possible d'utiliser tous les outils Mac sur
Amiga et bien
videmment tous les outils Internet de cette machine. Le plus
compliqu
avec Shapeshifter sera de se procurer la ROM du Mac. Le kit
Shapeshifter vous expliquera comment faire. Ensuite il faut savoir que pour
une meilleure
mulation il faudra poss
der 6Mo de RAM minimum et si
possible une carte graphique, car m
me en 16 couleurs, l'
mulation reste
lente.
L'utilisation d'une carte graphique, m
me une vieille Domino 1Mo, offre
des horizons nouveaux. L'aptitude
ce type de cartes
travailler
directement en mode 8bits "chunky", acc
re d'environ 8 fois l'
mulation
graphique compar
e avec l'AGA !. Bien entendu, si vous avez un 1200, cela
implique que vous ne pourrez,
priori, pas b
ficier de ces avantages
(sauf avec un extension de ports ZorroII et une Picasso par exemple). Sur
1200 en 640x480 et 16 couleurs, l'utilisation des outils Internet Mac sont
cependant bien utilisables.
@{fg shine}P o u r q u o i p a r l e r d u M a c ?@{fg text}
En fait, parce que les outils DP sont extr
mement performants,
nombreux, et faciles
utiliser, sans parler de l'aisance de configuration,
de l'absence totale de scripts et bien d'autres facilit
s. ShapeShifter
reconna
t sans aucune dificult
, les ports de l'Amiga. Donc, la prise s
sera totalement utilisable par l'
mulation Macintosh. Le d
bit sera r
Mac en fonction du Modem utilis
. Avec un modem
14400 on utilisera
un taux s
rie de 19200bauds ou 38400 si vous avez un 68030 rapide ou un
68040. Un modem 28800 permettra un r
glage s
38400 ou 57600 selon
votre machine (68020/030/040/060 ...).
On aura besoin en tout premier lieu de @{"MacTCP" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Mactcp.16c"} qui est livr
en standard
avec le syst
me 7.5 ou que l'on retrouve dans les kits de connection
offerts par les prestataires. MacTCP et PPP se configurent facilement
souris.
@{fg shine}L e M a i l
l e c t r o n i q u e ( e - m a i l )@{fg text}
On utilisera sans aucun doute le logiciel DP @{"Eudora" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/MacEudora.16c"}. Sa derni
re mise
jour est la 1.53. D'une utilisation particuli
rement simple, il permettra
toutes les manipulations que doit offrir un courrier
lectronique sur
Internet. Ici aussi tout se fait
la souris. L'envoi et la r
ception de
mails sont simplifi
s au maximum. L'envoi d'un mail est fait en temps r
Aucune attente! On peut aussi lier un mail
un fichier binaire, des
images, des sons. On peut composer ses mails hors connection et les envoyer
directement
l'ouverture de la connection sans attente ni
dition.
@{fg shine}F T P@{fg text}
On aura besoin de circuler sur FTP et de consulter les serveurs Aminet
pour faire ses courses et r
rer les nouveaux DP Amiga. Ici, on va
utiliser le logiciel @{"Fetch 2.12" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Macftp.16c"} qui tout comme Guiftp ou Adt sur Amiga fait
ce travail. L'Amiga poss
de, avec Adt et GuiFtp, de meilleurs outils que le
Mac et Fetch. Cependant, Fetch est correct et simple
utiliser
souris. Je trouve Fetch un peu lent quand m
me par rapport
Netscape. Les
logiciels sur Amiga sont l
rement plus rapides avec les versions
enregistr
es de AmiTCP et PPP. Mais il reste le jocker du c
Mac: @{"Netscape" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/MacNetscape.256"}
@{fg shine}N e t s c a p e N a v i g a t o r 2 . 0@{fg text}
La derni
re version existante est la version 2.0. Cet utilitaire de
navigaton sous Internet est le plus performant et le plus fini. Il est
mement rapide en ce qui concerne les liaisons et les taux de
transferts. Ainsi, contrairement
Fetch, j'ai pu transf
rer des fichiers
sous FTP et Netscape avec un taux annonc
de 3Ko/sec. J'utilise un modem
USRobotics Sportster 28800. On peut s'aventurer sans trop de frais
charger des fichiers de 1Mo lorsque l'on peut avoir ce d
bit.
L'exp
rience montre qu'il faut faire ces manipulations vers 4 heures du
matin pour b
ficier de cette rapidit
. A cette heure avanc
e de la nuit,
les communications avec votre prestataire son moins nombreuses et de plus
la communication PTT est en mode r
duit.
Pour continuer avec Netscape, le navigateur du Web tourne parfaitement
sous Shapeshifter. De plus, sous Mac, Netscape est livr
avec tous les
outils externes capables de d
coder tous les types d'informations que l'on
trouve sur Internet. On peut jouer tous les sons, voir tous les formats
d'image, les animations, son mail, t
charger, envoyer... enfin tout ce
que permet Internet. @{"Le mail sur Netscape" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Macmail.256"} est tr
s puissant et simple
utiliser. Sans avoir
quitter Netscape, on peut consulter son Mail, qui
plus est peut
tre au format HTML, c'est
dire comporter des images,
sons... Netscape poss
de aussi un @{"lecteur de Newsgroups" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Macnetnews.16c"} simple
utiliser
lui aussi. Cependant, NewsWatcher est quand m
me plus pratique et
performant.
J'utilise Netscape sous
mulation Mac depuis tr
s longtemps, en premier
avec AMax, puis depuis 6 mois avec Shapeshifter, et je ne changerai que
lorsque c
Amiga, on trouvera vraiment un
quivalent. Pour le moment,
tous les Browser cot
Amiga ne sont soit pas complets, soit ne lisent pas
tous les sites, soit instables, et quelquefois cumulent la totalit
des
fauts cit
s. Dans ce domaine, on attend au tournant le pack Surfer de
chez Amiga Technologies. Il est vraiment dommage de devoir
muler une
machine comme le Mac pour surfer sans soucis (et simplement) sur le net.
Pour continuer avec les outils, on peut communiquer avec le monde IRC
muni de HOMMER, comme d'habitude, tout
la souris .
On lira les News-groups avec @{"NewsWatcher" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Macnews.16c"} et un environnement qui
ressemble
Eudora. D'autres outils pour Internet existent comme un kit de
mail et communications de liaison directe image et son. Pour les
inconditionnels, on retrouvera aussi Mosaic en version 2.1. Il est du
niveau de Netscape et bien qu'un peu plus lent, b
ficie de facilit
s qui
lui sont propres. La derni
re version peut lire les nouvelles pages HTML 3.
J'utilise peu Mosaic au b
fice de Netscape pour le moment. Une
nouvelle version de Mosaic 2.? sera plus compl
te, multifen
tres, et
devrait aussi sortir sur Amiga. J'ai vu des pages
cran de cette nouvelle
version.
@{fg shine}C r o s s M a c@{fg text}
On arrive ensuite aux
changes entre l'Amiga et Shapeshifter. Ici, le
meilleur conseil que j'aie
vous donner, sera d'utiliser CrossMac. Cet
utilitaire est parfait. La partition ou le disque dur Mac est vu comme une
Amiga sous le Workbench et sera utilisable comme telle. Ainsi, on
pourra effacer, copier, renommer... tout comme un disque dur normal. C'est
l'outil indispensable de Shapeshifter. CrossMac devra
tre configur
"binaire" pour la lecture et l'
criture sur le disque dur Mac.
@{fg shine}P o u r r
s u m e r . . .@{fg text}
Pour surfer sans probl
me sous Shapeshifter (sous Macintosh donc), il
faudra avant tout acqu
rir une version enregistr
e du logiciel. C'est la
seule
permettre la gestion directe d'un disque dur, indispensable pour
des vitesses correctes d'utilisation. Il faudra ensuite poss
der 6Mo de Ram
minimum et 8Mo pour utiliser Netscape sous Mac. Une carte graphique est
vivement conseill
e, voire indispensable, d
s que l'on veut d
passer 16
couleurs. Sur un 1200, l'investissement reviendra
se fournir une
extension de ports Zorro2 et d'y mettre une carte graphique,
trouver un
peu plus de m
moire, un 68030 rapide ou 040, ce qui ne sera pas un luxe non
plus. Pour un 3000 ou 4000 (voire 2000), l'ajout d'une carte Zorro3 de type
tinaZ3 ou Cybervision, vous permettra m
me en plus de pouvoir en plus
jouer sur votre Mac. Si vous arrivez
avoir un peu plus de 8Mo libres sous
Shapeshifter,
vous les Dark Forces, Rebel Assault, Doom2, et autres jeux
d'aujourd'hui qui ne se trouvent pas encore sous Amiga.
@{"Revenons
Internet" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pompom.8bt"}. On peut se rendre compte qu'il faut une
configuration solide pour cette
mulation Macintosh. On peut cependant
couper la poire en deux. Je m'explique. C
Amiga, il va sans dire que
cela p
che un peu avec les mails et les News. On peut cependant se
satisfaire de AMosaic pour le Web. Si votre configuration est limit
e, je
vous conseille de n'utiliser Shapeshifter en 16 couleurs, en 512x384 avec
Eudora (Mail), Hommer (IRC) et NewsWatcher (News groups). Dans ces
conditions, 4Mo de Ram sont suffisants.
N'oubliez pas que Shapeshifter est multitache, l'
cran du Workbench
Amiga tourne derri
re. Enfin, CrossMac facilitera la transmission des
fichiers r
s sous Internet Mac vers le c
Amiga.
Voila, c'est une solution possible pour bien utiliser Internet sur
Amiga pour peu que l'on poss
de la configuration ad
quate.
@{fg shine}Eric Laffont@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aExerciceLw " Exercice avec LightWave (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T u y a u " a l a c a r t o o n "
Une application des bones@{fg text}
Lors d'IMAGINA '96, j'ai vu sur le stand Autodesk une d
mo de 3DS Maxx
(leur nouveau produit) qui, je dois l'admettre, m'a pas mal impressionn
Il s'agit de faire passer une sph
re par un tube
troit. 3DS Maxx semble
capable de d
former le tube (fa
on cartoon) automatiquement comme sci celui-
tait
lastique. En rentrant chez moi, j'ai r
chi au moyen de faire
me sous LW3D et je vous livre le r
sultat de mes r
flexions. Nous
sommes donc en pr
sence de deux objets, le tuyau et la boule, que vous
allez cr
er avec le Modeler.
@{fg shine}L e t u y a u@{fg text}
@{"Le tuyau" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwillus.16c"}, pour
tre d
correctement, sera d
compos
en plusieurs
Segments (10) sur toute sa longueur. En effet, en attendant d'avoir des
splines dans LightWave, c'est le seul moyen de faire des d
formations
organiques potables.
Objects/Options/Create Surface:
Plastique Tuyau
ez un cylindre (Disc), avec Numeric: 10 Segments, Radii X, Y et Z = 500.
Polygon/Unify, doit supprimer 162 polygones.
Contr
lez que les normales du cylindres sont bien tourn
es vers l'ext
rieur
sinon Polygon/Flip, pour les orienter dans le bon sens.
Copiez le Cylindre dans la m
moire 2 et s
lectionnez le. Faites un Stretch
avec Numeric, facteurs X,Y et Z
1.01, 0.8 et 0.8 respectivement.
lectionnez la m
moire 1 en principal et la m
moire 2 en background
(rang
e du bas) Tools/Boolean, Substract.
lectionnez le r
sultat et faites un Stretch, avec Numeric: facteurs X, Y,
4, 1, 1 respectivement.
@{"Le tuyau est termin
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwfig1.16c"}, on le sauvegarde, appelez le "Tuyau".
@{fg shine}L a b o u l e@{fg text}
Objects/Options/Create Surface:
Plastique Boule.
lectionnez la m
moire 3
ez une sph
re (Ball), avec Numeric:
Radii X, Y et Z = 700.
La boule est termin
e, on la sauvegarde, appelez la ... "Boule"
@{fg shine}O n p a s s e m a i n t e n a n t a u L a y o u t . . .@{fg text}
Venons-en maintenant
la partie la plus int
ressante. On veut que le
tuyau se d
forme en
pousant la forme de la boule. Pour ce faire, nous
allons utiliser les bones,
travers un de leur attribut: la taille
(Stretch). On dispose plusieurs Bones align
l'int
rieur du tuyau, ainsi
en agrandissant un Bone on fera s'agrandir le tuyau localement. Il suffit
que les Bones changent de taille les un apr
s les autres au cours du temps
pour obtenir l'effet d
Chargez le Tuyau et la Boule. Placez la Camera et le Spot
votre
convenance, avec le Tuyau comme Target pour les deux.
lectionnez la Boule, placez la (avec Numeric Input) en X = 3, Y = 0, Z =
0. Allez
la Frame 30, d
placez la en X = -3, Y = 0, Z = 0. N'oubliez pas
de cr
er la clef, click sur Create Key ou en appuyant deux fois sur
[ENTER].
Voil
: la boule traverse le Tuyau de part en part, mais celui-ci reste
inerte. Nous allons rajouter 8 Bones, sur l'axe du Tuyau, les uns
des autres. Je pense que 8 Bones sont n
cessaires
l'objectif vis
sachant que le Tuyau est constiu
de 10 Segments, cela nous fait 6 Bones
pour le tuyau lui m
me et 2 Bones aux extr
s pour
viter les
formations excessives.
Allez
la Frame 0, s
lectionnez le Tuyau et cr
ez 8 Bones. Renommez
les Bones (7) et Bones (8) en Extr
1 et Extr
lectionnez le Bone (1). Rotate avec Numeric Input, 90, 0 et 0 pour les 3
angles. Rest Lenght
0.8 avec Numeric Input.
Faites de m
me pour les 7 autres Bones, ensuite placez les tous sur
l'axe X, avec Numeric Input, gr
ce au tableau suivant.
Positions en X des 8 Bones, Y = 0, Z = 0
Bone (1) -> X = 1.6
Bone (2) -> X = 0.8
Bone (3) -> X = 0.0
Bone (4) -> X = -0.8
Bone (5) -> X = -1.6
Bone (6) -> X = -2.4
Extremit
1 -> X = 2.4
Extremit
2 -> X = -3.2
Les Bones sont r
partis le long du Tuyau, rendez les actifs:
lectionnez chaque Bone et tapez [R]. Ensuite on cr
e pour chaque Bone des
clefs aux Frames 1, 5, 9, 13, 17, 21, 25, 29 et 30. Ceci permet de bloquer
les Bones et de ne les faire bouger qu'au moment voulu. Ce travail un peu
fastidieux peut
tre fait gr
ce aux raccourcis claviers: utiliser les
ches Gauche/Droite pour changer de Frame, Haut/Bas pour changer de Bones
et [ENTER] 2 fois pour cr
er la clef.
@{fg shine}On peut ensuite faire grossir les Bones@{fg text}
@{"A la clef 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwfig2.16c"}, le Bone (1) subit un Stretch de X = 2.5, Y = 2.5, Z = 1.0,
la clef 9" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Lwfig3.16c"},
c'est au tour du Bone (2),
la clef 13 c'est le Bone (3) etc jusqu'
clef 25. N'oubliez pas de cr
er les clefs par [ENTER}. Les Bones
d'extr
s ne changent pas. Une fois tout fini, vous remarquerez que
c'est toujours le Bone le plus proche de la Boule qui grossit.
@{fg shine}Les textures du Tuyau et de la Boule@{fg text}
Plastique Tuyau
Surface Color R = 128, G = 130, B = 134
Diffuse Level = 65%
Specular Level = 2%
Smoothing activ
avec Max Smooth.
Angle = 70
Plastique Boule
Surface Color R = 199, G = 51, B = 66
Diffuse Level = 70%
Specular Level = 88%
Smoothing activ
avec Max Smooth.
Angle = 89.5
Voil
, @{"vous pouvez" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Tuyau.24b"} @{"renderiser" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Tuyau2.24b"} @{"comme des fous" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Tuyau3.24b"}, en 4000 * 4000 si vous
avez 15 Raptors en r
seau. Personnellement, mon 4000/030 est un peu juste,
mais bon... Cela dit, n'h
sitez pas
revoir les textures,
rajouter un
cor,
prendre en compte la gravit
etc...
@{"Animation en HAM8" SYSTEM "AmigaNews96:c/ppshow Amiganews96:PicAVRIL/tuyau.ham8"}
@{"Animation en HAM6" SYSTEM "AmigaNews96:c/ppshow Amiganews96:PicAVRIL/tuyau.ham6"}
@{fg shine}Francois GUTHERZ@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aDessinanime " Dessin Anim
(04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D e s s i n A n i m
Vers la vid
o@{fg text}
Pour cr
ellement un dessin anim
, il nous faut maintenant
transposer notre travail de l'Amiga sur une cassette vid
o, ce qui n'est
pas particuli
rement difficile.
@{fg shine}M a t
r i e l n
c e s s a i r e@{fg text}
- Un Amiga
- Un genlock (diff
rents mod
les sont disponibles pour l'Amiga)
- Si nous voulons r
aliser un doublage son comportant
la fois de la
musique et un commentaire oral, une solution est de disposer de deux
toscopes permettant cette op
ration; nous nous sommes servis d'un SONY
1000 et d'un PANASONIC 100. Il nous faut naturellement une lecture son:
ne HIFI ou lecteur CD et, pour un commentaire oral, un micro
- Un moniteur TV
Pour obtenir une qualit
optimale, il faut que les deux magn
toscopes
soient en SVHS ou en HI8.
Nous pouvons en outre introduire dans notre dessin anim
@{"des s
quences prov" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicAVRIL/Cabane.ham"}
@{"enant de nos films vid
o" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicAVRIL/Lac.ham"}
(HI8 ou SVHS de pr
rence, l
aussi).
@{fg shine}T i t r e@{fg text}
Nous r
alisons notre titre sur DPaint ou sur Scala et nous le pla
but de notre cassette. Pour cela, nous activons d'abord notre Genlock,
puis nous abaissons son panneau de contr
le, afin d'avoir acc
s aux
commandes de "Work"; l
nous appelons notre titre, qui s'installe sur
cran. Nous cliquons sur "suppression de l'
cone", afin qu'elle
n'apparaisse pas sur notre film; de m
me, nous appelons "pleine page", pour
ne pas avoir les barres de commande sur le film. Alors, nous pouvons
enregistrer le titre: nous lan
ons le magn
toscope et le pla
ons sur "pose"
puis, nous appuyons sur "enregistrer" en appuyant
la fois sur les deux
boutons qui commandent cette op
ration; pour que l'enregistrement se fasse
ellement, il faut r
appuyer sur "pose" (ou appuyer sur "marche", selon le
type d'appareil). @{"Notre titre s'inscrit parfaitement sur notre film" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicAVRIL/Titre.ham"}
@{fg shine}E n r e g i s t r e m e n t d e s s
q u e n c e s@{fg text}
Nous avons pr
demment pr
toutes les s
quences de notre dessin
, sous forme d'animations de courte dur
e. Nous les enregistrons
maintenant dans un ordre d
termin
la suite les unes des autres. Pour
cela, nous faisons d'abord jouer notre titre, d
enregistr
, pendant la
e que nous voulons en d
finitive conserver pour ce titre, mettons par
exemple 20 secondes. L
, nous appuyons sur "pose" sur le magn
toscope. Nous
appelons sur notre Amiga la premi
re sc
ne de notre film (
moins que nous
ne l'ayons fait avant d'installer le titre, ce qui convient aussi bien)
Nous appelons la sc
ne sur "animation" et nous la lan
ons, puis, tr
s vite,
nous commandons "enregistrement" sur le magn
toscope. Sur certains mod
les,
l'enregistrement ne d
marre pas
la suite de cette manoeuvre : il faut
encore appuyer sur "pause", pour , en fait, couper la pause.
Notre sc
ne s'enregistre sur la bande du magn
tosope, sans qu'il y ait
aucune coupure ou parasite entre elle et notre titre. Nous pouvons ainsi,
par le m
me proc
enregistrer successivement toutes nos sc
nes. Nous
pouvons m
me, toujours par le m
me proc
, introduire dans notre dessin
des sc
nes provenant de notre camescope, et y superposer, gr
ce au
Genlock, des images de l'Amiga. Une fois toutes les sc
nes enregistr
nous pouvons cr
er un tableau ou un g
rique anim
de fin de film, et
l'ajouter
la suite de nos s
quences. Tout ce montage peut naturellement
se faire par l'interm
diaire d'une table de montage ou d'un montage par
ordinateur (gr
notre Amiga), mais cela n
cessite un mat
riel
suppl
mentaire, et le proc
crit plus haut peut donner des r
sultats
s satisfaisants.
@{fg shine}D o u b l a g e s o n@{fg text}
Si nous pouvons disposer de deux magn
toscopes, il nous sera possible
de compl
ter notre dessin anim
la fois par un doublage musique et un
doublage commentaire. Il faut pour cela proc
der de la mani
re suivante :
nous installons par exemple d'abord la musique. Le proc
suivre est
naturellement celui qui est expliqu
dans la notice d'utilisation de notre
toscope. En principe, on arr
te la cassette vid
o sur "pause" au point
l'on veut faire commencer l'enregistrement sonore. De m
me on installe
la bande sonore sur le lecteur, cha
ne HIFI ou lecteur de CD, branch
sur
le canal ad
quat du magn
toscope, et l
aussi, on arr
te le lecteur sur
"pose" au point d
. On lance ensuite la proc
dure de doublage son selon
les directives du magn
toscope avec lequel on travaille, et
l'enregistrement commence, d
s qu'on arr
te la pose successivement sur le
lecteur son et sur le magn
toscope. Ensuite, il suffit naturellement
d'arr
ter le lecteur sonore au moment voulu pour mettre fin
l'enregistrement.
Si nous voulons apr
s cela ajouter encore un commentaire oral pour
souligner certains
pisodes du dessin anim
, nous pouvons faire lire la
bande d
enregistr
e, avec la musique, par le premier magn
toscope et
refaire un deuxi
me doublage son sur le deuxi
me appareil (qui lit le
premier film), en rempla
ant le lecteur musical par un microphone... en
veillant
ce qu'il ne se produise pas de bruits parasites dans la pi
pendant le travail. Cette double copie, apr
s le montage original du film,
n'entra
ne pas une forte d
rioration de la qualit
de l'image si l'on
travaille en HI8 ou en SVHS. Il semble qu'il ne soit pas possible de
aliser soit en m
me temps, soit successivement les deux enregistrements
avec un seul magn
toscope, et sans faire une nouvelle copie.
@{fg shine}Jean Walch@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aArexxLw " Macro Arexx avec LightWave (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M a c r o s A R e x x p o u r L i g h t W a v e 3 D
PowerMacros@{fg text}
Les utilisateurs de LightWave connaissent bien les possibilit
qu'offrent l'utilisation des macros ARexx dans le modeleur. Mais bien peu
d'entre eux se lancent dans l'aventure de la programmation de macros
personnalis
es. A leur intention, PowerMacros propose 17 nouvelles macros
montrant une fois encore la puissance d'ARexx.
L'utilisation des PowerMacros n
cessite la version 3.0 (ou sup
rieure)
de LightWave, ARexx et un syst
me acc
, mais ceci est une
"lapalissade". Pour une ex
cution plus rapide, ces macros sont compil
Dommage pour l'apprentissage d'ARexx car, de ce fait, les codes sources ne
sont pas disponibles.
Elles sont class
es en quatre familles dont voici le d
tail:
@{fg shine}B u s i n e s s M a c r o s@{fg text}
* Pie Chart1 g
re un camembert de 8 sections maxi dont le rayon et
paisseur sont aussi param
trables.
* @{"Pie Chart2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmpie.4c"} m
me fonction que la pr
dente mise
part que chaque
section est consid
e comme un objet.
* @{"Chart Legend" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmchart.4c"} va permettre d'ajouter une l
gende
vos graphiques en
rant @{"une plaque biseaut
e grav
e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmchart2.4c"}.
@{fg shine}E n e r g y M a c r o s@{fg text}
* @{"Shatter" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmshatter.4c"} utilise des op
rateurs bool
ens pour
clater un objet en un
nombre param
trable de pi
ces. Trois m
thodes de g
ration sont
disponibles (al
atoire, semi-al
atoire, ordonn
), influant sur la taille et
la forme.
* @{"BlowUp" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmblowup.4c"} utilise les pi
ces (objets) cr
s par la macro Shatter pour
rer une animation simulant l'explosion d'un objet.
* @{"Swarm" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmswarm.4c"} g
re une animation type mine antipersonnelle :-( ou essaim
d'abeille :-I. Cette macro est plus facile
utiliser qu'
expliquer. Pour
sumer, on peut dire qu'
partir d'un objet et d'"aimants" permettant
d'attirer ou de repousser, on arrive
rer des animations d'un ensemble
d'objets? Obscur mais je vous assure que le r
sultat est convaincant.
@{fg shine}L a y o u t M a c r o s@{fg text}
* Focal Distance permet de g
rer une enveloppe pour contr
ler la focale
de la cam
* @{"Move Scene" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmmove.4c"} transf
re (et modifie) automatiquement un fichier sc
ne avec
ses objets et ses textures dans le directory de votre choix.
* @{"Render Batch" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmbatch.4c"} comme son nom l'indique, permet de lancer le calcul de
plusieurs sc
nes. Pour les heureux possesseurs d'un PAR (Personal Animation
Recorder) un switch permet l'enregistrement direct.
* Smooth Velocity modifie la vitesse de n'importe quel "motion path" en
attribuant une vitesse constante au d
placement. Cette macro est d'un usage
limit
car elle ne prend pas en compte les param
tres Bank, Heading et
pitch.
* @{"Snake" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmsnake.4c"} g
re l'animation d'un objet suivant le path de votre choix en
grant automatiquement des bones. Il suffit de dessiner le "motion
path", donner le nombre d'images et le nombre de bones que l'on veut
rer.
@{fg shine}M o d e l e r M a c r o s@{fg text}
* Attach To Polygon et Flip Around Polygon permettent de "coller"
ment deux objets.
* @{"Clone" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Pmclone.4c"} Object & Surfaces automatise le multi clonage d'un objet tout en
renommant le nom des surfaces utilis
* Load From Scene charge automatiquement tous les objets d'une sc
ne dans
le modeleur.
* Mirror Using Polygon permet d'utiliser un simple polygone pour
contr
ler l'angle et la position d'une op
ration miroir.
* Save Pivot Point permet de cr
er plus facilement un objet hi
rarchis
dans le modeleur que dans le "Layout", la gestion des "point pivots"
tant
plus ais
l'utilisation des layers.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
PowerMacros offre de nouveaux outils qui devraient int
resser bon
nombre de LightWaveManiacs. Les 17 macros propos
es sont d'un int
gal mais dans leur ensemble elles sont tr
s faciles
utiliser et
offrent un confort de travail suppl
mentaire non- n
gligeable.
@{fg shine}JLuc FAUBERT
Distributeur@{fg text} : VITEPRO
@{fg shine}Prix @{fg text} : 1150F
@ENDNODE
@NODE aClavierA1200 " Clavier pour A1200 (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C l a v i e r e x t e r n e p o u r v o t r e A 1 2 0 0
Simple, efficace@{fg text}
Avant de commencer les explications de ce montage, je tiens
ciser
qu'il n'y aura absolument AUCUNE modification
faire sur la carte m
re de
votre machine (plut
t sympa comme nouvelle). Par cons
quent, si un jour il
vous prend l'envie de retirer votre clavier externe (ce dont je doute),
vous n'aurez qu'
brancher l'interface et vous retrouverez votre 'miga
comme au premier jour.
@{fg shine}M a t
r i e l n
c e s s a i r e :@{fg text}
- 1 support copro PLCC 44 broches.
- 1 socle DIN femelle 5 broches.
- 1 fiche d'alimentation de lecteur de D7 (Din) femelle.
- 1 clavier A4000 ou CDTV (voir fin article)
Dans la nomenclature, j'ai choisi un socle DIN 5 broches car
mon sens
c'est la seule solution pour faire un montage tower propre (je n'ai pas
trouv
de socles mini-DIN). Il faut savoir que ce choix implique la
confection d'un cordon adaptateur mini-DIN 6 broches<->DIN 5 broches.
@{fg shine}Conseil: a faire un adaptateur, faites le avec une assez bonne
longueur de c
ble (on en a jamais assez).@{fg text}
@{fg shine}P r e m i
r e
t a p e@{fg text}
Nous allons tout d'abord ouvrir le ventre de la b
te. Une fois les
capots plastiques d
s, il faut enlever le clavier d'origine de feu
Commodore. Vous pouvez tirer sur la nappe verte du clavier
condition de
forcer progressivement et de mani
re rectiligne. Faites attention
les connexions des diodes du capot avant de retirer le clavier. Pour finir,
enlevez le lecteur de disquette et l'
ventuel disque dur interne, vous
aurez ainsi acc
la partie sup
rieure du capot m
tallique que vous allez
ter d
s maintenant.
Ceci
tant fait, vous avez toute la place n
cessaire pour acc
der au
Keyboard MPU (c'est le composant qui nous int
resse pour la suite des
nements: @{"regardez le sch
ma" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cablage.16c"}).
@{fg shine}D e u x i
m e
t a p e@{fg text}
Maintenant il faut constituer l'interface. Vous allez prendre le
support copro et @{"l'enficher sur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Plcc.8bt"} @{"le Keyboard MPU" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Plcc2.8bt"} (ATTENTION: il y a un sens.
A l'int
rieur du support, il doit y avoir un triangle qui pointe la broche
1 du Keyboard MPU: elle est marqu
e par un poin
onnage sur la puce).
Pour r
aliser cette op
ration, il faudra coucher vers la carte m
l'oscillateur qui est juste au dessous du Keyboard MPU. Quand vous
essaierez, vous comprendrez tout de suite de quoi je veux parler car c'est
le seul composant qui vous g
nera dans la manoeuvre. Quand je dis coucher,
ce n'est nullement la peine de l'incruster dans la carte m
re, de la
douceur que diable! Appuyer doucement sur l'oscillateur de mani
avoir
la place d'enficher le support copro (en effet, d'origine l'espace qu'il y
a entre l'oscillateur et le Keyboard MPU n'est pas suffisant pour laisser
passer le support copro qui est trop
pais). Il se peut que les trois
contacts qui nous int
ressent ne marchent pas au premier coup (le v
rifier
avec un testeur). Dans ce cas vous devrez
carter un peu plus les
connexions m
talliques
l'int
rieur du support.
Il ne reste plus qu'
effectuer les soudures n
cessaires sur le support
copro, le socle DIN et la fiche d'alimentation lecteur de disquette
@{"(voir sch
ma)" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cablage.16c"}
. Ce montage a pour cons
quence d'invalider le reset clavier connu de tous
(CTRL-LAMIGA-RAMIGA), c'est pour palier
ce probl
me que nous utilisons la
broche n
38 du Keyboard MPU @{"(voir sch
ma)" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cablage.16c"}.
Lorsque tout ceci aura
effectu
avec succ
s, de multiples
rifications
l'aide d'un ohm
tre ou d'un testeur de continuit
sont
vivement recommand
es afin d'
viter les mauvaises surprises dues
branchement hasardeux...
@{fg shine}T r o i s i
m e
t a p e@{fg text}
Passons au banc d'essai. Une fois tout connect
, allumez le miga et
partir du Workbench essayez votre clavier. S'il appara
t des "'" vous avez
invers
les signaux Kbdclk et Kbddat. Ce n'est pas grave,
teignez tout et
inversez les deux fils correspondants sur le socle DIN.
J'ai r
cet article sur @{"mon 1200T" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Clavier1200.8bt"}
l'aide d'un clavier de CDTV
ce montage (cela a l'air de bien marcher non?...). Cet
article est inspir
d'un montage par Hans Luijten. Un grand merci
lui.
@{fg shine}Derni
re chose, ne vous amusez pas
brancher un clavier d'Amiga 2000
ou 3000.@{fg text}
@{fg shine}C l a v i e r C D T V :@{fg text}
Il faut faire les modification suivantes pour le rendre compatible
A4000. Apr
s avoir d
votre clavier. Sur le connecteur arrivant au
clavier.
- Permuter les deux broches du centre
- Permuter les deux broches ext
rieurs
@{fg shine}A T T E N T I O N
L'auteur de cet article ni le journal
ne pourront
tre tenus pour responsables
de tout
ventuel dommage caus
par cet article.
Jean Philippe MISTROT@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aE " E (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a E
Choisir un
cran@{fg text}
Ce mois-ci, un petit programme qui n'a pas beaucoup d'ambition mais qui
va nous permettre d'aborder deux points importants: l'utilisation de la
structure intuitionbase et le maniement d'un des outils fournis avec le E.
Je m'occuperai d
sormais seul de cette rubrique d'AmigaNews. Yann ayant
de nombreuses autres activit
s, il n'a plus le temps de s'en occuper (pour
l'instant).
Le programme de ce mois-ci, que nous baptiserons SelectScreen, permet,
vous l'avez devin
, d'amener au premier plan un
cran par un simple click
de la souris. Il se pr
sente sous une forme tr
s simple. Quand on lance le
programme, une fen
tre s'ouvre et plusieurs gadgets s'affichent (
condition bien-s
r que plusieurs
crans soient ouverts) contenant chacun le
nom de l'
cran disponible. Il suffit alors de cliquer sur l'un deux pour
"sauter"
cran choisi.
@{fg shine}L a m
t h o d e@{fg text}
Pour construire l'interface graphique qui est tr
s simple dans ce cas-
, j'ai utilis
le tr
s pratique logiciel "GadToolsBox" de Jan van den
Baard, qui est un GiftWare (alors, si vous l'utilisez, envoyez un cadeau
l'auteur). Une fois le fichier sauv
, nous employons alors un outil fourni
avec le E qui s'appelle SrcGen. La syntaxe est: "SrcGen nom_du_fichier"
(sans le .gui). Le r
sultat est un fichier source en E qui nous
vite de
nous tracasser avec la cr
ation des fen
tres,des boutons ... Bien-s
r, il
n'est pas question ici de d
tailler les fonctions de GadToolsBox ou de
commenter le fichier source qu'il nous fournit (vous n'avez qu'
rimenter vous-m
me!).
Cependant, dans ce cas pr
cis, il nous faut modifier la source car le
nombre d'
crans ouverts peut changer et nous ne savons donc pas combien il
nous faut cr
er de boutons, ni quelle taille doit faire la fen
tre en
hauteur. Le probl
me des gadgets est vite r
: nous faisons une boucle
d'une longueur
gale au nombre d'
crans et nous cr
ons des gadgets dont
seul l'offset-y et le nom changent. Etant donn
que le nom reste le m
pour tous les boutons, leur d
tection se fera gr
l'identificateur (i).
Quant
la taille de la fen
tre, elle est automatique ment modifi
e en
fonction du nombre d'
crans - nombre d'
crans * 13 + 13 (pour le premier
bouton).
@{fg shine}L a r e c h e r c h e d e s
c r a n s@{fg text}
Cette partie du programme est tr
s simple (je sais, j'ai toujours
tendance
dire que c'est tr
s simple). Elle repose sur l'utilisation de la
structure intuitionbase. En E, l'adresse d'intuitionbase est facile
conna
tre car c'est une variable syst
me. Nous d
finissons "scre" qui
pointe sur le premier
cran (au premier plan). Nous d
finissons ensuite une
boucle WHILE qui dure tant qu'il y a des
crans ouverts (scre diff
rent de
0). A l'int
rieur de la boucle, nous stockons dans des tableaux de LONG
rents param
tres: l'adresse des
crans (screenadr[i]) et l'adresse de
leur noms (nom[i]). Ensuite, il ne reste plus qu'
appeler la proc
dure
findnextscreen qui cherche le prochain
cran dans la structure screen de
cran d'avant-plan. Ensuite, il suffit d'incr
menter la variable qui va
nous servir
stocker le nombre d'
crans ouverts et notre variable de
travail "i".
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Le reste du programme a quasiment
enti
rement cr
par GadToolsBox
(gestion des erreurs, proc
dure Main). Comme d'habitude, ce programme n'est
pas parfait (ce n'est pas la vocation de cette s
rie d'article de vous
cher tout le travail!). Il faudrait, par exemple, ajuster automatiquement
la taille des gadgets et les centrer par rapport
la fen
tre. De m
me, le
mieux serait de faire de ce petit programme une commodit
Contrairement aux HUNK_BSS toutefois, les BSS simul
s par des HUNK_DATA
comme mentionn
ci-dessus, ne sont pas remplis de z
ros, sauf utilisation
(non pr
vue par Devpac) d'un type de m
moire MEMF_CLEAR dans le
HUNK_HEADER, bien entendu.
@{fg shine} A s u i v r e@{fg text}
J'arr
les explications th
oriques. Le mois prochain, nous
tudierons le format des tables de relogement. En attendant, je vous laisse
avec le d
but d'un programme qui vous permettra de raccourcir vos
cutables charg
s par le Kickstart 2.0 ou sup
rieur. Il ne faudra pas
l'utiliser sur des programmes tournant sous 1.3, car le LoadSeg() du 1.3 ne
saura plus les charger.
@{fg shine}Fr
ric DELACROIX@{fg text}
include exec/exec.i
include exec/exec_lib.i
include dos/dos.i
include dos/doshunks.i
include dos/dos_lib.i
move.l 4.w,a6
move.l a6,Exec.Base
lea DOS.Name(pc),a1
moveq #37,d0 ; Kickstart 2.0 mini
jsr _LVOOpenLibrary(a6)
move.l d0,DOS.Base
beq Exit
move.l #Args.Template,d1
move.l #Args.Array,d2
moveq #0,d3
move.l DOS.Base(pc),a6
jsr _LVOReadArgs(a6)
move.l d0,Args.RDArgs
beq.s CloseDOS
move.l From.Arg(pc),d1
move.l #MODE_OLDFILE,d2
jsr _LVOOpen(a6) ; ouverture fichier source
move.l d0,Source.Handle
beq.s FreeArgs
move.l To.Arg(pc),d1
move.l #MODE_NEWFILE,d2
jsr _LVOOpen(a6) ; ouverture fichier destination
move.l d0,Dest.Handle
beq.s CloseSource
bsr ReadHeader ; transf
re (et teste sa pr
sence) le bloc
beq.s CloseDest ; HunkHeader.
moveq #0,d2 ; num
ro du hunk courant (commence
move.l d0,d3 ; nombre de hunks
HunkLoop
bsr ReadHunk
beq.s CloseDest
addq.l #1,d2 ; hunk suivant
cmp.l d2,d3
bne.s HunkLoop
CloseDest
move.l Dest.Handle(pc),d1
jsr _LVOClose(a6)
CloseSource
move.l Source.Handle(pc),d1
jsr _LVOClose(a6)
FreeArgs
move.l Args.RDArgs(pc),d1
jsr _LVOFreeArgs(a6)
CloseDOS
move.l a6,a1
move.l Exec.Base(pc),a6
jsr _LVOCloseLibrary(a6)
Exit moveq #0,d0
rts
PrintError ; PrintError()
movem.l d0-d2/a0-a1/a6,-(sp)
move.l DOS.Base(pc),a6
jsr _LVOIoErr(a6)
bsr.s PrintFault
movem.l (sp)+,d0-d2/a0-a1/a6
rts
PrintFault ; PrintFault(Code)(D0)
movem.l d0-d2/a0-a1/a6,-(sp)
move.l DOS.Base(pc),a6
move.l d0,d1
move.l #Fault.Header,d2
jsr _LVOPrintFault(a6)
movem.l (sp)+,d0-d2/a0-a1/a6
rts
suivre)
@ENDNODE
@NODE aDpmois " Les DP du mois (04-89)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e s D P d u m o i s
Chaud chaud la minette...@{fg text}
Le mois de f
vrier aura
, au moins, chaud, pour Aminet s'il ne l'a
pour vous! Notre site ftp.wustl.edu f
tiche a en effet connu quelques
petits probl
mes techniques et l'univers r
chissant du DP Amiga s'en est
trouv
quelque peu terni.
Malgr
ces d
boires, les programmeurs auront
combl
s par la mise
disposition d'une version limit
e du maintenant c
bre compilateur Storm
C++ de Haage & Partner sur Aminet. Cette version est limit
ration d'ex
cutables de 20Ko maximum mais permet toutefois de se faire
plus qu'une id
e sur le produit (voir l'article d'Eric Laffont dans le n
p.26).
@{fg shine}D i s k m a g
g o g o . . .@{fg text}
Amigalement V
tre II
La deuxi
dition de ce diskmag fran
ais est arriv
e. Au sommaire de
ce num
ro, on trouve un petit topo sur l'Amiga Expo 95 et quelques prix
pratiqu
-bas, des nouvelles de la sc
ne Amiga au travers de la Party
95, un cours d'assembleur destin
aux d
butants et un cours d'Amos Pro sur
le maniement des Bobs.
Si vous
tes fan de Manga's, retrouvez Akira et Gunnm ainsi qu'un petit
lexique Manga-Fran
L'interface de ce diskmag est r
e en Amos Pro d'o
une
cohabitation avec le syst
me inexistante. On y
volue
la souris avec la
possibilit
d'imprimer un article (avec les f
tes d'aurtograffe) ou de voir
l'image associ
@{fg shine}+@{fg text} Bonne initiative,
voir.
@{fg shine}-@{fg text} Il manque les photos digitalis
es des h
tesses du SuperGames'95.
@{fg shine}Auteur @{fg text}: Benjamin Karaban
@{fg shine}FreeWare @{fg text}:
distribuer librement
@{fg shine}Configuration requise @{fg text}: un Amiga et un tube cathodique
@{fg shine}L e D P d u m o i s !@{fg text}
MCP 1.10
Comme la plupart de ses confr
res (Yak, MagicCX, MCX), MCP est n
du
besoin de regrouper diverses petites "commodities" en une seule
polyvalente. Mais MCP ne s'est pas arr
, ses auteurs ont int
des
nouveaut
s originales et dot
le programme d'un @{"configurateur sous MUI" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Mcp.8c"} de
toute beaut
L'installation polyglote de MCP se passe sans douleur gr
l'installer Commodore, une version fran
aise est m
me disponible. La
documentation au format amigaguide nous renseigne sur l'impressionnante
liste de ses possibilit
Parmi les fonctions classiques, on trouve: acc
rateur de souris,
assign automatiques, bords noirs,
conomiseur d'
cran modulaire, centrage
crans, d
placement des fen
tres avec leur contenu, param
trage des
hotkeys et des combinaisons de bouton souris, utilisation de '*'
place de '#?', suppression du click des lecteurs, am
lioration du couper-
coller dans les string-gadgets et les c
bres Sun mouse system.
Les gadgets n'ont pas
oubli
s non plus: la barre du titre du
Workbench est configurable; le pointeur peut
tre toujours en haute
solution et on peut le remplacer par une image (jusqu'
16 couleurs); une
horloge peut etre plac
e dans le titre; l'inversion des boutons de souris
est possible pour les gauchers.
MCP innove largement en proposant tout une batterie de fonctionnalit
originales comme: un cache pour acc
rer les acc
s au tiroir
FONTS:, une am
lioration des copies en m
moires. Il autorise l'utilisation
de crunchers pour des programmes non pr
vus pour, r
ponse automatique aux
requesters, liste des
crans ouverts, remplacement des requesters
Intuition, Asl, Arp et Req par un requester ReqTools plus puissant. Un
promoteur d'
cran tr
s complet est int
MCP permettant de choisir le
type d'
cran sur lequel s'ouvrira un programme donn
Une option en particulier int
ressera les d
veloppeurs: historique des
plantages sauvegard
s dans un fichier avec la date, la t
che responsable,
et une description du guru ! Un patch de la routine guru vous permettra de
supprimer la t
che fautive et de fermer tous ses
crans et fen
tres. Une
description d
taill
e sera aussi affich
e. MCP vous permet d'utiliser une
rie de ToolTypes dans N'IMPORTE QUEL programme afin de d
valider les
caches, les modes sp
cifiques
certains processeurs (68060 support
!) et
l'AGA de mani
utiliser de vieux programmes, d
mos ou jeux !
Les possesseurs de carte graphique pourront forcer une allocation de
moire CHIP
utiliser de la FAST, permettant ainsi l'ouverture de grands
crans en 256 couleurs, et une rapidit
accrue.
Reprenez votre souffle... Ca va mieux? Je ne vous ai pourtant pas tout
dit! MCP est le programme le plus complet de sa cat
gorie, que-dis-je, de
SES cat
gories. Il remplace efficacement plus d'une dizaine de
"commodities" et am
liore le pilotage de l'Amiga.
@{fg shine}+@{fg text} Tr
s complet et bien document
@{fg shine}-@{fg text} MCP souffre de bugs de jeunesse et certaines fonctions sont
viter de par
les plantages qu'elles induisent (promotion d'
crans, en
particulier).
@{fg shine}Auteur @{fg text}: Stefan Sommerfeld et Michael Knoke
@{fg shine}FreeWare @{fg text}: in ze poquette
@{fg shine}Configuration requise @{fg text}: KickStart 2.04 mimimum. MUI 2.1 pour
diteur
de pr
rences.
@{fg shine}P o u r r
v o l u t i o n n e r l e W o r k b e n c h@{fg text}
@{"A-" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Astart1.8c"} @{"Start" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Astart2.8c"} @{"0.5b" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Astart3.8c"}
VoidParrot System nous pr
sente une pr
-version de leur derni
production qui risque fort de r
volutionner bien des Worbenchs. A-Start
surfe sur la vague des cl
nes du menu D
marrer de Windows 95 qui a d
sur Aminet ces derniers temps.
A-Start est nanti d'une interface graphique de luxe, bas
e sur une
arborescence de magnifiques menus pop-up. On l'aimerait d
rien que pour
le look !
Sept lignes de menu au d
marrage :
* MyComputer donne acc
un browser (terme
la mode d
signant une
liste multi-niveaux) qui vous permet d'explorer vos unit
s de disque
souris.
* UserProgs permet de regrouper vos programmes favoris par cat
gories et
de les d
marrer en un nombre de clicks minimum.
* File List permet de regrouper vos fichiers de projets (sources de
programmes, modules, images, animations...) et de d
clencher le logiciel
qui leur est associ
* Utils pourra
tre enrichi par diff
rents utilitaires de contr
le de
l'OS comme un gestionnaire de commodity, un
conomiseur d'
cran, une
calculatrice, une recherche de fichier, etc...
* Prefs vous donne un acc
s instantan
aux programmes de r
glage du
Workbench Pr
rences)
* Command permet de lancer une commande du shell
la main et pour finir,
Reboot effectue un reset de l'ordinateur.
La version 0.5 n'est h
las qu'une vitrine non fonctionnelle. Seuls le
browser, le reset et le lancement de commande sont op
rationnels. Le
programme de configuration sous MUI permet de choisir des viewers externes
pour les fichiers Texte, IFF, Gif, Jpeg et AmigaGuide.
L'auteur lance un appel aux programmeurs int
s par la conception
des modules externes afin d'achever au plus vite la version 1.0. Si le pari
est tenu, A-Start pourrait d'ici peu faire un malheur dans nos chaumi
parer de merveilleux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cocktail1.16c"} @{"petits cocktails" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicAVRIL/Cocktail2.16c"} (je pr
cise que je n'en
ai pas go
un seul...) qui
pateront tous vos petits amis. Que dire si ce
n'est qu'il est relativement bien pr
et que les recherches peuvent se
faire suivant plusieurs axes: ingr
dients, noms, etc... Enfin, n'oubliez
pas de d
connecter certaines commodit
s si ce programme ne marche pas. J'ai
en effet eu des probl
mes, car Yak
tait derri
re (mais bon, c'est de
l'Amos, je n'ai rien contre l'Amos surtout s'il est utilis
de cette
on). Shareware. 65FF sont demand
@{fg shine}Auteur: Herv
Dupont.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aLotov133 " Loto v1.33 (DPAT 114 / 04-89)"
@TOC aDpat
@{fg shine}L o t o v 1 . 3 3@{fg text}
Comme dit l'auteur: il s'agit d'un programme destin
'influencer le
hasard' pour vous donner une s
lection de num
ros susceptibles de sortir,
lors d'un tirage
la "Loterie Nationale". La r
alisation est l
aussi
sympathique. Quant au but, je vous laisse seul juge
@{fg shine}Positif@{fg text}: 720 ppp. Quatre cartouches s
es. Qualit
d'impression de
premi
re classe. Silencieuse, pratique et rapide.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Alimentation probl
matique si trop peu de papier dans le
magasin.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: Mention tr
s bien.
@ENDNODE
@NODE maOl600ex " OL 600ex (05-90)"
@TOC maTestall
@{fg shine}O L 6 0 0 e x@{fg text}
Imprimante
diodes
lectroluminescentes.
@{fg shine}Test: Amiga Magazin 04/96.@{fg text}
@{fg shine}Marque@{fg text} : OKI.
@{fg shine}Prix @{fg text} : DM 800.
@{fg shine}Positif@{fg text}: Impression fine. M
moire suffisante. Module postscript en
paration. Toner et tambour changeables s
ment.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Pas de r
glage sur l'imprimante. Pas de pilote Amiga avec.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: 90 %. Mention tr
s bien.
@ENDNODE
@NODE maMagicx " MAGIC CX (05-90)"
@TOC maTestall
@{fg shine}M A G I C C X@{fg text}
Programme de multi-commodit
@{fg shine}Test: Amiga Special 04/96.@{fg text}
@{fg shine}Origine@{fg text} : Aminet.
@{fg shine}Auteur @{fg text} : Kai Iske.
@{fg shine}Prix @{fg text} : DM 30 (Shareware).
@{fg shine}Positif@{fg text}: Grosse collection de fonctions. Emploi facile. Aide en ligne
traduite.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Module de calcul pas adapt
au nouveau tarif. Pas de
chiffres apr
s la virgule.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: Mention tr
s bien.
@ENDNODE
@NODE maAm1792tvs " AM1792 TVS (05-90)"
@TOC maTestall
@{fg shine}A M 1 7 9 2 T V S@{fg text}
@{"Moniteur 17 pouces" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Am1792.8bt"}.
@{fg shine}Test: Amiga Magazin 04/96.@{fg text}
@{fg shine}Marque @{fg text}: VOB.
@{fg shine}Prix @{fg text}: DM 1792
@{fg shine}Positif@{fg text}: Emploi facile avec touches frontales. Compatible Amiga.
Tuner TV et T
texte int
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Ne peut pas synchroniser entre 20 et 30 KHz. Certaines
finitions Amiga (DBLPAL, DBLNTSC, Super72) ne sont pas synchronisables.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: 93 %. Mention tr
s bien.
@ENDNODE
@NODE maRam8mo " CARTE RAM 8MO (05-90)"
@TOC maTestall
@{fg shine}C A R T E R A M 8 M O @{fg text}
Extension de RAM Zorro-II pour A-2000.
@{fg shine}Test: Amiga Magazin 04/96.
@{fg shine}Marque @{fg text}: M-TEC
@{fg shine}Prix @{fg text}: DM 99 (0 Mo).
@{fg shine}Positif@{fg text}: Option 6 Mo. Interrupteur g
ral. Utilise des PS/2 SIMMs.
Fonction jumpersur la platine. Socle robuste et fonctionnant bien.
@{fg shine}N
gatif@{fg text}: Contacts non dor
s. Montage risqu
sans d
trompeur.
Stabilit
faible car pas de guides ni de vis, vu la petitesse de la carte.
@{fg shine}Verdict@{fg text}: 83 %. Mention bien.
@ENDNODE
@NODE maBlizzard2060 " Blizzard 2060 (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}B l i z z a r d 2 0 6 0
Carte 68060 et contr
leur Fast SCSI-2 pour Amiga 2000@{fg text}
L'une des caract
ristiques les plus extraordinaires de l'Amiga est sans
doute que les vieux mod
les de la gamme refusent de dispara
tre, m
me si
les plus perspicaces ne manqueront pas de faire remarquer que c'est une
arme
double tranchant...
Mon premier A2000 date de 1987 et celui-ci de 1990. Six ans plus tard, il
accueille donc le processeur le plus puissant sur le march
Amiga: le
MC68060.
@{fg shine}P r e m i
r e s i m p r e s s i o n s@{fg text}
Une bo
te peu
paisse, toute noire
l'exception du sigle de recyclage:
le premier contact avec la 2060 est s
re, sinon d
primant.
l'int
rieur,
un manuel allemand/anglais au format A5, deux disquettes et la carte dans
son plastique anti-statique. Sobri
toujours.
D
ballage... @{"la carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/2060.8bt"} est vraiment impressionnante de rigueur et de
pouillement.
gauche tr
ne le 68060, vaste surface plane, avec seulement
de tr
s petites inscriptions sur un c
. C'est le seul composant mont
sur
support, tous les autres (une vingtaine, tout au plus) sont mont
s en
surface. Le 68060, bien que cadenc
50 MHz, n'est pas dot
d'un radiateur
ou d'un ventilateur. Quatre socles SIMM 72 broches, un connecteur SCSI 50
broches interne et un connecteur SCSI-2 50 broches externe compl
tent le
tableau. La carte n'occupe que 4/5e de l'espace vertical disponible.
Retour au manuel: deux fois 24 pages, noir et blanc, simple mais
efficace. Quelques pr
liminaires, les instructions de montage,
l'installation de la m
moire, l'utilisation du contr
leur SCSI en sont les
principaux chapitres. Puis viennent quelques sch
mas, une annexe pour
l'utilisation avec les OS ant
-diluviens 1.3 ou 2.04 (d
conseill
s), une
autre pour les 2000 mod
le A, et un r
des diff
rents cavaliers. Les
socles SIMM peuvent
tre utilis
s avec des barrettes SIMM 32 bits de 4
jusqu'
32 Mo, de vitesse 70 ns ou mieux, simple ou double face, ce qui
fait donc un maximum de 128 Mo.
Souplesse maximum: on peut remplir les socles que l'on veut, et
panacher des barrettes de capacit
diff
rente, sans toucher un seul
cavalier.
L'unique cavalier relatif
la m
moire est celui autorisant la recopie
de la ROM en RAM 32 bits (je vous d
conseille d'
conomiser ces 512 Ko: les
performances en souffriront
ment). Deux autres ne sont utiles qu'avec
les 2000 mod
le A. Tous les autres concernent le SCSI:
- initiation de transferts synchrones si autoris
par RDB,
- mode pour c
ble de moindre qualit
- attente supl
mentaire lors du d
marrage (disques lents),
- terminaison de la carte (activ
sactiv
e ou automatique),
- fourniture de la puissance de terminaison.
Derni
re pr
cision: pour les 2000 mod
le B, qui ne n
cessitent pas
l'extraction du 68000, il est possible de d
sactiver toute la carte par
pression d'une touche au d
marrage.
@{fg shine}S e n s a t i o n s f o r t e s@{fg text}
Autant le dire tout de suite, la carte tient ses promesses quant aux
performances: 1,5
2,5 fois les performances de ma PPS 040 28 MHz en
calcul entier (soit 30
50 fois un 2000 de base), et 1,5
3,5 fois en
calcul flottant (soit de 80
1100 fois le 2000 original!). Les
@{"deux tableaux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Perf2060.8c"}
fournis en illustration rassemblent les r
sultats obtenus (
l'exclusion
des tests graphiques, qui d
pendent de la carte utilis
e). Les chiffres
obtenus en flottant avec la WildFire ne sont pas significatifs: la FPU ne
pouvait pas encore
tre activ
e. Les performances de la Blizzard sont
parfois l
rement en de
a de la carte Cyberstorm, en raison d'acc
moire un peu plus lents. En ce domaine, la Blizzard est un peu d
cevante,
en effet: de 30
50 Mo/s avec des SIMM 32 bits 60 ns, contre 20
40 Mo/s
avec des SIMM 8 bits 80 ns pour la PPS 040 (mesur
avec BusTest).
La suite de tests du magazine am
ricain BYTE, BYTEmark 2.0, permet de
se comparer aux PC,
ceci pr
s que l'on compare
galement les compilateurs
C ayant servi
construire les ex
cutables. Ceci dit, cela permet tout de
me d'avoir un ordre d'id
e: compar
une machine Dell
base de Pentium
90 MHz, la Blizzard serait
56 % en entier et 23 % en virgule flottante.
Du c
du contr
leur DMA SCSI-2, les performances sont aussi au rendez-
vous: le bus semble pouvoir d
livrer 5,7 Mo/s en asynchrone et 8 Mo/s en
synchrone (mesur
avec RawScsiSpeed de Ralph Babel). Avec mon disque le
plus rapide, un Quantum Lightning 730S (qui n'est pas un foudre de
guerre...), j'obtiens, en transferts synchrones, 3,7 Mo/s au niveau device
(processeur libre
90 %), et 3,0 Mo/s au niveau DOS sur une partition MuFS
pleine
90 % (processeur libre
75 %).
comparer aux 2,0 Mo/s et 1,6
Mo/s (respectivement) obtenus avec la GVP HCD+8 et sa GuruROM.
@{fg shine}C o m p a t i b i l i t
m a x i m a l e@{fg text}
Autre surprise tr
s agr
able en effet: il ne m'a fallu retirer de ma
startup-sequence que les commandes relatives au montage de la m
moire de la
PPS 040. Tout le reste tourne sans sourciller! J'aurais aim
pouvoir
crire
qu'il n'y a gu
re qu'AIBB pour s'obstiner
planter la machine si l'on ne
lui fait pas croire qu'il a affaire
un 68000 ("AIBB -c0" depuis le
Shell).
Malheureusement, je n'ai pas encore r
ussi
utiliser ShapeShifter 3.3,
mais j'ai la certitude qu'une configuration inadapt
e en est la cause
(Christian Bauer, l'auteur, utilise un '060).
@{fg shine}A l i m e n t a t i o n p u i s s a n t e@{fg text}
Il est temps d'
voquer le plus gros d
faut de la Blizzard, car les
probl
mes qu'elle engendre la rendent difficile
identifier. J'ai bien
failli vous dire que cette carte
tait incompatible avec la Picasso, ou
avec la GVP HCD+, voire carr
ment avec tout ce qui se trouve sur le bus
Zorro II!
Apr
s un week-end d'essais en tous sens j'ai fini par trouver que la
2060
tait tr
s gourmande en puissance
lectrique et que ma modeste
alimentation de 170 W ne pouvait satisfaire ce surcro
t d'exigence! Ayant
sacrifi
une carte (la GVP) tout est rentr
dans l'ordre et les bogues
incompr
hensibles ont disparu. La prochaine
tape est le montage dans une
tour avec alimentation 300 W...
Il faut bien avouer que ce 68060 non ventil
chauffe beaucoup plus que
mon 68040 refroidi par ventilateur. Que ceux qui lorgnent sur la 1260 en
soient avertis...
Les logiciels livr
s avec la carte sont ceux des cartes Cybertstorm et
1260. On a ainsi un syst
me de fichiers pour CD-ROM, un cache disque
(DynamiCache), un logiciel de partitionnement
la HDToolBox, un assembleur
(Barfly), etc.
@{fg shine}C o n c u r r e n c e s e r r
e@{fg text}
J'ai eu l'occasion de voir tourner au CeBIT la carte WildFire de DKB.
Cette carte haut de gamme pr
sente l'
norme avantage d'
e d'un
bus PCI qui permettra d'utiliser une carte graphique PCI d
s que DKB aura
l'interface logicielle entre ce bus et le sous-syst
me d'affichage
Cybergraphics (le d
veloppeur de DKB invit
sur le stand de VillageTronic
paraissait tr
s confiant).
Parmi ses autres points forts, la DKB est
e d'un port Ethernet
rapide ainsi que d'une technologie d'acc
moire 64 bits. L'avantage de
cette derni
re est mis en
vidence par des tests d'AIBB utilisant beaucoup
moire (par rapport
la 2060):
@{fg shine}- MemTest: + 58 %
- Sieve : + 21 %
- Matrix : + 16 %@{fg text}
Par contre, la carte de DKB est quasiment deux fois plus ch
re: 9990
FF. Cela les vaut-il?
L'autre carte 68060 disponible pour 2000 est la GVP/Tek-Magic qui
propose les m
mes extensions que la Blizzard : 68060, m
moire et contr
leur
SCSI-2. Cette carte b
ficie
galement d'acc
s en m
moire performants qui
la situent en seconde position, derri
re la DKB mais avant la Cyberstorm et
la Blizzard:
@{fg shine}- MemTest : + 41 %
- Sieve : + 14 %
- Matrix : + 7 %@{fg text}
Mais l
encore la GVP est beaucoup plus ch
8900 FF.
@{fg shine}Michel: voici quelques petits tests de derni
re minute avec LightWave
3.5@{fg text}
* Prendre la sc
ne SpaceFighter
* r
gler la r
solution en 352x288
* mode "Realistic" seulement
* enlever l'option antialias
* mettre "Render" display NONE
Ensuite calculer deux fois l'image 137, la seconde valeur sera le
sultat. Merci Fabrice pour les d
tails de ce petit test (compl
ment de
l'article et du tableau).
@{fg shine}Cyberstorm 060 50MHz : 6s
DKB 060 50Mhz : 8s
WarpEngine 040 38MHz : 10s
P120 sous NT : 3s@{fg text}
Sous 95, LightWave est de 2
4 fois plus lent que NT.
N'oubliez pas que le lien entre le Modeleur et le Layout n'existe pas sur
PC. Ce sont deux programme distincts. Et oui, pas de "clipboard" sur PC.
De plus, en prenant comme base un Amiga avec 16Mo de RAM, il faut rajouter
16Mo sur 95 et 24Mo de Ram sur NT pour la correspondance en espace de
travail.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Une tr
s bonne carte en fin de compte, mais qui met en
vidence
l'essouflement de la ligne 680x0: la nouvelle g
ration, cadenc
50 Mhz
est seulement deux fois plus puissante que la pr
dente, cadenc
MHz. Les possesseurs de GVP GForce, PPS Zeus et autres RCS Fusion Forty ne
gagneront donc pas grand chose.
Cela dit, la Blizzard est cens
ficier de la campagne de mise
jour associ
e au programme Power'Up de Phase 5: tous les acheteurs d'une
carte acc
ratrice 68060 Cyberstorm ou Blizzard neuve se verront proposer
la migration vers la carte PowerPC
des conditions avantageuses. Reste
savoir quand une telle carte sera disponible pour le vieil Amiga 2000...
@{fg shine}Yann-Erick PROY
Yeproy@imaginet.fr@{fg text}
Disponible chez: @{fg shine}Quartz Informatique
Carte Blizzard 2060 pour Amiga 2000: @{fg shine}5490 FF TTC en 0 Mo, @{fg text}
@{fg shine}7430 FF TTC en 16 Mo@{fg text}
Pour comparaison, la carte DKB WildFire vaut 9990 FF TTC chez le m
revendeur.
@ENDNODE
@NODE maTekmagic " Tekmagic 060 (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T e k M a g i c 0 6 0
VRAOUUUUUUUM@{fg text}
Entendez-vous le rugissement du 68060 le soir au fond des bois. J'ai
souvent dit qu'un AMIGA avait, par analogie
une voiture, un moteur de 2CV
dans un ch
ssis de FERRARI, alors que le PC, lui, a un moteur de FERRARI
dans un ch
ssis de GOLF GTI (on peut la customis
e, mais cela reste
toujours une vulgaire GOLF). Quant au MAC, c'est la BMW du lot. A cause de
son syst
me, la pauvre est brid
130 Kmh. Eh bien, maintenant, nous
avons enfin une VRAI FERRARI qui fait vroum vroum.
Il y a quelque ann
es, j'avais
mon AMIGA 2000 de la meilleure
carte acc
ratrice pour l'
poque. Une carte A3001 de GVP cadenc
MHz, que j'ai boost
33 MHz. Cette carte donnait pour 11000 F de
poque (1990), un 68030+68882, un contr
leur de disques durs
la norme
AT et une extension possible de la m
moire
8 Mo. Maintenant, il y a
@{"la carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Teck.8bt"} TekMagic
68060/50Mhz qui vous donne pour 7300 F, un 68060, un contr
leur de disques
durs
la norme SCSI-II et une extension possible de la m
moire
128 Mo.
Ce qu'il faut savoir, c'est que TekMagic a tout simplement rachet
GVP
et continue donc
velopper les produits en cours, ce qui nous assure une
qualit
optimale du mat
riel, mais aussi, un co
t souvent prohibitif (voir
conclusion).
@{fg shine}L a m
m o i r e@{fg text}
Sur la carte, nous d
couvrons, quatre emplacements pour des barrettes
moire type SIM 72 double face et quatre emplacements pour des barrettes
type GVP CHIPACK, ce qui vous permettra si vous avez une carte COMBO, de
utiliser vos vieilles (mais performantes) barrettes. Pour les autres, la
RAM peut
tre de la 4Mo, 8Mo, 16Mo ou 32Mo (32 ou 36 bits en 70ns ou 60ns)
selon votre budget et votre besoin de m
moire. Vous pouvez m
me panacher,
avec par exemple deux barrettes de 4Mo et deux barrettes de 16 Mo (pour
40Mo).
@{fg shine}C o n t r
l e u r S C S I I I@{fg text}
Allez, on commence les choses s
rieuses par le contr
leur SCSI-II. Pour
commencer, la pr
paration du HD se fait par les maintenant c
bres,
FastPrep et ExperPrep de feu GVP. Pour cette raison, je n'en parlerai pas.
Question vitesse, nous avons l
un tr
s bon contr
leur. Le test a
fait
avec le m
me QUANTUM FIREBALL 1Go pour tous les contr
leurs (voir Anews 89
page 26). Avec environ 3,7 Mo/s, il est meilleur que le DRACO et que le
CYBERSTORM mais moins bon que le WARPENGINE. TekMagic annonce 10Mo/s
possibles sur son contr
leur. J'aimerais, un jour, que les fabricants de
riels me di-sent sur quelle plan
te on peut trouver un disque dur qui
pote" autant que cela.
@{fg shine}M a i n t e n a n t , l a v i t e s s e@{fg text}
A l'utilisation je retrouve la m
me sensation que lorsque je suis pass
du 68000 au 68030, c-
-d que j'ai vraiment l'impression d'avoir une
nouvelle machine entre les mains. Vous allez enfin pouvoir tester (par
exemple) toutes les textures d'Imagine sans
tre oblig
de vous endormir
entre chaque calcul. Un @{"petit tableau" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Perftek.2c"} parle beaucoup plus qu'une longue
description.
Comme vous pouvez le constater, on voit bien que
a "cartonne" un
maximum. Le facteur d'acc
ration est d'environ x5 par rapport au 68030 et
monte jusqu'
x11 avec LIGHTWAVE. Je dois d'ailleurs signaler que plus la
ne est complexe, plus le gain est important (surtout sur l'antialiasing
en haute d
finition).
Quand je pense que mon vieil A2000 de 1990 va plus vite qu'un AMIGA
4000/060 (oui, car j'ai oubli
de dire que cette carte
tait plus rapide
qu'une CYBERSTORM 060 pour 4000), et qu'en lui ajoutant une carte graphique
du style PICASSO II (ZORRO II oblige) on se retrouve en face d'une b
cane
qui tient encore super bien la route.
Maintenant, je vais vous parler de mes impressions. Pour la compression
MPEG sous IMAGEFX2.0, en 030 il faut environ 2mn par image. En 060, cela
explose, environ 12 s par image, vroum vroum fait le 2000. A l'usage on a
l'impression que la machine a carr
ment multipli
sa vitesse par 20; tout
va plus vite et surtout vous allez red
couvrir bon nombre de vos programmes
graphiques, ceux-l
me qui sont les plus consommateurs de temps CPU. Je
vais m
me jusqu'
dire que Deluxe Paint V est devenue presque agr
able
utiliser (j'ai dit presque, il ne faut pas charrier non plus).
Pour ce qui est de la musique, tout se passe bien avec Bars'n Pipe's
v2.5b, tout va bien aussi avec OCTAMED v5.0. Par contre, PROTRACKER ne
tourne plus (snif, snif), ni d'autres trackers du m
me style.
Attention il vous faut OBLIGATOIREMENT installer la ROM 3.0 pour
pouvoir faire fonctionner la carte TekMagic 060, la vrai ROM, pas un
fichier avec Zkick ni Rekick, cela ne fonctionne pas.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
Cette carte existe en deux versions: 040 et 060. C'est la m
me carte
puisque la doc vous demande de faire tr
s attention au Jumper qui contr
l'alimentation du CPU (040->5volts, 060->3,3volts). Je pense qu'
l'heure
actuelle il ne faut pas acheter un 040 car le prix du 060 est tellement
proche que, pour le gain de vitesse, il ne faut pas se priver.
La doc en anglais et tr
s bien faite, mais je vous conseille quand m
de vous faire installer la carte par votre revendeur pour plus de s
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
J'adore vraiment ce produit pour sa vitesse et sa qualit
fabrication. Votre vieux 2000 va vraiment vous
tonner.
Je n'ai pas du tout aim
le prix 7300 sans RAM. Pour m
moire, je
rappelle que pour ce prix vous avez un PENTIUM 75 complet (avec
cran 15"),
16 Mo Ram, HD 1,2 Go et Win 95. Il vous faut, en plus, rajouter de la RAM
(3500 F les 32 Mo au meilleur prix). Donc, cela nous fait 7300+3500=11000 F
, pour ce prix, c'est un PENTIUM 100 avec 32 Mo de RAM. Je me demande
si cela vaut le coup d'investir autant d'argent dans une aussi vieille
machine (pas de AGA et le co
t d'une PICASSO II est encore
rajouter). Ne
croyez pas que je sois un pro PC, bien au contraire, mais je commence
avoir marre d'
tre pris pour une vache
lait sous pr
texte de m'
clater
sur une machine originale (le r
gne des PC et MAC est bien une r
@{fg shine}Fabrice DUHOUX@{fg text}
Disponible : @{fg shine}DeltaGraph'x@{fg text}
Prix : @{fg shine}8900F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maA4000t " A4000T (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A 4 0 0 0 T
Fa
on Amiga Technologies@{fg text}
Apr
s trois mois d'attente, les premiers Amiga 4000T sont enfin arriv
en France le 15 Mars. L'A4000T est une grande tour (H54 x L18 x P51) d'un
gris clair classique, arborant le logo d'Amiga Technologies sur sa face
avant. C
"Design", on est bien loin de la tour vert pomme pr
dernier.
@{fg shine}E n b r e f . . .@{fg text}
L'A4000T est livr
en version 68040
25 Mhz, Rom et Workbench 3.1, 2
Mo de m
moire vid
o et 4 Mo de m
moire Fast. Elle int
gre un contr
leur
SCSI-2, un contr
leur IDE, un lecteur de disquettes DD Panasonic, un disque
dur Fujitsu SCSI-2 de 1 Go. Le clavier AZERTY et la souris sont identiques
ceux qui
quipaient les 4000 de Commodore. Elle dispose de 2 ports vid
5 ports Zorro III, 4 ports PC-AT et un port CPU. Elle est fournie avec les
logiciels suivants: Scala MM300, Photogenics 1.2 SE, PPaint 6.4, TurboCalc
3.5, Wordworth 4 se, Organizer, DataStore, Pinball Mania et Whizz. Prix:
environ 20 000F
@{fg shine}L ' e x t
r i e u r@{fg text}
La tour est en "bonne vieille t
le allemande" et rappelle la qualit
construction des Amiga 2000 et 3000. Tous les connecteurs se situent
l'arri
re de la machine. Dans les bonnes surprises on remarque le s
lecteur
de tension 110/220V; le d
part de l'alimentation du moniteur
vitant de
surcharger la multi-prise situ
e sous le bureau; les huit s
lecteurs
permettant de configurer ou d'agir sur le bus SCSI-2 de l'ext
rieur
(adresse, mode Fast, mode Spinup, mode Synchro, terminaison de la cha
mode LUN). Les moins bonnes surprises: le port SCSI-2 50 broches (il faut
se procurer un adaptateur 50/25 broches pour y brancher par exemple un
ZIP); l'absence du port de lecteur de disquettes externe. Comme le lecteur
de disquettes fourni est un DD, cette absence est un handicap difficile
pardonner.
La face avant est en plastique moul
et est mont
e sur six clips pour
faciliter son d
montage. Le portillon donne acc
s aux cinq baies
d'extension 5" 1/4 (dont une est occup
e par le lecteur de disquette, une
autre par le disque dur), et au panneau de contr
le compos
de trois
boutons et d'une serrure. La serrure sert
verrouiller les acc
s au
lecteur de disquettes et au disque dur. Les trois boutons servent
respectivement de marche/arr
t de l'Amiga et du moniteur, de reset (idem
que Ctrl-A-A) et de marche/arr
t du haut-parleur interne.
@{fg shine}L ' i n t
r i e u r@{fg text}
Apr
s enl
vement de la face avant (utile uniquement pour
monter/d
monter les p
riques se trouvant dans les baies) et retrait du
capot (tenu par 5 vis faciles d'acc
s), les entrailles de l'A4000T
s'offrent aux regards. La grosse alimentation de 250 Watt occupe la partie
rieure gauche. Du c
droit, on retrouve les baies d'extension avec le
lecteur de disquettes et le disque dur. Au centre se trouve la carte 68040
connect
la carte m
re qui occupe les 2/3 de l'espace disponible en
hauteur et en largeur. Un petit haut-parleur et un second ventilateur
prennent place dans la partie inf
rieure droite. La zone des slots
d'extension (2 Vid
o, 4 PC-AT, 5 Zorro III) et des slots SIMM est
totalement d
e: l'ajout de barrettes m
moire ou de cartes
additionnelles se r
alise sans aucune g
Pour permettre la pr
sence de ports externes, Amiga Technologies a
u trois petits modules pour reporter les ports de la carte m
re. Ces
petits modules se situent dans la partie inf
rieure gauche de l'A4000T. On
y trouve ainsi, le module ports externes (parall
le, s
rie, joystick et
souris), le module disque (port SCSI-2 50 DB et les s
lecteurs DIP) et
enfin, le module audio/vid
o. Ce dernier dispose d'une prise audio interne
permettant d'y connecter le son provenant d'un lecteur de CD-ROM ou d'une
carte audio additionnelle. Dans ce cas, le son du CD (ou celui d'une carte
son 16 bits) est m
au son de l'Amiga. L'acc
la carte CPU
cessite le retrait des baies d'extensions verticales (au centre), du
me de renfort m
tallique (situ
au-dessus de la carte processeur) et
du module ports externes.
Le port IDE est plac
droite et au centre, sous le disque dur fourni.
Son acc
s n'est donc pas ais
. De plus, aucune nappe de raccordement n'est
fournie. Par contre, la nappe SCSI est d'une bonne longueur et comporte pas
moins de quatre connecteurs internes! Quant
la nappe pour relier les
lecteurs de disquettes, elle en comporte deux. Toutes les parties
inspect
es, carte m
re comprise, sont au nom d'Amiga Technologies.
L'ensemble est de bonne facture, semble solide et sans soucis.
@{fg shine}M i s e e n r o u t e@{fg text}
Avant de brancher l'Amiga 4000T, une ouverture s'impose: durant le
transport, la plupart des nappes et prises se sont d
branch
es. En moins de
5 minutes, la tour est remont
e. Appui sur le bouton de marche/arr
t et
l'Amiga 4000T prend vie: le bruit sourd de ses deux ventilateurs alli
bruit plus aigu du disque dur emplissent l'atmosph
re. L'A4000T est
bruyante (surtout son disque dur): la grande tour fait caisse de r
sonance.
Sur l'
cran, le Workbench 3.1 en 4 couleurs s'affiche rapidement, un coup
d'oeil rapide
la barre de titre: "Commodore Amiga", donc rien de neuf
attendre de ce c
Le disque dur est pr
-install
avec une partition de 8 Mo pour le
me, et plus de 900 Mo pour la partition Work. Dans la partition
me, il n'y a que le Workbench 3.1: pas de ToolManager ni de MagicWb,
ni aucun autre ajout. Sur la partition Work, Amiga Technologies a pr
install
les logiciels suivants: Photogenics 1.2a SE (traitement num
rique
d'images), PPaint 6.4 (dessin), TurboCalc 3.5 (tableur), Wordworth 4 SE
(traitement de texte), Organizer 1.1 (agenda), Datastore 1.1 (base de
es) et le jeu Pinball Mania (les manuels et disquettes sont
galement
fournis).
Pour Scala MM300 (seul programme fourni en fran
ais), le pack
d'installation se trouve uniquement sur le disque dur: pas de disquettes ni
de manuel. Il faut faire un back-up de ce pack avant de toucher
quoi que
ce soit (comme par exemple reformater le disque), sinon adieu Scala. C
logiciels, Organiser refuse obstin
ment de s'ouvrir tandis que l'interface
de TurboCalc reste en allemand. Pour que tout rentre dans l'ordre, il
suffit de s
lectionner dans le programme Locale.pref (r
pertoire Prefs), la
langue English commre langue pr
e en plus de la langue fran
aise. Cette
lection permet d'obtenir TurboCalc en anglais et permet
Organiser de
fonctionner correctement. Les manuels sont au nombre de 9: 3 pour
l'ensemble des programmes fournis (sauf Scala) et 6 concernant le
Workbench, le 4000T, le DOS, ARexx, le disque dur et l'AGA. Tous les
programmes et manuels fournis sont en anglais
l'exception du programme
Scala et du manuel concernant l'AGA.
Pour obtenir les manuels et disquettes de Scala, il faut soit les
clamer
Scala moyennant finances, soit commander une mise
jour
version MM400 chez CIS pour la somme de 690F. Photogenics 1.2a SE et
Wordworth 4 SE sont des
ditions sp
ciales amput
es de certaines fonctions.
me que pour Scala, une mise
jour est possible moyennant finances.
@{fg shine}A n e c d o t e@{fg text}
Mr Schmidt (DeltaGraph'X) m'a appel
pour m'annoncer l'arriv
e de ma
4000T et pour me faire part d'une constatation: le lecteur n'envoie pas de
message de pr
sence/non pr
sence de disquette au syst
me. C'est
dire que
le syst
me n'affiche pas l'ic
ne de la disquette lorsqu'elle est ins
dans le lecteur. Pour que cela fonctionne, il faut soit rebooter l'Amiga,
soit passer une commande "DiskChange" dans un Shell. Un comble pour un haut
de gamme! A la r
ception de ma machine, j'ai donc tout de suite remplac
lecteur d'origine par un vieux lecteur HD pr
sur un A3000 (avec mise
en place de la fa
ade d'un lecteur Cumana encore plus vieux). Avec ce
lecteur aucun probl
me de reconnaissance de disquettes (et en plus c'est un
HD). Deux jours apr
s, j'ai eu l'explication:
l'arri
re du lecteur
Panasonic, il y a une petite interface
lectronique (inutile avec un "vrai"
lecteur Amiga) entre la nappe et le lecteur. En fait, cette nappe est
l'envers: l'interface va sur le connecteur de la carte m
re et pas
sur celui du lecteur. Une fois la nappe mont
e correctement, le probl
dispara
t totalement. Bravo pour le contr
le qualit
@{fg shine}S o u r i s e t c l a v i e r@{fg text}
La souris est toujours celle qui est fournie depuis l'A600. Ce n'est
pas un mod
le de solidit
: elle vieillit mal. Dommage, la souris de l'A3000
tait autrement plus solide. Autre constat d
able: le cordon est bien
trop court! Impossible de placer l'A4000T sous le bureau: la souris se
retrouverait derri
re le moniteur! A t-on fait des essais d'ergonomie chez
AT? R
sultat l'A4000T se retrouve sur le bureau et pas en dessous. Le
clavier (azerty) quant
lui est un clavier de 4000. Pour pouvoir le
raccorder
la prise DIN de type A2000/A3000, AT a cr
un adaptateur
cial. C'est une bonne nouvelle: les possesseurs de 2000, 3000 et 4000
pourront de nouveau se fournir en claviers neufs!
@{fg shine}L e s p e r f o r m a n c e s@{fg text}
L'A4000T n'est ni plus, ni moins rapide qu'un autre A4000/040. Par
contre son bus SCSI-2 offre des performances plus qu'honn
tes: 3.3 Mo/sec
en moyenne pour le disque dur. C
moire, comme sur les anciens 4000, la
carte m
re n'accepte pas plus de 16 Mo, soit en barrettes de 4 Mo, soit en
barrettes de 8 Mo. A l'instar des anciens 4000, les petits ressorts des
connecteurs SIMM sont m
talliques, donc plus solides. J'ai connect
te" un lecteur CD-ROM SCSI-2 4x sans aucun probl
me: le disque dur est
l'adresse 0 et ses terminateurs se d
connectent automatiquement d
s qu'il
tecte la pr
sence d'un autre p
rique SCSI. La mise en place d'une
Cybervision n'a pas non plus pos
le moindre probl
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
C'est un Amiga
part enti
re, totalement compatible avec les mod
qui l'ont pr
. Sa robustesse de construction offre
l'utilisateur une
garantie de long
du produit. Le pack logiciels fourni est
galement un
bon atout. Tout serait dans le meilleur des mondes si son prix n'
tait pas
aussi
. A ce prix l
, l'utilisateur serait en droit de s'attendre
lecteur de disquette HD,
un lecteur de CD-ROM,
au moins 4 Mo
suppl
mentaires et
un processeur plus puissant!
Bien que la conception et la construction d'un mod
le hors standard
te plus cher, un effort doit
vidence
tre consenti soit sur le
prix, soit sur le mat
riel fourni. Les prix ont encore consid
rablement
baiss
s chez la concurrence (les PC Pentium "multim
dia" cadenc
plus de
100 Mhz sont arriv
s sous la barre des 15000 F et auront peut-
tre encore
baiss
s lorsque vous lirez ces lignes). La promesse de l'arriv
e imminente
d'une carte 68060 pour le 4000T, avec possible mise
jour
prix
pour les acheteurs d'une A4000T 68040, doit absolument
tre concr
avant l'
. Sinon il se pourrait bien que cet A4000T soit d'ores et d
chec.
@{fg shine}Pour:@{fg text}
Un vrai Amiga
Les logiciels fournis
La robustesse
La qualit
de construction
La puissance de l'alimentation
Le bus SCSI-2
Deux slots vid
@{fg shine}Contre:@{fg text}
Le bruit
Le cordon de la souris
Seulement 4 Mo de Fast
Le lecteur de disquettes DD
Pas de lecteur de CD-ROM
Le prix
@{fg shine}Alain PIEDNOEL@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maCdromatapi " CD Rom Atapi (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C D R O M A t a p i
Lecteur Atapi IDE externe x2@{fg text}
Le march
du CD-Rom sur Amiga est en pleine
bullition: les CDs de
domaine public se multiplient et des CD de commerce comme Cloanto Personal
Suite sont disponibles.
Ayant eu une CD32 avec une connection S-Port, je me suis enfin d
rir un v
ritable lecteur de CD-Rom. Mais comme mon port PCMCIA
tait
pris par un Overdrive, mon choix s'est donc port
vers une nouveaut
dans
le monde de l'Amiga: les @{"CD-ROM Atapi IDE" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Atapi.8bt"} qui se connectent sur le port IDE
du 1200 ou du 4000 comme les disques durs. La norme Atapi permet de
connecter 4 unit
s sur le m
me contr
leur et les avantages des
riques
cette norme sont bien
videmment la connection IDE et
surtout leur mini-prix en comparaison des p
riques SCSI.
Or, le port de l'Amiga
tant compatible Atapi, on peut y connecter 4
s. Dans mon cas, je profitai des rentr
es de No
l pour m'offrir ledit
lecteur et un disque dur IDE sur le m
me contr
leur de mon 1200.
"Le prix?" me demande la foule en furie! 750F avec un boitier
tallique (horrible), une nappe 3"1/2 - 3"/12, IDEFix d
mo et un CD!".
Plus 190F pour un v
ritable bo
tier et une alimentation externe, car celle
incluse doit normalement
tre branch
e sur le lecteur de disquettes externe
du 1200, et celui-ci est d
occup
par l'alimentation de mon Overdrive.
anmoins, ceux qui n'en ont pas pourront se passer de cette d
pense de
190F suppl
mentaire.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
Passons maintenant
l'installation de tout cela. La documentation est
duite
son strict minimum: trois pages photocopi
es, rien de plus,
sinon, "t
phonez
notre service technique". Comme je m'
tais rendu sur
place, il n'y eut pas de probl
me majeur si ce n'est les effroyables
craquements que produisit la carroserie de mon Amiga lorsqu'il fallut le
refermer avec disque dur 3"1/2 (emplacement pas pr
vu pour cette taille) et
la nappe IDE 4x. Justement, pour brancher le CD-Rom, il faut que cette
nappe sorte du 1200, ce qui est tr
s inesth
tique et de plus, il a fallu
tailler au cutter une partie de la bo
te pour revisser la machine.
@{fg shine}L o g i c i e l f o u r n i@{fg text}
Ce n'est ni plus ni moins que la version d
mo de l'atapi.device
distribu
e partout (Turtle Bay nous informe que c'est son grossiste
allemand qui lui a fourni cette version et que le pack sera bient
t livr
avec la version compl
te). Une fois l'installation termin
e (on vous
demandera simplement le nom du device et l'emplacement des programmes), il
n'y a plus qu'
installer un CD et, miracle, cela fonctionne!
Les @{"utilitaires" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Yacdp.16c"} @{"fournis" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Idefix.16c"} sont des plus classiques: EjectCD pour
commander la porte du lecteur directement depuis l'Amiga, PlayCD pour
couter des CD Audio, CD32 pour l'
mulation CD32 (qui est tout
fait
correcte pour ce que j'ai pu essayer), Killdev et FindCD qui ne servent
rien en pratique. Le lecteur CD, un Epson dans mon cas mais cela peut
varier suivant les approvisionnements, est tout ce qu'il y a de plus
classique: une prise casque
l'avant (mais tr
s mal situ
e: la prise Jack
du casque peut parfois bloquer la porte du lecteur!), une molette de
glage du volume sonore, un voyant d'activit
(remarque: comme il est
branch
sur le contr
leur IDE, l'activit
du lecteur est
galement signal
par la troisi
me LED du 1200), un bouton d'
jection, des prises cinch
l'arri
re (malheureusement cach
es par le bo
tier, ce qui rend leur
utilisation impossible).
Ses performances sont tout
fait honorables pour un double-vitesse
(300Ko/s d'apr
s Sysinfo et 128Ko de cache), mais cela change vraiment de
la liaison CD32-Amiga par TwinExpress! Il est tr
s agr
able en utilisation
courante mais est bien entendu loin d'
galer un disque dur. Le lecteur CD
est reconnu d
s le boot gr
ce au DosDriver CD0: plac
dans le tiroir
Devs/DOSDrivers et son utilisation est g
e par le syst
me comme n'importe
quel volume. Malgr
le fait qu'IDEFix soit en version d
mo, je n'ai pas vu
un seul requester m'en informant et il n'y a aucune limitation! Bref,
nous les CDs Aminet et autres Meeting Pearls III!
@{fg shine}Ce que j'ai aim
: @{fg text}
1. Le prix imbattable (750F
Turtle Bay Direct complet + 190F pour une
alimentation suppl
mentaire)
2. L'alimentation externe qui
vite de surcharger celle de mon pauvre 1200
qui n'en peut plus.
3. L'utilisation compl
tement transparente pour les CDs gr
l'Atapi.device
4. La pr
sence de softs pour l'
mulation CD32 et pour l'
coute des CD
AUDIO.
@{fg shine}Ce que je n'ai pas aim
:@{fg text}
1. Les prises Cinch camoufl
es par le bo
tier et donc inutilisables.
2. Le fait d'
tre oblig
de tailler le boitier de l'Amiga pour pouvoir le
fermer.
3. La doc photocopi
e de trois pages (pas s
rieuse du tout).
4. La prise Jack mal plac
5. Et surtout, un c
bidouille qui effrayera le novice.
@{fg shine}Configuration du test: @{fg text}
A1200 + carte RAM 4 Mo, Overdrive 170 Mo, disque dur IDE Quantum 635 Mo,
imprimante Seikosha Speedjet 300 et bien
videmment CD-ROM TBD Turtle Bay
externe A1200.
@{fg shine}E n c o n c l u s i o n@{fg text}
Je dirai que ce lecteur est surtout attirant par son mini-prix et sa
connection IDE. Par contre, il est
conseiller aux d
butants car c'est
de la bidouille et si cela se d
roule sans probl
me avec le vendeur il ne
doit pas en
tre de m
me quand il faut le monter tout seul. A r
server aux
utilisateurs avertis, donc.
@{fg shine}Mathieu CHENEBIT@{fg text}
@{fg shine}Ed: ce test fait partie du dossier CD-ROM du num
ro 5 du fanzine
Amiga Life.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maIdefix " IDE-Fix (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}K i t A t a p i I D E - f i x
Quatre unit
s IDE ATAPI pour A1200 ou A4000@{fg text}
A l'heure actuelle il est int
ressant de disposer de "pilotes" pour les
s IDE et ATAPI. Vu les prix pratiqu
s pour ces unit
s, pourquoi s'en
priver. De plus, il est possible d'installer quatre unit
s, malgr
probl
me au niveau du son. Un CDRom Atapi (moins de 500F en 4x) est
ressant.
@{fg shine}L e h a r d@{fg text}
@{"La version que j'ai re
ue" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Idefix1.8bt"} n'existe plus actuellement, elle dispose de
@{"cinq connecteurs" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Idefix2.8bt"}
dont deux pour le branchement sur la carte m
re. Vous avez le choix, un
connecteur 2.5 (A1200) ou 3.5 (A4000).
Ensuite, vous disposez de deux connecteurs pour le branchement des
nappes allant aux unit
s IDE 3.5. En dernier, un connecteur 2.5 permet de
connecter le disque 2.5, d
sidant pour la plupart des 1200.
C'est une version
trois connecteurs 3.5 qui est actuellement
disponible. Il faut donc un c
ble adaptateur 2.5 ->3.5 pour l'A1200.
Dommage, la version pr
dente du hard
tait tr
s pratique, surtout pour
les possesseurs de 1200 ayant d
une unit
2.5.
@{fg shine}L e p r i n c i p e@{fg text}
Sur le principe, l'Amiga verra deux groupes d'unit
IDE (ma
tre et
esclave) vu par le SCSI.device (le port IDE est vu comme une unit
SCSI
avec presque tous ses avantages).
Groupe 1: unit 0 (maitre) et 1 (esclave)
Groupe 2: unit 2 (maitre) et 3 (esclave)
Les lecteurs ATAPI (CDROM) ne seront vus que par l'ATAPI.device, qu'ils
soient dans le groupe 1 ou 2.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
L'installation se passe sans probl
me (installeur du syst
classique). En cours d'installation, IDE-Fix propose d'installer une unit
CDRom, ayant install
un lecteur CD Commodore ATAPI X 6 AZT 66881 (voir
Anews 87 page 6, lecteur Commodore) en unit
1. L'installation termin
e, le
lecteur sera vu.
Il est aussi possible si vous le d
sirez d'utiliser un CDROM SCSI
install
sur un port SCSI (Oktagon, WarpEngine et divers contr
leur).
L'installation se fait de la m
me mani
re que ATAPI. IDE-Fix permet de lire
les CD ISO niveau I et II, Mac HFS, les CDXA (multisession PC Mac), PhotoCD
(non test
@{fg shine}L ' a u d i o@{fg text}
Pour les CD audio, je n'ai pu les lire en "SCSI direct", c'est
dire
couter via le port audio de l'Amiga. Plusieurs personnes m'ont signal
probl
me (cela est indiqu
dans la documentation).
Autre reproche au sujet des CD audio: IDE-Fix ne permet pas de voir les
CDDA (audio) en fichier, alors que AsimCDFS offre la possibilit
de les
voir aux formats AIFF, Maud (Tocata, Maestro) ou au format CDDA Least ou
Most Significant (pr
graver).
@{fg shine}L e s a u t r e s f o r m a t s@{fg text}
Un autre manque: on ne peut voir les CDROM ISO, HFS, CDXA au format RAW
graver). Je pr
cise que ces manques ne sont utiles que pour une
utilisation sp
cifique. Ces formats ne sont pas utilis
es par l'utilisateur
courant.
@{fg shine}S t a b i l i t
@{fg text}
A part l'audio, sur les deux configurations de test j'ai not
aucun
probl
me majeur. Je le pr
cise car deux personnes nous ont contact
ayant
des probl
mes de guru sur A1200.
Dans notre cas, nous l'avons test
dans les deux configurations
suivantes, sans probl
me en utilisation courante:
@{fg shine}A1200 GVP Turbo II, RAM 8Mo, SCSI:@{fg text}
Groupe 1: 0 - IDE 2.5 80Mo (maitre boot)
1 - Quantum 850Mo (esclave)
Groupe 2 2 - Quantum 350Mo (maitre)
3 - Quantum 350Mo (esclave)
@{fg shine}A4000 WarpEngine FastSCSI2:@{fg text}
Groupe1: 0 - 130Mo d'origine (maitre boot)
1 - CD Rom ATAPI (esclave)
Groupe2: 2 - EZ135 (maitre)
3 - Quantum 850 Mo E-IDE (esclave)
@{fg shine}S y q u e s t E Z 1 3 5@{fg text}
C'est pour ce type d'unit
que j'ai appr
IDE-Fix. C'est le seul
moyen
ma connaissance de voir ce genre d'unit
. Le paquetage fournit
quelques commandes CLI pour d
marrer ces unit
s. Vous pouvez d
marrer sur
l'EZ135 apr
s avoir rendu la commande r
sidente (donc au deuxi
me reboot
s l'allumage). Le formatage de l'unit
se fait d'une mani
re classique.
paration avec HDToolBox. La suite, vous la connaissez. Les performances
de la version IDE sont inf
rieures par rapport
la version SCSI (1.8Mo/s
pour le SCSI et 1.4Mo/s pour la version IDE).
@{fg shine}D i s q u e d u r I D E@{fg text}
Si vous installez un disque dur sur les ports 2 et 3 de la nappe IDE,
il vous faudra proc
der de la m
me mani
re que l'EZ135. Il ne sera bootable
que si vous avez rendu la commande r
sidente. Dans ce cas, IDE-Fix utilise
toujours le "SCSI.device".
Il est imp
ratif de changer la valeur du MaskTransfer sous peine
d'erreur sur les fichiers de plus de 400Ko. Nous sommes arriv
la valeur
de FFFF avec Seagate ST51080A de 1Go sur A4000/40
d'une WarpEngine (
@{"voir les performances" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Perfide.2c"}
Au niveau des performances, il faut savoir que l'IDE est plus lent par
rapport au SCSI2, du moins sur l'A4000. En ce qui concerne les performances
sur PC, je n'ai pas encore
. Mais d'apr
s les
chos que j'ai pu
colter, cela tournerait entre 2Mo et 2.2Mo avec un FireBall (Quantum) sur
un P133.
@{fg shine}S h a p e S h i f t e r@{fg text}
J'ai pu tester une unit
IDE. Cela fonctionne en partition compl
s bizarre sur le principe d'un IDE sur un Mac :-), les outils de
formatage bas niveau Mac le reconnaissent parfaitement. ShapeShifter
accepte de coabiter avec diff
rents types d'unit
s sans probl
me. Il est
r que l'IDE est plus lent, et cela se ressent au niveau performance. Il
faut dire que par rapport au SCSI de la WarpEngine, "il n'y a pas photo".
Certains tests sur Mac, similaires
Diskspeed, donnent 5Mo/s en acc
sur le SCSI2 Warp. Sur le plan pratique, l'
mulation d
marre plus vite
qu'un PowerMac 7200. Pour le calcul..., il ne faut pas r
ver, un 68040 ne
fait pas le poids.
@{fg shine}L e s c o n f l i t s@{fg text}
Si vous mettez le d
marrage des unit
s IDE r
sidentes, il y a un
conflit avec la commande "preparemul" de ShapeShifter et Sysihack, la
machine se met
rebooter sans fin. J'ai le m
me probl
me avec la carte
WarpEngine et le DD IDE d'origine du 4000.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Un paquetage tr
s utile pour les utilisateurs du port IDE. Je trouve
l'ensemble c
blage et logiciel d'un prix un peu
(739F), surtout qu'il
y a des manques au niveau de la gestion des CDROM.
Pour ma part, j'utilise ASIMCDFS avec "ATAPI.device" pour les CDROM
ATAPI, cela fonctionne parfaitement.
J'utilise aussi les commandes fournies avec IDE-Fix pour d
marrer les
s IDE suppl
mentaires.
Le reste est, disposant de ASIMCDFS, inutile. Le paquetage deviendrait
@{fg shine}M U S I C L I N E E D I T O R V 1 . 1 1@{fg text}
Ce nom ne vous
voque peut
tre rien, mais ce logiciel n'est pas d
nuet
d'int
t. La pr
sentation est @{"sobre et surprenante" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Musicline.4c"}. Pour la composition un
seul track est accessible (1 piste, image 1). La composition s'effectue
piste par piste, pour le r
glage des positions on combine les pistes entres
elles. Ainsi, si on cr
e un rythme qui doit se r
ter, inutile de le
recopier
chaque pattern comme sur les autres trackers, il suffit de le
rentrer
chaque position. On peut combiner 4 pistes (4 voix) ou 8 (8 voix -
> qualit
moyenne). Il s'agit vraiment d'
dition en ligne, on dispose de 5
colonnes pour les effets que l'on peut de ce fait combiner (comme sur
Octamed 6). Le logiciel reprend les effets de Protrackers (sous des codes
rents) plus quelques nouveaux non r
volutionnaires.
Dans ce logiciel, l'int
t vient de la partie appel
e "Instrument
F/X". On dispose de plusieurs instruments fournis dans ce format. On peut
les qualifier d'instrument synthe ou FM bien que leur qualit
soit
meilleure. Chaque instrument de ce type peut
tre param
un menu
cial, qui donne acc
un certain nombre de modules. On peut ainsi
appliquer
l'instrument les modules : enveloppe, vibrato, tremolo,
arpeggio, transform (qui m
lange 6 ondes diff
rentes), phase (
quivaux
phaser), mix (mixe 2 ondes,
quivaut
un chorus), resonance, filter,
playloop. Chaque module
tant largement param
trable : on retrouve le
glage de l'amplitude, point de d
part de fin, d
but et fin de boucle, et
nombre de boucles. La plupart ont
galement un r
glage de la profondeur et
de la vitesse. Ainsi un instrument F/X auquel on applique un phaser avec
les param
tres qui s'en suivent, sera lors de l'
coute du module appliqu
en temps r
el. On obtient ainsi une modification naturelle de l'instrument
au cours de temps comparable
celle que l'on peut entendre dans les
musiques "d'Ambient", Techno et autres Boum-Boum musique. En combinant le
tout avec une bonne rythmique en
chantillons cette fois, on l'obtient la
Boum-Boum music! Bien s
r, certains effets comme la r
sonnance et
l'enveloppe seront appr
s pour des musiques classiques, de quoi
contenter tout le monde.
Ces effets ne sont applicables que sur les instruments F/X. Les modules
mos (assez rythm
s) sont convainquants. Les effets
tant calcul
s en
temps r
el, selon votre configuration vous ne pourrez pas combiner tous les
effets en m
me temps sur les 4 voix.
On peut charger des modules protracker pour les modifier, mais une fois
enregistr
s au format MusicLine seul MusicLine Editor pourra les lire.
cessite au minimum un syst
me v2.0.
@{fg shine}E n c o n c l u s i o n@{fg text}
Il apporte de nouvelles facettes
la composition gr
ce aux instruments
F/X. D'apr
s moi,
poss
der pour les cr
ateurs de modules, au moins en
version limit
@{fg shine}C o m m e n t s e l e p r o c u r e r ? @{fg text}
100F + 15 F de frais de port en liquide (sur place) ou Euroch
ques +
une disquette vierge
: Christian CYREUS, Fregatt
gen 9, 181 37 Liding
SUEDE.
Ou version enti
rement fonctionnelle avec utilisation limit
30 jours
sur internet ou disquette F 319 d'Alma Diffusion.
@{fg shine}R
mi MOREDA@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maFilequest " FileQuest (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S o y o n s c h a u v i n !
FileQuest: un mini-Opus made in France@{fg text}
Soyons un peu chauvin: il est tout en fran
ais, et programm
par un
ais. C'est un shareware qui, pour une somme fort modeste, vous donne
un programme de bonne qualit
. Vous allez dire "Encore un gestionnaire de
fichiers, il y en a d
pas mal". Mais celui ci a quelques avantages qui
facilitent grandement votre travail.
Sa consommation en m
moire inf
rieure
400 Ko (avec utilisation de la
bgui.library 150 Ko) devrait lui permettre de tourner sur toutes les
machines m
me avec seulement 1 Mo.
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Ce logiciel a
programm
en C avec Dice Pro et utilise la
bgui.library. Il fonctionne sur tout Amiga pourvu d'un kickstart>=2.04.
Bien s
r, ce type de gestionnaire est surtout utile pour les disques durs,
mais rien n'emp
che de le faire fonctionner sur disquette.
Son installation est tr
s simple: il suffit de cliquer sur l'ic
Install-francais et le tour est jou
. Celui-ci vous demande o
vous voulez
installer le r
pertoire et quelques questions sur le type de config, les
nes, etc. Une assignation est ajout
e dans la user-startup (mode initi
ou selon votre avis dans le mode expert. Filequest est une commodit
@{fg shine}L a c o n f i g u r a t i o n@{fg text}
Il est enti
rement configurable et fonctionne aussi bien sur son
cran
fini, que sur celui du Workbench (@{"image 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Fileq1.16c"}) ou un
cran identique
celui du WB (@{"image 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Fileq2.16c"}), il fonctionne
galement sur Cybergraphics. Quand
Filequest est en mode Workbench il utilise la screennotify.library qui
permet au Wb de changer de mode
cran (par exemple) sans demander de
"fermer toutes les fen
tres sauf les tiroirs".
Son
cran est public. Il faut dire que cette configuration est tr
simple et ne demande pas de connaissances sp
ciales. C'est beaucoup plus
facile qu'avec Dirwork ou Directory Opus.
Le choix des fontes pour les listes, les menus, et les boutons, est
param
trable. Vous pouvez choisir l'aspect des bords fins,
pais, ou
automatique en fonction du ratio pixel, les bordures en standard ou en Xen,
le raffraichissemnt simple refresh ou smart refresh, les scrollers normaux
ou new look. Les requ
tes sous la souris, au centre de l'
cran, ou en haut
gauche, le tra
age des fen
tres avec ou sans tampon (surtout pour les
cartes graphiques). Beaucoup d'autres param
tres sont configurables: le Pop
Up Menu, la couleur des fichiers ou des r
pertoires s
lectionn
s ou non.
La couleur de fond et des noms des boutons est
galement configurable
jusqu'en 256 couleurs (plut
t pour les cartes graphiques
cause de la
vitesse).
Un certain nombre de fonctions sont internes au logiciel pour des
raisons de rapidit
, comme addicon, comment, copy, copy as, move, move as,
delete, getsize, relabel, rename, parent, root. Pour le reste des
commandes externes sont bien s
r utilisables. Ces actions sont
param
trables (sur tous les fichiers, premier fichier selectionn
, source,
destination, sortie sur fen
tre, re-trie la source, re-trie la destination,
etc). Toutes ces fonctions peuvent se retrouver sur deux banques de 32
boutons.
Il est possible de faire ex
cuter une action en fonction du type de
fichiers, reconnu par son en-t
te en octet (ex FORM????8svx) ou par son nom
(#?.jpeg, #?.iff), (@{"image 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Fileq5.16c"}). Lorsque vous double cliquez dessus, les sons
seront jou
s, les images affich
es, les programmes ex
s, etc.
Pour choisir vos volumes vous avez le choix entre une s
rie de cinq
banques (@{"image 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Fileq3.16c"}) de cinq volumes soit 25 volumes configurables par th
et une liste qui affiche soit les assigns, soit les p
riques, soit
les volumes (@{"image 4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Fileq4.16c"}), mais l'auteur a eu une id
e: il suffit de cliquer
avec le bouton droit de la souris (le pointeur
tant sur les banques ou les
listes) pour cycler celles-ci. Le bouton gauche permet de s
lectionner le
volume ou autre.
@{fg shine}L e f o n c t i o n n e m e n t@{fg text}
L'interface est constitu
e de deux grandes listes qui affichent les
pertoires et fichiers, dans le haut de la fen
tre le nom et la taille
disponible du volume. La bande de titre de la fen
tre indique le nombre de
pertoires, de fichiers, pr
sents dans la liste ainsi que ceux
lectionn
Dans la premi
re colonne il y a les habituels:
propros de,
utilisateur, ic
nifier, cacher (c'est une commodit
), configurer, quitter".
Dans la deuxi
me colonne, "Renommer un disque", les actions format et
copy disk ne sont pas encore incluses.
Dans la troisi
me colonne, se trouvent les fonctions les plus
pratiques, tout s
lectionner, tous d
lectionner, tout inverser, et
surtout les fonctions tr
s int
ressantes comme s
lectionner par crit
(ex #?.info), d
lectionner par crit
res, et inverser par crit
La derni
re colonne contient les fonctions de changement d'
cran.
Ainsi, si vous
tes sur votre propre
cran et vous voulez aller sur le Wb
il suffit de cliquer sur aller sur le Wb: tr
s pratique.
@{fg shine}L e P o p U p M e n u@{fg text}
C'est l
que se trouve la meilleure fonction du programme. Un pop up
menu configurable, permet de lancer des actions sans avoir
aller chercher
matiquement dans le bas de l'
cran, les boutons. En actionnant le
bouton droit de la souris, les fonctions pr
alablement configur
s'affichent. Ainsi, les fonctions les plus courantes comme copy, delete,
move, etc, peuvent y
tre ins
rer.
Quand FileQuest est en mode "sur le WB", vous pouvez alors "poser" une
ne dessus ( tout comme son AppIcon) et il vous demande, soit d'ex
cuter
pour un executable, de jouer un son, d'afficher une image, soit d'ajouter
une ic
ne, soit pour les r
pertoires, d'afficher son contenu dans la liste
de droite ou de gauche.
Dans le r
pertoire "extras", il y a deux utilitaires Bsound, Bicon :
* Bsound est un petit lecteur de samples Direct to Disk capable de lire
les sons st
o/mono iff jusqu'
28 Khz en PAL ou NTSC et,
une fr
quence
rieure en productivity (limitation due
l'Amiga et non au logiciel)
avec son interface AREXX vous pouvez changer en cours de lecture le volume
et l'
tat du filtre.
* Bicon est un
diteur d'ic
ne qui permet d'activer ou de d
sactiver
facilement les tooltypes, en ajoutant (ou en enlevant) automatiquement les
parenth
ses, ceci simplement en cliquant sur la ligne.
La fen
tre principale ainsi que toutes celles de configuration sont
retaillables avec auto-ajustement des boutons et des lettres gr
Bgui.library
@{fg shine}T o u t n ' e s t p a s p a r f a i t@{fg text}
Il y a quand m
me quelques petits d
fauts. Le traitement des ".info":
si vous effacez le fichier xxx, l'ic
ne xxx.info ne sera pas effac
e. Il en
est de m
me pour les fichiers d
s. Il n'y a pas d'interface AREXX
(cela en d
rangera peut-
tre certains, mais ce n'est pas d'un int
fondamental pour ce type de logiciel).
@{fg shine}L e s h a r e w a r e e t s a p r o t e c t i o n@{fg text}
Ce logiciel est un shareware. Si vous ne payez pas la somme demand
par l'auteur, la limitation se situe uniquement dans l'apparition de
requesters toutes les six actions, quand vous lancez le logiciel ou le
programme de configuration et quand vous les quittez. Quand vous payerez,
l'auteur vous enverra une clef (.key) (et la derni
re version de FileQuest)
qui permettra d'annuler tous ces requesters. Pour les upgrades, ils seront
facilement accessibles sur les sites, chez les revendeurs DP et disques
aminet. "Shareware" veut dire que son utilisation courante vous donne
l'obligation morale d'envoyer une participation
l'auteur.
@{fg shine}L a b o n n e n o u v e l l e d e l a f i n@{fg text}
Il faut remarquer que ce logiciel est bien s
r localis
en francais
mais
galement que la documentation et les explications sont en FRANCAIS
(et anglais) mais aussi les configurations de base fournies. Ainsi les
boutons s'appellent "cr
er un fich" et non "makedir", "efface" et non
"delete", "d
place" et non "move" etc. Cela permet aux allergiques de la
langue d'outre manche de faire fonctionner ce programme.
Dans ces configs fournies, une s
rie impressionante de types de
fichiers est inclue. Ainsi les actions sur les images iff, jpeg, gif, les
sons, les ex
cutables, toutes les fonctions lzx et lha sont d
rationnelles. Vous n'
tes pas oblig
de le configurer pendant des heures
avant une utilisation normale. Les fonctions lha pr
sentes sont: lha add
lha extract, lha test, et une tr
s int
ressante, lha ou lzx repertoire, qui
utilise chaque nom de tiroir pour en faire des archives s
es. Si vous
avez par exemple dans le r
pertoire sys:, que vous s
lectionnez, tous les
tiroirs, il prendra c et en fera c.lha, puis classes en classe.lha, devs en
devs.lha etc. Pratique non ?
Bien entendu, il faudra quand m
rifier que les viewers
(Multiview) se trouvent bien dans le r
pertoire habituel du Wb. Par contre,
si vous avez une carte graphique, il faudra alors configurer vos afficheurs
d'images.
@{fg shine}Les points n
gatifs:@{fg text}
* la gestion des .info (promis dans une version ult
rieure si les
cotisations arrivent) l'absence de port AREXX
@{fg shine}Les points positifs:@{fg text}
* demande peu de m
moire (pratique pour les petites configs rapides)
* tr
s configurable sans tomber dans la complexit
* l'affichage permanent des listes d'assigns de p
riques ou de
volumes
* les configs fournies (avec beaucoup de types de fichier)
* programmation propre, pas de hit Enforcer
@{fg shine}Les points tr
s positifs:@{fg text}
* tout en francais
* le pop up menu
* le prix (100f)
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Pour terminer je dirai donc que ce logiciel, a certes moins de
fonctionnalites que Dopus 5, mais il fonctionne
merveille et reste d'une
simplicit
enfantine (enfin presque, ca d
pend de l'age des enfants), ses
pop up menus, sa documentation en francais, ainsi que son prix tr
attractif devrait lui permettre d'aller chasser sur le terrain des plus
grands.
@{fg shine}FileQuest sera disponible sur 3615 AmigaTel et sur le BBS Ramses.@{fg text}
Auteur : @{fg shine}Emmanuel Doguet,
4 place de Cornouailles, 50130 Octeville@{fg text}
Addresse electronique
Fidonet : @{fg shine}2:320/104.64@{fg text}
Email : @{fg shine}manu@ramses.fdn.org @{fg text}
@{fg shine}Thierry Challan Belval@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maNewsVideo " News Vid
o (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
Ce mois-ci vous trouverez un test sur la carte MIRO DC20, qui laisse,
malgr
tout, quelques probl
mes en suspens. Cela consolera peut
tre les
utilisateurs de DRACO (il para
t que le malheur des uns conforte les autres
dans le leur). A propos du DraCo, enfin une bonne nouvelle, car comme vous
pourrez le constater, les tests effectu
s par nos correspondants laissent
appara
tre de nombreuses am
liorations sur le logiciel.
"DraCo encore": nous avions pr
vu un test en condition de montage pour
ce num
ro, mais une fois de plus, c'est partie remise, car malheureusement
la machine sur lesquel il
tait pr
vu est tomb
e en panne, et cela, suite
un probl
me de d
placement!
Concernant la rubrique question/r
ponse, que les lecteurs qui nous on
crit se rassurent leur courrier n'est pas pass
aux oubliettes et il
trouveront le mois prochain une rubrique sp
ciale dans laquelle nous
essaierons de r
pondre
leurs questions.
@{" TOUR DE FRANCE VIDEO JVC (05-90)" LINK maTourjvc}
@{" JVC X3 (05-90)" LINK maJvcx3}
@{" NV-MS5B (05-90)" LINK maNvms5b}
@{" TBC ABORDABLE (05-90)" LINK maTbcabor}
@{" GRDV1 (05-90)" LINK maGrdv1}
@ENDNODE
@NODE maTourjvc " TOUR DE FRANCE VIDEO JVC (05-90)"
@TOC maNewsVideo
@{fg shine}T O U R D E F R A N C E V I D E O J V C@{fg text}
Lors d'une tourn
e dans les principales villes fran
aises, JVC a
ses nouveaut
s pour l'ann
e 1996. Mon passage
l'une de ses
sentations m'a permis d'y d
couvrir les nouveaut
vues mais aussi
celles
venir. Remerciements
quipe pr
sente lors de notre passage
pour son accueil et le temps qu'elle nous ont accord
@ENDNODE
@NODE maJvcx3 " JVC X3 (05-90)"
@TOC maNewsVideo
@{fg shine}J V C X 3@{fg text}
Cette nouvelle @{"cam
ra triCCD" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/X3.8bt"} non dockable fonctionne en SVHS pro et
devrait ravir les budgets (actuellement
la baisse) des associations ou
des cellules de communication institutionnelle. Ce cam
scope d'
paule
rappelle par sa forme le mod
le grand public PANASONIC MS5, auquel on
aurait rajout
un objectif professionnel et un capteur TRI CCD (peut
un cousin germain d
au lien de parent
qui unit les deux marques). D'une
sensibilit
e de 4 lux
9db, ce cam
scope est
en standard d'un
objectif 14x FUJINON, la t
te de cam
veloppe 550 lignes et un rapport
signal sur bruit de 58 Db.
La partie audio dispose de 2 canaux HIFI, et d'un
rateur de time code" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/X3b1.8bt"}
. @{"La connectique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/X3b2.8bt"} est plut
t pauvre (budget oblige?) puisque pour l'audio on
ne dispose que d'une d'entr
e micro auxiliaire (XLR). L' autre est de type
jack 3,5, et supprime le micro int
. La connectique vid
o n'est pas
mieux lotie puisqu'elle se r
sume
une sortie composite PAL(BNC). On ne
dispose d'aucune sortie YC ou YUV. En ce qui concerne la qualit
d'une
image enregistr
e, nous n'avons malheureusement pu en juger puisque seule
la sortie cam
tait connect
e, et encore en composite (n'ayant pas
d'autre possibilit
Surprenante pour du CCD, l'image est tr
s douce et rappelle le rendu
des derni
res g
rations de tri-tube. La prise en main surprend car si la
ra est pratiquement de la taille d'une BETACAM, il en est tout
autrement du poids (5,8 kg) donnant une curieuse impression de l
. La
construction est un assemblage de plastique et de m
tal qui
tonne pour qui
est habitu
au tout m
tal des s
ries K. Cette inquietude concernant la
solidit
de l'ensemble n'est peut
tre qu'une impression et le temps nous
dira si la cam
ra a r
aux sollicitations du tournages.
Disponible en France courant juin, elle devrait
tre propos
e aux
alentours de 30000F HT (10000F de plus que le cam
scope num
rique grand
public de chez SONY!) .
Suite de ce reportage le mois prochain.
@ENDNODE
@NODE maNvms5b " NV-MS5B (05-90)"
@TOC maNewsVideo
@{fg shine}N V - M S 5 B@{fg text}
PANASONIC
pondu
la demande de sa client
le concernant son
scope d'
paule grand public MS4 dont les oublis avait amen
certains
utilisateurs
attendre une version plus aboutie. Cela est chose faite. On
est revenu
la simplicit
, tout est d
brayable, zoom compris (enfin).
Autre nouveaut
, un TBC a
rajout
, augmentant ainsi la stabilit
d'enregistrement du signal vid
o (pour les probl
mes de jitter). Le zoom
rique a
supprim
et de cela personne ne s'en plaindra. Par contre,
on conserve le micro zoom
directivit
variable, le VITC et le ZOOM *12.
Disponible courant Avril aux environs de 15000F,, ce
@{"cam
scope au format SVHS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Pana.8bt"}
pourrait satisfaire aussi la client
le SONY, qui attend d
ment une
rempla
ante
la V6000.
@ENDNODE
@NODE maTbcabor " TBC ABORDABLE (05-90)"
@TOC maNewsVideo
@{fg shine}T B C A B O R D A B L E@{fg text}
La soci
VITEPRO nous confirme qu'elle distribue les produits @{fg shine}LEKTRO
@{fg text} comprenant: TBC, r
partiteur vid
o, convertisseur de standard,
langeur num
rique et autre accessoire vid
o. Ces produits sont livr
avec une documentation en fran
ais, concernant le TBC: le prix annonc
devrait se situer aux alentours de 6000F, ce qui au vu des performances
annonc
es, le rend des plus int
ressants. Les caract
ristiques compl
vous seront fournies le mois prochain.
Les plus press
s peuvent toujours contacter la soci
VITEPRO.
@ENDNODE
@NODE maGrdv1 " GRDV1 (05-90)"
@TOC maNewsVideo
@{fg shine}G R D V 1@{fg text}
Ce petit cam
scope num
rique (format DVC) dont nous avions d
parl
sera disponible d
but juin en France et devrait
tre propos
aux alentours
de 15000 Fr. Comme vous pouvez l'apercevoir sur les photos du mod
" (@{"figs 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Grdv1.8bt"}, @{"2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Grdv2.8bt"}) la miniaturisation est pouss
l'extr
me, et son
appellation de plus petit cam
scope du monde n'est pas usurp
. Pour
rence, le bloc capteur/optique est de la taille d'une pile 9 Volts (35
g environ). Ultra compact, il se compose malgr
tout d'une matrice optique
en sept groupes de 10 lentilles, d'un zoom optique 10* avec iris, et d'un
capteur CCD 1/3 de 630,000 pixels. Impressionnant !
L'
lectronique interne permet gr
ce au num
rique toute une panoplie
d'effets
l'enregistrement mais aussi
la lecture (12
l'enregistrement
et 5
la lecture). On trouve des fonctions comme le zoom, le fondu et le
scrolling dans l'image. A l'enregistrement, il est possible d'appliquer 18
effets de transition entre sc
nes, un mode photo permettant d'enregistrer
une image compos
e des deux trames, et bien d'autres effets. @{"La base" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Grdv3.8bt"} dans
laquelle s'encastre le cam
scope dispose de sorties audio/st
@{"vid
os (YC/composite PAL)" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Grdv4.8bt"}
, mais aussi d'une nouvelle prise pour le montage, le "JLIP" interfa
able
un ordinateur ou
un autre magn
toscope de la marque ou compatible (cette
norme devrait se retrouver sur tout les futurs magn
toscopes de la marque).
La base associ
la t
commande du cam
scope permet d'effectuer du
montage par m
morisation de s
quences, et par insertion (le time code
inscrit sur les pistes audio
tant affich
cran). Tr
s simple
d'utilisation, (j'ai vu effectuer un montage sur un magn
toscope VHS en
moins de 10 minutes) cette configuration devrait convenir aux utilisateurs
sirant pas effectuer du montage
l'image pr
s, mais souhaitant un
outils simple et rapide pour de la pr
sentation. Parmi les autres
fonctionnalit
s int
cette base, on retrouve des commandes
classiques (pause (non bruit
es) lecture, rembobinage etc). La qualit
sonore respecte les normes internationales du DVC (son st
o num
rique
PCM,
chantillonnage 1voie st
o 16 Bit/44Khz, et une voie st
o 16
bits/48 kHz ou 2 voies st
o 12 bits/32 kHz dont une seule est
actuellement utilis
e en lecture).
Je dois dire qu'au premier contact la prise en main m'a un peu
concert
, ceci
tant sans doute d
la taille (150*80*45mm) mais aussi
au poids 500g (surtout lorsque que l'on est habitu
des cam
ras d'
paule
lant les 10 Kg), et puis apr
s quelque essais, la main finit par trouver
naturellement ses marques, il faut pr
ciser aussi que le mod
le pr
tait
d'un @{"accessoire (non fournie)" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Grdv5.8bt"} fort pratique qui faisait office
de poign
e mais aussi de support pour des batteries suppl
mentaires.
Concernant la qualit
de l'image, le temps pass
avec le GRDV1 n'est
pas suffisant pour me permettre un comparatif s
rieux avec le mod
le SONY,
mais sera l'occasion d'un test complet d
s sa disponibilit
. Aussi et
malgr
le fait qu'il
tait connect
sur la sortie composite, la qualit
d'enregistrement ne m'a pas sembl
differer de la sortie directe, et la
qualit
m'a paru tout
fait correcte (sup
rieure au Hi8 de toute fa
Alors, et en conclusion, une question peut se poser: qui va acheter ce
type de cam
scope (qui ne l'oublions pas, est
environ 15000F)? JVC y
pond fort judicieusement en proposant ce cam
scope aux professionnels et
l'amateur fortun
et cible des utilisateurs diff
rents de ceux concern
par les mod
les SONY. Des utilisateurs souhaitant un cam
scope simple,
performant et surtout tr
s compact (une sorte de bloc note vid
Concernant les professionnels (architecte, agent immobillier, ou
commerciaux) ils appr
cieront dans cette appareil la portabilit
, tout en
conservant une qualit
d'enregistrement suffisante pour
tre r
exploit
plus tard en lecture.
Il faut noter que PANASONIC devrait bient
t mettre sur le march
ais un banc de montage en DVC professionnel (grand format) permettant
de relire le DVC grand public, ce qui permettra
ventuellement, et dans le
cas d'une utilisation journalistique, un transfert vers un format sup
rieur
ta,MII, BETA num
rique).
@ENDNODE
@NODE maDracovlab " Draco VLab Motion (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D r a C o , V - L a b M o t i o n
"Pour une cha
ne de montage de qualit
HI8, j'ach
te un DraCo."@{fg text}
Deux de nos @{"correspondants en Suisse" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Compere.8bt"}, Patrick Conconi et Henri Kling,
ont test
la derni
re version du logiciel de montage num
rique MovieShop
sur la carte V-Lab Motion install
e dans une DraCo...
Patrick Conconi: Profitant d'une occasion, nous nous sommes rendus chez
Applimatic SA o
nous avons pu tester toute une apr
s-midi un DraCo avec
une carte V-Lab Motion (c'est la m
me que celles qui sont vendues pour les
autres Amiga, la version pour bus rapide DracoDirect n'
tant toujours pas
disponible). Ce DraCo
tait
de deux disques durs de 4Go et de 32Mo
de RAM.
Nous avons pu tester la version 3.3 de MovieShop, version qui n'apporte
aucune fonction suppl
mentaire, mais qui corrige simplement des buggs.
Depuis, la version 3.4
distribu
e gratuitement par MacroSystem
tous
les utilisateurs enregistr
s de MovieShop.
@{fg shine}U n e V - L a b s u r u n A m i g a n o r m a l . . .@{fg text}
La qualit
maximum de l'image obtenue avec une carte V-Lab Motion sur
un Amiga est limit
e par le taux de transfert du bus Zorro II, qui plafonne
2,5 Mo par seconde. C'est pas mal, mais quand il faut transf
rer 25
images par seconde, la taille de chaque image compte beaucoup et la barre
des 2,5 Mo est vite atteinte en compressant
72 75% les images au format
JPG. Si en plus sur ce m
me bus Zorro II, vous faites passer le son, un
taux de compression image de 65% est le plafond pour votre carte V-Lab
Motion. C'est une qualit
d'image
quivalente
du bon VHS avec
vitable "bruit num
rique" d
la compression JPG. C'est insuffisant
pour faire de la vid
o institutionnelle... C'est bon pour les gens comme
moi qui sont "accro" et qui veulent avant tout distribuer leurs montages au
format VHS, mais c'est un peu cher comme investissement si l'on n'est pas
un passionn
@{fg shine}P u i s D r a C o e s t a r r i v
! L e g r a n d D r a
C o ...@{fg text}
En plus de son bus super-rapide "DraCoDirect, DraCo comporte un bus ZII
rement am
, qui double presque le taux de transfert et le fait
passer
5Mo par seconde (d'apr
s Applimatic). Et comme par magie, des
nes qui ne passaient pas
65% sur un bus Amiga, m
me en utilisant du
smoothing, passent sans probl
82% sans smoothing sur un DraCo. De plus
une image
82% est de qualit
rieure
Hi8, voire
quivalente pour le
moins.
Pour effectuer ce test, nous avons utilis
la m
me bande vid
o, la m
ne et les m
mes configurations de base pour MovieShop que sur mon
A3000/040. Nous avons aussi apport
un SONY EVS1000E (Hi8) pour g
rer un
signal de qualit
Premi
re impression avec le DraCo, c'est le 060... Il est l
et cela se
sent! C'est sensible dans tout ce qui est calcul d'effets vid
o, tout est 4
fois plus rapide, mais autrement, la sensation de vitesse au niveau du
me ne m'a pas impressionn
e. Il faut dire que ma carte graphique est
une Cyber64 et que la vitesse de celle-ci est sup
rieure
la carte Altais
du DraCo.
Un petit d
savantage du DraCo par rapport
l'Amiga, est son absence de
processeurs d
s aux taches externes tel Paula, Denise ou Agnus. Une
simple disquette ins
e dans celui-ci provoque un ralentissement de toute
che en cours... Sur un Amiga cela n'existe pas! C'est choquant pour un
amiga
ste, mais logique d'un point de vue mat
riel.
Apr
s l'article de Jacques Pourtant, je pensais tomber sur une machine
instable o
j'aurais besoin de jouer du reboot toutes les cinq minutes...
Et bien, je ne sais toujours pas o
se situe le bouton RESET. Nous avons
allum
la machine vers 14H50, et vers 17H45 lorsque nous sommes repartis,
s avoir mis MovieShop dans tous ses
tats, aucun plantage n'
tait
plorer. Et pourtant, j'avais pest
contre la version 3.1 de MovieShop et
ses buggs (on aurait cru avoir achet
un logiciel MicroSoft), mais la
version 3.4 est stable. Pour ceux qui ne l'ont pas encore, r
clamez-la de
toute urgence!
@{fg shine}M o n i m p r e s s i o n
m o
. . .@{fg text}
Une bonne configuration vid
o, voire tr
s bonne. Je ne sais pas ce que
te un banc de montage vid
o num
rique qui permet de faire ce que permet
MovieShop, mais je doute que cela puisse
tre moins cher que cette
configuration. Dans tous les cas, pour de la vid
o institutionelle, c'est
un bon choix. Le DraCo en tant que machine ne m'int
resse pas, un A3000/060
avec une bonne carte vid
o et un SCSI II est sup
rieur, sauf dans le cas de
la configuration vid
o DraCo/V-LabMotion.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Conconiclusion: je retire une bonne impression de ce test, le DraCo est
une tr
s bonne machine pour faire de la vid
o avec une qualit
optimale.
Pour ce qui est de MovieShop, cette version d
buggu
e me r
concilie avec ce
programme...
Henri Kling: d
sirant obtenir d'un bout
l'autre de la cha
ne de
montage une qualit
Hi8, qui corresponde
un taux de compression de 80%
pour toutes les sc
nes, j'ach
te un DraCo.
@{fg shine}J P E G e t l e s p e t i t e s b r i s e s@{fg text}
Une explication rapide sur les taux de compression JPEG en g
ral et
le choix de 65% en particulier.
L'acquisition d'images vid
o sur V-Lab Motion permet de monter un film
ou un clip, qui est par d
finition un assemblage de "sc
nes" selon la
terminologie du logiciel de Macro-System, (assemblage signifiant en montage
virtuel aussi bien insertion image sur son que son sur image). On commence
par d
finir le taux de compression avec lequel on va travailler, sachant
qu'il faut
viter d'utiliser les fonctions de lissage (smoothing) qui vont
peut-
tre permettre de travailler avec un taux de 80% mais qui donnent des
images de moins bonne qualit
qu'une compression de 65% sans smoothing.
Ceci d
pend pour l'essentiel des sc
nes dont les images contiennent le plus
d'information.
Un exemple concret: on arrive tr
s bien
enregistrer un pr
sentateur
du journal t
film
en gros plan sur un fond monocolore uni,
taux de compression de 80%. Par contre, si l'on doit associer
cette
quence une autre sc
ne qui comprend un paysage avec de la v
tation, des
arbres bien feuillus avec de l'herbe au sol, le tout maintenu en mouvement
par une petite brise, on est oblig
de redescendre
65%, ce qui correspond
une bonne qualit
VHS mais sans plus.
Sachant que sur une partition VLab on ne peut d
finir qu'un seul projet
et un seul taux de compression par projet, on est donc oblig
de choisir
une compression o
"tout passe", qui est de 65% environ avec un Amiga
@ENDNODE
@NODE maLemontage " Le montage (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a c a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Le montage
Tour d'horizon parmi les bancs de montage institutionnels@{fg text}
Ce n'est un secret pour personne: quelques unes des plus grandes
marques brident sciemment leurs produits afin de ne pas combler trop vite
leur d
pens) le foss
qui s
pare leur mat
riel grand public de celui de
l'institutionnel.
Alors s'il est vrai que des progr
s ind
niables ont r
volutionn
la qualit
de l'image au niveau des cam
scopes grand public, le montage est rest
ton en dessous...
Du coup, certains amateurs, des "mordus", en passant par des
associations ou des petites entreprises, peuvent se lasser des carences en
tous genres qui sont souvent l'apanage des syst
mes de montage analogique
grand public pour succomber aux charmes de configurations un peu plus "haut
de gamme"...
Est-ce bien judicieux?
Laissez vous prendre par la main et allons
tudier de plus pr
s les
possibilit
s qui s'offrent
vous.
Premi
re des choses
savoir, cet article se veut raisonnable et va
mettre en avant les entr
es de gamme dans les bancs institutionnels aux
formats Hi8 et S-VHS, ce afin de ne pas vous effrayer gratuitement dans des
configurations
des prix qui pourraient vous para
tre effrayants. Rassurez-
vous, certains le sont!
Mais ne vous leurrez pas, jouer dans "la cour des Grands" se paie, et
si vraiment votre porte monnaie ne peut suivre vos envies, vous avez
toujours la possibilit
d'acheter tel ou tel mat
riel au gr
des petites
annonces, il reste des occasions tr
s valables, ou bien des appareils qui
auront fait leur temps et ne se trouvent plus dans les propositions des
catalogues (les services marketing se doivent de sortir r
rement des
nouveaut
s)... Deux exemples seront cit
s en fin d'article.
@{fg shine}P l u s d e 5 0 0 0 0 f r a n c s l e m a g n
t o s c o p e
!@{fg text}
Pourquoi tant de haine ? :)
La donne est bien diff
rente quant aux exigences que l'on peut attendre vis-
-vis de ce type de produit. L'usage intensif, la pr
cision, les
possibilit
s, un rendu "pro" et propre, la confiance de pouvoir s'en
remettre totalement
la cr
ativit
sans se demander si telle ou telle
chose pourra se faire au petit bonheur la chance comme cela arrive
tellement souvent avec du "grand public", les maux de t
te en moins,
beaucoup de raisons suffisantes pour craquer...
En revanche, vous devrez ruser pour rester en bons termes avec votre
banquier...
Il faut tout d'abord relativiser la palette des prix dans cet article qui
sont en fait des prix
l'unit
et il n'est pas rare de voir un revendeur
vous faire une ristourne si vous achetez une configuration compl
player, recorder et table de montage (
diteur dans le jargon).
Ce dossier prend pour principe que vous vous
tes d
donn
les moyens
d'avoir un cam
scope ou une cam
ra. Pour
me de monter vos images,
vous devez avoir la configuration minimale suivante:
* un lecteur
* un
diteur de montage
* un enregistreur, le tout g
rant bien
videmment le time code.
@{fg shine}L e s i n c o n d i t i o n n e l s d u H i 8 / 8 M M@{fg text}
Le g
ant Sony, pourfendeur de ce format, propose un choix relativement
restreint en @{"configuration cut" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Evo.16c"} compos
d'un lecteur EVO 9800 (48400 F) avec
table de montage RM 450 (12350 F) et enregistreur EVO 9850 (59740 F).
Le lecteur poss
de un r
ducteur de bruit au niveau de la chrominance de
nuer ce qu'on appelle le "bruit" vid
o. Au niveau du son, on
retrouve bien
videmment les deux canaux PCM coup
15 KHz avec une piste
son FM dont le spectre de la bande passante est un peu plus large; les
connections sont de type XLR pour un environnement professionnel. Le time
code peut tr
s bien
tre rajout
si la cassette n'en comporte pas, de fa
garder une pr
cision accrue. La recherche s'effectue par le jog shuttle.
Lors de la sortie de ce magn
toscope, on ne pouvait lui adjoindre via
la RM 450 que l'interfa
age avec le vieil UMatic Vo 9850p, ou bien la
famille des BVU SP, rien n'
tait pr
vu en tous cas pour monter sur le m
format. C'est de l'histoire ancienne avec l'@{"EVO 9850P Hi8" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Evo2.8bt"} poss
dant un
correcteur de base de temps afin d'
liminer le "jitter" ou tremblement des
verticales au niveau du d
filement de l'image, un r
ducteur de bruit
rique ajustable, 2 canaux PCM et deux FM st
o. Le jog shuttle n'a
rien
voir avec la gamme grand public, il est ici beaucoup plus souple et
bien plus rapide.
L'assemblage, l'insertion sont de rigueur avec une pr
cision
l'image
s. A noter un compensateur de "drop" pour pallier aux petits d
fauts du
Hi8, support un peu plus fragile que d'autres bandes telle S-VHS...
L'interface RS 422 est de rigueur pour la standardisation des
rentes configurations de montage (nous y reviendrons un peu plus
loin). Enfin, qui n'a pas travaill
un jour avec la mythique table RM 450
dont le prix n'a pas boug
depuis bien des ann
es, table qui g
re la dur
du pr
roll et propose un vaste choix au niveau des possibilit
s de montage
avec "l'audio split" qui permet pour les non initi
s de d
finir le "cut in"
audio ind
pendamment du "cut in" vid
o; l'assemble, l'insert, le preview et
la fonction "trim" qui autorise de r
ajuster par la molette un point
d'entr
e ou de sortie d'une s
quence d
mis en m
moire.
Enfin, optez pour la table PVE 500 (20500F) qui est la base pour un
environnement trois machines,
savoir deux lecteurs en amont dont un
"tracking" qui poss
de le ralenti, g
sans probl
me par cet
diteur.
@{fg shine}S o n y f i n i t p a r a t t a q u e r l e S - V H S . . .
@{fg text}
Apr
s avoir mis
beaucoup sur le format Hi8, Sony a fini par sortir
son tour une s
rie S-VHS, afin de grignoter quelques parts de march
juteuses
ses concurrents directs, sous les r
rences suivantes: lecteur
SVO 5600P (31900F), et recorder @{"SVO 5800P" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/5800P.8bt"} (41000F). L
aussi, via la RM
450, toutes les fonctions d'un mat
riel de montage
s'offrent
vous
avec un TBC
la clef, un filtre en peigne pour s
paration des signaux en
Y/C, deux pistes hifi
la bande passante large, les deux autres sont
monaurales avec une r
ponse en fr
quence qui va de 50 hz
12 khz environ.
Les time code LTC et VITC sont au standard professionnel EBU (le code
EBU est en fait le format du time code qui sort de la connexion) les
es et sorties vid
o sont soit en composite BNC, soit en YUV via une
carte optionnelle.
Bref, au vu de ce que propose Sony, la note est relativement sal
e si
vous voulez masteriser en configuration Hi8. Rien ne vous emp
che de
langer en lecture l'EVO 9800 avec le recorder S-VHS SVO 5800P via la
table RM 450, ce seront toujours pr
s de 19000 F de moins
sortir de votre
porte monnaie.
@{fg shine}D u c
d e c h e z . . . J . V . C .@{fg text}
Chez JVC vous avez en entr
e de gamme la s
rie FRS 368 qui est un
lecteur et enregistreur que vous devez doubler pour faire un banc,
15000F
l'unit
... Mais attention, le time code n'est pas g
... Alors tournons
nous vers le lecteur @{"BRS 500 E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Brs5.8bt"} (25500F), la table de montage RMG 800 U
(6000F) et le recorder BRS 800 E (32500F);
On retrouve les fonctions classiques d'assemblage et d'insertion, avec
le preview, le pr
roll r
glable, 4 pistes audio dont les deux monaurales
avec le r
ducteur de souffle Dolby b, une recherche via le jog shuttle
jusqu'
33 fois la vitesse normale, que ce soit en avant ou en arri
re, et
un code d
velopp
par JVC qui a pour nom le code CTL, code r
inscriptible.
Si vous voulez vraiment travailler au code VITC ou LTC, il n'y a qu'
rajouter une carte enfichable optionnelle permise par une architecture
ouverte avec deux plots d'extension.
La table de montage RMG 800 vis-
-vis de la RM 450 Sony ne poss
qu'une seule molette jog shuttle, mais ce manque se laisse vite oublier par
les deux touches de s
lection "player" et "recorder" plac
es quasiment sous
les doigts. Par contre les fonctions sont plus restreintes, mais il reste
les principales, l'assemble, l'insert audio et vid
o, ainsi que "l'Edit
Point Trim" expliqu
un peu plus haut. Enfin,
noter une prise GPI
(general purpose interface) qui permet de construire un ensemble de montage
plus sophistiqu
Ind
niablement, force est de constater le tr
s bon rapport qualit
-prix
de cet ensemble pour qui travaille en institutionnel et ne veut pas
investir des mille et des cents.
@{fg shine}P a n a s o n i c n ' e s t p a s e n r e s t e . . .@{fg text}
Si Sony n'aime pas, mais alors pas du tout m
langer les torchons et les
serviettes entre sa gamme grand-public et sa gamme professionnelle,
Panasonic qui a d
une excellente r
putation, donne l'exemple inverse
avec le N-VHS 1000... que l'on retrouve sous la r
rence AG 4700 en
institutionnel pour le m
me prix de 10600FHT.
Juste au dessus, se trouve un magn
toscope compact @{"AG 5700" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Panasoni.8bt"} au prix de
13200F l'unit
que vous devez doubler pour constituer votre banc, raccord
par une table sp
cifique AG 570 (4800F) via la prise RS 232 (il est aussi
possible de connecter un PC via cette prise). Dot
e de t
tes amorphes,
cette petite cha
ne de montage vous permet l'insertion audio, vid
o, ou
bien audio et vid
la fois. Au niveau de la pr
cision, c'est le time
code LTC qui est utilis
et qui permet une pr
cision de l'ordre de plus ou
moins trois images. C
son, c'est la piste monaurale avec les habituelles
deux pistes hifi (20
20000 Hertz) qui vous sont propos
A 31000F, ce banc dans les tous premiers prix m
rite qu'on y porte une
attention particuli
Enfin, ne passons pas
du @{"milieu de gamme" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Svhs.8bt"} compos
du lecteur AG 7600
(27000F), du recorder AG 7700 (33000F) et de la petite table sp
cifique AG
350 (7500F) qui permet l'insert audio, vid
o ou les deux, l'audio split,
l'assemble, et g
re le ralenti via les magn
toscopes qui en poss
dent un.
Le pr
roll peut
tre de 3,5,7 ou 10 secondes. C
machine, l'interface RS
422 est pr
sente, les codes LTC et VITC sont utilis
s. Particularit
: ce
me est compatible avec le 16/9
me. Enfin, le jog shuttle aide
recherche de l'image
une vitesse jusqu'
32 fois la vitesse normale.
@{fg shine}Qui d
cide de rendre un mat
riel obsol
te ?@{fg text}
Le banc Portax SPC 350 fut r
volutionnaire
sa sortie car il proposait
pour une somme de 25000F de piloter n'importe quel appareil de n'importe
quel format via des interfaces sp
cifiques. Marier les genres, quel
bonheur! Malheureusement, Portax a disparu aujourd'hui, ce qui est dommage
car ce concept
tait vraiment bien pens
. Heureux possesseur de ce pupitre,
la configuration sur laquelle je monte est compos
e de ma v5000 en lecteur
et d'un S-VHS JVC en enregistrement. Le code LTC me donne une pr
cision de
trois images en mono s
quence. Le banc g
re le multi s
quence mais
je ne me sers jamais de cette fonction. Le "pr
roll", fonction obligatoire
glable suivant les souhaits de l'utilisateur sur les bancs
professionnels, permet de "remonter" de quelques secondes la bande du
lecteur et de l'enregistreur, afin que celles-ci soient bien tendues et
tournent en vitesse constante avant le d
clenchement de l'enregistrement.
Le m
langeur audio hi-fi incorpor
permet toutes les possibilit
s en
insert audio. Bref, un banc comme on aurait voulu en voir plus souvent et
qui se jouait des formats, avec des fonctions telles le "point de synchro"
qui permet de synchroniser automatiquement l'image et le son, l'edit point
trim, etc... (soupirs!)
Le deuxi
me exemple vient de chez Sony qui a l'habitude de bien
dissocier ses produits grand public et sa gamme pro. Nous avions
l'impossibilit
le mois dernier de pouvoir faire un insert vid
o avec les
toscopes Hi8/8mm grand public sans manquer d'effacer la bande son en
totalit
. Pourtant, Sony sait parfaitement le faire depuis quelques ann
j'en veux pour preuve le monobloc institutionnel qui
tait commercialis
jusqu'au mois de d
cembre dernier, de r
rence EVO 9700P (successeur du
premier monobloc commercialis
sous le sigle EVO 720 en 8mm) et qui avait
la particularit
d'inclure lecteur et enregistreur Hi8 dans un m
me bo
tier
avec time code et ralenti (certes un peu saccad
et pas meilleur que celui
d'une V5000). Tout ceci g
rait parfaitement l'insert vid
o en gardant le
son d'origine et d
montrait par A + B que c'est techniquement possible...
Vous me direz,
plus de 50000 FHT, il valait mieux qu'il le fit...
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
La donne de rigueur aujourd'hui peut changer du tout au tout avec
l'arriv
e du format "Digital Vid
o" qui va se d
cliner en cam
scopes et
toscopes. Le foss
qui existe actuellement au niveau des diff
rents
parcs de machines pourrait bien
tre combl
un peu plus vite cette fois-ci
qu'il ne l'a jamais
... Et puis l'avenir va aussi se d
cliner
luctablement en montage virtuel (voir les tests de MovieShop sur Draco
et de la Miro DC 20 dans ce num
ro), l'un des prochains rendez-vous dans
cette rubrique...
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maTestmiro " Test Miro DC20 (PC) (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T E S T M I R O D C 2 0
Le virtuel sur les autres plateformes...@{fg text}
Ce n'est pas sans une certaine curiosit
pour ne pas dire une curiosit
certaine que j'ai pris rendez-vous chez l'importateur Miro afin de lorgner
sur ce qu'il propose en mati
re de montage virtuel sur Mac et PC. La Miro
DC20 (PCI) se targue d'
tre une carte d'acquisitionrestitution avec une
solution pouss
768 par 576 en double trame, en qualit
S VHS, au prix
de 7500F sur PC et 8500F sur Mac...
Ok, voyons la b
te d'un peu plus pr
@{fg shine}C o n f i g u r a t i o n s R e q u i s e s@{fg text}
Sur PC, adoptez d'embl
e un Pentium avec 16Mo de RAM pour un bon
confort d'utilisation, un disque dur Fast SCSI, du genre Micropolis AV,
exclusivement
la vid
o, ainsi qu'un deuxi
me disque pour les
diverses applications (Windows et autres logiciels, etc.) Pr
voyez une
carte du style Sound Blaster ou autre pour la partie sonore. Sur Macintosh,
tout Power Mac bus PCI fera l'affaire. La RAM requise est de 16Mo minimum,
le logiciel Premi
re full version (gourmand en m
moire)
tant fourni en
standard avec la carte, ce qui explique la diff
rence des 1000F
suppl
mentaires. L
aussi, deux disques durs sont demand
s. La
configuration pour notre test a
un Pentium 133 avec 16Mo d'EDO RAM, un
disque dur E-IDE de 500Mo pour les applications, et un disque dur Conner AV
de 4Go pour la vid
o. Une carte son int
la carte m
re du PC, une
carte graphique 1024 par 768 24 bits, enfin un poste t
faisant office de
moniteur via une entr
e Y/C et un
cran 17 pouces pour l'informatique.
@{fg shine}A v a n t l a p h a s e d ' a c q u i s i t i o n@{fg text}
La Miro DC20 accepte en entr
e comme en sortie, l'Y/C et le composite.
Les differents param
trages de la source vid
o se font avant le
commencement de la capture via le logiciel fourni VIDCAP 32, avec r
glage
en 256 pas du contraste, de la luminosit
, de la couleur ou de la
saturation. Le deuxi
me logiciel "Miro expert" teste la rapidit
du taux de
transfert du disque dur et fait l'ad
quation de la meilleure qualit
possible en fonction de ce que peut supporter le disque dur. Le taux de
compression est donn
6,5 pour 1 en PAL, le taux de transfert maximum est
annonc
jusqu'
3Mo 100 par seconde (le VHS a un taux de transfert de
900k/seconde, il grimpe de 1;8
2.5 par seconde pour le Hi8). La pr
visualisation de la source se fait dans une grande fen
tre de l'
cran VGA.
Quand l'acquisition est lanc
e, le preview se fige et la led du disque dur
s'affole dans le bon sens du terme! La relecture du fichier enregistr
format AVI s'effectue via le lecteur multim
dia dans Windows 95 Adobe
Premi
re: bonne r
rence!
@{"Adobe Premi
re" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Premiere.24b"} est donn
en version "Lite" sur PC. La "full version" a
utilis
e pour notre test. On lance le logiciel en s'occupant de la la
configuration en fonction de la fa
on dont on veut travailler.
Plusieurs fen
tres constituent l'espace de travail:
- la "time line" classique, avec l'une sur l'autre la piste A et la piste
B, le reste
tant les pistes d'incrustation.
- le chutier,
- une fen
tre de preview,
- une fen
tre d'info,
- fen
tre pour les transitions avec une symbolique A et B (A vers B, ou
inversement)
Il est bien s
r possible de se balader dans la s
quence enregistr
e au
moyen de la souris via un curseur, du mode image-par-image jusqu'
l'acc
si bon vous semble.
@{fg shine}Astuce@{fg text}: le point d'entr
e que vous aurez choisi dans la s
quence
sera l'image de r
rence repr
sentant la vignette dans le chutier, vous
aurez autant de vignettes que vous aurez de s
quences diff
rentes. La
visualisation du chutier peut se faire en mode texte si bon vous semble.
D
s que votre "cut in" et votre "cut out" sont plac
s, vous glissez la
quence dans la time line, ou fen
tre d'
dition, piste A. Dans cette ligne
dition, la s
quence est repr
e par une succession d'images les unes
es aux autres. Une image repr
sente une seconde de vid
o. Soit. Mais
dans une seconde, vous avez 25 images. Et comme il est l
gitime de vouloir
monter
la trame pr
s, le but du jeu est de cliquer sur la piste A et
agrandir la s
quence au moyen de la fonction "loupe" autant que vous le
voulez, les images se d
multiplieront autant que d
jusqu'
repr
senter
la totalit
du contenu de la s
quence. Une s
quence effac
e de la time line
viendra automatiquement se replacer dans le chutier avec toutes les infos
ssaires (r
solution, dur
e, son, fr
quence d'
chantillonage etc...). La
o et le son peuvent bouger ensemble ou s
ment, au moyen du curseur:
on se balade, et le r
sultat est imm
diat dans la fen
tre de preview.
@{fg shine}S o i x a n t e - q u i n z e t r a n s i t i o n s du plus
bel...effet! @{fg text}
Si on veut @{"placer un effet" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Transi2.16c"} pour agr
menter le montage, on se sert de
l'ascenseur sur la droite de la fen
tre, on clique sur le "timbre"
sentant l'effet choisi (c'est inscrit dessus), pour le d
poser sur une
transition. Celui ci sera plac
automatiquement entre la derni
re image de
quence A et la premi
re image de la s
quence B.
Oh, ne pensez pas que la transition s'effectue en temps r
l, seul
@{"le preview" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Transi1.16c"} le
fait, sous forme de deux carr
s A et B c
te, ce qui n'est d
pas
si mal. Puis, lorsque vous donnez votre aval, la transition sera calcul
et sauvegard
e comme un fichier. Attention, s'il vous prend l'envie
tirer une s
quence, les param
tres sont chang
s, ce qui n
cessitera de
faire recalculer les effets. Ceux-ci sont au nombre de 75 et sont tous
param
trables, que ce soit au niveau de la dur
e ou de la couleur, et si
vous
tes vraiment un fondu des math
matiques, la fonction "transition
factory" vous permettra de construire vos propres transitions.
En fait, la force de Premi
re est de proposer des DVE, Digital video
effects, qui sont pour la plupart du presque-3D au vu des ouvertures de
pages, ou
l'apparition du fond de votre
cran de la prochaine s
quence,
qui peut arriver en tournoyant jusqu'
recouvrir le cadre entier. Gr
la fonction Motion setting, vous pourrez faire appara
tre un flip d'image
sur une s
quence fixe ou anim
e, et appliquer des filtres parmi les 58
propos
s, tel l'antialiasing, ou bien le Color pass setting qui n'affiche
qu'une seule couleur choisie dans la s
quence. Vous pourrez m
me changer
une couleur en une autre: tout le rouge deviendra bleu si bon vous semble.
Le Find edge est fait pour la d
tection des contours, ou alors pourquoi pas
l'effet miroir, une inversion d'image, ou la goutte d'eau. Libre
vous de
cumuler toutes ces possibilit
s qui n'auront comme limite que celle de
votre imagination et de votre patience, car, revers de la m
daille, le
temps de calcul sera en cons
quence lorsque vous ferez compiler votre chef
d'oeuvre par la machine...
Par exemple, un passage d'une vingtaine de secondes r
lors du
test avec Flip over, incrustation en titrage avec effet plus alpha channel
et chroma key (transparence sur fond de ciel bleu), a demand
15 minutes
sur notre Pentium 133! En revanche, si le montage est "cut" sans effets, on
peut voir le r
sultat sur le moniteur ou sur la t
quasiment en temps
l. Le titrage n'est pas en reste, il s'effectue dans une fen
tre propre,
vous choisissez la police, les d
s, les ombres, le centrage, etc. L
encore, la fen
tre de preview vient en aide, alors pourquoi ne pas
incruster un titre sur une animation?
@{fg shine}Verdict pour la r
solution, la vitesse et la restitution@{fg text}
Le test s'est fait en overscan vid
o 50 trames/seconde, c'est
dire au
maximum des possibilit
s de la carte. Les rushes en b
ta dont nous nous
sommes servis pour notre premier rendez vous ont montr
une image fouill
avec une fluidit
s naturelle, la seule petite ombre au tableau
tant un
bruit vid
o sur la couleur vert sombre durant le survol d'une for
t dense,
(une casse-t
te pour les alghorithmes de compression) mais qui se laisse
vite oublier durant la lecture.
Dans le doute, j'ai port
pour notre deuxi
me rendez-vous ma V5000 avec
des rushes Hi8 sur cassette Sony M E et H M E (m
vapor
et m
tal pro)
La premi
re cassette comportait des images de New York. J'ai choisi
volontairement des plans fixes et anim
s avec force buildings et voitures
color
la relecture, les images
taient identiques
la qualit
de mes
rushes, je n'ai pas not
d'effets de "cr
nelage" ou d'escalier sur les
ches des grattes-ciel. La vapeur d'eau s'
chappant d'une tasse g
ante
sur une pub
tait plus vraie que nature une fois num
Autre tentative de croche-pied
la carte, un plan en contre-plong
d'un homme sandwich mont
sur de grandes
chasses affubl
d'une cape jaune
vif satin
e avec des lettres carmin dans le dos. Malgr
les reflets du
soleil sur la cape, m
me combat
la relecture apr
s num
risation: des
images identiques avec une belle fid
des couleurs sans que celles-ci
ne "bavent".
La deuxi
me cassette a
enregistr
Montmartre avec des arbres
feuillus et une belle lumi
re. La restitution au niveau des branchages
s'est faite sans probl
me. Les images mont
es ont fait l'objet d'un report
sur cassette VHS. Le bruit vid
o entr'aper
u pendant le survol de la for
(sur rushes num
partir de bande b
ta) a
"nettoy
" du fait de la
solution moindre (240 lignes) inh
rente
ce support. On retrouve en fait
la qualit
d'un report Hi8 sur du VHS.
@{fg shine}Q u e l q u e s p e t i t e s c h o s e s
a m
l i o r e r
@{fg text}
Un d
tail pour commencer: Le S
cam est accept
en entr
e, mais la
restitution sur VHS se fait uniquement en PAL.
Le ralenti m'a laiss
sur ma faim en me rappelant presque celui de ma
V5000: les images sont un peu hach
es et manquent de fluidit
, tout comme
l'est le son en mode "recherche". La bande est lue en stacatto, il en
sulte un manque de confort
l'oreille. Du c
de Premi
re, les effets
de flip de pages ou d'ouverture en pseudo 3d doivent
tre relativement
longs au niveau du ratio temps de l'effet/nombre d'images afin de ne pas se
retrouver avec un mouvement un peu saccad
en lecture. D'autre part, on
notera un l
ger effet d'escalier sur les bords de ce genre d'effets. Enfin,
pensez
fragmenter r
rerement votre disque dur sous peine d'avoir
en relecture -lors d'un report sur VHS par exemple- une saute d'image,
d'une fa
on totalement al
atoire, un blocage de la lecture pendant une
fraction de seconde comme si on vous avait vol
de 5 images sur 25 (
mon
humble avis, la carte n'y est pour rien, le probl
me doit venir de Windows
95). Le rem
tant de relancer la lecture et de recaler sa bande, ce qui
est arriv
durant le test.
Je terminerai cet article en n'oubliant pas de remercier Martin Brand,
responsable technique chez Miro, pour son aide pr
cieuse et sa patience
mise
rude
preuve, moins par mes soins que par l'instabilit
chronique de
Windows 95... Martin attend avec une lueur d'espoir au fond des yeux
l'arriv
e d'un driver pour Windows NT qui sera plus stable... Un ange
passe... multit
che... et qui fera oublier une des nombreuses infirmit
s du
DOS,
savoir la barri
re de la limite d'un maximum de 2Go en partition.
@{fg shine}P o u r c o n c l u r e@{fg text}
La carte Miro DC20 et Adobe Premi
re main dans la main forment un
couple efficace. L'image est belle et naturellement fluide, le montage
s compilation est de facture "pro" (au moins "institutionnelle" si vous
pensez que l'appellation "pro" est galvaud
e). En tous cas, il en reste une
impression de travail bien fait, second
par les multiples possibilit
s de
montage et d'effets d'Adobe Premi
re avec une pr
cision vraiment
l'image.
Retour de b
ton, en num
rique, la qualit
se paie, car pour acc
une
compression minimale et donc
la meilleure qualit
d'image possible, il
vous faudra des disques durs cons
quents avec 5 minutes en Hi8 par Giga.
Enfin, si vous voulez vous servir de la DC20 pour une utilisation
institutionnelle, pr
rez WindowsNT, l'instabilit
de Windows 95
(entr'autres pour la lecture des rushes num
s) pourrait bien vous faire
perdre un temps pr
cieux...
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maLaviedraco " La vie avec DRACO (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L a v i e a v e c D r a c o ( 3 )@{fg text}
Si on se rappelle mes d
buts difficiles, on peut bien affirmer qu'ils
sont loin maintenant, tant au niveau du DraCo que relationnellement avec
Macro System. C'est le paradis.
Macro-System r
pond
toutes mes questions tant t
phoniques
pistolaires et quant
la vie quotidienne avec le DraCo, c'est un r
plaisir. Je ne me sers presque plus de mon 2000, mon environnement est
maintenant bien
labor
et tant en PAO, qu'en images de synth
se, en dessin
ou pour
crire mes articles, le DraCo se comporte vraiment comme un Amiga,
un Amiga tr
s rapide et tr
s confortable.
Le clavier est plus avenant que le clavier Amiga, les touches sont plus
ables, la souris est si l
re et glisse comme une plume. C'est l
qu'on s'aper
oit que la souris Amiga est en effet une vieille et
norme
rate poussive. Le seul inconv
nient qui reste au DraCo est pour communiquer
avec le monde Amiga, car le lecteur n'
crit pas dans le format Amiga. Il
faut soit communiquer en disquettes PC, soit en format DraCo qui doit bien
tre pr
alablement install
sur l'Amiga de destination. Le silence est
galement le bienvenu, l'Amiga est une v
ritable turbine. Le boot est tr
rapide, ma startup-sequence, ma user-startup et mon WBStartup sont
relativement charg
s et entre le reset et la fonctionalit
totale
coulent exactement 13 secondes. Un boot r
duit (mais avec 9 partitions
et un disque dur dans le lecteur), 8 secondes. On peut donc se permettre de
"resetter"
loisir quand on a la flemme de fermer tout un tas de fen
tres
ouvertes.
Pratique aussi est l'emploi de RAD: (qui reste actif comme sur Amiga
s un reset) comme ersatz de disquette Amiga (puisqu'on ne peut pas les
crire, en cas d'installation par DMS par exemple).
Plus de probl
mes de chauffe comme sur les premi
res cartes. Les
derni
res sont absolument stables. Tout va donc pour le mieux. Examinons ce
mois-ci comme pr
vu la compatibilit
avec l'Amiga.
@{fg shine}D u n o u v e a u d a n s l a m i s e
j o u r@{fg text}
D'abord deux tuyaux qui ne sont pas marqu
s dans le mode d'emploi :
1) Le meilleur masque pour les partitions SCSI est "7ffffffe" (
changer syst
matiquement
chaque nouveau formatage de partition
l'aide
de HDToolBox.
2) Il est meilleur (contre toute attente) de laisser tous les
terminateurs sur les disques durs, afin d'
viter les
chos sur la nappe
assez longue.
Macro System a progress
dans l'
limination de bogues dans le
drapar.device (interface entre Draco et le port parall
le repr
par le
parallel.device de l'Amiga). Il y avait un probl
me de reconnaissance de
certaines imprimantes dont beaucoup d'Epson et en particulier la "Stylus
Color". Une version r
crite en janvier permettait d'acc
der un court
instant
l'imprimante, mais celle-ci se "bloquait" ensuite. Il suffisait
d'enlever un cache au choix pour que
a fonctionne sans probl
me, mais ce
tait pas sp
cialement pratique. La derni
re mouture du drapar.device
1.12 r
sout ces probl
mes. Mais cette version est une version b
ta et Macro-
System l'envoie
qui la demande, car ils sont tr
s int
s de savoir
s'il existe encore des probl
mes. Pour ma part, je n'en ai pas trouv
cisons que "Parnet" ne peut en aucun cas fonctionner avec le
drapar.device.
L'
mulation CybergraphX, qui s'appelait encore Devs:monitors/RetinaZ3 a
retravaill
e et se nomme dor
navant Devs:monitors/DraCoAltais. Elle
sout certains probl
mes, par exemple pour Directory Opus 5 qui plantait
rement. Les trois librariries l'accompagnant ont
revues et ont
pris quelques kilos (tr
s peu), la cybergraphics.library, la
cyberintuition.library et la cyberlayers.library. Voil
d'ailleurs le
calendrier officiel des derni
res r
visions:
R
vision 1: 23. Janvier 1996
R
vision 2: 29. Janvier 1996
- drapar.device V 1.8
R
vision 3: 30. Janvier 1996
- drapar.device V 1.9
R
vision 4: 08. F
vrier 1996
- CyberGraphics-Update
R
vision 5: 01. Mars 1996
- drapar.device V 1.12
@{fg shine}L e s i n c o m p a t i b l e s@{fg text}
Tout le monde le sait, les vilains programmeurs qui sous pr
texte qu'on
gagne du temps en s'adressant directement au hardware plut
t qu'au syst
(ils ont d'ailleurs raison sur ce point), contre tous les avis de Commodore
depuis le Big-Bang initial, nous ont et se sont fait du tort. Leurs
programmes ne sont pas compatibles d
s lors qu'on sort du Chip Set de
l'Amiga. Les deux qu'on peut regretter car ils sont de tr
s bons programmes
sont bien s
r DPaint et Scala. D'autres sont dans la m
me cat
gorie comme
Personal Paint (qui affiche des graphiques ou des animations, mais avec
lequel on ne peut pas travailler en cr
ation), Brilliance, ClariSSA,
ImageMaster. Il faut signaler que DPaint charge et sauve tout de m
me les
dessins; presque toutes les fonctions marchent sauf le remplissage et les
brosses. Chez Brillance ou ImageMaster, tout fonctionne sauf la
visualisation qui reste noire.
NetBSD 1.0, l'environnement Unix pour Amiga ne tourne pas, mais je
pense qu'il s'agit d'un probl
me de configuration. Il faudra essayer la
version 1.1 qui vient de sortir. En tous les cas, le test d'implantation
qui est refus
sur mon 2000 avec la mention pas assez de chip RAM, est
accept
sur le DraCo mais avec une l
re confusion entre la fast et la
chip, car il me trouve 27 Mo de chip... Lors de l'installation, le logiciel
plante.
Il est
noter
galement que pour l'instant, pas un son envoy
l'audio.device ne viendra vous titiller les tympans. Donc tous les
programmes Amiga traitant du son sont nuls et non avenus sur le DraCo. Ceci
ne concerne pas les cartes sons avec leurs logiciels. Bient
t, cet
tat de
choses devrait
tre r
, puisque l'audio.device est en train d'
crit pour recanaliser les sons vers une carte Toccata (non fournie
d'origine, rappelons-le).
@{fg shine}L e s d e m i - c o m p a t i b l e s@{fg text}
LightWave 3.5 fonctionne relativement bien en rendu, mais il est
impossible de modeler car les objets ne veulent pas
tre ent
s par la
fonction "Make". La pr
visualisation fil de fer d'animations reste
rement grise et la pr
visualisation du rendu obscur
ment noire. Pour
donner n
anmoins une id
e de la rapidit
du calcul, la sc
ne Spacefighters,
telle quelle en 24 bits, 200 images 752 x 576 sans antialiasing, est rendue
en 1 heure 25 minutes, soit une moyenne de 25 secondes par image,
sauvegarde incluse, avec un minimum de 10 secondes et un maximum de 40.
@{fg shine}Michel: LWave fonctionne sous RetinaEmu, il suffit de patcher le
modeler sur un
cran en mode "refresh".@{fg text}
Les programmes d'animations comme Main Actor ne fonctionnent pas sous
CybergraphX, mais parfaitement directement sur la carte graphique Altais.
@{fg shine}Michel: MainActor Broadcast fonctionne sous CyberGFX et une Picasso,
il doit en
tre de m
me sur Draco. A v
rifier.@{fg text}
@{fg shine}L e s s a n s p r o b l
m e@{fg text}
* Imagine fonctionne sans aucune peine si on excepte le rafra
chissement
cran, probl
me inh
rent
Imagine, qui se retrouve sur pas mal de cartes
graphiques.
* Real 3D est un r
* Pagestream3 plantait en sortie, mais ce petit d
faut est
sent
limin
. C'est un plaisir de travailler
cette vitesse.
* FinalWriter et toute la s
rie des "Final" baignent dans l'huile
d'octet. Les fichiers eps apparaissent
la vitesse de l'
clair.
* GoldEd, Cygnus Ed (bien que celui-ci n'ait pas de pr
rence d'
cran).
* Il para
t que Animage et Monument Titler fonctionnent gr
ce au nouveau
patch de ProDAD.
* Xi-Paint, ImageFX, Photogenics, TVPaint (seule la version 3.6) vont
s bien.
* Les logiciels d'impression Studio 2 et TurboPrint 4.1 : rien
redire.
* ADPro, Fred et ProControl s'entendent tr
s bien avec DraCo.
* Shape Shifter, l'
mulateur Macintosh, est un atout non-n
gligeable, car
part les applications PowerPC, tout marche tr
s bien et
une vitesse
plus qu'honorable. Les animations sur les nombreux CD-ROM livr
s avec la
presse sp
cialis
e tournent bien quelle que soit la d
finition de la
tre, c'est g
nial. Par contre, m
me apr
s le secret r
par Ren
Gert Schmidt de DeltaGraphX qu'il fallait rajouter une CIA sur la carte
Eltanin (plus pour longtemps maintenant, ce ne sera plus n
cessaire sur le
DraCo ROM 1.4), j'ai quand m
me mis six jours
ussir
le faire tourner.
Il faut dire que j'y suis arriv
sans aide aucune et que ma d
ficience au
niveau Mac y
tait pour quelque chose. A pr
sent tout va pour le mieux.
Amiga et Mac en mutit
cette vitesse, c'est g
nial. Le disquettes sont
format
es en DD ou HD Mac, les partitions, les CD-ROM, CD-Photo ou CD-Audio
sont reconnus, bref on ne s'aper
oit qu'on est sur un Amiga que lorsqu'on
appuye sur Amiga-M.
Voici pour finir @{"une liste" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Dracocompa.2c"} dont je ne peux garantir la fiabilit
absolue, car je n'ai pu tester chaque logiciel dans ses moindres recoins.
Il est toujours possible qu'un programme qui plante quelque part arrive
fonctionner en trouvant une ruse. De m
me, un logiciel semblant compatible
peut sous certaines conditions, d'une version de librairie
l'autre,
soudain ne plus rien vouloir savoir. C'est tout de m
me une bonne
indication et cela montre une tr
s grande similitude avec un Amiga. A part
Scala et DPaint, les programmes sur la liste n
gative ne sont pas des plus
importants.
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
Cette s
rie d'articles "La vie avec DraCo" continuera d
s qu'il y aura
du nouveau, s
rement bient
t car on attend f
brilement la carte VLab Motion
ciale qui doit
tre pr
e ce mois-ci au NAB. J'esp
re avoir apport
une vue plus claire sur cette merveilleuse machine qui semble avoir une
route bien trac
e parall
lement aux Amigas promis.
@{"Les" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco0.jpg"} @{"en" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco1.jpg"}@{"tr" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco2.jpg"}@{"ai" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco4.jpg"}@{"ll" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco5.jpg"}@{"es" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco6.jpg"} @{"de" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco7.jpg"} @{"la" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco8.jpg"} @{"b
" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco9.jpg"}@{"te" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicMAI/Draco10.jpg"}
@{fg shine}Jac POURTANT@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maInternet " Internet (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}W A I S
Wide Area Informations Servers@{fg text}
Si vous d
sirez recueillir gr
Internet le plus d'informations
possibles sur un sujet donn
, c'est sans nul doute WAIS qui vous le
permettra. Les concepteurs de ce service sont des experts dans le domaine
de la recherche d'informations et des bases de donn
es, qui travaillent
pour Thinking Machines, Apple Computer, Dow Jones et KPMG Peat Marwick.
Bien qu'il existe des produits commerciaux autour de WAIS, des versions
sont librement et gratuitement disponibles sur Internet (pour r
aliser ou
consulter un serveur/une base de donn
es). C'est le CDNIR (Clearinghouse
for Networked Information Discovery and Retrieval) qui se charge de
velopper ces produits (comme FreeWAIS). Le CDNIR est n
de la
collaboration entre le MCMC, la NSF (qui sont
l'origine des projets GNU)
et de l'Academic Technology in Research Triangle Park, NC, trois
institutions
activit
s non lucratives.
@{fg shine}P r i n c i p e@{fg text}
A la diff
rence des moteurs de recherche traditionnels (Archie, V
ronica,
WWW) qui s
lectionnent les documents sur leur titres, @{"WAIS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Wais.16c"} travaille en
plus sur le contenu. Le choix du ou des mots cl
s que vous donnerez en
te, est donc tr
s important. Le temps d'ex
cution
tant beaucoup plus
long, il n'est pas
tonnant de trouver des supercalculateurs comme serveurs
pour effectuer les recherches. Si un jour, vous d
sirez
pater votre
copine, dites-lui: "Veux-tu que je te montre mon CM-5 ?" et expliquez lui
que le CM-5 est un supercalculateur (512 microprocesseurs) avec une
architecture parall
le que Thinking Machines met
disposition de tous les
utilisateurs d'Internet.
Les bases de donn
es WAIS sont de natures tr
s diverses. Elles peuvent
tre des archives de Usenet (cf. Anews), FTP, WWW ou des bases de donn
de biblioth
ques, scientifiques, etc. Il existe plus de 600 bases
interrogeables par WAIS dans le monde. Une tr
s grosse majorit
sont
s gratuit et suffiront largement
vos besoins personnels.
@{fg shine}L a r e q u
t e@{fg text}
Une requ
te WAIS est faite de plusieurs choix. Le premier est celui du
ou des mots cl
s de recherche. Le deuxi
me est celui de s
lectionner une ou
plusieurs bases de donn
es que le serveur vous propose pour commencer ses
investigations. Afin d'acc
lerer le d
lai d'ex
cution, orientez votre choix
en fonction de la pertinence du nom des bases par rapport
votre recherche
ou de leur description technique (ou
faut de leur localisation).
Si aucune ne semble vous convenir, s
lectionnez celle qui s'appelle
"Directory of servers" (parfois elle porte le nom quake.think.com). Cette
base de donn
es est un peu particuli
re puisqu'elle contient la liste de
toutes les bases de donn
es WAIS disponibles dans le monde. En effet,
lorsqu'une nouvelle base voit le jour, sa naissance est d
e chez
Thinking Machines (la proc
dure se fait simplement par e-mail).
Le r
sultat de votre requ
te appara
tra sous forme de listes d'articles
accompagn
s du nom de la base de donn
ils se trouvent, d'un
descriptif de leur contenu, et d'un indice de pertinence entre ce que vous
cherchez et de leur qualit
par rapport
ce crit
re. L'indice varie entre
0 et 1000, plus il est
plus il correspond
votre objectif.
@{fg shine}L a r e c h e r c h e p e r t i n e n t e@{fg text}
Deux options s'offrent
vous apr
s avoir lanc
votre premi
te: soit vous estimez avoir trouv
ce que vous cherchiez et vous
lectionnez les articles que vous voulez pour obtenir une copie, soit vous
continuez en affinant les crit
res. WAIS fait ce qu'on appelle de la
recherche pertinente. Le principe est le suivant: dans la liste des
articles, vous s
lectionnez ceux qui se rapprochent le plus de vos
objectifs, puis vous relancez la recherche. Le serveur va r
rer son
travail sachant en plus que vous voulez des articles du m
me type que ceux
s. Cette op
ration est renouvelable autant de fois que vous le
sirez.
@{fg shine}A c c
d e r
u n s e r v e u r W A I S@{fg text}
Il existe plusieurs fa
ons de se connecter
un serveur WAIS.
* en mode telnet (comme si vous
tiez sur le serveur)
* avec une passerelle (World Wide Web ou Gopher) , l'interface ne
cessite aucune comp
tence particuli
re pour
tre utilis
* en utilisant un serveur de mail sp
cifique qui va interroger le serveur
WAIS en fonction des ordres que vous lui aurez donn
s. Une solution longue
mais parfois salvatrice.
* en utilisant un client graphique ou texte install
sur votre machine.
(la meilleure solution, surtout si vous utilisez WAIS souvent). A ce jour,
il n'en existe pas pour Amiga. Lequel d'entre vous se met au travail?
cises car la politique de MacroSystem est de ne pas
favoriser les sp
culations gratuites, et tant qu'un produit n'est pas
commercialisable, il peut encore
voluer. Mais finalement, beaucoup de
nouvelles quand m
@{fg shine}L o g i c i e l l e m e n t p a r l a n t@{fg text}
Une nouvelle version de CybergraphX pour DraCo est livr
e sur disquette
tous les clients enregistr
s qui en font la demande. Cette version
devrait
tre compatible avec DirOpus 5.0.
La nouvelle version de Xi-Paint (4.0) n'est pas encore officiellement
sur le march
, mais on en sera avertis.
A propos du CD-ROM livr
avec le DraCo, celui-ci est constamment mis
jour. Il n'y aura pas cependant, de nouveau CD-ROM, les mises
niveau se
feront toujours par disquette.
Une version 1.6 d'ADPro
crite par Macro-System va bient
t arriver. Sa
documentation
crite comme d'ailleurs les docs en tout genre
propos du
DraCo, sera alors disponible.
Les programmeurs n'ont toujours pas termin
la programmation de
l'audio.device, mais celui-ci relayera toutes les requ
tes audio
la carte
Toccata. Ceci n'
tait pas pr
vu mais je trouve l'option int
ressante et
inesp
La version actuelle du syst
me est toujours 1.3, mais
volutive, au
mois de juin devrait arriver une version 1.4.
Les r
sultats de performances DraCo du test du mois dernier qui font
tre figure le doivent au fait qu'aucun programnme de tests n'est con
pour tirer profit des caches du 68060. Aucun r
sultat objectif ne peut donc
tre tir
Une
troite collaboration avec la maison ProDAD a d
permis de
concilier Monument Designer et Animage avec le DraCo. Une adaptation
ClariSSA est en cours et devrait
tre fonctionnelle sur le prochain VLAB
Motion. La derni
re version de Movie Shop est la 3.4.
@{fg shine}A u n i v e a u d u p r o c e s s e u r@{fg text}
Jusqu'
sent, seule une CIA
tait pr
sente sur les deux emplacements
de la carte. A part Shape Shifter, cela ne g
nait pas. Il n'y aura plus
besoin de 2 CIA pour Shape Shifter sur la version 1.4.
La carte avec le processeur DEC Alpha AXP cadenc
233 MHz est bient
te. Elle fonctionnera avec une RAM sp
ciale 64 bits en deux modules
(comme sur Pentium). Son prix oscillera entre DM 3500 et 4000. Elle
fonctionnera comme un processeur math
matique et que ce soit
l'aide des
librairies ou du cross-compilateur, seules les parties de programmes qui
seront plus rapides sur alpha seront d
es vers celui-ci. Elle pourra
tre cadenc
e par la suite vraisemblablement
266 MHz. Pas de comparaison
donc avec le DEC Alpha du Raptor cadenc
, lui,
366 MHz. Celui-l
est un
processeur principal et non un coprocesseur comme celui du DraCo.
Une information comme quoi MacroSystem travaillerait
une carte
PowerPC est formellement d
mentie. MacroSystem attend que Amiga
Technologies sorte son mod
le. Alors, ils seront en mesure, au vu des
cifications finales du produit, dans un d
lai de six
huit semaines, de
fabriquer une carte absolument compatible qui viendra se substituer
Eltanin. Ainsi demeurera assur
e la compatibilit
avec la gamme Amiga et
les futurs logiciels.
Il existe plusieurs cartes Multi I/O pour Amiga. La seule qui a
e d'ailleurs sans succ
s est la BSC Multiface. Les mod
les 2 et 3 ne
fonctionnent donc pas. Au mois de mai seront test
es les cartes de chez
Vector et LinkUP de DKB/Village Tronic.
@{fg shine}D u c
d u g r a p h i s m e@{fg text}
La nouvelle carte VLAB Motion pour DraCo sera pr
Las Vegas en
avril au NAB show. La qualit
et les performances la distingueront de
l'actuelle version Amiga.
A court terme, une nouvelle carte graphique "Alta
s Plus" devrait
commercialis
la rentr
e automnale. 64 bits, plus rapide
videmment et
compatible genlock. A long terme commence la conception d'une super carte
graphique haut niveau pour les professionnels. A ne pas attendre avant
l'ann
e prochaine au plus t
@{fg shine}C h e z l e s s o n s@{fg text}
Une extension audio est pr
vue pour les acheteurs qui ne voudront pas
investir dans Toccata, mais avec moindres possibilit
s qu'avec cette
derni
Une autre carte audio est en pr
paration avec DSP, entr
es et sorties
multipistes et tr
s haut taux de transfert.
@{fg shine}P l u s g
r a l e m e n t@{fg text}
Macrosystem travaille toujours
son SetTopBox qui devrait
au "CeBIT Home" en ao
t 96.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
MacroSystem avance prudemment, sans s'en remettre
Amiga Technologies
mais parall
lement et dans une collaboration peu intense. Leur politique
semble tr
s bien adapt
la situation. Ainsi soit-il dans le futur
brumeux.
@{fg shine}Jac POURTANT@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maE " Amiga E (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a E
E et Assembleur@{fg text}
Avis aux amateurs de vitesse! Le but de l'article de ce mois-ci est de
doper vos programmes
grands coups d'assembleur. Cela passe,
malheureusement pour vous, par une explication plus th
orique que le mois-
dernier. Ne vous endormez pas!Amis d
butants, n'ayez pas peur. Cet article
ne s'adresse pas aux programmeurs chevronn
s de d
mos qui codent des
animations textur
raisons de 50 images/seconde. Non, il s'agit
simplement d'introduire dans des programmes en E quelques lignes
d'assembleur pour acc
rer vos routines.
Le cas le plus fr
quent est, bien entendu, la gestion des op
rations
titives (comme les boucles) qui ont tendance
prendre beaucoup de
temps machine. Prenons un exemple inutile, mais simple: nous avons 10
millions de multiplications
effectuer.
En AmigaE, cela donne:
@{fg shine}FOR I:=1 TO 10000000
resultat:=a*2
ENDFOR@{fg text}
En assembleur, la structure change un peu:
@{fg shine} MOVE.L #10000000,D0
label:
MULU #2,D1
DBRA D0,label@{fg text}
J'ai r
ce petit test sur ma machine (68020
28 Mhz), en
utilisant l'assembleur en ligne du compilateur E. Les r
sultats obtenus
ce au profiler fourni avec le E sont significatifs. L'ex
cution du
programme en E met 16,5 secondes, alors que si l'on adapte la routine de
multiplication en assembleur, l'ex
cution ne prend plus que 1,8 seconde. Si
je compte bien, cela fait 9,1 fois plus rapide en programmant la routine de
multiplication en assembleur que si on code enti
rement la routine en E.
Bon, c'est vrai que le test n'est pas valable parce qu'on n'utilise
qu'une seule instruction (MULU) qui n'est pas repr
sentative. Mais en r
rale, je pense qu'on peut obtenir au moins une diminution de 50% du
temps machine en mettant de l'assembleur "in line". On aurait pu optimiser
encore en utilisant un LSL (d
calage logique vers la gauche), mais dans ce
cas pr
cis, on ne gagne que 50 millisecondes.
@{fg shine}L ' u t i l i s a t i o n@{fg text}
Celle-ci est simple mais il faut quand m
me avoir quelques bases en
assembleur. Voici deux ou trois principes pr
alables
conna
Vous pouvez utiliser directement les variables du E dans la source en
assembleur que vous ins
rez. Exemple:
@{fg shine}PROC main()
DEF variable
variable:=25
MOVE.L variable,D0
/* Copie la valeur de "variable" dans le registre D0 */
ADD.L #5,D0
MOVE.L D0,variable
WriteF('Variable + 5= \\d\\n',variable)
ENDPROC@{fg text}
Ceci est aussi valable pour les constantes, mais elles doivent
es de "#".
@{fg shine}CONST CONSTANTE=23
PROC main()
DEF x
MOVE.L #CONSTANTE,D0
/*Copie la constante CONSTANTE dans le registre D0*/
ADD.L #2,D0
MOVE.L D0,x
WriteF('Constante + 2= \\d\\n',x)
ENDPROC@{fg text}
Les labels et les proc
dures sont aussi directement accessibles en
assembleur, mais elles sont relatives au compteur d'adresse ou PC-relatives
(PC=Program Counter) et doivent donc
tre utilis
es comme telles.
@{fg shine}PROC main()
LEA main(PC),A0 /* Copie l'adresse de main dans le registre
A0 */
label:
LEA label(PC),A1 /* Copie l'adresse de label dans le
registre A1 */
ENDPROC@{fg text}
En ce qui concerne les appels de fonctions des biblioth
ques, ils se
font d'une mani
re tout
fait classique. Il convient tout d'abord de
stocker l'adresse de base de la biblioth
que dans le registre A6. Ensuite,
il faut remplir les diff
rents registres dont la fonction appel
e a besoin,
et enfin faire un JSR nom_de_la_fonction.
@{fg shine}PROC main()
MOVE.L #0,A0
MOVE.L intuitionbase,A6
JSR DisplayBeep(A6)
ENDPROC@{fg text}
@{fg shine}Q u e l q u e s r
g l e s
r e s p e c t e r@{fg text}
Ces quelques conseils pour
viter les d
boires et rechercher pendant
des heures pourquoi votre superbe programme ne marche pas sont tir
s du
"beginner guide" de Jason Hulance, qui est dor
navant fourni avec la
package du E (me semble t-il).
* Tous les codes mn
moniques (DBRA, MOVE...) et les registres (D0..,
A0...) doivent imp
rativement
tre en majuscule.
* La plupart des assembleurs utilisent le ";" pour signaler que le reste
de la ligne est un commentaire. En E, vous pouvez utiliser "->" ou les
classiques "/*" et */"
* Les registres A4 et A5 sont utilis
s en interne par le E, donc il est
fortement conseill
de les
viter si vous incluez une routine en
assembleur. Mais vous pouvez utilis
les autres registres, surtout si vous
utilisez le mot-cl
"REG" en option du compilateur ou comme d
finition
(voir le manuel du E). Attention, si votre code-assembleur peut
tre appel
par du code utilisant l'option "REG", vous devez sauv
les registres D3-D7.
MOVEM.L D3-D7,-(A7); /* source en assembleur */; MOVEM.L (A7)+,D3-D7
* Des fonctions comme WriteF() affectent certains registres. Alors, lisez
la documentation du E pour v
rifier quels registres il faut utiliser!
@{fg shine}A v a n t a g e s e t i n c o n v
n i e n t s@{fg text}
Il faut bien avoir
l'esprit que l'assembleur en ligne du E ne se
substitue pas
un macro assembleur
. D'ailleurs, ce n'est pas le
but. Cependant, il est un outil vraiment tr
s pratique pour faire la
"routine qui tue", tout en profitant des facilit
s du E pour le reste du
programme. Ainsi, ne vous attendez pas
profiter de macro-commandes
directement pour l'assembleur mais le E peut palier
ce manque. La
puissance r
side en fait dans la possibilit
changer les donn
es entre
le E et l'assembleur sans avoir
se casser la t
te. Pour
tre honn
te, la
premi
re fois que j'ai utilis
le E, je n'arrivais pas
croire qu'on
puisse faire un MOVE.L pour stocker la valeur d'un registre directement
dans une variable du E!
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Le E est vraiment LE langage de l'Amiga
l'heure actuelle. Il suffit
de regarder la production du domaine public et bient
t commerciale (Il me
semble que Photogenics a
programm
en E?) pour s'en persuader. L'ajout
d'assembleur va vous ouvrir de nouveaux horizons, notamment au point de vue
de la rapidit
Mais il faut aussi savoir qu'il y a des t
ches plus faciles
aliser
en assembleur qu'en E. Si vous n'avez jamais fait d'assembleur, je vous
invite
vous y mettre en commen
ant par acheter un ouvrage de r
rence
sur le processeur MC 68000. J'attends vos r
actions par courrier
daction d'Amiga-News ou sur le E-Mail de Yann. A bient
@{fg shine}Pierre GIRARD@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maDpmois " Les DP du mois (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D o m a i n e P u b l i c
par St
phane Nicole@{fg text}
Apr
s la d
prime, C'est reparti!
s un petit moment de d
prime, Aminet est reparti de plus belle. Des
mises
jour de vos DP favoris, des news, des modules
la pelle, du
nouveau du c
d'Amiga Technologies, bref, que du bon.
@{fg shine}N o u v e l l e s v e r s i o n s d e p r i n t e m p s@{fg text}
Ce mois de Mars nous aura apport
le printemps et avec lui de nouvelles
versions de quelques-un des logiciels les plus connus de l'univers DP.
* Les amateurs de ToolManager 2.1 vont pouvoir profiter pleinement du
screen notify. En effet, d
s qu'un
cran public est ouvert ou ferm
ToolManager tente d'ouvrir ou fermer les objets qui s'y trouvent. Cette
fonction fonctionne d
sormais correctement gr
un petit patch tout neuf
distribu
sur Aminet.
* La version 3.0 du catalogueur d'image ImageDesk est disponible sur le
Net. Ses nouvelles carat
ristiques permettent le tri des images, un
placement ligne par ligne dans le catalogue, une meilleure gestion de la
moire et du buffer d'image, le support des datatypes.
* L'agr
menteur de boot SysPic 3.0 apporte de nouvelles fonctions comme
les fondus, le choix des r
solutions, une s
lection al
atoire des images
es. A utiliser avec les @{"images de Fredius Darde" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Agboot.256"} disponibles dans
l'archive AGBoot pour
pater les copains.
@{fg shine}P o u r t o u t s a v o i r s u r l ' A m i g a
Synapse 2.0@{fg text}
Voici une banque de donn
es au format AmigaGuide, en fran
ais, sur les
produits de Commodore (et bient
t d'AT). A la base, l'auteur d
sirait
offrir aux amiga
stes francophones un maximum d'informations sur leur
machine. Synapse propose maintenant un r
de l'histoire de l'Amiga et
de ses 17 mod
les ayant vu le jour.
Vous y trouverez un descriptif des composants: les processeurs
Motorola, les chips sp
cifiques Amiga (Agnus, Akiko, Amber, Bridgette,
Budgie, Buster, Denise, Gary, Gayle, Paula, Ramsey,...), leur brochage, des
mas, et la liste de toutes les versions du Kickstart.
Le 2
me chapitre d
crit l'environnement, c'est-
-dire les m
moires de
masse (disques durs, CDRom, DAT ...), les moniteurs et les types
d'affichage, le brochage des ports Zorro I, II et III, les r
seaux.
Un chapitre entier est consacr
aux principes de fonctionnement des bus
Amiga, des acc
s DMA, de l'affichage chunky/planar, des diff
rents types
d'impression, de l'organisation de la m
moire et du d
marrage du syst
Les ressources constituent le dernier chapitre : les formats de fichier
y sont pr
s (IFFs, Jpeg, PostScript entre autres), les d
butants
comprendront enfin ce qu'est une Library, un Device, Intuition ou bien
Exec.
Tous ces descriptifs sont des r
s un peu succints, on aurait pu
leur consacrer des livres entiers, ce qui n'est pas le but de synapse.
Seules les parties sp
cifiques Amiga pourraient
tre un peu plus
taill
es. Mais la derni
re partie de Synapse rel
ve un peu la sauce : la
documentation technique est tr
s compl
te. En effet, on y trouve des
indications sur l'entretien, la recherche de panne, la description des
composants, jumpers, @{"conne" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Synapse1.16c"}@{"cteurs" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Synapse2.16c"} de tous les mod
les d'Amiga!
@{fg shine}+ @{fg text}Excellente source d'information pour les bidouilleurs et les
curieux
@{fg shine}- @{fg text}Proc
dure d'installation par script mal con
Parfois un peu rapide dans les explications.
@{fg shine}Auteur@{fg text} : Jean-luc Manchon
@{fg shine}FeedBackWare@{fg text} : une lettre et des critiques constructives
feraient plaisir
l'auteur
@{fg shine}Configuration requise@{fg text} : AmigaGuide requis et OS3.0 minimum pour
profiter
des liaisons interguides et des graphismes
@{fg shine}L e D P d u m o i s !
LogicSim 1.0@{fg text}
L'apparition d'un logiciel tel que LogicSim est suffisamment
exceptionnelle pour
tre d
ment signal
e, surtout lorsqu'il semble remplir
son contrat avec brio. Comme son nom l'indique, LogicSim va faire plaisir
lectroniciens, qui sont un peu laiss
s pour compte par la logith
Amiga, puiqu'il permet la simulation de @{"circuits" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Logics1.16c"} @{"logiques" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Logics2.16c"}.
L'espace de travail est une fen
tre dimensionnable
volont
, disposant
de barres de scrolling, dans laquelle l'utilisateur va construire son
circuit. Toute l'interface utilise Intuition au travers de fen
tres
d'outils et de menus. Vous pourrez ainsi placer les circuits de base, les
connecter entre eux et observer le r
sultat au travers d'une simulation ...
... oh joie que de voir vos compteurs digitaux qui s'incr
mentoient,
vos LEDs qui s'illuminoient, vos bascules qui flip-flopoient.
Les objets disponibles sont les portes logiques (and, or, nand, xor,
nor)
2, 3 ou 5 entr
es, les bascules (RS, JK, JKMS, T et D). Pour
temporiser le tout, vous avez droit
4 types d'horloge et pour rendre vos
circuits plus vivants, des compteurs 7 segments et des feux tricolores sont
disponibles.
Une pression sur la touche Help vous donne acc
s au manuel (anglais et
allemand) au format Amigaguide. Celui-ci contient les tables de v
s des
portes logiques, les diagrammes temporels des bascules et des horloges.
La mise au point et le contr
le de vos circuits seront facilit
s par
l'utilisation des LEDs et des compteurs. De plus, une option permet une
mise en sur-brillance des fils actuellement
la valeur haute.
Il manque encore la possibilit
de cr
er des circuits complexes
utilisables et un routeur pour faire de LogicSim un v
ritable outil de
ation
lectronique. Celui-ci pourra toutefois satisfaire les
tudiants
pour se familiariser avec les petits circuits bool
ens et les bascules.
@{fg shine}+ @{fg text}Fonction UNDO et aide en ligne disponibles
tout moment.
Sauvegarde d'une image IFF
partir d'un circuit.
@{fg shine}- @{fg text}Pas de d
finition de circuits complexes.
@{fg shine}Auteur@{fg text} : Andreas Tetzl
@{fg shine}MailWare@{fg text} : juste un petit timbre
@{fg shine}Configuration requise@{fg text} : Syst
me 2.04 ou plus et 1Mo de chip
minimum.
@{fg shine}D o u c e F r a n c e . . .
France Guide 2.0b@{fg text}
Les Editions La Chaise nous gratifient ce mois-ci d'une version
e et presque termin
e de leur d
sormais c
bre base de donn
ographique. J
me Chesnot,
galement redac'chef de R.A.M. (bi-mensuel
l'Amiga) vous propose un fichier AmigaGuide agr
de zolies
cartes d'o
vous pourrez explorer @{"votre cher pays" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/France2.8c"} qui est aussi le n
tre,
soit 3,6 Mo de donn
es nationales.
L'interface hypertexte se pr
te agr
ablement
votre errance, en
proposant une approche par r
gions, @{"d
partements" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/France1.8c"} (y compris l'outre mer) ou
bien par (sous) pr
fectures, villes importantes et m
me un acc
s direct aux
codes postaux. Les renseignements fournis pour les grandes villes sont la
population, le code postal et les curiosit
s locales. Vous pourrez trouver
la liste des d
partements d'une r
gion, sa superficie, son nombre
d'habitants et sa densit
en 2 clicks de souris.
Les cartes fournies (83 au total) sont : cartes des r
gions, des
partements, des pr
fectures, des indicatifs t
phoniques (pour la
nouvelle num
rotation), les liaisons rapides SNCF, et m
me les autoroutes.
@{fg shine}+ @{fg text}Possibilit
de recherche par mot-cl
dans la base.
Acc
s rapide
l'information.
@{fg shine}- @{fg text}Base mono-fichier de plus de 700Ko (sans les cartes), les plus
pauvres
en m
moire peuvent r
-ouvrir leur encyclop
die...
@{fg shine}Auteur @{fg text} : J
me Chesnot
@{fg shine}PentioumDestroyWare@{fg text} : envoyer des pentioums
@{"J
me" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Jerome.8bt"} pour
qu'il les atomise
coups de masse.
@{fg shine}Configuration requise@{fg text} : OS 2.0 ou mieux, Amigaguide ou Multiview
et un disque dur.
@{fg shine}G e s t i o n d e f i c h i e r s
RO 1.21@{fg text}
RO est un gestionnaire de fichiers shareware
la DOpus utilisant MUI.
Sa grande configurabilit
interne combin
celle de MUI en font un
gestionnaire digne de ses a
s du commerce.
Comme de coutume, pour ce genre d'outil, la @{"fen
tre de travail" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Ro.8c"} est
divis
e en trois parties: source, destination et commandes. Les op
rations
de base sur les fichiers sont disponibles parmi les 50 commandes internes
dont dispose RO. Les listes de visualisation peuvent
tre redimensionn
et afficher au choix la liste des fichiers, les devices disponibles ou les
buffers (historique de ce qui a d
lu).
Le drag'n drop permet de copier ou de d
sarchiver des fichiers
intuitivement, de la m
me mani
re qu'un double-click provoque l'analyse du
type de fichier et invoque la commande adapt
Le @{"r
glage des pr
rences" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Ropref.8c"} du syst
me est effectu
par un programme
externe lui aussi sous MUI. Il permet d'apprendre
RO de nouveaux types de
fichiers et l'action
clencher (en g
ral lancement d'une commande).
Il permet
galement de cr
er un menu utilisateur pouvant contenir
jusqu'
20 fonctions, de pr
-selectionner des chemins dont vous avez
souvent besoin et qui seront accessibles dans la liste des buffers. 50
combinaisons de touches (HotKey) peuvent
tre programm
es pour d
clencher
les actions de votre choix et les 10 touches de fonctions peuvent
associ
des r
pertoires de vos disques durs, pour un acc
s imm
diat.
L'interface graphique est
galement configurable: vous pourrez d
finir
jusqu'
32 boutons de lecteurs et 120 boutons de commandes. Les commandes
seront les commandes internes ou bien le d
clenchement de programmes
externes
Vous pourrez ic
nifier RO alors qu'il effectue une commande un peu
longue; il vous pr
viendra par un petit flash ou se d
nifiera d
s qu'il
aura fini.
@{fg shine}+ @{fg text}Utilisation de MUI et des datatypes.
Commandes accessibles via ARexx. Configurabilit
excellente.
@{fg shine}- @{fg text}Pas de possibilit
directe d'ouverture sur un
cran personnel.
@{fg shine}Auteur @{fg text} : Olivier Rummeyer
@{fg shine}ShareWare @{fg text} : 30DM ou 20$
@{fg shine}Configuration requise@{fg text} : Syst
me 2.04 ou plus et MUI 2.3 minimum.
@{fg shine}U n W o r k b e n c h s o u s U n i x !
Urouhack 1.3@{fg text}
Et oui, mais quel patch ! Si vous
tes las des scrollbars et autres
gadgets intuition sans relief, Urouhack vous permettra d'agr
menter votre
Workbench
moindre frais,
vous le @{"look X-Windows" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Urou.8c"} des stations Unix.
Quelques essais seront toutefois n
cessaires avant d'obtenir un
sultat satisfaisant. A vous de donner
Urouhack la liste des
crans et
des couleurs
employer pour les patcher d
s leur ouverture, car les
valeurs par d
faut produisent souvent des r
sultats atroces.
En bref, un patch
utiliser
la place de Sysihack, Frameihack ou
autres options de MCP.
@{fg shine}+@{fg text} Les sources sont fournies.
@{fg shine}-@{fg text} Configuration difficile.
@{fg shine}Auteur@{fg text} : Tinic Urou
@{fg shine}FreeWare@{fg text} : et ben
a alors !
@{fg shine}Configuration requise@{fg text} : NC
@ENDNODE
@NODE maDpat " Dpat 116
119 (05-90)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D P A T
Thierry COLIN@{fg text}
Vous aurez sans doute besoin de programmes nouveaux pour affronter ce
dur mois de Mai, rempli de jours f
s et autres ponts. Au moins, pendant
ce temps l
, vous ne serez pas devant Doroth
e et ses charmants muscl
Revenons
nos moutons, je disais donc (tout au moins j'allais le dire
avant que Doroth
e ne m'interrompe) que ce mois ci vous trouverez chez vos
taillants ou chez Ramses, quatre disquettes comprenant six programmes.
Vous pourrez trouver un truc qui semble indispensable
tout programmeur
Amos, des ic
nes et autres docks, un viewer de texte, un gestionnaire de
points du championnat du monde de formule 1, un gestionnaire de fichier
la Opus4 et enfin un petit jeu. Alors gavez vous bien et profitez du soleil
tant qu'il est gratuit.
@{fg shine}D P A T 1 1 6@{fg text}
@{" Shade (DPAT 116 / 05-90)" LINK maShade}
@{fg shine}D P A T 1 1 7@{fg text}
@{" Flormemdemo (DPAT 117 / 05-90)" LINK maFlormem}
@{" RaceManager (DPAT 117 / 05-90)" LINK maRacemanager}
@{" UIKGuide v0.3 (DPAT 117 / 05-90)" LINK maUikguide}
@{fg shine}D P A T 1 1 8@{fg text}
@{" FileQuest v1.0 (DPAT 118 / 05-90)" LINK maFileqv1}
@{fg shine}D P A T 1 1 9@{fg text}
@{" IntuiExtend v1.3b (DPAT 119 / 05-90)" LINK maIntuiex}
@ENDNODE
@NODE maShade " Shade (DPAT 116 / 05-90)"
@TOC maDpat
@{fg shine}S h a d e@{fg text}
C'est un ensemble d'ic
nes, de docks et d'images "boot". En tout, je
crois qu'il y a
peu pr
s 240 fichiers graphiques. Les ic
nes sont de type
MagicWorkbench
ceci pr
s qu'elles utilisent 32 couleurs, elles sont donc
des WorkBenchs en 64 ou 256 couleurs. C'est sympa de vouloir
mettre de la gaiet
dans MagicWB mais moi mon 1200 a tendance
ramer
lourdement si je lui impose une telle r
solution... (je sais G
rard Cornu
me dirait de sauter le pas et de courir acheter une carte 68060...). Donc
si vous
tes adeptes de MagigWB, et que vous avez au moins un 68030...
@{"ceci est pour vous" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicMAI/Shade.256"}
. Quant aux images de Boot, il vous faudra imp
rativement un convertisseur
pour le format PNG, on peut le regretter surtout que cette avalanche de
fichiers est distribu
e sous forme compact
e (avec lha). Ceci reste
anmoins une distribution tr
s sympathique, m
me si moi j'aime bien
l'uniformit
(toute relative) de NewIcons.
Auteur: @{fg shine}Olivier Laviale@{fg text}
@ENDNODE
@NODE maFlormem " Flormemdemo (DPAT 117 / 05-90)"
@TOC maDpat
@{fg shine}F l o r m e m d e m o@{fg text}
Version d
mo (vous auriez pu vous en douter) d'un jeu programm
en Amos
anmoins bien r
, moi j'ai
crit n
anmoins ?). Il appartient
famille des Simons, vous savez l'ordinateur ex
cute une s
quence de couleur
et pis vous devez la r
ter. Ben l
, c'est pareil sauf que ce ne sont pas
des couleurs mais des fleurs qui sont dispos
es par deux petits lasers sur
une immense grille (vraiment immense la grille) et
vous de refaire la
quence. Ce jeu est r
de fa
on quasi irr
prochable, (pour de l'Amos
c'est
noter, non, je n'ai pas de parti pris, regardez le nombre de
programmes Amos qui sont pass
s dans les DPAT...), la pr
sentation, les
graphismes, les bruitages et la zizique sont sympathiques et de bonne
qualit
. Bon ce n'est peut
tre pas le jeu du si
cle, mais si vous avez
ussi
chiffrer mon ersatz d'explication et que ce type de jeu est
leur SCSI-2 DKB RapidFire pour Amiga 2000, 3000, 4000: @{fg shine}1190 FF@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juEmplant " Emplant (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}E m p l a n t n o u v e l l e m o u t u r e
MAC Emulation Professionnal@{fg text}
Depuis l'arriv
e de ShapeShifter, Utilities Unlimited semble s'
veill
et nous propose une nouvelle version de son
mulateur MAC:
L'Emplant MAC Professionnal.
Cette nouvelle version se pr
sente sous forme d'un module optionnel
pour tous les mod
les de cartes Emplant. Elle comprend un petit composant
remplacer sur la carte ainsi qu'une disquette, mais pas de mise
jour de
la documentation.
Voici les configurations qui ont servi pour ce test: deux A4000
de 50 et 66 Mo, Cyberstom60, SCSI2, PicassoII, Cybervision64, Emplant
Deluxe et Basic, ainsi qu'un A4000/040 16 Mo avec Cybervision et Oktagon.
Je ne reviendrai pas sur les caract
ristiques de L'Emplant Mac
"classique" la derni
re version
tant la 5.5 (compatible 68060 et
Cybervision) mais je vous pr
senterai ici les nouveaut
s du Mac Emulation
Pro v1.3 (que je nommerai d
sormais MEP). Attention la MMU est d
sormais
Indispensable.
@{fg shine}L e s a m
l i o r a t i o n s@{fg text}
MEP poss
de enfin une v
ritable interface syst
me avec requesters ASL
qui ouvre une fen
tre sous Workbench, les possesseurs de l'ancienne version
ne seront pas d
s car la pr
sentation est presque identique, pour les
autres, une aide est disponible d
s que l'on passe le pointeur de la souris
sur un gadget.
MEP propose pas moins de 56 drivers vid
o optimis
s pour 4 syst
graphiques (ECS, AGA, EGS, CyberGraphX) et pour 9 cartes graphiques
rentes. Le driver CyberGraphX supporte maintenant tous les modes
graphiques du monochrome au 24bits et du 512x384 jusqu'au 1600x1200.
Il est indispensable de cr
er ces r
solutions du c
Amiga avec CVMode
pour quelles soient pr
sentes, le tableau de bord "moniteur" c
Mac.
Il existe aussi un driver Cybervision sp
cifique qui est plus rapide car il
de directement
la carte.
En s
lectionnant plusieurs fois le m
me driver on peut disposer
crans multiples de r
solutions diff
rentes avec le Mac. Si cette option
ne pose aucun probl
me avec la Picasso, elle ne semble pas marcher
correctement avec la CyberVision.
La diff
rence de vitesse se fait imm
diatement ressentir sur les acc
disques, les rafra
chissements graphiques mais aussi un peu sur le CPU, le
gain moyen de vitesse est d'environ 15%.
@{fg shine}L ' a f f i c h a g e@{fg text}
Photoshop 3.0 est vraiment rapide en 1024x768x24bit avec le 68060 et la
Cybervision, la vitesse reste correcte avec la Picasso mais il est
rable de passer en 16bits. Photoshop marche bien aussi avec le
4000/040 mais Word 6 devient pratiquement inutilisable tellement la version
Mac de ce logiciel est mal optimis
Les ic
nes chargent plus vite avec un contr
leur SCSI2 CyberStorm que
sur un PowerMac 7500, idem avec le 4000/40 + Oktagon compar
un Power Mac
6200.
MEP supporte toutes les ROMs Mac sauf celles des PowerMAC et des Mac
s de contr
leurs IDE et il accepte aussi la ROM sauv
e par l'outil
fourni avec ShapeShifter. Il m'a
impossible de faire d
marrer le Mac
avec la carte Basic et la ROM 1Mo, seule la ROM 256k de MacII a fonctionn
La m
moire virtuelle est g
e et s'utilise comme sur un v
ritable Mac
condition de poss
der une ROM 1Mo de Quadra ou de Performa. La m
moire
virtuelle ne fonctionne plus avec le 68060, l'OS Mac n'
tant pas pr
vu pour
ce processeur et Utilities Unlimited n'a pas l'intention d'arranger cela
pour l'instant.
L'OS Macintosh est partiellement patcher au d
marrage pour un meilleur
support du multit
che avec l'Amiga.
ce au CyberGraphX il est possible d'utiliser deux moniteurs connect
s au
me Amiga, l'un avec L'AGA l'autre CyberGraphX.
Je peux lancer DoomII (qui tourne tr
s bien) sur un moniteur et, sur
l'autre, DeluxePaint ou une animation Amiga avec peu de ralentissements. Je
de mon 4000 depuis plus de 3 ans et il m'
pate encore.
@{fg shine}C o m p a t i b i l i t
e t m u l t i t
c h e@{fg text}
La compatibilit
est parfaite. Depuis plus d'un mois d'utilisation je
n'ai eu aucun plantage malgr
une utilisation multit
che pouss
e. J'ai m
pouss
le vice jusqu'
lancer un calcul dans LightWave et des rendus de
filtres dans Photoshop pendant l'
criture de cet article dans FinalCopy.
EmpCD n'est plus n
cessaire, une gestion des devices (SCSI ou IDE) est
disponible pour les CDRom qui ne sont pas connect
s au contr
leur SCSI de
l'Emplant. Malheureusement cette option n'existe pas pour les SyQuest, EZ,
ou Zip.
Il est alors indispensable de poss
der CrossMac sinon il vous faudra
placer votre SyQuest de votre contr
leur SCSI vers celui ce l'Emplant.
Les cartes Ethernet sont d
sormais utilisables du c
Mac, mais je
n'ai pas eu l'occasion d'en faire le test.
Les files transferts ont
es avec l'ajout des filtres (.ilbm
.info etc...) et dans une future version gr
ce aux filetypes param
trables,
un peu
la mani
re de DirectoryOpus.
@{fg shine}L e f u t u r@{fg text}
Dans une future version, il sera possible de partager les lecteurs de
disquette et le son entre l'Amiga et le Mac et aussi il ne sera plus
cessaire de red
marrer le Mac pour changer de r
solution.
Jim Drew nous pr
pare une version de l'Emplant pour 1200 et CD32 + SX-1
(avec support de l'Aikiko), mais aussi un adaptateur nomm
Media qui
permettra d'utiliser les lecteurs de disquettes PC HD 1,44 et 2,88 sur
Amiga, ainsi qu'une nouvelle carte ZorroII avec contr
leur floppy PC,
interface IDE, deux ports s
ries et un port parall
@{fg shine}P o u r e t c o n t r e p a r r a p p o r t
S h a p e S h
i f t e r
POUR:@{fg text}
Les files transferts qui permettent l'acc
s aux fichiers Amiga du c
Mac.
La vitesse graphique qui est bien plus rapide que SS en AGA, 16 et 24 bits.
Le changement de profondeur d'
cran
la vol
Le nombre de partitions illimit
La gestion des priorit
s de t
ches.
@{fg shine}CONTRE:@{fg text}
Malgr
une optimisation sur cette nouvelle version, les acc
s disques sont
plus rapides sous SS.
Les performances en affichage plus faibles de ShapeShifter cit
es ci-dessus
s'effacent d
s que l'on conna
t son prix
L'impossibilit
de g
rer directement les devices SCSI Amiga comme SS.
@{fg shine}Michel:@{fg text} le contr
leur d'Emplant
tant quatre fois moins rapide
qu'un SCSI2 (WarpEngine ou Cyber060), il est impossible d'effectuer un
gravage de CDRom sup
rieur au double vitesse. De plus, si vous installez un
disque dur natif MAC, le d
marrage et les transferts de fichiers seront
beaucoup plus lents, voire p
nibles. De mon point de vue, le gros d
fau de
Emplant est qu'il n'a pas de gestion de SCSI direct de type ShapeShifter,
pas de DD natif Mac sur les cont
leurs Amiga, dommage pour la rapidit
des
s disque, tr
s importante sur Mac.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Pour conclure je dirai qu'il est indispensable de r
aliser cette mise
jour pour les personnes poss
dant une carte Emplant, ainsi que pour les
personnes qui, comme moi, travaillent professionnellement avec un Amiga et
un (faux) Mac. Et puis l'Amiga est encore le meilleur moyen pour genlocker
un Macintosh.
L'investissement carte Emplant Deluxe + Module Mac pro (environ 2800 F)
n'est pas rentable pour une utilisation occasionelle. Pour des applications
comme ClarisWorks ou Netscape, SS suffit amplement.
Info de derni
re minute: MacPPP raccroche le modem apr
s une minute de
connection alors qu'il marche bien avec SS, j'ai le m
me probl
me avec
SLIPCall sur Amiga. Je ne sais pas qui est le fautif: MacPPP, Mac Pro, le
modem ou moi.
@{"Ecrans" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Principal.16c"} @{"de" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Confmem.16c"} @{"confi" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Filet.16c"}@{"gura" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Partdisk.16c"}@{"tion" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Prefgfx.16c"}
@{fg shine}Adam CARRANO
adamca@pacwan.mm-soft.fr@{fg text}
Disponible chez : @{fg shine}BlitterSoft (GB)@{fg text}
Prix : @{fg shine}35
plus frais de port@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juBlitzB " Blitz Basic 2.1f (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}B L I T Z B A S I C 2 . 1
Enfin, la version fran
aise@{fg text}
Avant, pour programmer sur Amiga, on avait deux choix: les langages
dits "pros" type assembleur ou C qui
taient difficilement abordables pour
des d
butants
cause du manque de documentation en fran
ais ou du prix, ou
les langages basics comme l'Amos (pour ne citer que le plus c
bre d'entre
eux) qui
taient tr
s puissants pour cr
er des jeux sur A500, mais qui se
limitaient
cela. Puis, en 1993, est arriv
le Blitz Basic 2 qui semblait
tre la solution id
ale: support d'intuition total, acc
s direct au hard
pour les jeux et d
mos...
Cependant sa commercialisation en France fut frein
e par les d
boires
de Commodore et surtout par l'absence totale de francisation. C'est en 1996
que le Blitz fait son grand retour par le biais d'une nouvelle version et
d'un manuel en fran
ais. Voyons un peu ce qu'il en est...
Moyennant 450 FF port compris, vous recevrez une @{"belle bo
te" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Blitz.256"} contenant
trois disquettes, une carte d'enregistrement et un classeur au format A5,
qui renferme la pr
cieuse documentation en FRANCAIS! Notez que vous pourrez
apercevoir dans la publicit
d'Orion Diffusion quelques exemples
d'aplications cr
es avec le Blitz Basic: Worms, Gloom Deluxe...
L'installation des disquettes sur disque dur se fait enti
rement
la main,
c'est un peu laborieux. Pourquoi donc ne pas avoir choisi l'Installeur de
Commodore? Soi disant pour des questions de place sur les disquettes. A
propos, la disquette 1 contient l'ancienne version du Blitz 2: la 1.9.
Pour voir les nouveaut
s apport
es par la version 2.1, il conviendra de
compacter les archives Lha de la disquette Extras (la commande Lha n'est
pas fournie, c'est
vous de vous d
brouiller pour l'obtenir). Les
nouveaut
s, justement, quelles sont-elles? Et bien, il s'agit d'un nouvel
diteur, @{"Ted" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Ted.4c"}, qui a
remis
jour aux couleurs d'intuition et tout un
tas de nouvelles biblioth
ques qui rendront votre Blitz encore plus
puissants qu'avant... Passons donc
la description de tout cela.
@{fg shine}A u l a n c e m e n t@{fg text}
Vous aurez le choix entre deux ic
nes: Ted et Blitz2. La diff
rence
consiste dans le fait qu'en cliquant sur Blitz2, vous pourrez
diter vos
programmes, les compiler et
ventuellement les rendre ex
cutables.
Ted est l'
diteur, un point c'est tout! C'est un
diteur sp
cialement
u pour le Blitz2,
savoir qu'il fera automatiquement la diff
rence
entre une commande Blitz et le reste. Ceci se manifestera @{"
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Blitz2.4c"} par un
changement de couleur du mot cl
. Mais le plus important est l
: il y a
une aide en ligne tr
s efficace. En pointant sur un mot cl
et en appuyant
sur "Help", vous aurez la syntaxe exacte de la commande avec les arguments
qu'elle retourne ou n
cessite...
C'est tr
s pratique vu le nombre de commandes du Blitz. Seulement, tout
n'est pas parfait: l'
diteur a quelquefois des bogues au niveau de la
reconnaissance des mots cl
et certains points comme les raccourcis
claviers sont mal con
us. Bon, ce coup-ci, on arrive
la partie code
proprement dite du Blitz Basic2. A partir de l'
diteur du Blitz2, vous
pourrez en plus appeler le compilateur: celui-ci compilera (Non?) votre
programme, lancera @{"le d
boggeur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Debug.4c"} run-time (assez bien con
u) et pour finir
cutera votre programme. Mais comme un bon exemple vaut mieux qu'un long
discours, tapez donc ce programme tellement simple, mais tellement
ressant(!):
@{fg shine}Print "Hello, World!"; oui, je sais, c'est classique!@{fg text}
Mousewait; commande indiquant au programme qu'il attende un clic de
souris pour continuer
@{fg shine}C o m p i l a t i o n@{fg text}
Puis compilez ce programme (moins de deux secondes). Vous verrez alors
s'ouvrir sous vos yeux
bahis une belle fen
tre de sortie comportant la
phrase ci-dessus, et ensuite le superbe
cran du d
boggeur... J'ai
simplement oubli
de taper la commande "End" pour que le compilateur
comprenne que le programmme est termin
s le clic sur la souris.
Vous d
sirez certainement en savoir plus: et bien, dans ce cas,
reportez-vous aux rubriques des diff
rents magazines Amiga (pourquoi pas
ANews?) ou alors
un des organismes de soutien et de promotion du Blitz 2.
Car j'ai oubli
de vous dire que celui-ci b
ficie d'un soutien de la part
de ses dynamiques auteurs et de ses utilisateurs tr
s importants.
Vous trouverez par exemple plusieurs adresses EMail pour contacter les
auteurs, un Newsgroup Internet sp
cialement consacr
au Blitz, des clubs et
surtout le fanzine sur disquette Blitz User Magazine (BUM)
par Acid
Software qui contient sources, librairies additionnelles, trucs et
astuces... Je ne vous ai pas pr
, mais tout ceci est bien
videmment
dans la langue de Shakespeare (NB: comme dans tout autre langage de
programmation d'ailleurs, il est indispensable de ma
triser l'anglais d
qu'on d
sire aller un peu plus loin). Mais justement, voyons donc ce qu'il
en est de ce fameux et indispensable manuel fran
ais.
@{fg shine}L a d o c u m e n t a t i o n@{fg text}
La documentation en fran
ais est un grand plus pour ce type de
logiciel: vous y trouverez au d
but une initiation de niveau progressif,
puis des sujets avanc
s et enfin, la description de la plupart des
commandes class
es par chapitre (Sprites, intuition, gadgets,
gadtoolbox...). H
las, mille fois h
las, la documentation est loin d'
parfaite: quelques erreurs se sont gliss
es (comme par exemple dans les
programmes pour d
butants), des manques importants sont
signaler (comme
la description des biblioth
ques de commandes additionnelles qui sont
pourtant fournies avec le Blitz!) et surtout un manque d'informations sur
la mani
re de programmer correctement. Tr
s peu de sources sont fournis
dans le manuel et on doit donc se d
brouiller tout seul! Mais d'un autre
, c'est un bon apprentissage pour le programmeur (NB: rassurez-vous
tout de m
me, il y a une disquette pleine
craquer d'exemples en tous
genres)... Je dirai donc que cette documentation en fran
ais est in
vitable
et en tout cas bienvenue: elle permettra d'acc
der pleinement aux
ressources du Blitz et constitue une v
ritable bible tant la liste des
commandes est longue. Si j'ai
un peu s
re avec elle, c'est qu'il m'a
fallu pas mal de temps pour d
couvrir certaines choses. N
anmoins, cette
initiative est la bienvenue de la part d'Orion Diffusion qui a d
fournir
un travail consid
rable pour arriver
ce r
sultat, largement suffisant
pour d
buter en Blitz.
@{fg shine}A q u i s ' a d r e s s e l e B l i t z B a s i c ?@{fg text}
Cruelle question. Comme annnonc
au d
but de cet article, le principal
concurrent du Blitz, l'Amos, est encore tr
s utilis
pour faire des jeux
me si la tendance est justement au passage vers le Blitz. Quant
eux,
les langages types C sont r
une
lite (tant par le prix des
compilateurs que par la facilit
d'apprentissage) et permettent de faire
des utilitaires. Et bien, le Blitz Basic 2 peut faire tout cela
la fois!
Il vous permettra en effet de programmer le player de vos r
ves sous
intuition ou bien l'utilitaire de la mort-qui-tue, le jeu qui utilisera les
ressources Hardware de l'Amiga (Passage dans le mode Blitz qui oublie le
respect du syst
me), tout cela dans une vitesse effarante qui enterrera
compl
tement l'Amos!
Vous aurez totalement acc
s aux modes AGA sur les Amiga 1200 et 4000
contrairement au pr
dent langage. A vous les joies du Dual-Playfield et
du double buffering pour rendre vos jeux plus rapides que sur un pentium
! Ah, j'allais oublier un point tr
s important pour les f
rus de
vitesse: l'int
gration totale de l'assembleur. Il vous sera en effet
possible d'inclure votre code 68000 dans votre listing Blitz pour atteindre
cette fois r
ellement la vitesse de l'
clair! Ce point l
satisfera les
demomakers, s'ils n'
taient pas (encore!) convaincus.
Du point de vue syst
me, tout est fourni pour vous d
brouiller
correctement. Pas besoin d'acheter des programmes suppl
mentaires et un
compilateur
part comme avec un certain langage dont je tairai le nom.
Voici en vrac quelques exemples de gestion du syst
me Amiga par le Blitz:
crans et fen
tres intuition, les menus d
roulants, les gadgets, la
librairie Gadtools, la librairie ASL pour les appels syst
mes, gestion et
contr
le Arexx, gestion du port s
rie... La liste est trop longe pour tenir
en entier ici et est constamment en
volution par les fr
quentes mises-
jour et les biblioth
ques DPs qui viennent enrichir le Blitz. Le point fort
de l'utilisation du Blitz pour cr
er des outils syst
mes est bien
videmment sa facilit
: la syntaxe du basic est des plus explicites et une
simple ligne vous suffira pour faire ce qui aurait n
une page de
code aurait
cessaire en C ou pire, en assembleur. Par exemple,
l'instruction Screen suivie de ses nombreux arguments vous ouvrira un bel
cran intuition. Bref, le Blitz s'adresse donc
toute personne d
sirant
prgrammer sur Amiga, quelque soit son domaine de pr
dilection.
@{fg shine}Ce que j'ai aim
:@{fg text}
1. La puissance du langage, aussi bien pour les ressources syst
mes que
hardware.
2. Le prix qui est vraiment abordable (420F) par rapport aux autres
langages.
3. La documentation en fran
ais qui vous sera indispensable pour commencer.
@{fg shine}Ce que je n'ai pas aim
:@{fg text}
1. Les quelques manques et imperfections du manuel.
2. L'
diteur Ted dont l'ergonomie est encore
travailler
3. Franchement, c'est tout!
@{fg shine}Configuration du test:@{fg text}
A1200 + 4 Mo Fast, DD interne 635 Mo, Overdrive 170 Mo, Lecteur CD ATAPI.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Le Blitz Basic 2 remplit donc totalement son r
savoir de langage
facile d'apprentissage, permettant d'acc
toutes les ressources du
me ou du hardware de l'Amiga, et plus rapide que l'
clair! La
documentation fran
aise est sans aucun doute une r
ussite et un grand
"plus" pour la commercialisation du Blitz en France, m
me si elle souffre
de quelques impr
cisions et manques. Si vous voulez vous lancer dans la
programmation, n'h
sitez pas, le Blitz est fait pour vous.
@{fg shine}Mathieu CHENEBIT@{fg text}
Disponible chez : @{fg shine}Orion diffusion@{fg text}
Prix : @{fg shine}450F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juAsimCDFS35 " AsimCDFS v3.5f (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A S I M C D F S 3 . 5
Une nouvelle mouture int
ressante...@{fg text}
Suite
l'article d' Eric Porcher dans le num
ro 83, certains acheteurs
d'AsimCDFS se seront aper
us que le support de CDROM
la norme ATAPI
tait pas int
. La principale et nouvelle option de cette mise
jour
et le support de ces CDROM.
L'@{"instal" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Install1.16c"}@{"lation" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Install2.16c"}, la @{"config" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Asimpref.16c"}@{"uration" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Asimdc.16c"} sont identiques
la version 3.0.
Toute carte SCSI (hormis les anc
tres: A2090 et A2090A!) est normalement
compatible. De m
me, un CDROM au standartd ATAPI-IDE connect
sur le
contr
leur d'un A4000 ou d'un 1200 est reconnu.
@{fg shine}C o n f i g u r a t i o n d e t e s t@{fg text}
La plateforme est A4000 '40 WB 3.1 ROM 3.0, carte SCSI Oktagon (rev
6.10) CDROM SONY CDU 55S X2 , CDROM ATAPI-IDE Goldstar X4 (un CDROM au
standard PC, merci Michel) et ce m
me CDROM ATAPI a
test
sur un Amiga
1200 standard: WB 3.0 ROM 3.0.
La reconnaissance du CDROM ATAPI se fait gr
un nouveau device:
asim_atapi.device et le choix est direct - voir figure. A noter, si vous
enlevez un CDROM ATAPI, veillez
enlever l'ic
ne correspondante dans
DEVS:Dosdrivers sinon l'attente au boot sera rallong
e d'une minute!
@{fg shine}L ' u t i l i s a t i o n @{fg text}
Pour tous les logiciels, l'acc
s est transparent. Cette version m'a
l'air toujours aussi stable que la pr
cedente, qui d'ailleurs ne m'a jamais
de probl
@{fg shine}Q u e l q u e s t e s t s d e v i t e s s e@{fg text}
D
bit en lecture (SCSI) sur le CDU 55S X2: 309 Ko/s
D
bit en lecture (IDE) sur le Goldstar X4: 603 Ko/s
J'ai essay
criture mais cela ne marche pas encore :-)
Ces tests ont
effectu
s sur le 4000 '040 en copie sous workbench avec
un chronom
tre. La seule chose qui vous arr
te maintenant pour avoir un
lecteur CDROM IDE est le prix...
@{fg shine}L e s a u t r e s p l u s@{fg text}
Une nouvelle version de diskchanger permettant d'ouvrir et de fermer
(pour les CDROM SANS CADIE) la porte.
Le support de nouveaux CDROM Pioner, Hitachi, Toshiba, Panasonic et
Sanio, ainsi que le support complet du Nakamichi MBR-7 (changeur de disques
7 CDs). Bien s
r, cette version corrige (selon la doc) de nombreux bugs,
et, le plus important, elle est localis
e en fran
ais.
Les personnes poss
dant d
une version 3.0 peuvent r
rer cette
mise
jour, via la BBS de AsimWare ou sur ftp.asimware.com.
@{fg shine}L e s m o i n s@{fg text}
Quelques petits d
tails n'ont pas chang
: il faut toujours r
installer
le logiciel pour ajouter un lecteur de CDROM.
Quand on essaye d'utiliser AsimTunes (le player de Compac int
) avec
une liste de CD audio importante (30) l'initialisation est un peu longue:
15 secondes avec 5 CD de dix titres.
Attention, pour les douteux de l'installation, seule l'installation en
mode novice fonctionne, cela est indiqu
dans la documentation...
Hormis ces quelques points de d
tails, une mise
jour int
ressante du
meilleur gestionnaire de CDROM.
@{fg shine}Michel:@{fg text} Il serait int
ressant de rajouter la gestion des
multivolumes, de pouvoir mounter par exemple, trois, quatre ou cinq volume
sur un CD. Option int
ressante pour les sauvegarde. De plus, les interfaces
commencent
tre, au niveau du "look", un peu vieillottes.
@{fg shine}Pascal RIELLAND@{fg text}
Disponible chez : @{fg shine}F.D.S@{fg text}
Prix : @{fg shine}490F@{fg text}
@{fg shine}La mise
jour de version 3.0 se trouve sur le BBS de AsimWare
ou sur ftp.asimware.com.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juAuraillu " Aural Illusion v2.0 (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M o d i f i e z e t c r
e z v o s s o n s
Aural Illusion 2.0@{fg text}
Blachford Technology, auteur d'Aural Synthetica (ANews n
89), nous
offre une nouvelle version de son logiciel de traitement de sons: Aural
Illusion v2.0 (AIv2.0). Pour ceux qui ne connaissent pas les versions
dentes, il s'agit d'un logiciel sp
cialis
dans le traitement des
sons. Pas de gestion de digitaliseur, donc pas de digitalisation ni
d'effets en temps r
Il faut un syst
me 2.04 (minimum) et 2Mo de m
moire pour pouvoir
utiliser AIv2.0 (de la m
moire Fast est conseill
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Pas de "package" inutile: la disquette contenant le programme est
fournie dans une pochette plastique accompagn
e d'une feuille expliquant
comment installer, d
marrer et, de fa
on sommaire, utiliser AIv2.0. Sur la
disquette en plus du programme (qui s'installe par simple copie), on trouve
un guide d
taill
du logiciel (67Ko en anglais) au format amigaguide et 8
chantillons au format Saff (format 16 Bit des auteurs).
@{fg shine}I n t e r f a c e@{fg text}
L'@{"
cran de travail" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Aural.16c"} est compos
de 3 fen
tres de taille et de position
invariable: 2 fen
tres de visualisation d'
chantillon et le panneau de
commande. Ce dernier pr
sente les commandes classiques d'
coute, de zoom,
de visualisation de la s
lection, plus des boutons permettant la copie et
l'acc
trois menus (Effects, Manips, Sunth). Les deux fen
tres
chantillons permettent de travailler sur deux
chantillons mono diff
rents
ou un
chantillon st
@{fg shine}M o d e d e t r a v a i l , f o r m a t s t o l
s@{fg text}
AI stocke l'
chantillon charg
en m
moire au format 16 bits, m
me si
chantillon source est 8 bits, et effectue toutes les modifications en 32
bits, ce qui permet une grande pr
cision de calcul et une meilleure
qualit
du r
sultat. Le son perd, gr
cette conversion, tr
s peu/ou pas
de qualit
au cours des modifications successives.
AI est un logiciel ouvert puisqu'il accepte les formats: IFF (8bits
Amiga), AIFF (16bits Amiga et Mac), AVR (16 bits Atari et Clarity 16), SAFF
(format 16 bits des auteurs du logiciel), WAVE (16 et 8 bits PC windows),
VOC (16 et 8 bits PC Soundblaster) et RAW (8 bits Amiga et PC, 16 bits et
16 LSB). Ces formats sont accessibles en lecture et
criture, gr
menu d
roulant. Sur la fen
tre de travail, deux boutons permettent de
charger directement un son IFF.
@{fg shine}U t i l i s a t i o n g l o b a l e@{fg text}
Comme je l'ai signal
plus haut, deux fen
tres de taille invariable
permettent de travailler sur deux
chantillons mono ou un st
o. Les
effets sont appliqu
chacune de mani
re ind
pendante. D
s le d
marrage
du logiciel, les fen
tres qui correspondent
deux tampons m
moire prennent
une taille maximum, en fonction de la m
moire disponible. Selon sa taille,
chantillon charg
ne repr
sentera qu'une portion de la fen
tre: sur ma
config (6Mo de Ram), je dispose d'office de 2 buffers de 500Ko. Si je
charge un
chantillon de 600 Ko, on pourrait s'attendre
une r
duction du
deuxi
me buffer
400Ko pour permettre le chargement complet de
chantillon sur le premier. Il n'en est rien, l'
chantillon est coup
500Ko ! Le logiciel manque d'options de configuration de d
marrage du
logiciel (taille des buffers, format d'
cran,...).
La pr
sentation est n
anmoins pratique car on voit en permanence les
deux
chantillons. Dommage que l'on ne puisse pas en charger plus comme
sur DSS. Au chargement, AI ne tient pas compte de la fr
quence de
chantillon. L'avantage est que la fr
quence reste fixe malgr
les
chargements successifs. L'inconvenient est qu'il faut au d
part effectuer
glage pour
couter l'
chantillon
sa v
ritable fr
quence. Les boutons
permettant la copie (3 diff
rents) sont particuliiers. Par exemple, le
bouton "Copy over": activ
une premi
re fois, il copie la s
lection
(range), et la seconde fois, il colle (paste) au point indiqu
. Donc,
option copier coller dans un m
me bouton. Dangereux, car si on ne sait plus
on en est (copier ou coller) on risque l'accident. On dispose ainsi de
tris modes de copie diff
rents.
AI pr
sente certains petits d
fauts. Mais heureusement, il pr
sente de
nombreux int
ts faisant oublier certaines anomalies. Le logiciel est
annonc
comme un outil de traitement de son, et cette partie s'av
re tr
riche.
@{fg shine}U n e v
r i t a b l e b o
t e
o u t i l s@{fg text}
* Le menu Effects donne acc
30 effets. On retrouve une partie des
effets pr
sents dans des logiciels tels que M
galosound: Reverb, Echo,
Phaser, Chorus, Delay, Flange, mais dans tous les cas, le param
trage est
ici plus pr
cis, avec des r
glages de : decay, delay, deph, passes et
lection du mode add/substract. On trouve d'autres effets moins
surtout le fichier final toto.dvi contenant votre texte.
Pour visualiser toto.dvi, il faudra utiliser @{"ShowDVI" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Showdvi.16c"} ou un programme
quivalent.
Pour ce faire, il est quasiment obligatoire de r
rer une archive de
PasTeX r
cente sur Aminet contenant ShowDVI (viewer) et PrintDVI
(gestionnaire d'impression). Les fichiers .dvi contiennent le nom des
fontes
utiliser et l'emplacement sur chaque page de chaque caract
re et
figure du document.
Cela para
tra excessif, mais sachant que la distance de base sur une
page est de 5 nanom
tres, on comprend pourquoi LaTeX poss
de un rendu
quasi parfait! De plus, les fontes sont vectorielles, elles sont g
la demande et s'adaptent
la taille demand
e sans effet d'alias ou de
distorsion.
@{fg shine}Q u e l q u e s c o m m a n d e s d e b a s e
Les fontes@{fg text}
LaTeX peut g
rer toutes sortes d'actions sur les fontes comme tout bon
traitement de texte qui se respecte. Il saura g
rer les styles (@{"Tableaux 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex1.16c"}
et @{"2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex2.16c"}) et la taille (@{"Tableau 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex3.16c"}) sans aucun probl
me. Les @{"tableaux 4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex4.16c"} et @{"5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex5.16c"}
donnent une liste de commandes permettant de produire les accents et les
symboles usuels avec la version de base de LaTeX 2e.
Une utilisation un peu plus pouss
e de LaTeX permet
galement de
travailler dans des fontes d'autres familles allant du script au grec
ancien en passant par le japonais, l'
gyptien ou le klingon !
@{fg shine}Les listes@{fg text}
LaTeX sait
galement g
rer les listes le plus simplement du monde. On
utilise alors l'environnement "itemize" (listes par points), "enumerate"
(incr
mentation d'un compteur) ou "description" (type dictionnaire). La
Figure 1 correspond
ce petit exemple :
@{fg shine}\\begin{description}
\\item[Amiga 500] Mon tout premier
\\item[Amiga 1200] L'actuel
\\item[Amiga 4000] Trop cher !
\\item[Power Amiga] Le prochain ??
\\end{description}@{fg text}
On notera que l'utilisation du \\begin{} et du \\end{} est identique
pour "document" et "description" puisqu'il s'agit de commandes
d'environnement. Il faut donc les ouvrir puis les fermer dans le bon ordre,
entre le \\begin{document} et le \\end{document} qui cl
t la source.
@{fg shine}Les tableaux@{fg text}
LaTeX peut aussi
la demande g
rer des tableaux simples. On utilise
alors l'environnement tabular. Il suffit de savoir que :
- & correspond
un changement de colonne.
- \\\\ indique une fin de ligne
- \\hline produit une ligne horizontale.
L'environnement n
cessite le nombre de colonnes utilis
es en param
tre.
Ainsi {lcr} donnera trois colonnes respectivement justifi
gauche
(left), au centre (center) et
droite (right). On peut s
parer ces
colonnes par des lignes verticales, il suffira alors de rajouter un | entre
chaque d
claration comme ceci : {|l|c|r|}. Si l'on d
sire des colonnes de
taille pr
cise, on utilisera alors p{} dont le param
tre sera une taille en
cm, mm, in (inch), pt (point, mesure typographique) ou d'autres plus
exotiques.
Exemple :
@{fg shine}{p{1cm}p{23mm}p{3in}}.@{fg text}
Source du @{"Tableau 6" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex6.16c"} (il n'est pas obligatoire d'aligner les &) :
l'aide de commandes dont l'argument est le titre de la
section.
Exemple :
@{fg shine}\\section{\\LaTeXe{} sur \\textsc{Amiga}} sera plus fort qu'un
\\paragraph{Introduction}.@{fg text}
LaTeX se sert alors de ces commandes pour
laborer automatiquement la
Table des Mati
res. La liste de ces commandes figure dans le @{"Tableau 7" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex7.16c"}. Une
commande sp
cifique, appel
e \\footnote{}, permet d'ins
rer une note de
pied de page le plus simplement possible, en associant automatiquement
l'indice de r
rence.
@{fg shine}L e m o d e m a t h
m a t i q u e@{fg text}
On entre ici de plein pied dans le domaine de pr
dilection de LaTeX.
Celui-ci est
tel point puissant que l'American Mathematical Society en a
fait le standard national d'
dition scientifique ! Le minimum
conna
est vraiment
la port
e de tous. Il existe 6 mani
res diff
rentes
d'invoquer le mode math
matique, tout d
pend s'il s'agit d'un passage long
ou non et si l'on veut centrer l'
quation seule sur une ligne (mode
displaymath) ou la faire appara
tre dans le texte (mode math).
S'il s'agit de nombreuses
quations, il vaudra mieux ouvrir puis fermer
l'environnement displaymath par \\begin{displaymath} et le \\end associ
\\[ ... \\] ou $$ ... $$ auront le m
me effet mais la premi
re solution
a l'avantage de renseigner s'il l'on ouvre ou ferme le mode. Le mode math
s'invoque quant
lui par \\( ... \\) ou $ ... $.
Il suffit alors de savoir que ^ et _ correspondent respectivement aux
exposants et aux indices. Ainsi l'
quation de la relativit
d'un certain
Albert E. s'
crira $E=mc^2$. Dans le cas o
l'indice ou l'exposant exc
un caract
re, il suffira de les encadrer par des accolades.
Les tableaux @{"8" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex8.16c"}, @{"9" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex9.16c"}, @{"10" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex10.16c"} et @{"11" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Latex11.16c"} donnent la liste des commandes pour
invoquer les lettres grecques, les symboles de relations, les symboles plus
statiques (static data), ce qui signifie que l'adresse de ces donn
es est
fixe et d
termin
e au lancement du programme. En conclusion, si vous voulez
initialiser plusieurs
ments d'une liste dans une boucle, par exemple,
tous les
ments contiendront la m
me chose. Il faut donc allouer la liste
dynamiquement avec NEW. Une autre solution est possible avec l'instruction
List() suivie d'une copie de la liste normale dans la nouvelle liste-E
ListCopy().
@{fg shine}L ' e x e m p l e@{fg text}
Je vous propose un petit programme pour mieux voir comment on utilise
les listes. Il s'agit d'une petite base de donn
es qui stocke dans deux
listes les noms et num
ros de t
phone que l'utilisateur a entr
alable. Le programme g
re des listes dynamiques pour ne pas rencontrer
le probl
me vu plus haut (cf le Beginner.guide au chapitre STATIC DATA).
Bien s
r, il n'est pas parfait (loin de l
), mais libre
vous de g
rer les
sauvegardes et, par exemple, de rajouter une interface graphique via
GadToolsBox (mais modifiez sa gestion des erreurs qui est sommaire).
Voil
, c'est tout pour aujourd'hui. Je ne sais pas ce que vous en
pensez, mais il y a dans les listes des choses simples et pratiques,
d'autres beaucoup plus ardues
appr
hender (listes li
es entre elles...)
que je n'ai m
me pas abord
es. Dig
rez bien tout
a et
bient
@{fg shine}Pierre GIRARD@{fg text}
/* Base de donn
e rudimentaire utilisant les listes */
DEF entrees=0,i,result
DEF choix[5]:STRING
DEF temp[80]:STRING
DEF listenom[80]:LIST
DEF listetel[80]:LIST
PROC main()
-> Choix de l'utilisateur
WriteF('Ajouter une entr
e(1), Chercher par nom(2), Chercher par
phone(3), Quitter(4)\\n')
ReadStr(stdout,choix)
choix:=Val(choix)
SELECT choix
-> Nouvelle entr
CASE 1
WriteF('Entrez le nom:\\n')
ReadStr(stdout,temp)
listenom[entrees]:=List(20)
IF listenom[entrees]<>NIL THEN
ListCopy(listenom[entrees],temp, ALL)
WriteF('Entrez le t
phone:\\n')
ReadStr(stdout,temp)
listetel[entrees]:=List(20)
IF listetel[entrees]<>NIL THEN
ListCopy(listetel[entrees],temp, ALL)
entrees++
-> Recherche par nom
CASE 2
WriteF('Entrez le nom recherch
:\\n')
ReadStr(stdout,temp)
FOR i:=0 TO entrees-1
result:=StrCmp(ListItem(listenom,i),temp)
EXIT result
ENDFOR
WriteF ('Nom: \\s et t
phone: \\s\\n', ListItem (listenom,
i), ListItem (listetel, i))
-> Recherche par t
phone
CASE 3
WriteF('Entrez le t
phone recherch
:\\n')
ReadStr(stdout,temp)
FOR i:=0 TO entrees-1
result:=StrCmp(ListItem(listetel,i),temp)
EXIT result
ENDFOR
WriteF ('T
phone: \\s et Nom: \\s\\n', ListItem (listetel,
i), ListItem (listenom, i))
-> On sort et on affiche tout
DEFAULT
FOR i:=0 TO entrees-1
WriteF ('Noms et T
phone: \\s - \\s\\n', listenom [i],
listetel [i])
ENDFOR
JUMP end
ENDSELECT
ENDLOOP
DisposeLink(listenom)
DisposeLink(listetel)
ENDPROC
@ENDNODE
@NODE juCreainfo " Cr
ation infographique (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P i n c e a u x
p i x e l s d a n s l e s c o l l
g e
1er Festival Scolaire de Cr
ation Infographique de Lannemezan@{fg text}
Le Coll
ge Gaston Foebus de Lannemezan dans les Hautes-Pyr
es a
accueilli les 16, 17 et 18 Avril les coll
giens et lyc
ens venus de toute
la France dont les oeuvres num
riques avaient
lectionn
es pour le
premier Festival Scolaire de Cr
ation Infographique.
Depuis quelques ann
es, le micro-ordinateur est devenu un outil de
ation formidable mis
la disposition des
ves dans le cadre des Arts
plastiques en coll
ge et lyc
e. Produire des images fixes ou anim
l'aide d'un micro (Amiga 1200 - 4000 le plus souvent, PC parfois et MAC
plus rarement) ouvre de nouveaux horizons de cr
ations mais qui
malheureusement s'arr
tent
la sauvegarde sur disquette ou disque dur.
@{fg shine}Une image est faite pour
tre montr
e! @{fg text}
L'id
e du Festival est n
e de cette n
cessit
. Regroup
s au sein de
l'association "Clic'Art", quelques professeurs d'Arts plastiques pratiquant
l'infographie dans leurs cours se sont mis
organiser ce festival.
Pendant la journ
e, des ateliers
taient
la disposition des
ves:
ateliers de r
flexion sur l'image, de d
couverte de divers logiciels tant
sur Amiga que sur PC (Lightwave 4, TV Paint, Imagine, Adobe, Scala MM 400,
Vidi 24, True Space, etc...).
Des
ves d
butants comme ceux venus du Coll
ge Ploufragan en Bretagne
ont pu c
toyer ceux du Coll
ge Ducos du Hauron d'Agen, vieux routiers de
l'Amiga et PC, permettant ainsi des
changes fructueux.
Une
quipe d'
ves du Coll
ge Anatole France de Toulouse a r
journal t
de 30mn chaque soir en direct, avec un Amiga 1200 et Scala
MM 400.
@{fg shine}L e s l a u r
a t s@{fg text}
Ce qu'attendaient avec anxi
les participants, c'
tait les
projections des oeuvres s
lectionn
es, le soir dans la salle des f
tes, sur
grand
cran.
Ouvertes au public qui a pu appr
cier la qualit
des travaux, ces
es furent l'occasion d'une confrontation amicale des diff
rents
ges et lyc
es. Un jury ind
pendant choisira les laur
ats dans les
rentes cat
gories. Il est
noter que les cr
ations sur Amiga ont
remport
la majorit
des prix!
@{fg shine}A l ' a n n
e p r o c h a i n e@{fg text}
Prim
s ou non, les
ves sont repartis en pensant d
leurs futures
ations pour la 2
dition du Festival. Alors coll
gues d'Arts
Plastiques de France et d'Europe (nous nous ouvrons
tous les coll
ges et
es europ
ens) pratiquant l'infographie avec vos
ves, contactez-
nous.... pour l'an prochain.
@{fg shine}Alain Bouchet - Elio Nocera@{fg text}
Clic'Art est une Association pour le d
veloppement de l'infographie
dans l'
ducation.
@{fg shine}Clic'Art Coll
ge Anatole France 4, Avenue de Lespinet 31400 Toulouse
l 61 83 02 80; Fax 61 32 97 01
E-mail : nocera@ac-toulouse.fr@{fg text}
@{fg shine}Palmares -@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan1.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan2.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan3.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan4.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan5.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan6.8bt"}@{"-" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Scan7.8bt"}---@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Nono.32c"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Ken.ham8"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Jeremy1.ham"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Ciel.ham"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Cimet.ham"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex1"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex2"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex3"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex4"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex5"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex6"}@{"--" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Alex7"}----------
I M A G E S A N I M
I - Arts plastiques:@{fg text}
@{"Les machines" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Animachine.ham8"} Sophie Rosso, Coll
ge Anatole 6
tingueliennes Sylvie, Fanny, France, Toulouse
Simon, An-Sophie
Fabre + Hugues
Barillet
@{"Claire clip" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Prixani.ham8"} Claire Delphino Coll
ge Anatole 6
et Chlo
Franscini France, Toulouse
Danse Marie Tribouilloy Coll
ge Anatole 4
France, Toulouse
Le voleur Sylvain Rodriguez Coll
ge Gaston 4
F
bus, Lannemezan
Dur - Dur! Thierry Cazadis, Coll
ge de l'Astarac 3
Morgan Lauer, Alexander Hoeld,
Olivier Roussy Mirande
Le duel Fr
ric Fis, Coll
ge Gaston 5
Nicolas Canet F
bus, Lannemezan
Pour l'ensemble
de son travail: Fr
ric Fis Coll
ge Gaston 5
F
bus, Lannemezan
@{fg shine}II - Illustration:@{fg text}
minaire au lyc
e Patrice Lani
s Lyc
e J.B de Baudre 1
Franck Zordan Agen
@{fg shine}III - Arts appliqu
s:@{fg text}
Meubles de bureau Classe de 4
me Coll
ge Gaston 4
Tech. F
bus, Lannemezan
@{fg shine}I M A G E S F I X E S@{fg text}
@{"Cubes" SYSTEM "FASTVIEW Amiganews96:PicJUIN/Cube.ham"} Warnod Coll
ge Ducos du 3
Hauron, Agen
Pour l'ensemble Humeau Coll
ge Ducos du 3
de son travail Hauron, Agen
@ENDNODE
@NODE juSourispc " Adaptation d'une souris PC (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A d a p t a t i o n d ' u n e s o u r i s P C
Transformer une Mini-DIN PC en DB-9 femelle@{fg text}
Voici un adaptateur permettant de brancher facilement une souris PC
facilement trouvable dans tous magazins informatique. C'est, il ne faut pas
l'oublier le composant le plus solicit
sur les ordinateurs actuels. Donc
le plus sujet
l'usure.
@{fg shine}R
s u l t a t@{fg text}
Une zolie souris toute propre, sur son magnifique tapis achet
pour
l'occasion, faisant p
lir de honte la souris type "pregnant mouse" ("souris
enceinte") que C= (RIP) avait os
fournir avec les Amiga 1200 et 4000. De
plus, l'heureux papa de cette merveille passera les premi
res minutes
d'utilisation
cliquer partout sur l'
cran car il faut avouer que le
microswitch est bien plus reposant pour les oreilles. A ce sujet,
MousoMeter (
Wolfgang Breyha) peut vous aider
battre de nouveaux records
de cliquage et de vitesse de pointe du pointeur!
Ce montage peut
galement servir
fabriquer un adaptateur Mini-
DIN<=>DB-9, ce qui
vite de couper le c
ble de la souris ou permet
d'utiliser une souris Amiga sur un PC!
@{fg shine}L a m a n i p u l a t i o n@{fg text}
Avant d'effectuer la manipulation, je vous conseille quand m
me de tout
lire une fois en entier pour
tre s
r d'avoir parfaitement compris chaque
tape. Pour une fois, l'Amiga peut rester allum
et en un seul morceau,
mais rien ne vous emp
che de l'
teindre et de l'ouvrir pour retrouver la
me atmosph
re que lors des pr
dents montages! Quoiqu'il en soit, il
vous sera utile pour tester le r
sultat final de la manipulation puisque
tous ces efforts convergent vers le m
me but: trouver
nouveau le plaisir
de cliquer n'importe o
et oublier sa souris pr
dente. De plus, il y a
comme un sentiment d'ironie et de revanche
utiliser une souris
microswitch,
3 boutons et de marque Micro$oft avec son Amiga!
Tout d'abord, d
nudez avec pr
caution le fil, juste avant le connecteur
Mini-DIN de votre souris PC pour en extraire les 8 fils qu'il contient - 9
s'il s'agit d'une souris
trois boutons. Si le connecteur Mini-DIN se
monte, ouvrez le tout simplement
l'aide d'un tournevis.
Chaque fil devrait
tre de couleur diff
rente. Si tel n'est pas le cas,
munissez-vous de feutres et identifiez chacun des fils par une couleur c
ble ET c
Mini-DIN. Vous pouvez alors hardiment sectionner tous ces
fils
1 ou 2 cm du connecteur, de mani
obtenir un c
ble de souris
dont l'extr
se compose de 8 ou 9 fils d
s et pr
tre soud
sur le connecteur DB-9 femelle et un connecteur Mini-DIN avec 8 - ou 9 -
fils de quelques centim
tres de long.
A l'aide de la @{"Figure 1.0" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Souris1.4c"}, identifiez chacun des fils du connecteur
Mini-DIN, soit visuellement, soit avec un multim
tre, avec ceux du cable.
La @{"Figure 2.0" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Souris2.4c"} concerne le num
ro donn
par convention aux 9 contacts d'une
prise DB-9 femelle. Il va maintenant s'agir de souder par paire chacun des
8/9 fils
sa connection
quivalente. Le @{"tableau 1.0" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Souris4.16c"} donne ces
quivalences
mais pour les personnes un peu plus visuelles, la @{"figure 3.0" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Souris3.16c"} indique, fil
fil, ce qu'il faut souder pour ne pas faire d'erreur.
@{fg shine}T e s t s f i n a u x@{fg text}
Et voil
. il ne reste plus qu'
revisser le connecteur DB-9 et
l'ins
rer dans le port souris, l'Amiga
tant
teint pour
viter les
mauvaises surprises. A l'allumage, si l'Amiga vous adresse la parole en
vous expliquant qu'il s'appelle Marvin et que la vie n'a strictement aucun
t pour lui, ETEIGNEZ-LE IMMEDIATEMENT et re-v
rifiez le c
blage de
chaque fil.
Dans la majorit
des autres cas, tout devrait se passer le mieux du
monde et la souris devrait fonctionner
merveille d
s le premier click. Je
tiens
signaler que j'utilise une souris Micro$oft depuis plus de 6 mois
et que mon Amiga n'a jamais insult
ou refus
de cohabiter avec le nouveau
venu.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Quelques m
contents vont encore se demander:
- "Mais que faire de mon ancienne souris, si vieille et si laide?"
A ceux-l
, et
ceux-l
SEULEMENT, ESCOM
appara
tra dans un halo de
e et leur conseillera d'en faire don une fois de plus
"SAVE THE PC",
pour bien montrer
tout le monde que les Amigafans ne sont pas totalement
sectaires.
@{fg shine}Note: Cet article est bas
sur deux articles d
velopp
s et corrig
d'un illustre inconnu (mais je cherche son nom sur Aminet) et de Jeff
Easton (easton@andrews.edu).@{fg text}
@{fg shine}M a t
r i e l n
c e s s a i r e :@{fg text}
Rien de bien merveilleux en r
- Un Amiga 500,600,1200,2000,3000 et/ou 4000.:)
- Un peu de patience.
- Une souris PC dite "Mini-DIN"
9 broches (type Micro$oft).
- Un fer
souder.
- Un multim
tre pour v
rifier les soudures et les connexions.
- Un connecteur DB-9 femelle (id. un connecteur Joystick Amiga ou Atari).
Mais je vous conseille d'en acheter un neuf pouvant s'ouvrir par vis, ce
qui facilite le travail puisque l'on peut souder directement sur les
contacts.
@{fg shine}Julien WILK
wilkj@esiee.fr@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juDpmois " Les DP du mois (06-91)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D o m a i n e P u b l i c
par St
phane Nicole
Un mois bien rempli@{fg text}
VirtualWorlds le DP du mois: Plus besoin de t
porteur! Un soft
nial.
Du petit utilitaire de quelques Ko
la super-production hollywoodienne de
plusieurs Mo, on trouve de tout sur Aminet. Chaque jour apporte son lot de
nouveaut
s, et le mois qui vient de s'
couler a
bien rempli.
@{fg shine}L e s m i s e s
j o u r d u m o i s@{fg text}
* @{fg shine}ShapeShifter@{fg text}, le g
nial
mulateur Mac est d
sent disponible
en version 3.5, sup- porte dor
navant le protocole de communication PLIP,
et est totalement compatible avec le System 7.5.3.
* Les musiciens trackeristes composant sur @{fg shine}Protracker@{fg text} 3.15 (cr
par
Cryptoburners et d
laiss
depuis) vont pouvoir d
couvrir la nouvelle
version 3.52 (reprise par TEC Design). Moins de bugs, fonctionnant avec un
68060, compression XPK, nombreux raccourcis clavier et fonctions en plus,
aide en ligne, sont au programme.
* @{fg shine}SystemPrefs@{fg text} nouvelle mouture 3.7 vous propose encore plus
d'informations gr
l'utilisation de la expname.library.
@{fg shine}A v o s c l a v i e r s ? M a i s n o n !
MUI AFS-Undelete 1.0@{fg text}
AmiFilesSystem est un syst
me de fichiers hautes performances adopt
par un nombre croissant d'utilisateurs. AFS met
disposition une commande
permettant de r
rer les fichiers effac
s, disponible depuis une ligne
de commande. AFS-Undelete offre une interface sous MUI aux allergiques du
clavier, qui pourront profiter en plus d'un renommage des fichiers
s et d'une d
tection de toutes leurs partitions AFS.
@{fg shine}+@{fg text} Bonne utilisation de MUI 3.0.
@{fg shine}-@{fg text} A r
server aux fans de MUI et
ceux qui sont f
s avec le
shell.
Auteur : @{fg shine}Guy Ballet@{fg text}
FreeWare : @{fg shine}
distribuer librement.@{fg text}
Configuration requise : @{fg shine}KickStart 2.0 +, MUI 3.0, et une partition
AmiFileSafe@{fg text}
@{fg shine}L e D P d u m o i s !
VirtualWorlds 2.0@{fg text}
Les amateurs de nuits
es vont
tre enchant
s par ce soft
exceptionnel. En effet, @{"Vir" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Vw1.16c"}@{"tua" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Vw2.16c"}@{"lWor" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Vw3.16c"}@{"lds" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Vw4.16c"} permet la g
ration d'images
sentant le ciel et ses divers corps c
lestes, vus depuis notre bonne
vieille plan
te, ou bien de tout autre endroit de notre syst
me solaire.
Les corps c
lestes g
s sont le Soleil, la Lune, les plan
tes,
quelques satellites et certaines com
tes. Vous qui avez toujours r
contempler le ciel
depuis Saturne, plus besoin de t
porteur ni de
transporteur galactique subluminique ...
Pour commencer, il vous faudra indiquer l'heure, la latitude et la
longitude locale, ce qui ne vous prendra que le temps d'un click sur la
jolie carte du monde. Obtenir une repr
sentation avec la date et l'heure de
la prochaine eclipse de Lune ou de Soleil devient alors aussi simple que de
choisir la bonne ligne du menu d
roulant.
Plusieurs repr
sentations sont disponibles. Le mode T
lescope vous
transporte
l'endroit de votre choix et vous permet de comtempler le ciel,
de zoomer et de suivre un objet dans sa course. Le mode Orbitales trace une
sentations en 3D des orbites de notre syst
me que vous pourrez
retourner dans tous les sens. Le mode Carte vous affiche la carte du monde
avec les zones d'ombres, ou bien les cartes digitalis
es de la Lune et de
Mars.
Tous les objets rendus le sont avec une pr
cision suffisante pour un
astronome amateur. Par exemple, la position des plan
tes est de l'ordre de
quelques secondes d'arc, ce qui est suffisant pour pr
dire les
occultations.
Bien entendu, toutes ces belles images peuvent
tre anim
es. Le ciel
volue au cours du temps
la vitesse de votre choix. La cerise sur le
teau : en mode t
scope, si vous zoomez sur la Terre, Mars ou la Lune,
celles-ci apparaissent en textures mapp
es ...
@{fg shine}+@{fg text} Possibilit
d'ajouter des corps au catalogue. Une version
compil
e pour
co-processeur arithm
tique est fournie.
@{fg shine}-@{fg text} A grosse consommation de calculs, gros calculateur ... vous
venus.
Auteur : @{fg shine}Peter Knight@{fg text}
FreeWare : @{fg shine}une super production pour rien ...@{fg text}
Configuration requise: @{fg shine}WB 3.0 +, 4 Mo de RAM, 68020 minimum, et l'AGA
@{fg text}
@{fg shine}E c o n o m i s e z v o t r e R A M
HDEnv 1.4@{fg text}
Commen
ons par un peu de syst
mologie :
chaque d
marrage de votre
'miga, un ph
trange se produit. En effet, un r
pertoire ENV: plein
de petits fichiers est cr
dans l'unit
RAM:. Qu'est ce donc que cela ?
Rien de grave, si ce n'est que vos petits programmes pr
s ont
l'habitude de sauver leurs fichiers de configuration (on dit aussi
rences)
cet endroit, dont une image est enregistr
e sur votre disque
dur dans le r
pertoire logique ENVARC:. Tout ceci est fort bien pens
, car
qui dit RAM dit acc
s rapide, mais l'unit
minimale d'allocation m
moire du
volume RAM: (taille des blocs)
tant de 1Ko et sachant qu'il faut au
minimum deux blocs par fichier,
a fait ...
a fait 2Ko minimum par
fichier.
Si on consid
re un r
pertoire ENV: de 100Ko, cette taille n'est pas
gligeable pour un utilisateur ne disposant que d'1 ou 2 Mo de RAM:. HDEnv
permet de forcer le syst
ne pas copier les fichiers en RAM: mais
les
utiliser directement sur le disque dur syst
En pratique, un petit acc
s disque aura lieu
chaque tentative d'un
programme d'acc
son fichier d'environnement. C'est tout !
@{fg shine}+@{fg text} Simple et int
ressant sur les petites configuration.
@{fg shine}-@{fg text} Utilisation de la date du fichier pour la mise
jour de ENVARC:
d'o
la n
cessit
de poss
der une horloge sauvegard
Auteur : @{fg shine}Michael Fedrowitz@{fg text}
FreeWare : @{fg shine}sympa, et avec les sources en C.@{fg text}
Configuration requise : @{fg shine}AmigaOS 2.04 ou mieux, un disque dur et
une horloge sur batteries.@{fg text}
@{fg shine}D e s c a m e m b e r t s
g o g o ...
EasyCalc 2.0@{fg text}
Ce mois-ci, un des logiciels DP les plus accomplis est sans nul doute
cet excellent tableur. D
s le premier coup de souris, on s'
tonne qu'un
utilitaire d'une telle maturit
soit disponible en shareware, pour une
somme si modeste; encore un des avantages du DP Amiga ...
Je ne vous ferai pas l'offense de vous rappeler ce qu'est un tableur,
ou encore une @{"feuille de calcul" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Dpeasy1.8c"}
lectronique, mais un rapide tour du
propri
taire va vous montrer les multiples fonctions d'EasyCalc au travers
de son interface graphique tr
s conviviale.
Enti
rement pilotable
la souris ou au clavier, ces commandes sont
disponibles par menus, raccourcis clavier ou par une barre d'outils dans
laquelle on peut ajouter ou enlever des ic
nes (comme sur ex-selle !). Bien
entendu, on peut travailler sur plusieurs feuilles ind
pendantes
la fois
me ouvrir plusieurs vues d'une m
me feuille. La s
lection de zones
rectangulaires permet d'appliquer des fonctions de base
un ensemble de
cellules. Par exemple, il sera possible de remplir un groupe de cellules
avec des valeurs dont vous pr
ciserez le mode de calcul it
ratif et la
valeur de base, ou bien de changer la couleur, le centrage, la pr
cision et
le format d'un ensemble de cellules.
Outre les trois types de cellules indispensables (texte, formule,
constante num
rique), vous pourrez attacher un texte d'aide
toute
cellule, qui sera rendu visible en appuyant sur la touche help. Les
cellules identifi
es par leur coordonn
es (x,y) sur la grille, peuvent
recevoir un nom logique afin de clarifier les formules.
Vous pourrez forcer la ligne ou la colonne de votre choix
rester
visible
cran quelque soit la position du curseur.
Les macros-fonctions n'ont pas
oubli
es. Il s'agit de scripts ARexx
qui vous donnent acc
toutes les fonctions du logiciel (80 au total).
Vous pourrez ainsi automatiser les t
ches les plus simples comme ins
une colonne contenant les jours de la semaine, ou bien plus complexes comme
une petite application qui pose des questions au travers de bo
tes de
dialogue et traite les r
sultats.
Les macros peuvent
crites avec un
diteur ou bien enregistr
live. De plus, un type de cellule sp
cial (RUNMACRO) permet le
clenchement d'une macro si une cellule de ce type est double-cliqu
Toutes les fantaisies sont permises !
Rien non plus n'a
oubli
pour vous permettre de rehausser en
couleurs votre formulaire de d
claration d'imp
t un peu tristounet. A vous
camemberts, histogrammes et autres graphiques. Vous choisissez la
solution, les couleurs, le titre et le type de graphique et zou, un
@{"joli
cran s'ouvre" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Dpeasy2.16c"}
! Rien de plus simple.
En vrac: reconnaissance automatique des formats dates et heure,
lection de zones rectangulaires et copier/coller, fonction undo,
recherche de texte, tri, sauvegarde p
riodique automatique, algorithme
d'optimisation des calculs, choix du ScreenMode et de la palette,
protection par mot de passe.
La documentation qui accompagne ce merveilleux DP est bien s
r au
format AmigaGuide (en anglais), et est accessible en ligne, ainsi que
l'int
gral des commandes ARexx et un tutorial. Quelques exemples et macros
sont fournis afin de faire joujou tr
s vite.
@{fg shine}+@{fg text} L'interface et sa barre d'outils configurable.
Le support ARexx de toute beaut
@{fg shine}-@{fg text} Pauvret
des formats d'import/export (dBase III et presque Lotus
WKS).
Auteur : @{fg shine}Andrew Woods@{fg text}
ShareWare : @{fg shine}
15.@{fg text}
Configuration requise : @{fg shine}NC. @{fg text}
@{fg shine}P o u r c o n n a
t r e t o u t e s s e s c a r t e s
ExpName.library 2.1@{fg text}
Programmeurs, vous vous sentez perdus dans la jungle des cartes en tout
genre qui vivent dans les entrailles de nos ch
res b
tes... la library
ExpName est faite pour vous. Utilis
partir de vos programmes, elle vous
fournira la liste des @{"cartes d'extensions" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Dpexpname.8c"} (nom du fabriquant, nom de la
carte) en mettant
votre disposition une zolie fonction (GetExpName). En
bonus, GetSysInfo () vous fournira les param
tres syst
mes (version de
l'OS, type de processeur, m
moire ...) de la machine h
Ah, un dernier mot: la bagatelle de 160 cartes sont reconnues !
@{fg shine}+@{fg text} Fournie avec autodocs et comme toute bonne library qui se
respecte,
les .h et un exemple.
@{fg shine}-@{fg text} RAS
Auteur : @{fg shine}Richard Koerber@{fg text}
FreeWare : @{fg shine}
vous d'en faire bon usage.@{fg text}
Configuration requise : @{fg shine}NC @{fg text}
@{fg shine}S o y e z c o n c e p t u e l . . . g
r e z !
Nucleus 1.0@{fg text}
Voici la toute premi
re version de ce g
rateur de menu haut de gamme.
Le premier pas dans la cr
ation de votre application est le choix du type
cran (ou seulement fen
tre Workbench) dans lequel vous allez placer vos
boutons et menus. Vous pourrez ensuite placer vos objets sur l'
cran ou
dans la fen
tre gr
l'@{"interface graphique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Nucleus1.8c"} du type ReqTool tr
s bien
Les objets utilisables sont des boutons, des images, des textes, des
cadres et des menus d
roulants. Une jolie palette d'outils flottante est
votre disposition pour cela. Les images peuvent
tres associ
es aux
boutons, ou bien plac
es dans le fond de la fen
tre. Les actions
clench
es par les boutons sont de plusieurs types. On peut d
clencher un
programme externe ou une commande AmigaDos,
xecuter un script, lancer un
script ARexx ou une commande interne (ic
nification, requester).
L
Nucl
us fait vraiment fort, c'est que votre jolie interface va
pouvoir
tre sauvegard
e en tant que programme ex
cutable ind
pendant de
toute library. Vous pourrez r
aliser ainsi un panneau de contr
le pour
piloter, via ARexx, votre logiciel favori au travers de VOTRE interface
graphique sur mesure. Vous pourrez
galement cr
er de @{"beaux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Nucleus2.16c"} @{"
crans" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIN/Nucleus3.16c"} de menu
pour vos compil's sur disquette ou CD.
Rien n'emp
chera les plus acharn
s de construire de v
ritables logiciels en
encha
nant plusieurs applications Nucl
us.
@{fg shine}+@{fg text} Interface conviviale. Aide en ligne Amigaguide. Sauvegarde
cutables
ind
pendants. D
clenchement de scripts ARexx.
@{fg shine}-@{fg text} Pas de possibilt
de g
rer un fichier source de l'interface.
Auteur : @{fg shine}John Close@{fg text}
ShareWare : @{fg shine}petit prix, pour de nombreux services@{fg text}
@{fg shine}P h a s e i n t r o d u i t d e s c a r t e s
c o n o m i q
u e s@{fg text}
Une carte 68040 40MHz
conomique pour ceux qui ont install
leur Amiga
1200 dans une tour sera propos
e par Phase5
partir de juillet. La
Blizzard 1240 T/ERC sera vendue (en Allemagne) pour moins de DM550 (environ
2000F) gr
l'utilisation de processeurs re-cycl
s. Elle comporte un
connecteur SIMM pour un maximum de 128Mo de RAM, et accepte le SCSI kit IV
utilis
par la 1260. A cause de son syst
me de refroidissement (68040
oblige) la carte ne peut pas
tre mont
e dans un 1200 standard. Sinon, elle
est presque identique
la carte carte 1260, et la mise
jour vers
processeur 68060 est facile.
La Blizzard 2040 ERC utilisera elle aussi un 68040 re-cycl
avec
MMU/FPU
40MHz sur une carte identique
celui de la Blizzard 2060, au
prix de 700DM (environ 2400F). L
aussi, l'installation ult
rieure d'un
processeur 68060 ne posera pas de probl
A partir de septembre phase 5 sortira la Cyberstorm Mk II 040/40 ERC
pour Amiga 3000, 3000T, 4000 et 4000T, avec possibilit
d'installer jusqu'
128Mo RAM et les m
mes possibilit
s de mise
niveau 68060. Prix 750DM
(environ 2600F).
@ENDNODE
@NODE juaoCybermk2 " Cyberstorm MkII: 32Mo/s sur Zorro III (07-92)"
@TOC juaoNewsInt
@{fg shine}C y b e r s t o r m M k I I : 3 2 M o / s s u r Z o r r o I
I I@{fg text}
Cyberstorm Mk II Cette carte est utilisable par A3000, A3000T, A4000 et
A4000T. Elle est livr
e avec un processeur 68060
50MHz, mais acceptera
des versions
66 ou 80MHz quand ils sont disponibles chez Motorola.
L'acc
s en Full Burst Mode au bus Zorro III permet des transferts jusqu'
32Mo/sec dans des devices ZIII permettant l'acc
s en mode burst, comme par
exemple, la future carte DSP 2-GO! de Phase5. Un connecteur sur la
Cyberstorm permet d'utiliser l'interface Fast SCSI-II DMA. Annonc
depuis
plusieurs mois, la Cyberstorm II n'est toujours pas disponible au moment o
nous
crivons (mi-juin).
@ENDNODE
@NODE juaoEzflyer " Syquest EZFlyer 230 (07-92)"
@TOC juaoNewsInt
@{fg shine}S y q u e s t E Z F l y e r 2 3 0@{fg text}
D'apr
s Syquest, le nouveau lecteur de cartouches EZFlyer 230 affiche
bit le plus
(jusqu'
4Mo/seconde) et le temps d'acc
s le plus
rapide (13,5ms) de tous les m
dias amovibles, et son prix public avoisine
les 1650FHT. Le bo
tier (disponible en SCSI ou parall
le) a
redessin
et l'
jection se fait en pressant un bouton. Le lecteur accepte les
cartouches au standard PDC et il peut lire,
crire et formater les
cartouches EZ135. Les cartouches 230Mo sont au prix de 165FHT. La
commercialisation des mod
les SyJET 1,3 Go ne d
butera pas avant le
troisi
me trimestre 1996.
@ENDNODE
@NODE juaoPpc200 " PowerPC603e
200MHz (07-92)"
@TOC juaoNewsInt
@{fg shine}Motorola annonce le PowerPC603e
200MHz@{fg text}
Au Texas, Motorola a d
la production des circuits 603e
166, 180
et 200MHz. Ce dernier, dessin
en 0.32 micron, est plus performant (d'apr
Motorola, bien s
r) que la plus rapide des Pentium, et co
te moins cher.
Prix par millier: $224 pour les 166Mhz, $256 pour les 180MHz, et $360 pour
les 200MHz.
@ENDNODE
@NODE juaoNetconnect " NetConnect (07-92)"
@TOC juaoNewsInt
@{fg shine}N e t C o n n e c t@{fg text}
Avec le nouveau kit de connection
l'Internet, NetConnect, vous n'avez
pas besoin d'enregistrer vos logiciels, presque tous les licences sont
acquises:
La version enregistr
e de AmiTCP 4.3 DialUP, avec de nombreuses
liorations. D'apr
s Active Software, l'
diteur britannique, plusieurs
s vendent des packages Internet contenant d
mo v4 ou v3B versions
d'AmiTCP en faisant des modifications qui ne sont pas autoris
- D'autres logiciels dans le package sont:
WWW - Voyager v1
Mail - @{"PowerMail v1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Powermail.16c"}
FTP - mFTP v2
IRC - AmIRC v1.1 et CLChat
News - mNews v1 (et Voyager)
L'installation sera facile avec une interface conviviale. Prix
45. Sur
CD ou disquette. Disponibilit
: mi-juillet. Editeur: Active Software, GB.
@ENDNODE
@NODE juaoLos " Cherchez l'os... (07-92)"
@TOC juaoNewsInt
@{fg shine}C h e r c h e z l ' o s . . .
Que va-t-il advenir de l'Amiga?@{fg text}
Entre l'exhibition
l'am
ricaine de VIScorp
Toulouse le mois
dernier, les sp
cifications agressives de la machine annonc
e par Phase 5,
et les commentaires assassins de Dave Haynie, il y a de quoi se poser
beaucoup de questions. Je n'ai pas la pr
tention d'y r
pondre, mais plut
de vous aider
vous m
fier des marchands de certitudes...
@{fg shine}L e j e u d e V I S c o r p@{fg text}
J'ai assist
la d
monstration de Toulouse et j'en suis revenu plut
u. J'ai bien compris que les gens de VIScorp
taient principalement
s par ce que l'on appelle le "set-top box". Je n'y vois d'ailleurs
aucun inconv
nient, tant que demeure une entit
Amiga Technologies
s'occupant des destin
es de l'Amiga. J'ai
galement bien compris que
VIScorp offrait
l'Amiga ce qui lui faisait d
sormais cruellement d
faut:
ritable march
, capable de faire vivre des d
veloppeurs. Pour autant,
marche de VIScorp n'
tait pas claire ce jour-l
* Ils ont affirm
vouloir soutenir l'Amiga en tant qu'ordinateur, mais il
ne reste plus rien d'Amiga Technologies et eux-m
mes n'ont actuellement pas
les ressources pour faire
voluer rapidement la machine et son syst
d'exploitation.
* Ils ont eu de d
testables mani
res de cow-boys, d
clarant
qui mieux-
mieux qu'Amiga Technologies/ ESCOM n'avaient rien fait de bon, alors que
ces derniers ont quand m
ussi le tour de force de remonter une
quipe,
de red
marrer la production en moins d'un an, d'amorcer le virage vers le
PowerPC, etc...
* Ils ont pr
tendu
tre en train d'
tudier la possibilit
d'un Amiga
d'un microprocesseur Alpha (j'ai pu observer que Carl Sassenrath
tait plut
par rapport
ces pr
tentions), alors que les travaux
autour du Power PC ont commenc
il y a au moins six mois, et que l'Alpha,
processeur certes tr
s rapide, est beaucoup trop cher (non seulement le
processeur, mais aussi les
ments de la carte m
re qui doivent
l'entourer).
Sur ce dernier point, Carl Sassenrath a reconnu qu'il s'agissait plut
d'une sorte de blague lors de la conf
rence IRC du 31 mai 1996. La plupart
de ceux qui ont assist
la rencontre de Toulouse ne la trouveront
certainement pas
leur go
t, eux qui
taient venus assister
une "r
union
de travail"...
Plusieurs indices relev
Toulouse, qui pendant cette conf
rence IRC,
tendent
prouver qu'une machine d'entr
e de gamme,
base de 68040
pourrait rapidement faire son apparition sous les couleurs de VIScorp, avec
une version de l'Amiga OS int
grant toutes les fonctions n
cessaires
l'acc
Internet. Ce pourrait
tre l
la premi
re version de l'ED, le
"set-top box" de VIScorp, dont les caract
ristiques lui permettent de jouer
le d'ordinateur d'entr
e de gamme, somme toute assez proche du d
funt
Walker.
Pourtant, il appara
sormais clair que VIScorp n'a pas les moyens ni
l'intention de devenir un constructeur de micro-ordinateurs et donc la
nouvelle g
ration de l'Amiga sera le fait d'un ou plusieurs autres.
D'apr
s Carl Sassenrath, VIScorp n'aura en fait qu'un r
le de coordination
et non de d
finition pour la nouvelle g
ration d'Amiga, ce qui contredit
nouveau ce qui avait
annonc
Toulouse (par lui-m
me lors de la
rence d
veloppeurs): VIScorp
tait cens
tablir le cahier des charges
du nouveau syst
me d'exploitation, et m
aliser tout ou partie du
portage de l'actuel syst
me, afin de faciliter la migration vers n'importe
quelle plate-forme mat
rielle (dont celles
base de PowerPC).
@{fg shine}L ' a f f r o n t e m e n t d e @{"P I O S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Logopios.16c"} e t @{"P h a s e 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Logophase5.16c"}@{fg text}
Mais m
me ce r
le de coordination n'est pas garanti pour VIScorp: si la
nouvelle soci
PIOS (encadr
e par quelques "v
rans" de l'Amiga comme
Dave Haynie ou Andy Finkel) a manifest
son intention de jouer le jeu,
Phase 5 semble s'
tre r
solument engag
dans une partie de bras de fer.
J'ai pu converser avec un d
veloppeur de Phase 5 et me rendre compte que
leur attitude est tr
s arrogante: leur intention est de sortir une machine
avant tout le monde et d'imposer ainsi leur vision du futur Amiga (tant au
niveau mat
riel qu'au niveau syst
me). "Le march
cidera" est leur unique
leitmotiv!
Cela dit, les gens de Phase 5 ont montr
qu'ils
taient capables de
faire d'excellentes cartes et ils ont entre leurs mains CyberGraphics qui
est ce qu'aurait d
tre le sous-syst
me graphique RTG de l'Amiga. Certes,
ils ont mauvaise r
putation pour ce qui est des relations avec les clients
et les revendeurs, ou du respect des d
lais. Certes, leurs d
boires avec
leurs derniers produits (CyberStorm Mk II, module Blizzard SCSI) d
notent
soit une extraordinaire malchance, soit un facheux manque de clairvoyance.
Mais il n'en demeure pas moins qu'ils sont actuellement les accessoiristes
Amiga les plus comp
tents.
D'apr
s Dave Haynie, c'est l
que le b
t blesse: c'est une chose que de
faire des accessoires s'int
grant dans un syst
fait, c'en est une
autre que de b
tir enti
rement ce syst
me. La confrontation entre PIOS/Dave
Haynie et Phase 5 ne manque pas de piquant: ces derniers ont r
solument
pris le parti d'une architecture totalement singuli
re et surpassant ce qui
se fait actuellement en mati
re de bus, de circuits d'affichage, etc...
marche qui fit nagu
re le succ
s du premier Amiga (Ed: et de Dave
Haynie)), alors que Dave Haynie pr
sormais l'utilisation au maximum de
composants standards afin de profiter constamment des progr
s faits par une
industrie sp
cialis
e et des prix forc
ments plus bas. C'est ainsi que PIOS
s'oriente vers la solution de cartes m
res Power PC r
pondant au standard
PPPC et fabriqu
es par Motorola. Le seul travail
accomplir
tant ainsi la
conception de l'architecture de la machine, il se pourrait donc fort bien
que PIOS devance finalement Phase 5 au plan du mat
riel, malgr
son actuel
retard.
Par contre, PIOS a un
norme d
savantage: le portage du syst
me est une
che qui va r
clamer au moins 30 personnes pendant un an, d'apr
s Andy
Finkel. M
me en unissant leurs forces avec VIScorp, les six mois de retard
qu'ils ont sur Phase 5 seront difficiles
rattraper, sauf si Carl
Sassenrath r
ussit son pari: int
resser toute la communaut
des
programmeurs Amiga diss
e sur Internet au projet! En attendant, la
premi
re machine de PIOS
tant une plateforme, PPPC sera probablement
e du syst
me MacOS!
De plus, la partie qui se joue actuellement est encore plus compliqu
que cela: le r
le dans cet affrontement de la troisi
me soci
allemande,
ProDAD, avec sa propre version du syst
me de l'Amiga, appel
e p-OS, et soi-
disant sur le point d'aboutir, est une inconnue de taille... Les quelques
caract
ristiques list
es en forme de credo dans le num
ro pr
dent (p 15)
ne m'ont gu
re convaincu, mais nous n'en sommes plus
un rebondissement
s et il est donc trop t
t pour dire que cet outsider n'a pas ses
chances!
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Cela fait deux ans que Commodore a fait faillite, un an que l'Amiga est
aux mains d'ESCOM, qui s'appr
te maintenant
le revendre,
VIScorp selon
toute vraisemblance. Il y a deux ans, la question qui se posait
tait: "qui
pourrait bien
tre int
par l'Amiga ?". Aujourd'hui, la question est
devenue "qui a les moyens de faire rena
tre l'Amiga ?", et les pr
tendants
ne manquent pas! Mais chacun d'eux a quelques uns des atouts dans son jeu,
si bien que l'on peut craindre une dispersion des
nergies, par int
personnel, au moment o
il est primordial au contraire d'unir tous les
efforts.
@{fg shine}Yann-Erick Proy@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juaoActuFrance " Actualit
FRANCE (07-92)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" Le CDROM N
1 AmigaNews (07-92)" LINK juaoCdanews}
@{" EasyCalc 2.0 en fran
ais (07-92)" LINK juaoEasycalc2}
@{" Un spooler intelligent chez ADFI (07-92)" LINK juaoSpooler}
@{" Draco Direct (07-92)" LINK juaoDracodirect}
@{" F
te Nationale de l'Amig@ (07-92)" LINK juaoFetenatio}
@{" Praxis d
marre
Brest (07-92)" LINK juaoPraxis}
@{" Atacom Picardie soutien Viscorp (07-92)" LINK juaoAtacompicard}
@{" Association MANOR (07-92)" LINK juaoManor}
@{" Vidi 24 RT Pro (07-92)" LINK juaoVidi24rtpro}
@{" En bref (07-92)" LINK juaoEnbreffr}
@{" Les Potins de Ramses (07-92)" LINK juaoPotinsramses}
@ENDNODE
@NODE juaoCdanews " Le CDROM N
1 AmigaNews (07-92)"
@TOC juaoActuFrance
@{fg shine}L e C D R O M N
1 A m i g a N e w s
Clubs, Fanzines et associations, envoyez-nous vos contributions!@{fg text}
Le premier CD-ROM AmigaNews sera disponible apr
s les vacances. Il
contiendra:
* Le contenu entier des AmigaNews de 1995 avec textes, images, mat
riel
dit, et un syst
me d'index permettant de facilement retrouver les sujets
qui vous int
ressent. Si ce premier CD s'av
ussi, nous avons
l'intention de publier le contenu du journal sur CD
la fin de chaque
* La premi
re centaine de disquettes DPAT (Domaine Public Amiga
Toulouse), contenant tous les programmes francophones envoy
s par nos
lecteurs depuis le lancement en 1992 jusqu'en fin 1995.
* Une galerie de photos in
dites de personnalit
s du monde Amiga (y
compris des photos de beaucoup de nos correspondantes).
Les Clubs, Fanzines et associations sur Amiga sont invit
nous
envoyer des tiroirs illustr
s pour faire conna
tre leur travail, leurs
activit
s, et bien s
r leurs coordonn
es, en format AmigaGuide ou HTML. Si
votre club a cr
une collection de DP francis
e, nous serons heureux de
l'inclure.
Envoyer vos contributions directement au responsable de l'op
ration:
@{fg shine}Jean Luc Faubert, En Faruselle, 31290 Mauremont. Il sera heureux de vous
aider avec les d
tails techniques entre 14h et minuit au 61 27 06 20.
Nous r
tons: entre 14h et minuit, mais surtout pas avant!@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juaoEasycalc2 " EasyCalc 2.0 en fran
ais (07-92)"
@TOC juaoActuFrance
@{fg shine}E a s y C a l c 2 . 0 e n f r a n
a i s@{fg text}
Le mois dernier St
phane Nicole a chant
les louanges de EasyCalc 2, un
tableur tellement bien qu'il avait du mal
croire que c'
tait du
shareware.
Andrew Woods, l'auteur, tient
ciser que son prix est de
20 et non
15 comme indiqu
dans l'article. L'association AFLE, annonce pour
courant juillet la version fran
aise au prix de 260F pour la disquette
plus manuel. Les utilisateurs enregistr
s aupr
s d'AFLE pour la version
1.0f pourront l'obtenir au prix de 208F.
@{fg shine}Comme tous les produits AFLE, EasyCalc 2.0f sera disponible chez HD
Micro
9 bis rue de la Parcheminerie, Angers.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juaoSpooler " Un spooler intelligent chez ADFI (07-92)"
@TOC juaoActuFrance
@{fg shine}U n s p o o l e r i n t e l l i g e n t c h e z A D F I@{fg text}
Il existe plusieurs logiciels "spooler" pour Amiga mais ici au journal,
pour diff
rents raisons, nous n'avons pas trouv
le spooler qu'il nous
faut. Pourtant, nous avons trois Amiga en r
seau ethernet sous Envoy et une
seule imprimante laser Postscript (HP LaserJet IIP avec cartouche
Postscript) pour les trois.
Actuellement, chaque Amiga a son tiroir Spool: sur disque dur. Nous
imprimons nos fichiers Postscript vers ce tiroir, et quand l'imprimante
est libre (c'est
dire quand le t
moin vert sur le laser ne clignote plus)
nous envoyons les fichiers vers l'imprimante via port parall
le avec la
commande Copy nom-de-fichier to Par:
Bruce utilise un bouton de DirOpus 4 pour faire ceci, tandis que Michel
et Nicole ouvrent la fen
tre Spool sur le Workbench et jettent l'ic
ne du
fichier Postscript sur une ic
ne imprimante de ToolManager.
A l'AmigaShow en Belgique, Pierre Philippe Launay d'ADFI nous a montr
la version b
ta d'un spooler intelligent qui semble r
pondre
nos besoins.
Il permet de donner une priorit
aux fichiers et aux utilisateurs, et
reconna
t diff
rentes formes de fichiers automatiquement (par exemple, il
peut distinguer entre un fichier pour imprimante Postscript et un autre
pour imprimante matricielle ou
jet-d'encre).
@{fg shine}Produit disponible
190F chez ADFI.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juaoDracodirect " Draco Direct (07-92)"
@TOC juaoActuFrance
@{fg shine}D r a c o D i r e c t@{fg text}
Les nouvelles cartes VLabMotion Draco Direct et co-processeur DEC Alpha
MagicDock est une @{"nouvelle" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Mdock1.8c"} @{"norme" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Mdock2.8c"} de @{"dock-anim" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Mdock3.8c"} aux couleurs de MagicWB.
Leur taille est de 32x30 pixels et sont anim
s par deux images.
@{fg shine}Auteur: Eric Gerard.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juaoDemos " DEMOS (07-92)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D E M O S
par Emmanuel Arnaud (earnaud@club-internet.fr)@{fg text}
Pleins feux sur le groupe @{"THE BLACK LOTUS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Tbllogo.24b"} et leur nouvelle
tonnante
alisation. Les d
mopartys de l'
venir risquent de promettre!
En attendant, bonnes vacances...
@{fg shine}I C I N G ' 9 6 e n S u
d e@{fg text}
Cette d
moparty a un fort accent local, mais vu la forme actuelle des
groupes su
dois Three Little Elks, C-Lous et TBL, qui s'en plaindra? Voici
les principales r
alisations:
@{fg shine}T h e T r i b e@{fg text}
T H R E E L I T T L E E L K S
Ils avaient cr
la surprise en terminant 4
la Party 5 avec
Passenger. Les voil
de retour en gagnant la d
mocomp
tition de la Icing.
Une tribu d'
lan (elks en anglais) en 3D dansent devant un totem, c'est le
premier effet de la d
mo! Ensuite, on a droit
un tunnel mapp
avec
formation en vague, objets 3D avec rotating zoomer sur le fond, et de la
3D avec environnement bump. Le code est r
par le duo Explorer,
Tabasco, la musique est de Coma, les graphismes de Ant et Nude, et les
objets 3D par Tudor du groupe TBL...
@{fg shine}K o l o r@{fg text}
C - L O U S
Depuis un an, ce groupe su
dois a affirm
son talent. Ici, leur
production est un peu courte avec un voxelspace color
puis, avec effets
troubles ensuite, avec un tunnel en forme t
drique mapp
. Programm
par
Scout, avec des graphismes de Tinx et Frame, la musique est compos
e par
Some1 et Morrow.
@{fg shine}M i n d T h e C a r r o t 2@{fg text}
T B L
Le premier prix en comp
tition intro 64k pour le trio Offa, Louie et
SuperNao revient une nouvelle fois
TBL. Peu d'effets certes, une carotte
en 3D mapp
en gouraud shading, puis un cube et une main en environnement
bump. C'est propre, et ce n'est qu'une intro...
@{fg shine}@{"G l o w" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Glow.24b"}@{fg text}
T B L
Seulement deux mois apr
s Tint, vainqueur de la Gathering'96, l'
quipe
TBL frappe tr
s fort avec cette nouvelle d
mo (class
e modestement 2nde
la Icing). Ce sont exactement les m
me auteurs, Offa et Equalizer pour la
programmation, Louie, Rodney, Facet et Tudor en graphisme et Supernao et
Azazel pour la musique. C'est encore 6mn47s de bonheur sur Amiga! On
commence par une animation en 3D d'un vaisseau dans l'espace; les effets
sont toujours plus surprenants les uns que les autres: des
clairs
lectriques entre deux plans mapp
s, montagne avec environnement bump,
objet 3d complexe avec gouraud en RGB, d
formation d'une image avec
environnement bump, morphing de boules mapp
es avec tra
e, et plus
encore... Le mieux, c'est de s'installer confortablement devant son
cran
et d'admirer GLOW en attendant la prochaine d
mo de TBL.
@{fg shine}D ' a u t r e s r
a l i s a t i o n s . . .
S p a c e m a n@{fg text}
R A M J A M
Les musicdisks sont tellement rares ces jours-ci que le premier venu
rite d'
tre cit
. Cependant, le groupe italien n'a pas forc
le travail,
seuls les cinq modules sont de bonne qualit
, dans un style un peu techno.
Le design et le code sont vraiment succints. A noter que cette production
n'a rien
voir avec le hit de Babylon Zoo du m
me nom...
@{fg shine}E n e x c l u s i v i t
: I n t e r v i e w a v e c T B
L !@{fg text}
Rencontre avec THE BLACK LOTUSTBL est sans aucun doute @{"le meilleur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Paradise.24b"}
@{"groupe" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicJUIAOU/Tbl.24b"}
actuellement sur Amiga. Apr
s leur magnifique production TINT prim
e lors
de la Gathering'96 et leur nouveau chef-d'oeuvre GLOW, nous avons d
rencontrer au d
tour du net Offa (le codeur de Tint et Glow) et I-GO
(l'homme des relations publiques).
@{fg shine}ANEWS: Comment d
buta l'histoire de TBL?
OFFA@{fg text}: Rubberduck, Dickhead (un gars venu de la sc
ne Atari) et moi
(Offa) form
rent TBL, il y a de cela cinq ans. Au d
but, nous commen
tous par apprendre l'assembleur et le hardware Amiga. Nous r
quelques d
mos de pi
tre qualit
et au bout de quelques temps on commen
concourir dans des petites d
mopartys locales. Notre premi
une
grande party fut Cybernetic qui termina 3
la Gathering'95. Ensuite,
nous avons particip
la plupart des grandes d
mopartys durant 95/96... et
quelques talentueux membres nous ont rejoint.
@{fg shine}ANEWS: Comment expliquez-vous le r
cent succ
s de TBL?
I-GO@{fg text}: Bien s
r, je ne peux pas expliquer franchement le r
cent succ
(et futur j'esp
re... ). Je pense que la solution vient du fait que, depuis
la Party 5, quatre bons graphistes et un bon musicien nous ont rejoints.
Ces personnes (Facet, Rodney, Danny et Louie pour les graphismes, et
Supernao pour la musique et les objets) ont beaucoup travaill
dans le
design de nos derni
res productions et je pense que cela se voit. De
meilleurs graphismes et musiques font des d
mos plus attirantes,
tonnants effets bruts ne sont plus suffisants sur la sc
ne...
@{fg shine}OFFA@{fg text}: Avec un
ge moyen des membres de 19-20 ans, TBL est bien un
nouveau venu sur la sc
me si le groupe est assez vieux...
@{fg shine}ANEWS: La plupart de vos d
mos ont
programm
es par Equalizer et
toi. Est-il plus facile pour un duo de codeur de travailler sur une d
OFFA@{fg text}: Bien... Nous habitons tr
s l'un de l'autre et nous
tions
dans la m
me classe
cole. Tout naturellement, nous avons fait des
mos ensemble. Je pense que c'est plus facile de r
aliser les d
ensemble et de les designer si on est plusieurs codeurs...
@{fg shine}ANEWS: Quand avez-vous d
de r
aliser Tint? Comment avez-vous
travaill
OFFA@{fg text}: Nous avons pens
Tint sur le chemin du retour de la Party 5,
Equalizer, Rodney et moi-m
me. Alors nous avons commen
par r
aliser des
routines, et encore plus de routines. Nous avons am
notre syst
me de
chargement de d
mo et arrang
le ham8-c2p au mieux. Quasiment toute la
programmation a
e sur mon ordinateur car Equalizer ne poss
pas de machine AGA. Equalizer, Rodney et moi avons con
u le design avec
l'aide de quelques autres. Ensuite, nous avons communiqu
via IRC pendant
alisation de TINT (except
les nombreux coups de fil
Rodney...)
@{fg shine}ANEWS: TBL est tr
s actif sur Internet! Comment travaillez-vous en
I-GO@{fg text}: Oui, c'est vrai, beaucoup de membres sont connect
s (7 sur 36
ne le sont pas). Cela rend la communication plus facile
l'int
rieur du
groupe. La fonction d'organisateur du groupe a
: garder le contact
avec tous les membres, d
cider si quelqu'un peut entrer dans le groupe ou
si l'on doit virer un membre (bien que ce ne soit pas la question
actuellement dans les deux sens). Maintenant,
a ne prend pas de temps pour
rester en contact les uns avec les autres. Nous avons notre mailing liste
interne et une homepage interne sur le web prot
par un mot de passe.
Aussi, il y a une bonne communication entre chacun des membres. Un
organisateur n'est pas indispensable pour s'en pr
occuper. Personnellement,
je ne suis pas vraiment un organisateur depuis que nous n'en avons plus. Je
mets
jour r
rement la page TBL, j'approvisionne les diff
rents sites
FTP Amiga avec les d
mos TBL, et je me charge de r
rer les images et
musiques des membres hollandais (c'est toujours l'enfer car Facet et
SuperNao ont pris l'habitude de finir leur contribution pour la d
mo un
jour avant la party). Je pense que notre groupe n'a donc pas besoin d'un
ritable organisateur. Nous sommes plus nombreux que Kefrens
poque de
mo VIII et nos membres vivent en Su
de, Norv
ge, Angleterre et
Hollande (Tim travaille pour Domark actuellement et Equalizer, Louie et
Rodney pour Team17), mais gr
IRC, Email, et WWW, notre communication
est s
rement meilleure!
@{fg shine}ANEWS: Etes-vous attir
par la sc
ne PC?
OFFA@{fg text}: TBL poss
de une section PC mais personnellement, je n'ai pas le
projet de passer sur PC.
@{fg shine}ANEWS: Que pensez-vous de la sc
ne Amiga aujourd'hui?
OFFA@{fg text}: Je pense qu'elle est plus grande que beaucoup ne le pensent.
Beaucoup plus de gens qui poss
dent un Amiga sont inter
s par la sc
compar
e au PC.
@{fg shine}ANEWS: Le futur de l'Amiga?
OFFA@{fg text}: Si le nouveau Power Amiga peut aussi utiliser le Dos et
Windows, je pense que l'Amiga reviendra au top!
@{fg shine}ANEWS@{fg text}: Bonne chance pour les prochaines productions! A bient
t...
Merci I-GO, Offa (pour les r
ponses) et Clary (pour le soutien). A voir sur
le Web @{fg shine}http://www.pi.net/~blahh/TBL.html@{fg text}
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
* Le groupe @{fg shine}Eagles@{fg text} organise pour la 4
me ann
e cons
cutive la Place
To Be
Mont De Marsan du 22 au 26 Ao
t: 'une coding party l
gale
multimachine au cours de laquelle les musiciens, graphistes et codeurs se
retrouvent non seulement pour
changer des id
es, des routines, des
logiciels du domaine public mais aussi pour s'affronter dans de nombreux
concours et ce, durant 101 heures non-stop!'.
Le programme et l'ambiance ont l'air vraiment all
chants. Pour plus
d'infos n'h
sitez pas
contacter les organisateurs:
@{fg shine}brunel@quaternet.fr (email)
ou par t
l 58.52.99.91 @{fg text}
* @{fg shine}Rage !@{fg text} est le nouveau nom du diskmag d'Eremation qui devrait voir le
jour en ce d
but d'
. Il comprendra d
s le num
ro 2, une s
rie de charts.
@ENDNODE
@REM SEPTEMBRE -------------------------------------
@NODE sepNewsInt " News Internationales (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S I N T E R N A T I O N A L E S@{fg text}
@{" L'
chaud des affaires Amiga (09-93)" LINK sepEtechaud}
@{" Amiga chinois (09-93)" LINK sepAmichinois}
@{" Viscorp d
voile un projet d'Amiga portable (09-93)" LINK sepPortable}
@{" En bref (09-93)" LINK sepEnbrefint}
@{" CD d
veloppeur (09-93)" LINK sepCddevelop}
@{" Siamese system (09-93)" LINK sepSiamese}
@{" Haynie: une machine PIOS bient
t (09-93)" LINK sepHaynie}
@{" Walker (09-93)" LINK sepWalker}
@{" Opus 5.5: un an de travail (09-93)" LINK sepOpus55}
@ENDNODE
@NODE sepEtechaud " L'
chaud des affaires Amiga (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}L '
c h a u d d e s a f f a i r e s A m i g a@{fg text}
Escom et Amiga Technologies en faillite, les Chinois et Pios en lutte
avec Viscorp pour l'achat de l'Amiga, un projet d'Amiga portable: beaucoup
d'@{"
nements inattendus" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Captain.8bt"} sont survenus depuis le bouclage de notre num
Le 19 juillet, Bernhard Hembach, l'administrateur de liquidation, et
Bill Buck, pr
sident de Viscorp, ont sign
un contrat de vente qui donne
Viscorp jusqu'au 19 ao
t pour finaliser son achat et devenir enfin
propri
taire de l'Amiga.
Viscorp travaille sur une carte 68060, et va continuer de vendre des
machines existant, en attendant les d
cisions de son groupe de sp
cialistes
qui va choisir les grandes lignes de l'architecture Amiga du futur.
@{fg shine}Message de Bill Buck
la communaut
Amiga@{fg text}
1. Escom AG et Amiga Technologies GmbH sont en faillite et vont cesser
d'exister. Viscorp a conclu un accord avec l'administrateur pour la
liquidation de ces deux soci
s, et avec les cr
diteurs, pour l'achat de
Amiga. Il y avait au moins 11 banques ou soci
s qui r
clamaient les
droits comme "propri
taires" de la technologie ou de l'inventaire. Escom
avait des dettes de plus de 250 millions de dollars. Imaginez la
confusion...
2. Les proc
dures que nous avons du suivre depuis trois mois
taient
laborieuses. Au fur et
mesure que la situation chez Escom s'est
terior
e, nous
tions oblig
s de continuellement ren
gocier notre contrat
d'achat... La situation chez Escom et Amiga Technologies
tait extr
mement
perturb
en partie aux probl
mes de finances et gestion, mais aussi
cause des lacunes d'organisation par Commodore de sa propri
intellectuelle. La faillite de Commodore a cr
de nombreux probl
mes qui
n'ont jamais
3. Le contrat d'achat final (et dernier de trois)
tait sign
le 19
juillet. Il ne peut pas
tre chang
; il a
. La propri
intellectuelle de l'ancien Commodore, et l'inventaire de l'ancien Amiga
Technologies, seront finalement la propri
de Viscorp. Les derni
formalit
s seront termin
es dans les 30 jours qui suivent. Pendant ce mois,
une soci
Viscorp GmbH sera enregistr
e et Amiga Technologies continuera
rer provisoirement en faillite pour Viscorp.
4. Petro Tyschtschenko et son
quipe continueront
rer en
Allemagne. Raquel Velasco et Petro Tyschtschenko seront les nouveaux
directeurs g
raux d'Amiga, qui prendra le nom VIScorp GmbH. Al Duncan, un
ancien directeur g
ral de Commodore, rejoindra Viscorp pour g
rer les
ventes et la distribution des produits Viscorp et Amiga en Am
rique du
Nord. Petro Tyschtschenko continuera
rer depuis l'Allemagne et
les activit
s actuelles. Raquel cherche quelqu'un de la communaut
pour
rer la r
organisation de la vente et la distribution en Europe. Veuillez
crire
raquel@vistv.com si vous
tes la personne pour ce travail.
5. Les efforts d'ing
nierie de l'ancien Amiga Technologies et
l'actuelle ing
nierie de Viscorp seront r
unis et g
professionnellement. Nous avons l'intention de commencer tr
s bient
implementer les projets que nous avons esquiss
Toulouse.
6. Veuillez excuser notre manque de communication avec la communaut
ces derniers mois. Nous
tions contraints
une restriction s
concernant la communication de nos activit
s. Veuillez r
-envoyer vos
courriers
lectroniques s'ils n'ont pas re
u de r
ponse par cette lettre.
tait simplement impossible de r
pondre
tous les courriers
lectroniques.
7. N'attendez pas de miracles de Viscorp. Attendez un progr
s lent,
mais certain.
Merci pour votre soutien.
@{"Bill Buck" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Bill.24b"}
@{fg shine}E S C O M : f r a p p
p a r l a f o u d r e@{fg text}
Le prix de l'acquisition de l'Amiga n'a pas
tait d
, mais dans
une pr
dente annonce le 24 juin, Viscorp a d
avoir achet
le stock
d'ordinateurs finis, les composants, et les droits intellectuels sauf la
marque Commodore au prix de "approximativement de 40 millions de dollars US
en stock et argent". Les actions de Viscorp ont favorablement r
agi,
augmentant de 3/8
$11 1/8. Mais apr
s l'inattendu faillite d'Escom et
l'annonce d'un nouveau contrat avec l'administrateur, l'action
tait
redescendue le 9 ao
$9.37.
La faillite du second assembleur et distributeur de PC europ
en est
devenue in
luctable apr
s le refus de ses banquiers et de ses actionnaires
(dontSiemens Nixdorf et Quelle), d'injecter de nouveaux capitaux. En mars,
ils avaient d
apport
100 millions de marks pour couvrir les pertes de
1995.
L'unit
hollandaise, Escom Netherlands, sera probablement vendue
ses
dirigeants et
deux groupes d'investisseurs hollandais. La nouvelle
continuera
vendre des ordinateurs
travers son r
seau de 34
magasins, mais 20% du personnel perdront leur travail.
En Grande Bretagne, aucun acheteur n'a
trouv
et la fermeture
totale, avec perte de mille emplois, semblait la plus probable solution.
Enfin, d'apr
s l'agence de presse Reuters, l'agence allemande qui surveille
les transactions boursi
res, a ouvert une enqu
te suite aux ventes massives
d'actions Escom juste avant l'entr
e en r
glement judiciaire de la soci
D'apr
s l'agence, le volume des ventes
tait huit ou neuf fois plus
que les jours pr
dents.
@{fg shine}E r r e u r s d e g e s t i o n . . .@{fg text}
Escom a
brutalement sanctionn
pour quelques erreurs de gestion:
des inventaires trop
s de Pentium 75 dont la valeur a plong
vertigineusement, mais aussi, une insuffisance de fonds pour financer sa
croissance. Ces probl
mes, associ
un ralentissement de croissance du
march
domestique des PC, ont suffi
mettre
genoux une soci
qui, une
e auparavant, au moment o
elle rachetait l'Amiga, semblait un mod
de croissance et de dynamisme. Personne ne met en cause l'op
ration Amiga,
ce qui semble indiquer que malgr
des d
penses de DM 100 millions sur
l'Amiga, il y a eu quelques rentr
es int
ressants sans compter le prix
d'achat qui sera (si tout se deroule comme prevu!) apport
par Viscorp.
On peut citer, par exemple, la vente
une soci
chinoise de certains
droits Amiga par Escom (voir l'interview donn
Montr
al par David Rosen
de Viscorp). Il y a eu
galement, des ventes non-n
gligeables d'Amiga 1200
en Allemagne, m
me si les ventes en Grande Bretagne et d'autres pays
taient d
cevantes pour ne pas dire catastrophiques.
@{fg shine}P o u r q u o i t a n t d e . . .@{fg text}
Dans un discours, le 3 ao
l'occasion de la Convention Amiga
Montr
al, David Rosen, vice-pr
sident du d
veloppement commercial chez
Viscorp, a encore exprim
son m
pris pour les pr
dents propri
taires de
l'Amiga.
"Commodore et Escom ont tout fait pour tuer la plateforme. Nous voulons
la faire vivre, et nous allons r
ussir" a t-il dit.
"Apr
s l'accord d'une licence pour la technologie, il est tr
s vite
devenu
vident qu'Escom n'avait pas d'argent et qu'il n'avait aucune id
sur ce qu'il allait faire de l'Amiga.
AT avait fait un "tr
s mauvais boulot". "Ils n'ont jamais parl
avec
les gens en Grande Bretagne, Italie, France, etc. Petro va probablement
continuer car il conna
t les r
seaux commerciaux en Allemagne. Mais Petro a
"donn
" le Royaume Uni. Nous voulons changer cela."
A propos du Walker (le nouvel Amiga de AT qui n'a jamais
comercialis
), David Rosen a
encore plus dur:
"Le Walker n'
tait rien. Il n'y a jamais rien eu. Ca fonctionnait
peine et aurait demand
beaucoup plus de travail." (Ed: voir les
commentaires de Dave Haynie
propos de ces remarques)
"Notre but est d'avoir deux lign
es de business, y compris le
veloppement de l'Amiga OS. Nous avons aussi l'UITI (un bo
tier Internet
pour t
viseurs) avec Emerson et l'ED (un bo
tier permettant l'ajout
d'Internet et de multiples autres fonctions
un t
viseur).
"Nous esp
rons que dans le mois qui suit, nous aurons d'autres contrats
de licence que nous pourrions utiliser pour financer le c
ordinateur. Il
y a un march
"niche" pour des ordinateurs de bas et haut de gamme. Le set-
top box peut soutenir financi
rement le c
ordinateur, et le
veloppement c
Amiga peut b
ficier du set-top box.
@{fg shine}U n e c a r t e ' 0 6 0@{fg text}
"Pour l'Amiga, notre but
court terme est de sortir une carte
ratrice 68060.
"Nous organisons un groupe de design architectural. Nous voulons les
meilleurs gens, et nous embaucherons d'autres ing
nieurs la semaine
prochaine.
En r
ponse aux questions, @{"David Rosen" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Rosen.8bt"} a d
que l'ED sera disponible
vrier. Viscorp cherche ses clients parmi les moins grandes soci
s de
vision c
es, car "les grosses exigent plus d'engagement que nous ne
pouvons proposer".
Une carte ED pour Amiga est "probable" ult
rieurement. Le browser web
que Viscorp pr
pare pour ED tournera sur Amiga. Les d
veloppements sous
processeur RISC ne tourneront probablement pas sur ED
cause de leur co
Le prix "cible" est de 300 dollars.
Viscorp a discut
du langage Java avec Sun, et a consid
l'id
d'inclure ce nouveau langage dans ses set-top boxes, mais a finalement
que cela serait "trop
la fois".
Une fois l'achat termin
, Viscorp fera une action concr
te concernant
l'Amiga, dans environ un mois.
En r
ponse
une question sur les centres d'int
t de Viscorp, Rosen a
pondu que jusque l
, Viscorp avait en mire le set-top box, et,
actuellement, "pour l'Amiga computer, nous sommes encore en train de
cider ce que nous allons en faire. Le travail du groupe de design
architectural (ADG) sera de d
cider o
nous pouvons aller avec la
plateforme, l'OS, la question de processeur, etc." Viscorp vendra des
licences Amiga seulement quand les projets suivront les futurs standards
s par l'ADG, et "une sensibilit
envers les sujets historiques que
les utilisateurs pourraient souhaiter".
@{fg shine}L e s r i v a u x@{fg text}
David Rosen a r
que New Star, une soci
chinoise, a achet
Escom les droits de distribution en Chine pour les 020, 030, et 040 Amiga.
Viscorp est en discussion avec New Star et est "tr
s optimiste" concernant
le march
chinois. Il a aussi r
qu'une soci
chinoise, et aussi la
PIOS, ont essay
d'acheter l'Amiga pendant la faillite d'Escom.
D'apr
s lui, les chinois "ne savaient pas vraiment ni ce qu'
tait l'Amiga,
ni ce qu'ils allaient en faire s'ils avaient r
ussi
l'acheter". Il n'a
pas dit la m
me chose
propos de PIOS, qui compte les ex-Commodorians,
Dave Haynie et Andy Finkel dans son
quipe.
La soci
allemande Eagle Computer Products, dirig
e par
@{"Andreas Konjevic" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Konjevic.8bt"}
nous a inform
but ao
t qu'elle aussi a contact
le liquidateur d'Escom
pour proposer un achat de l'Amiga.
Eagle a deux partenaires financiers (un allemand et un suisse) et se
dit soutenu par le groupe "Amiga Projekt" (voir News Allemagne, p12), qui
compte parmi ses membres phase 5, MacroSystem et ProDad.
Eagle a exprim
des doutes concernant la capacit
de Viscorp
rassembler des fonds n
cessaires pour conclure son achat.
@ENDNODE
@NODE sepAmichinois " Amiga chinois (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}A m i g a c h i n o i s@{fg text}
De passage
wan, un informaticien a remarqu
un petit ordinateur
genre C64 qui affichait un
cran intrigant. En regardant de plus pr
s, il a
reconnu le Workbench de l'Amiga en chinois. Pour impressioner ses amis
amiga
stes en Europe, il a achet
la machine pour environ 8-900F.
Notre source, amiga
ste, a pu l'essayer avec Workbench 3.1 sans
probl
me. Il a
galement essay
une disquette de jeux chinois sur un Amiga
classique, sans probl
me, ce qui indiquerait que ce clone 1200 chinois est
premi
re vue d'une bonne compatibilit
@ENDNODE
@NODE sepPortable " Viscorp d
voile un projet d'Amiga portable (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}V i s c o r p d
voile u n p r o j e t d ' A m i g a p o r t
a b l e@{fg text}
Atlanta le 10 ao
t: Jason Compton, Directeur de Communication chez
Viscorp, est arriv
au meeting d'Atlanta Amiga Users Group avec sous le
bras (ou presque), un gros bo
tier contenant un 4000 portable! La machine
tait pas en ordre de marche, et il n'est pas dit si ce produit vient
vraiment de Viscorp ou bien d'une initiative de Dave Ziembicki, directeur
de la soci
QuikPak et distributeur de l'Amiga en Am
rique du Nord, qui
semble en
tre l'architecte.
D'apr
s Jason Compton, le portable, qui est plut
t un "transportable",
aura les m
mes caract
ristiques que l'Amiga 4000T en termes de SCSI,
connecteurs vid
o et Zorro, avec une nouvelle carte m
"Il n'est pas exactement petit, mais il sera
d'un 68040 ou
68060. Actuellement, Dave parle de le faire autour d'un '060".
@{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Porta2.256"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Porta3.256"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Porta4.256"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Porta1.256"}
@ENDNODE
@NODE sepEnbrefint " En bref (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}E n b r e f@{fg text}
@{fg shine}Java@{fg text}: d'apr
s le journal OI Informatique (dossier sur les outils de
veloppement, 5 juillet), le langage Java de Sun "appartient bel et bien
la cat
gorie des langages g
ralistes et pourrait se r
ler le digne
successeur de C++, avec tous les avantages du langage objets sans ses
inconv
nients".
@{fg shine}DataChrome@{fg text}: l'
diteur de ce syst
me, qui permet
n'importe quel
logiciel d'utiliser les datatypes de fa
on transparente, annonce que
Datachrome sera disponible en France d'ici peu. L'adresse corrig
e de
diteur se trouve dans notre Carnet d'adresses en fin de journal.
@{fg shine}PC Task 4.0@{fg text} n'est pas encore sortie: Chris Hames, auteur de PCTask,
nous informe que PCTask v4 n'est pas sortie et il n'y a pas encore de date
de sortie. Il ajoute que sur un 4000
25MHz la V4 sera beaucoup plus lente
qu'un 486/25MHz, mais tout de m
me plus rapide que la version actuelle. Les
instructions du 486 sont
@ENDNODE
@NODE sepCddevelop " CD d
veloppeur (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}C D d
v e l o p p e u r@{fg text}
Pascal Rielland
crit:
Le @{"CD d
veloppeur d'Amiga Technologies" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Cd.256"}: de la documentation enfin!
Sur le "networking", Envoy2.0, TCPIP AS225, SANA II. Sur le PCMCIA, les
MDK. Sur le CD32...
Des exemples de code: sur les APPIcons, l'ASL, l'Arexx, Intuition, le
SCSI ... Les ROM Kernels en AmigaGuide! Les includes et autodocs 3.1, tous
les descriptifs des formats IFF, de l'EPSF
l'AIFF. Les outils de
veloppement, de Enforcer
Tasklist. Et tous les AmigaMails (un journal
de Commodore pour d
veloppeurs)... bref, un CD qu'on attend depuis
longtemps.
Le tout est directement utilisable car non compress
et les
documentations sont au format Amigaguide. La surprise est le peu de place
utilis
e sur le CDROM: juste 75 Mo. Il y aurait de la place pour un bon
compilateur...
Editeur Stefan Ossowski. Prix moins de 100F
@ENDNODE
@NODE sepSiamese " Siamese system (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}E n c o r e r a t
@{fg text}
Nous n'avons toujours pas termin
notre test du Siamese system, et ce
n'est pas la peine de vous le promettre pour le mois prochain,
a porterait
malheur. En attendant, un deuxi
me journal anglais, CU Amiga, a donn
score de 93%
ce syst
me qui permet de relier Amiga et PC avec un seul
clavier et
cran. Dapr
s le testeur de CU, c'est "le produit la plus
volutionnaire de l'ann
e". C
PC, la carte SCSI PCI NCR810 fonctionne
correctement, et les cartes Adaptec aussi. C
Amiga, le SCSI du 3000,
l'Oktagon, Surf Squirrel, et Ferret fonctionnent, mais pas les Blizzards ni
la premi
re Squirrel de chez Hisoft.
Allez, un troisi
me testeur va commencer son boulot pour vous,
incessament sous peu...
@ENDNODE
@NODE sepHaynie " Haynie: une machine PIOS bient
t (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}H a y n i e : u n e m a c h i n e P I O S b i e n t
t @{fg text}
Dave Haynie a donn
quelques id
es de la premi
re machine Pios, qui
devrait
tre disponible "bient
t" selon lui. Et d'apr
s ses interventions
sur Internet, on peut supposer que la Pios sera un RISC bas de gamme, peut-
tre avec une option BeOS.
En r
ponse
une remarque de Kamel Biskri disant que pour le portage de
l'Amiga OS sur RISC "on ne voit pas le bout du tunnel", Haynie a r
pondu:
"Et bien, je l'ai vu pendant un court moment l'hiver dernier, quand
j'ai aid
directement les efforts RISC d'AT. Malheureusement, il n'y avait
pas d'argent d'Escom et vous connaissez la fin de l'histoire. Chez Pios, au
moins, nous allons sortir un syst
me RISC, et prochainement. Nous voudrions
rendre possible l'option de faire tourner Power Amiga OS, au moins
rieurement, mais franchement, personne ne sait ce que Viscorp va faire.
Personnellement, je suis fatigu
des faux d
parts et des faux espoirs".
En d'autres conversations, il a r
que l'objectif primaire de Pios
tait de produire des machines "orient
es vers le consommateur". Les
desktops plus rapides, compatibles PPCP, ne sont pas exclus, mais il faut
un "petit" produit, qu'on pourrait d
crire comme "gamme 1200".
D'autres cybernautes ont fait la remarque
Haynie que Be Inc a souvent
qu'il vendrait les licences BeOS au prix de $50 par machine
(environ 250F). Mais BeOS serait-il capable de tourner sur un seul
processeur 603 avec 8Mo de RAM?
La r
ponse de DH: "Oui. Le syst
me tourne dans 8Mo, on peut commuter un
(ou deux) processeurs pour essayer. C'est pas mal. Evidemment, davantage de
moire et de CPU c'est mieux, mais nous parlons de produits bas de gamme.
Si on ajoute de la RAM Fast
un 1200,
a tourne quatre fois plus vite,
mais m
me en version de base, la machine reste utilisable. Je crois qu'un
me BeOS avec 8Mo sera bien plus utilisable".
Fred Fish, qui lui-m
me travaille sur B
, a not
que Pios pourrait
sortir une machine capable de faire tourner MacOS ou BeOS et fournir un
environnement d'
mulation permettant l'ex
cution de logiciels Amiga.
(Ed: il pensait peut-
UAE? Voir l'article sur UAE p28)
@ENDNODE
@NODE sepWalker " Walker (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}W a l k e r@{fg text}
Dave Haynie a d
crit comme "trompeuses" certaines remarques de David
Rosen
Montr
al. @{"Le Walker" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Walker.8bt"}
tait un produit justifiable au moment de sa
conception, mais comme il n'est pas en production il est inutile d'en
parler, dit Haynie. Il a
galement critiqu
la r
ticence de Rosen envers le
processeur PowerPC.
@ENDNODE
@NODE sepOpus55 " Opus 5.5: un an de travail (09-93)"
@TOC sepNewsInt
@{fg shine}O p u s 5 . 5 : u n a n d e t r a v a i l@{fg text}
En Australie, GP Software annonce la disponibilit
de Directory Opus
5.5. Les utilisateurs qui se sont enregistr
s directement, recevront une
offre sp
ciale de mise
jour par courrier, les autres devraient contacter
leur distributeur local.
Parmi les nouveaut
s, se trouve un afficheur de fonts (cliquez sur une
font pour le voir); un mode Icon Action qui donne aux ic
nes toute la
puissance du mode de listes de noms; plus besoin d'activer les listes avant
de pouvoir voir les clics des boutons central et droit de la souris; Opus
FTP int
permet d'acc
der aux sites Internet directement; les barres
nes peuvent
tre sans bordures; pop-up menus sp
cifiques aux
rents types de fichiers et ic
nes; nouvelles touches de fonctions
pendants; nouveau syst
me de scripts permettant le d
clenchement de
fonctions par la majorit
des
nements syst
me; cr
ation de file-types
(classes de fichiers) plus facile; nouveau syst
me de couleurs pour boutons
et ic
nes avec suport pour Magic Workbench et syst
mes similaires; support
de Cybergraphics; il est possible de cacher les ic
nes d'unit
s sur la
tre principale d'Opus; meilleur support du Clipboard (couper/coller
possible dans les gadgets et listes de fichiers); les fen
tres de listes ne
sont plus bloqu
es pendant une activit
et peuvent
tre redimensionn
scroll
es et ic
es en permanence; les "Snapshots" (fonction Figer)
sont dor
navant trait
parement de ceux du Workbench; il est possible
d'afficher une image de fond ou motif dans les fen
tres de listes...
Plusieurs nouvelles commandes internes et de nombreuses commandes ARexx
ajout
es, et il est m
sormais possible d'ajouter ses propres
commandes avec ARexx.
@{"Voici une nouveaut
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Dopus5.16c"}: on a la possibilit
de combiner dans un lister,
les "Toolbars" et les ic
nes. Vous pouvez voir aussi un dock sans "border".
@ENDNODE
@NODE sepActuFrance " Actualit
FRANCE (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" Amiga Show '96
Paris (09-93)" LINK sepAmigashow96}
@{" DracoMotion au Satis (09-93)" LINK sepDmotionsatis}
@{" Cuda en liquidation (09-93)" LINK sepCudaliquid}
@{" Lecteurs HD moins chers (09-93)" LINK sepLecteurhd}
@{" Majordome v2 (09-93)" LINK sepMajordomev2}
@{" DP Aminet sur Minitel (09-93)" LINK sepDpminitel}
@{" Corsaire:
l'ann
e prochaine (09-93)" LINK sepCorsaire}
@{" ABank n'est plus (09-93)" LINK sepAbank}
@{" Cherche d
veloppeur Amiga (09-93)" LINK sepCherchedevelop}
@{" En bref (09-93)" LINK sepEnbreffr}
@{" Images virtuelles III
Lille (09-93)" LINK sepImagevirtu}
@{" Vid
o Games de Roubaix (09-93)" LINK sepVideogames}
@{" ART'bastringue (09-93)" LINK sepArtbastringue}
@ENDNODE
@NODE sepAmigashow96 " Amiga Show '96
Paris (09-93)"
@TOC sepActuFrance
@{fg shine}A m i g a S h o w ' 9 6
P a r i s@{fg text}
Corsaire Production, FUGAmiga et DeltaGraph'X annonce qu'ils
organiseront un Amiga Show en r
gion parisienne d
but novembre. Au
programme: deux jours de contacts et de rencontres avec les fournisseurs et
les revendeurs fran
ais et europ
ens, des prix en f
te, et la possibilit
de @{"rencontrer" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Afan1.16c"} de @{"nombreux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Afan2.16c"} @{"amiga
stes" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Afan3.16c"}.
Les objectifs
s par le comit
d'exposition sont de proposer des
stands plus abordables que l'ann
e derni
re, plusieurs stands aux soci
associations et cr
atifs qui n'ont rien
vendre mais tout
montrer,
t minimal.
On pr
voit l'ouverture d'un cybercaf
pendant le salon avec l'aide du
serveur Club-Internet et la participation de "nombreux exposants allemands,
anglais, belges et Innelec". Eric Laffont de Viscorp a indiqu
Concernant Imagine V5.0, je peux dire que travailler avec est tr
able:
- rafra
chissement des fen
tres tr
s rapide en toutes circonstances,
rement un peu en dessous de la prochaine version d'Imagine en
Cybergraphics,
- le texturator est pass
la vitesse sup
rieure (jusqu'
environ x4 avec
Cyberpatcher)
- La fen
tre de rendu, surtout en wireframe est devenue supersonique.
Test sous Imagine:
Image 736x566 calcul
e en Ray tracing "mode Trace" en 24 Bits (pour les
tests on peut mieux se rendre compte du facteur d'acc
ration avec une
ne compliqu
A4000/040 25 MHz: 1H07'25" gain=1.00
A3000/040 28 MHz GVP: 56'11" gain=1.19
A3000/060 50 MHZ: 21'36" gain = 3.12
(avec Cyberpatcher)
Il ne manque pas grand chose
Imagine sauf une version 68060 pour un
facteur d'acc
ration sup
rieur. Alors, Messieurs de chez Impulse au
boulot! Suite
mon article du mois de juin concernant Imagine 5.0 (A-News
92 page 24), la version CYBERGFX devrait
tre disponible fin ao
septembre 96 suite
mes
changes de courriers
lectronique (via Internet)
avec IMPULSE.
Phase 5 m'a conseill
de tout faire pour mettre
niveau mon A3000.
J'ai donc d
d'installer la derni
re version du RAMSEY (V7) et de
valider les acc
la RAM
60 ns (avec SystemPrefs V3.4). J'ai gagn
environ 10 % de vitesse et sans plantage!.
Aladdin4D V4.1 devient impressionnant en vitesse de calcul (important
pour les anims) mais curieusement celui-ci fonctionne bien mieux en mode
EGS qu'avec le Cybergraphics.
Je ne parle m
me pas de Shapeshifter V3.5 (sous CYBERGFX) qui devient
bien plus rapide qu'un QUADRA 950 test r
avec Speedometer V3.06 (voir
grab d'
cran qui parle de lui m
@{fg shine}H a r d w a r e@{fg text}
Au niveau Hardware, la PiccoloSD64 r
agit tr
s bien
l'apport de
vitesse de la 060. Aussi, elle fonctionne tr
s bien en mode Zorro3 (Buster
V11 indispensable!). Je poss
galement une Peggy Plus MPEG qui elle
aussi s'adapte tr
s bien et continue de montrer ses anims MPEG comme si de
rien n'
tait.
@{fg shine}L e 6 8 0 6 0 M K 2
a c h a u f f e !@{fg text}
Il est vrai que le processeur chauffe beaucoup,
tel point qu'en le
faisant tourner sans le capot du 3000 (am
pour la ventilation), j'ai
eu l'impression que l'
cran dansait la Lambada! (probl
mes de refresh,
plantages intempestifs s
rement d
la chaleur de cette
poque). Mais
, depuis que je poss
de la GFORCE 040 dont la surface est 3 fois celle
de la CYBERSTORM (avec 16 Mo de RAM sur la carte m
re et donc sous la
GFORCE), il a fallu trouver une solution pour le refroidissement (suite aux
plantages divers):
- d
couper tout simplement le capot du 3000 pour y ins
rer sur le c
gauche, quatre ventilateurs mont
s en soufflerie vers les cartes
d'extensions,
- le ventilo de l'alimentation assure l'extraction, et cr
e un courant
d'air, ce qui donne une ventilation des plus performantes. Pour moi, pas
besoin de radiateur sur le CPU! (m
me l'
par 35
Plut
t que de bricoler, il vaut peut-
tre mieux tout installer dans une
tour:
- on a plus de place disponible,
- on a quand m
me une meilleure ventilation.
@{fg shine}L e s t e s t s@{fg text}
@{"Voici" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/MkIItablo.8c"} @{"les" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/MkIItest.16c"} @{"tests" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/MkIItest2.16c"} que j'ai pu r
aliser en comparant en grande partie les
sultats obtenus entre la GVP 040 cadenc
28MHz et la Cyberstorm 060
50 MHZ. La GVP est donn
e pour 22 MIPS soit une vitesse globale de 20% plus
rapide (soit x1,22) que le A4000/040 de base. De plus, la m
moire pr
sente
sur la GVP 040 est
40ns (penser aussi que nous sommes en pr
sence d'un
A3000 qui d
a son origine en 030, a des acc
moires bien plus rapides
que le A4000/040).
Les logiciels que j'ai utilis
s pour les tests:
- AIBB V6.5 et Imagine V5.0.
Remarque importante: les tests sont r
s avec des
crans en 256
couleurs forc
s dans la Piccolo SD64 en 640x256. Le gain tr
s important de
EllipseTest et du LineTest provient de la PiccoloSD64 (64Bits).
Les acc
la Rom ont
ment acc
la Commande
ROM2FAST livr
e avec la 060 (
installer avant la commande Setpatch dans la
Startup).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Cette carte est un tr
s bon produit, fiable, tr
s simple au niveau de
l'installation comme de l'utilisation. Elle semble encore sous-exploit
par de nombreux logiciels en esp
rant que les d
veloppeurs vont suivre...
Les logiciels r
agissent tr
s bien
cette carte puisque le seul qui plante
en 060, en ma possession, c'est AIBB.
Pour les personnes qui l'installeront dans un bo
tier type desktop, il
sera n
cessaire de bricoler le bo
tier afin d'assurer un refroidissement
correct de la 060, sinon gare aux plantages.
L'extension SCSI-2 sera indispensable pour les personnes qui utilisent
par exemple des cartes de montage virtuel comme la Videocruncher, Vlab
Motion ou qui ont besoin de lecture directe
haut d
bit depuis le disque
dur. Pour ma part, je trouve la vitesse du SCSI d'origine plus que
satisfaisante. De plus, mon A3000 va finir par devenir un vrai morceau de
re. J'ai donc pr
troquer mon extension SCSI-2 pour de la m
moire
suppl
mentaire. En effet, pour le mod
le Desktop, il faudrait d
couper la
le pour placer l'extension sous l'emplacement du lecteur 3.5 (de droite,
donc plus de lecteur DF1:). D'apr
s la Doc, il est n
cessaire de modifier
la carte m
re du A3000 afin de r
rer un signal d'interruption qui n'est
pas fourni par le slot processeur du A3000 (modification n
cessaire que
pour le A3000).
Certains vont peut
tre penser que la vitesse ainsi obtenue ne justifie
pas l'achat de cette carte par rapport
une 040
40Mhz. Moi, en tous cas,
je ne regrette pas mon achat loin de l
parce que:
- premi
rement, une possibilit
de reprise sera possible, selon PHASE 5,
pour assurer une upgrade de la Cyberstorm 060 vers le POWER PC.
- deuxi
mement, le montage du processeur 060 sur support permettra d'y
installer facilement un 68060 cadenc
une fr
quence sup
rieure (66MHz,
80MHz d
s qu'ils seront disponibles).
@{fg shine}Philippe LLOMBART
philippe.llombart@wanadoo.fr@{fg text}
Pas de chance pour ANews
Michel: J'ai pu remarquer que la gestion de la m
moire Fast sur le plan
vitesse d'acc
s n'est pas vraiment optimis
e (voir aussi le test de Yann
sur la DKB WildFire). Je constate surtout que la Mk2 chauffe beaucoup plus
que la Blizzard 1260 et la TekMagic. Pour quelles raisons? Qu'est-ce qui
re avec la TekMagic? En tous cas pour la MK2, ventilation forc
obligatoire.
Et surtout, comment r
agiront les versions 66 et 80Mhz? Nous arriverons
des surchauffes de type Pentium.
En revanche, l'acc
la m
moire chip a
. Nous avons pu
faire un petit test comparatif entre PC et A4000 (plus une MK2) en vid
disposant maintenant de Scala sur PC.
Le 4000
quivaut en affichage (vitesse scrolling texte, fondu entre
deux images, scrolling d'image...)
un P133 avec une carte m
re optimis
D'apr
s Eric Lapalu, pour le moment, en vid
o overscan (736x568), nous
pouvons donner l'avan-tage au 4000. Avec un 060, le vid
aste ne reconna
pas sa machine.
Sur le plan de fiabilit
, au journal nous n'avons pas eu de chance:
deux cartes test
es, deux cartes instables (voir m
me ne fonctionnant pas)
dans trois machines diff
rentes (deux A4000 et un A3000 avec Ramsey 7 et
Buster 11, toutes trois en ventilation forc
e). Apr
s ces r
sultats
sastreux pour nous, les MK2 ont m
me fini par s'arr
ter. Pourtant, deux
revendeurs nous assurent que leurs nombreux clients
taient satisfaits du
produit et n'ont pas not
de probl
me. Alors, de la malchance chez nous?
@ENDNODE
@NODE sepPicasso2+ " PicassoII+ (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P i c a s s o I I +
Carte graphique 24 bits et haute r
solution pour bus Zorro II@{fg text}
Ultime mise
jour de la carte graphiqe
succ
s du fabriquant
allemand, la Picasso II+ doit permettre d'attendre la sortie, depuis
longtemps annonc
e, de la Picasso IV. Autant le dire tout de suite: il n'y
a aucune innovation majeure dans cette carte, et aucun programme de
migration de la Picasso II vers la Picasso II+ n'est
envisager.
@{fg shine}R a v a l e m e n t d e f a
a d e@{fg text}
Dans la bo
te (celle de la Picasso), @{"la carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Picassocarte.256"}, un c
ble VGA, quatre
disquettes et un manuel en anglais. Ce dernier a
profond
ment remani
pit d'un volume tr
s proche (108 pages), beaucoup d'informa-tions y
rajout
la faveur d'une nouvelle mise en page. Tous les outils
fournis avec la carte y sont d
sormais document
s, ce qui n'est pas un
luxe, surtout pour le d
licat outil de param
trage PicassoMode.
La carte elle-m
me est dans la veine des cartes modernes: tr
e, elle est beaucoup plus petite que la pr
dente (moins longue et
moins haute).
Un rapide coup d'oeil donne
rer au moins une petite acc
ration: la
RAM n'est plus en 60 ns mais 50 ns!
D'apr
s Village Tronic, le Blitter est aussi plus rapide.
Toujours d'apr
s son fabriquant, les autres am
liorations sont :
sence d'une interruption VBL (Vertical BLanking),
sactivation possible des modes DPMS, susceptibles d'endommager les
moniteurs trop anciens pour les supporter,
- correction automatique de la luminosit
si la pr
sence du module vid
Pablo est d
Pour tester la vitesse de la carte, il a
proc
de mani
re tr
simple : la Picasso II+ est all
e remplacer une Picasso II dans un A2000
d'une Blizzard 2060, avec la derni
re version du sous-syt
graphique CyberGraphics, plut
t que les logiciels fournis avec les Picasso.
L'outil IntuiSpeed, fourni avec toutes les Picasso, a
utilis
pour
faire les comparaisons, puis un logiciel similaire pour Macintosh, utilis
sous ShapeShifter avec un
cran 8 bits (256 couleurs) via CyberGraphics.
@{"Les tests" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Picassotest.16c"} font appara
tre une franche sup
riorit
de la Picasso II+,
qu'il faut cependant savoir pond
rer en raison de:
- l'impr
cision m
thodologique (le fonctionnement en multi-t
ches ne peut
garantir une parfaite
- l'impr
cision num
rique (
vidente sur des tests comme
Window Layer
Size Window
La fluctuation importante des r
sultats test apr
s test invite de toute
la prudence. Tabler sur une acc
ration de 10 % para
t raisonnable
(sous ShapeShifter, on obtient une acc
ration de 2
16 %, selon les
tests).
Le r
sultat n
gatif pour
Write pixel
illustre non seulement cette
fluctuation, mais aussi le fait que ce test-ci d
pend beaucoup plus du
processeur et des acc
s en m
moire que de la carte elle-m
me. C'est ainsi
qu'on double le score sur ce test en ayant CyberGraphics plut
t que le
logiciel d'origine Picasso (notamment gr
l'utilisation pour la copie
moire d'une instruction des processeurs 68020 et plus), ou un 68060 50
MHz plut
t qu'un 68040 28 MHz.
@{fg shine}L e s l
z a r d e s s o n t l
@{fg text}
ce propos, il est tout
fait regrettable que Village Tronic n'ait
pas daign
proposer des logiciels plus r
cents pour piloter la carte. Ceux
qui sont fournis datent en effet de 1994. La partie centrale de ces
logiciels
tait d'ailleurs l'oeuvre des programmeurs actuels de
CyberGraphics, qu'ils pr
figuraient, et qui est d
sormais distribu
par
Phase 5.
Ce sont peut-
tre les rivalit
s, sinon les rancoeurs que l'on peut
imaginer, qui ont fait que CyberGraphics n'a pas remplac
le logiciel
vieillissant de la Picasso. On ne saurait cependant trop conseiller l'achat
de CyberGraphics aux acheteurs de la Picasso II+ disposant d'un 68020 au
moins. Les 250
300 FF que repr
sentent cet investissement sont largement
compens
s en termes de performances, de fonctionnalit
s (modes DPMS pour
conomie d'
nergie, r
duction de la consommation de m
moire CHIP,
Workbench en 16 ou 24 bits) et compatibilit
(ShapeShifter, XiPaint, etc).
Le logiciel de dessin en 24 bits TVPaint Junior n'est plus livr
avec
la carte Picasso, comme par le pass
, et est remplac
par une version de
couverte d'ImageFX, logiciel de retouche d'images, portant le num
ro de
version 1.52 (la version actuelle semble
tre 2.1). Le logiciel d'animation
Main Actor est lui toujours fourni avec la Picasso, mais cette vieille
version 1.52 doit commencer
tre assez
loign
e de la version actuelle de
MainActor Broadcast.
@{fg shine}Michel: j'ai not
un bug sous
mulation CyberGFX avec TVPaint 3.6. La
souris est d
nant pour dessiner. Ce bug n'existant pas sur sur
l'ancienne version.@{fg text}
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Si vous avez besoin tout de suite d'une carte graphique pour votre
Amiga 2000, la Picasso II+ est pour vous: elle fonctionne tr
s bien, est
fournie avec une
mulation Workbench
prouv
e (la r
rence avant
CyberGraphics), et ses rivales sont devenues quasiment introuvables (la GVP
Spectrum depuis un certain temps d
, et plus r
cemment l'excellente
Piccolo SD64).
Si vous disposez d'un Amiga 3000 ou 4000, il vaut mieux vous tourner
vers la CyberVision 64 de Phase 5, beaucoup plus rapide en raison du bus
Zorro III et de son circuit graphique plus moderne (CyberGraphics est livr
d'origine avec la carte, bien entendu).
Si enfin vous
tes de nature confiante et n'
tes pas press
, il vaut
sans doute mieux attendre les cartes Picasso IV et CyberVision 64/3D,
toutes deux con
ues avec des circuits plus r
cents encore, et toutes deux
pouvant fonctionner sur bus Zorro II ou Zorro III. Au niveau logiciel, la
CyberVision 64/3D devrait
tre livr
e avec CyberGraphics 3D, la logique
volution de l'actuel CyberGraphics. Par contre, pour la Picasso IV, la
question reste pos
@{fg shine}Yann-Erick PROY
Carte Picasso II+ pour Amiga 2/3/4000: environ 2600 FF TTC en 2 Mo. @{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepPhotogenic2 " Photogenics 2.0 (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}UN "GRAND" DU GRAPHISME SUR AMIGA POUR UN PRIX D
RISOIRE...
Photogenics 2.0@{fg text}
Photogenics 1.2
tait d
un monument, tant par sa richesse de
fonctions et d'effets que par son originalit
. Le logiciel qui s'en
rapproche le plus serait ImageFX, en ce sens que c'est plus un outil de
retouche et d'effets que v
ritablement un programme de dessin. Mais qu'on
ne s'y trompe pas, on peut tr
s bien dessiner avec, si on a la patience de
fixer chaque
tape quand on change de couleur.
Voici maintenant la premi
re mise
jour importante du programme avec
sa version 2.0. Est-elle justifi
e? A-t-elle une myriade d'am
liorations?
Est-elle incontournable? Je vais essayer de vous
clairer la lanterne gr
cet essai.
@{fg shine}L e s s p
c i f i c i t
s d e P h o t o g e n i c s@{fg text}
Rappelons les grandes lignes, pour ceux qui ne connaissent pas le
programme. C'est un programme de dessin-retouche 24 bits,
nombre illimit
de fen
tres de graphisme, avec s
lection pos-sible d'un graphisme primaire,
d'un secondaire et d'un canal alpha par "menu" ou "Drag'n'Drop".
Contrairement
certains logiciels d'effets comme Art Department, il
est possible d'appliquer des effets
une partie seulement de la surface.
Il existe pour cela une couche (layer) de 8 bits permettant 256 niveaux
d'alt
ration. Tous les outils (rectangles, ellipses, splines, trait libre,
etc...) sont bons pour d
finir les parties
modifier avec m
me des
textures pour imiter un grain ou des brosses (crayon, craie, a
rographe,
etc...) Les modifications se font
cran en temps r
el (pour peu que
l'on ait une machine suffisamment rapide), mais l'effet n'est ent
moire que lorsqu'on le d
cide en d
clenchant l'op
ration "FIX". Cela a
l'avantage de pouvoir essayer plusieurs effets comme au brouillon et le
savantage d'avoir
attendre que la mise
jour se fasse en m
moire lors
du dit "Fix". C'est une conception
part dans ce genre de programmes. Il
existe en outre une fonction Undo/Redo. La couche "layer" agit comme un
masque que l'on peut
galement conserver pour le prochain effet, ou bien
sauvegarder ou charger.
Il est tr
s pratique de peindre
rographe soit d'une couleur, soit
d'un effet avec la touche gauche et de gommer avec la touche droite.
Le "warper" (d
formateur) est simple et pratique. Il s'agit d'un cercle
ajustable
la r
gion
former o
sont attach
s aux quatre points
cardinaux des lignes extensibles reli
es au centre de d
formation. Il
suffit de tirer ce centre
l'endroit d
et d'ajuster les param
tres
pour obtenir la d
formation souhait
e (morphing et/ou twirling).
Il existe bien s
r une fonction loupe et une fonction brosse
deux
modes de capture: rectangle ou contour. Une fonction "Pick" permet de
choisir une couleur
l'int
rieur du dessin. Une fonction "Smear"
(barbouillage) fait, selon les r
glages, du flou ou d
place les couleurs et
permet ainsi par exemple de faire sourire une bouche s
rieuse, d'agrandir
un nez, etc...
Le canal alpha (qui est un masque de transparence contr
lant le fondu
d'une image secondaire au sein de la primaire) est tr
s facile
d'utilisation et tr
s bien document
La fen
tre de palette pilotable en RGB, HSV ou CMY est bas
e sur une
roue de couleurs. Un gadget d'agrandissement lui adjoint une liste de
couleurs par noms. Un autre gadget acc
une fen
tre "couleurs" qui est
en fait une palette classique -
256 positions - sauvegardable.
Une grande richesse de formats graphiques, la pr
visualisation en 16 ou
256 couleurs, 16 ou 256 niveaux de gris, Fast HAM8 ou CybergraphX, une
architecture ouverte car modulaire pour les effets et formats (GIOs
programmables soi-m
me gr
l'abondante documentation riche en
exemples), un vocabulaire ARexx complet.
Tous ces atouts en font un outil pratique et universel.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
Photogenics 2.0 de chez Almathera est distribu
sous forme de CD-ROM
dans un
tui cartonn
. L'installation est un peu sp
ciale car si on ne le
sait pas, il manque certains fichiers. La raison est sans doute qu'il y a
eu erreur lors du gravage: il est en RockRidge au lieu d'ISO 9660. Il faut
donc monter un logiciel qui reconnaisse le RockRidge, et l
plus de
probl
me (un patch est fourni sur disquette). Une fois install
, le tiroir
fait 8,7 Mo. Le CD comporte encore 191 Mo de graphiques et 392 Mo de fontes
de couleur.
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s . . .@{fg text}
@{fg shine}WIDGET, UN CLONE D'INTUITION@{fg text}
La gestion des fen
tres a
revue, les auteurs ont pr
reprogrammer
un syst
eux plut
t que d'utiliser l'"intuition-library" de l'OS Amiga.
L'argument est un gain de confort et de temps tant pour le programmeur que
pour l'usager.
Et je dois dire que leur syt
me est intelligent, s'il n'est pas
volutionnaire. Les gadgets d'une fen
tre se r
duisent
deux, plac
s en
haut comme
l'accoutum
e: le gadget de fermeture et celui de profondeur.
Si on ouvre une fen
tre (comme par exemple celle de "Modes") le fait de
choisir une option de la liste referme la fen
tre automatiquement. Si on
veut qu'elle reste ouverte, il faut cliquer sur le gadget de fermeture qui
prend un
tat second reconnaissable
une pliure du carr
. Le gadget de
profondeur est inchang
et permet de faire passer la fen
tre du premier
plan au dernier.
Pas de gadget de redimensionnement, et pourtant il suffit de cliquer
proximit
d'un des c
s de la fen
tre (sauf le sup
rieur, qui sert
toujours
placer la fen
tre) pour
tirer un bord (ou deux, si on clique
s de l'angle). C'est pratique, car pas de perte de place avec un gadget.
De plus, si on clique en m
me temps avec la touche droite, on d
place la
tre tout en la redimensionnant. A
tudier pour le prochain OS Amiga
(s'il en vient un, restons optimistes).
@{fg shine}Image virtuelle@{fg text}
Il s'agit d'un tout nouveau syst
me, unique, qui permet de travailler sur
des images d
passant largement la capacit
de la m
moire (par exemple une
image de 18 Mo sur un A1200 de 4 Mo) sans poss
der pour cela de MMU et donc
sans gestion processeur de la m
moire virtuelle.
Cette option est si bien r
e qu'elle permet non seulement le
chargement d'images g
antes, mais qu'en outre, en n'occupant que quelques
centaines de ko, de continuer
ficier du multit
che et donc de
travailler simultan
ment avec d'autres programmes (ou d'
diter
simultan
ment d'autres images au sein de Photogenics).
Notons tout de m
me, et c'est une
vidence, qu'il faut la place
cessaire sur un disque dur pour b
ficier de cet atout, compter le
double de place de l'image non-compress
Ces avantages impliquent malheureusement une perte de vitesse, mais ont
galement un
ment de s
curit
, puisque toutes les op
rations se font
directement sur le disque dur dans un fichier temporaire; le risque de
perte lors d'une coupure de courant ou de "m
ditation" est r
duit.
@{fg shine}LES EFFETS@{fg text}
Une nouvelle @{"fen
tre d'effets" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Effects.8bt"} augmente
ment les possibilit
normes du logiciel. Sans rentrer dans les d
tails, et parce que les noms
sont
vocateurs
tous ceux qui travaillent avec des programmes semblables,
(5) vous permettent toutes les fantaisies possibles. Chaque effet est bien
r enti
rement param
trable. Par exemple pour l'effet Dissolve vous pouvez
choisir de faire appara
tre une s
quence sans qu'elle recouvre enti
rement
la pr
dente en utilisant une valeur de 50% et la faire dispara
tre comme
elle est venue : id
al pour faire appara
tre des images "fant
mes". Si vous
ne trouvez pas votre bonheur dans la liste d'effets d
existant ou si
vous vous sentez une
me de cr
ateur, rien ne vous emp
che de cr
er les
tres. Et l
encore, rien de plus simple. Il vous suffit de cr
er une
animation au format anim5 en deux couleurs en 720 par 576 dans DPaint ou
tout autre logiciel. Gr
ADPro, DBE reconna
tra l'anim comme un effet
de transition. Que voulez vous de plus simple? Nul doute que les
utilisateurs de soft phares d'animation sur Amiga sauront tirer profit de
la situation en d
cuplant de fa
on consid
rable la puissance du syst
Seule petite restriction, les effets seront calcul
s en deux temps: effets
internes et effets externes. Pour ma part je n'ai pas eu le temps mat
riel
de tester ce type d'effets externes.
Je voudrais pr
ciser qu'il est
galement possible de r
aliser des
effets en cascades. J'en vois qui froncent les sourcils, alors je
m'explique. Prenons un "lot" compos
de JStream1+effet +JStream2 et
appelons le JstreamX. Rien ne vous emp
che de recr
er un effet entre ce
"lot" appel
JStreamX et le JSream 3 qui est le suivant. Vous imaginez la
puissance et les possibilit
s que vous offrent le syst
me. J'en aurai a peu
s fini avec les effets quand je vous aurai dit que le DBE g
re le
ralenti de fort belle mani
re, ralenti lui aussi param
trable. Pour le
test, nous nous sommes amus
ralentir nos voitures de courses en marche
re. Impressionnant!
@{fg shine}L e t i t r a g e@{fg text}
Producer offre une fonction de titrage int
s puissante o
toutes les folies sont
peu pr
s permises: choix des polices, couleurs,
tranparences, anti-aliasing, ombres, d
placement du titre dans ou hors de
cran avec acc
rations ou d
rations variables avec points de
contr
le. Cependant, la fonction titrage ne travaille pas en temps r
el et
ses effets devront comme pour les transitions
tre calcul
@{fg shine}L ' i m p o r t e t l ' e x p o r t d ' i m a g e s@{fg text}
Nous touchons l
mon avis au point faible du syst
me, du moins s'il
en est un. En effet, DBE ne reconna
t qu'un seul format d'images, le format
IFF, contrairement au PAR par exemple qui lui reconna
t une multitude de
formats; plut
nant pour les personnes, et elles sont de plus en plus
nombreuses aujourd'hui, qui cr
ent leurs objets dans le Modeler de
Lightwave sur Amiga et qui confient le calcul de leur projet
un Pentium.
Les imports et exports d'images se font via ADPro ou Image FX gr
script AREXX ce qui peut
la longue para
tre un peu lourd.
Vous l'aurez compris, ce n'est pas la partie hardware qui est en cause
mais simplement le soft. Gageons qu'
la vitesse ou Applied Magic le fait
voluer, cette lacune sera certainement vite combl
e. Nous avons pu tester
cette possibilit
puisque Mr Defraine avait "shoot
" une s
quence de 200
images calcul
es par Lightwave en 720X576 pour une dur
e totale de 7
secondes 24. Afin d'
liminer quelques franges de couleur apparues autour de
nos dauphins virtuels, nous avons utilis
le dithering d'ADPro. Une fois
rejou
e, notre animation
tait du plus bel effet.
@{fg shine}L e m o n t a g e f i n a l@{fg text}
Une fois l'ensemble des choix
tabli (s
quences, transitions et son),
il est n
cessaire de confier l'ensemble du montage
son Amiga et
DBE.
Selon l'importance des choix, vous aurez le temps d'aller prendre un caf
et son pousse ou carr
ment le repas. Pour exemple, un dissolve interne
d'une dur
e de 2 secondes 15 sera calcul
e en 2 minutes sur la
configuration test
e. Un volet interne d'une dur
e de 2 secondes 15 prendra
lui 6 minutes 46 de votre temps. Il faut savoir que gr
ce au multitache de
l'Amiga, il est possible de continuer
utiliser la machine pendant la
compilation. Ne l'ayant pas v
, je ne peux h
las vous le confirmer. Un
autre point noir de mon essai: par la faute d'un oubli de connexion, nous
n'avons pas engistr
le son en m
me temps que la vid
o. Il faudra
absolument v
rifier ce point pour s'assurer de la fiabilit
de l'ensemble.
La sauvegarde du projet, en plus des images, vous ajoutera deux fichiers:
un script g
ral au nom du fichier et un second appel
"Transition List"
qui gardera en m
moire la liste des effets.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
A qui s'adresse cette carte ?
Le professionnel ou institutionnel, voire l'amateur fortun
, trouvera avec
cette carte une solution adapt
ses besoins tant en HI8 qu'en B
ta SP et
aussi une interface de grande qualit
. Le couple Amiga/Digital Broadcaster
Elite joue
coup s
r dans la cour des grands et n'a pas
souffrir de la
comparaison des autres poids lourds du type Perception Vid
o Recorder. Son
prix le situe au dessus du PAR et juste en de
a du PVR. L'utilisateur Amiga
disposant d'une machine quelque peu gonfl
e pourra garder son ordinateur et
continuer
utiliser ses logiciels pr
s en multitache tout en
pratiquant le montage virtuel. Cette solution repositionne un peu l'Amiga
dans son domaine de pr
dilection qu'est la vid
o et le graphisme.
Le passage
une autre plateforme suppose toujours l'apprentissage d'un
autre syst
me d'exploitation toujours rebutant pour l'utilisateur vid
toujours press
de passer
l'action. De plus, les perspectives d'avenir
pour cette solution semblent plut
t favorables. Applied Magic a en effet
velopp
une carte son SoundStage permettant d'utiliser 4 pistes audio et
son DSP autorise une am
lioration de pr
s de dix fois des temps de
calculs des effets vid
o. Le logiciel et le mode d'emploi devraient
francis
s dans peu de temps. De nouveaux effets 3D devraient aussi voir le
jour d'ici peu. Le constructeur a pr
galement l'
volution de la carte
vers les nouveaux formats num
riques: les nombreux emplacements laiss
libres permettront de faire
voluer la carte dans ce sens. Un des soucis
premiers d'Applied Magic est de permettre
la carte d'effectuer ses
calculs de transition en temps r
Enfin, avant derni
re nouvelle qui en r
jouira quelques uns mais qui en
laissera quelques autres de marbre: le constructeur a
galement d
s'attaquer au march
PC. Mon avis est que ceci aura au moins l'avantage
d'asssurer la p
rennit
du produit dans l'int
t de tous. Je vous aurai
pratiquement tout dit quand vous saurez que la carte est contr
lable par
SCALA. Une derni
re info pour vous dire que AVM Technology organise une
tourn
e de d
monstration du produit en France en septembre et je ne peux
que vous inviter
vous y rendre si vous voulez v
rifier mes dires. Quant
moi, mon Amiga 4000 est atteint d'un nouveau virus. A chaque Reset, il
m'affiche le requester suivant : "Veuillez ins
rer la Carte Digital
Broadcaster Elite ".
@{fg shine}Thierry Lamblot@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepCamescrea " Camescope et cr
ation (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a c a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Soleil aidant ! Reflection faite...@{fg text}
En cette fin du mois de juillet, r
dans mon Ile de Beaut
se, (ce n'est pas notre confr
re Pierre Tiberi qui me contredira),
@{"je pianote
l'abri du soleil" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Reflex.8bt"}
sur le clavier de mon 4000 afin de vous concocter l'
bauche des prochains
sujets que vous aurez l'occasion de lire dans cette rubrique. Parcourons
ensemble ce qui nous attend dans le monde de la vid
o, mais attention tout
me au chant des sir
@{fg shine}S p
c u l a t i o n , q u a n d t u n o u s t i e n s !@{fg text}
Apr
s le passage du 8MM/VHS vers "l'upgrade" Hi8/S-VHS, le petit monde
des cam
scopes subit sa deuxi
me "r
volution" avec le passage au format
"DV" ou vid
o digitale permettant un gain de 100 lignes suppl
mentaires en
solution d'image. Mais remettons les pieds sur terre car DEUX
liorations sont vraiment importantes. La premi
re c'est de pouvoir ENFIN
monter ses bandes en pratiquant les diff
rents inserts (audio, vid
audio/vid
o) sans avoir
subir le perp
tuel frein cr
atif et technologique
par Sony sur tous les magn
toscopes de montage Hi8 grand public qui
interdisaient ce que tout bon magn
toscope VHS/S-VHS
tait capable de faire
depuis bien longtemps,
savoir remplacer une section vid
o sans effacer le
son couch
sur la piste longitudinale.
A vouloir trop prot
ger sa gamme professionnelle, ce g
nial
constructeur aura sans aucun doute gard
une avance en parts de march
sur
ses cam
scopes d'excellente r
putation, mais perdu jusqu'
ce jour une
partie de sa client
post-production, car faire du montage un tant
soit peu
clair
, voire m
rieux sans possibilit
d'insert vid
o seul,
c'est comme avoir un Amiga dot
d'une carte 68060
qui on aurait supprim
le disque dur... Alors, ne soyons pas oiseaux de mauvaise augure, mais
rons que les prochains magn
toscopes DV ne soient pas trop... brid
Le deuxi
me avantage est dans le c
"num
rique" de la chose, car les
images, malgr
le fait qu'elles soient encore couch
es sur un support
analogique, ne seront plus qu'une suite de 0 et de 1, donc duplicables sans
aucune perte, les vid
astes n'auront donc plus entre autres le fatidique
barrage des trois g
rations avec une perte de r
solution et de chroma, de
la lecture
l'enregistrement sans oublier les copies d'apr
s le master
pour la diffusion.
@{fg shine}C
c a r t e s n u m
r i q u e s . . .@{fg text}
C'est de ce c
que pourront peut-
tre nous arriver les meilleurs
sons de cloches, car nous savons maintenant par A+B que pour moins de 10
000 FTTC, il est possible d'avoir de tr
s belles images (test de l'AV
Master du mois dernier) avec une am
lioration du bus PCI (Ed: et depuis peu
apparemment avec le Draco-Motion pour environ 12000F, test le mois
prochain). Une interrogation
laquelle nous aurons la r
ponse au cours du
trimestre
venir est de savoir si Windows NT - reprenant l'interface de
Windows95 - quasiment disponible quand vous lirez ces lignes, tiendra ses
promesses,
savoir autoriser l'enregistrement et lire
toute convenance
des fichiers vid
o de plusieurs giga-octets sans
tre stopp
... ou plant
la fin de chaque giga comme c'est actuellement le cas si votre carte est
e par Windows95...(Je suis en stand-by avec Fast et Miro pour de
nouveaux tests d
s que leurs drivers respectifs pour NT seront pr
Pour la suite, la technologie galopante et l'app
tit des constructeurs
devrait nous proposer de nouvelles cartes qui d'ici peu vont vraiment finir
par concurrencer s
rement les outils traditionnels analogiques... A
suivre...
@{fg shine}A l o r s , p r
t s p o u r a c h e t e r ?@{fg text}
Que ce soit pour n'importe quel mat
riel, en cette
poque de rentr
vitez de faire partie de ce qu'on appelle la cat
gorie des "d
fricheurs",
c'est
dire des passionn
s qui au nom d'une fr
sie digne de ce nom vont
aveugl
ment se jeter en p
ture sur ces concentr
s technologiques
grande joie des constructeurs qui ont bien
videmment pr
vu le coup et vous
attendent au tournant en vous faisant payer le prix fort, alors que si vous
rongez un tant soit peu votre frein, vous aurez d'une part un recul
cessaire et quelquefois salvateur en profitant d'ANews par exemple afin
de savoir si tel ou tel produit n' a pas un d
faut dans la cuirasse...
quelquefois pass
sous silence par (condescendance?) certaines revues vid
majeures... suivez mon regard... et vous serez de nouveau en bons termes
avec votre banquier car le m
me produit aura perdu un pourcentage
quelquefois cons
quent de sa valeur d'achat... A m
diter...
@{fg shine}P o u r c o n c l u r e@{fg text}
Hormis ces quelques consid
rations, nous aurons tous, plus ou moins,
repris le "chemin des
coliers" au moment m
vous lirez ce feuillet,
entra
s souvent malgr
nous dans un grand maelstr
m d'o
nous reverrons
au fil des mois ressurgir, j'ose l'esp
rer au nom de tous les vid
astes et
des amoureux de notre machine, un Amiga nouveau (peu importe le nom qu'il
aura) sachant soutenir la comparaison avec les diverses possibilit
s de la
Force Obscure...
En attendant, dot
e de t
tes vid
o neuves suite
une gifle sal
e...
(je ne vous parle pas de la note), ma V5000 et moi-m
me vous pr
parons pour
bient
t un dossier pratique sur la conception et la r
alisation d'un clip
partir de vos images de vacances... pass
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Scalapc " Scala PC (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S c a l a P C@{fg text}
Enfin disponibleApr
s plusieurs ann
es d'attente la @{"version PC de Scala" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Pasbonpc.16c"}
(Scala MM100) est aujourd'hui disponible et se trouve m
me dans la
distribution grand public.
Nombreux sont ceux qui connaissent les capacit
s de Scala sur Amiga et
s'interrogent sur cette version PC. Ceux qui ignorent encore Scala peuvent
maintenant s'y int
resser car il est fort probable que cette mutation va
dynamiser les productions de bornes et de CD interactifs dans les
prochaines ann
Avant d'en arriver l
, il sera n
cessaire d'am
liorer cette premi
version PC mais, comme nous allons le voir, le premier bilan est plut
favorable. La version test
e est la premi
re sortie fin Juin et on peut en
attendre des
volutions. IC Channel et un
diteur de CD sont annonc
s et
devraient compl
ter la gamme Scala d'ici la fin de l'ann
Le test a
sur un Pentium 133, 16 Mo, disque SCSI, carte
Matrox Millenium et Sound Blaster 16, Windows 95.
Le principe de base de Scala sur Amiga est enti
rement reproduit dans la
version PC. La premi
re impression est tr
s bonne puisqu'il s'agit d'une
volution qui offre plus de fonctions en particulier au niveau des effets,
des variables, que Scala 400.
Les effets sur images, textes et brosses sont deux fois plus nombreux
(plus de 200) et pr
s par rubriques: Sp
ciaux - Alpha - Fondu -
Pouss
s - R
lations - Zoom.
L'application des variables semble plus simple. La syntaxe de leur
daction est d
list
e et donc moins fastidieuse. Un test plus
approfondi permettra d'en reparler.
Scala MM100 se pr
sente sur un CD d'environ 500 Mo qui contient soft et
mos ainsi que quelques utilitaires texte et graphique. Il n'y a plus de
(dongle).
@{fg shine}Nouveaux formats d'images, de sons, d'animations@{fg text}
Parmi les formats d'images reconnus on trouve le IFF, ce qui permettra
rer la partie image des productions d
s sur Amiga. Les
scripts ne sont pas directement
changeables entre Scala 400 et Scala
MM100, il sera donc n
cessaire de reconstruire l'arborescence si vous
souhaitez exploiter un programme issu de l'Amiga. Vous pourrez tout de m
cuperer toutes vos images et brosses d'origine.
Autres formats reconnus, le BMP - TIF - JPeg - ce qui assure la
compatibilit
de Scala avec CorelDraw et PhotoShop par exemple. Un test a
ussi
partir d'images IFF et JPEG venant de ADPro/Amiga.
Pour les formats d'animations seul le FLC est accept
, ce qui complique
les relations avec l'Amiga. A savoir qu'un test a
fait avec Main Actor
Broadcast qui transforme tr
s bien vos anims IFF en FLC.
Le format FLC assure par contre une excellente compatibilit
de Scala
MM100 avec 3DS et probablement LightWave (non test
). Les synth
ses 3D sont
es dans ce format avec plus de fluidit
et un rendu tr
s honorable.
L'affichage est toutefois limit
au format 640X480 du FLC.
Le format audio n'est plus le SV8X de la version 400 mais le WAV
omnipr
sent sur PC et bien s
r les fichiers MIDI si vous disposez d'un
quipement de ce type. La gestion des textes et des brosses est une
volution de la version 400/Amiga et il y a donc un certain plaisir
voir
que le d
veloppement de Scala-Windows s'appuie sur le travail fait sur les
versions pr
dentes.
Si vous utilisez Scala sur Amiga vous ne serez pas d
et vous
retrouverez vos habitudes. Par contre, et tout va d
pendre de votre
quipement, vous risquez certaines petites d
sillusions sur les rendus, en
particulier dans l'affichage des animations.
Nous testerons la gestion des fichiers vid
o au format MPEG dans un
prochain article, mais il semble que ce soit la meilleure solution pour des
quences anim
es importantes.
Scala MM100 g
re de pr
rence les cartes les plus courantes:
SoundBlaster pour le son, Vid
oBlaster pour le MPeg. Il semble que des
cartes plus sophistiqu
es soient moins bien exploit
es faute de
gestionnaires pr
sents dans la version test
e ( Fast et Matrox). Cela
explique dans notre cas (Matrox Millenium) certains probl
mes de scrolling
ou des flashs d'entr
e ou sortie de transition, la carte n'ayant pas le
gestionnaire voulu.
@{fg shine} C e q u i a c h a n g
e n m o i n s b i e n@{fg text}
On peut regretter l'absence de l'utilitaire AnimLab qui existait dans
les options de Scala 400 et qui a ici disparu. La taille de 640X480, d
format FLC, est une contrainte importante emp
chant l'affichage des
animations au format vid
encore, le MPEG et la carte Vid
oBlaster
serait une solution bienvenue pour une diffusion plein
cran des s
quences
La gestion des boutons, bien que tr
s efficace, n'utilise plus le m
principe de changement de couleur pour marquer la zone active. Le bouton se
place (effet d'enfoncement) lat
ralement, ce qui n'est qu'un d
tail.
Par contre, il y a un r
el probl
me dans l'impossibilit
de lancer
automatiquement un script
la mise en route du PC ce qui est un atout
consid
rable sur une borne interactive Amiga (gr
ce au startup automatique
du script).
Vous ne pourrez pas acc
d'autres programmes sans quitter Scala,
adieu le multitache Amiga. Il est donc n
cessaire de sauver votre
application pour sortir et acc
der au bureau Windows, ce qui est assez
nant car dans cette version, et sauf erreur, on ne num
rise ni son ni
image
partir de Scala comme cela se fait avec Vlab ou DSS sur Amiga.
@{fg shine}C e q u i c h a n g e e n m i e u x@{fg text}
Une forte impression de professionnalisme qui m
rite d'
tre confirm
l'usage. La gestion des variables doit permettre des applications beaucoup
plus puissantes que sur Scala 400 en facilitant les acc
s conditionnels
des branches du programme.
Scala MM100 n'est plus un simple logiciel de pr
sentation interactive,
il doit pouvoir g
rer gr
ces variables des fonds importants de donn
images, textes, et sons.
D'une fa
rale, l'
diteur de script est beaucoup plus complet et
mieux organis
que dans la version 400, il en ressort l'impression d'avoir
tout sous la main pour la mise en page et les effets.
Les diff
rents formats d'affichage allant (th
oriquement) jusqu'au
1600x1200 peuvent autoriser des scripts d'images fixes (TIF) de tr
s bonne
solution.
Bien entendu, il faut compter avec la configuration et il est pr
rable
pour des applications lourdes de pr
voir grand (32Mo, Pentium 120 minimum,
SCSI si possible, ...)
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
Il est certain que Scala va compter de nouveaux inconditionnels tant
chez l'amateur passionn
qui appr
ciera cette version que dans le domaine
professionnel avec l'arriv
e d'ICChannel. Cette premi
re version, bien que
perfectible, est suffisamment au point pour convaincre, surtout avec un
prix public tr
s abordable (moins de 1 500F). Il nous semble que Scala a
des chances de s'imposer vis
vis de ces concurrents sur PC et qu'il sera
sent sur le march
de la production multimedia.
@{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/SPCresolu.16c"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/SPCfile.16c"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/SPCvaria.16c"}
@{fg shine}Bernard Tocatlian@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepMusicmidi " Musique: Midi (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e M i d i , O U I !
Mais avec quoi ?@{fg text}
Le nombre de logiciels MIDI sur AMIGA n'est pas
norme et si l'on
ve en plus ceux qui sont tristement mauvais il ne reste plus grand
chose. Heureusement, nous disposons de quelques tr
s bons logiciels et bien
que nous soyons pauvres en diversit
nous pouvons nous offrir la logith
compl
peu de frais. Je vous parlerai ici de ce qui existe de mieux (
mon sens bien s
r), sur notre bonne vieille machine.
Nous avons actuellement acc
un nombre tr
s important de musiques au
format MIDI FILES STANDARD. Que ce soit pour
couter, r
rer la
partition ou
tudier un style, il s'agit d'une banque sans cesse enrichie
laquelle il est int
ressant d'acc
der. Vous y trouverez les musiques de vos
groupes, anims, films, ou compositeurs pr
s. Evidemment, qui dit
diversit
dit aussi grand fouillis et qualit
variable, mais bon... Il m'a
fallu quelques temps pour trouver un logiciel valable pour me permettre
couter ces fichiers. Il s'agit de MidiPlay de Jan Syv
niem (CD Aminet
10), qui permet de lire et jouer les fichiers MIDI FILES et affiche, si
elles existent, les paroles accompagnant la musique. Il est possible de
configurer le logiciel afin qu'il joue correctement les fichiers au format
ral Midi sur un synth
non GM, en lui indiquant
quel num
ro de
programme et quel canal il trouvera chaque instrument. Il est rapide au
chargement des fichiers. Sur les machines 68000, il arrive qu'il y ait des
fauts de tempo dus
une surcharge de travail mais le tout reste audible.
@{fg shine}A p r
s e n t , p o u r c o m p o s e r@{fg text}
Plusieurs alternatives s'offrent
vous.
- Premier cas: vous savez composer directement en jouant sur un clavier,
alors vous choisirez @{"Dominator" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Dominator.4c"} ou @{"Bars & Pipes" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Barspipes.8c"}. o Si vous avez un modem ou
un ami connect
vous choisirez Bars & Pipes Pro. Il est, comme je vous l'ai
dit, gratuit. Vous le trouverez dans le "forum Microsoft" tiroir "Blue
Ribbon" de COMPUSERVE. Il est accompagn
de SuperJam, de plusieurs outils
et accessoires le tout
quivalent
6 fichiers au format .DMS. L'emb
tant
est qu'il faut
tre abonn
Compu Serve. Voici ma recette: trouver un ami
ayant un modem et un PC, appeler le service commercial de Compu en disant
que vous aimeriez essayer leur serveur. Ils vous enverront sous une
quinzaine le logiciel de connection PC et un num
ro de compte offrant un
mois d'utilisation gratuite limit
5 heures. Apr
s 20 minutes de
chargement (avec un modem 14000 bauds) vous serez en possession de B&P.
Le logiciel est tr
s complet (d
test
dans ANews N
58). Il vous
permettra
galement d'
diter et d'imprimer vos partitions, ou encore de
convertir une port
e en tablature pour les amateurs de guitare.
Si vous n'avez aucun moyen d'obtenir B&P, vous vous rabattrez sur
Dominator qui est un bon petit s
quenceur MIDI 248 pistes (Shareware,
aminet 10). Il reconnait les formats MusicX et Standard Midi Files, avec
certains probl
mes au chargement des MIDI Files. L'utilisation est agr
able
et simple, un exercice d'utilisation fourni permet une prise en main
rapide. Le programme est globalement bien r
- Si vous pr
rez composer vos musiques MIDI de mani
re intuitive, car
vous ne jouez pas comme Mozart, alors l'alternative est Octamed. Je ne vais
pas encore vanter ce logiciel, sachez simplement que la version 5
quenceur 64 pistes) est fournie compl
te sur le CD-Rom Aminet 12 qui
comporte aussi de nombreux
chantillons sonores et modules.
- Enfin, autre possibilit
, votre Amiga ne vous sert pas de s
quenceur,
et vous souhaitez l'utiliser comme p
rique MIDI. Le logiciel vous
permettant de transformer votre machine en bo
sons est ProjectMidi de
Matthias Specht (CD Aminet 11 ou sunsite.cnam.fr). Il vous permet de faire
correspondre
chaque note MIDI envoy
e (jusqu'
7 octaves) par votre
synth
chantillon sonore au format IFF, le tout avec s
lection sur 4
voix. Le canal Midi de r
ception de l'Amiga est r
glable.
@{fg shine}J e c i t e r a i
g a l e m e n t :@{fg text}
* MidiFilter (CD Aminet 10), qui vous permet de r
aliser une table de
correspondance entre les instruments GM et les instruments de votre clavier
afin d'
muler un synth
GM ou GS.
* Camouflage, un s
quenceur tr
s complet (CD aminet 10 & 11) mais r
ceux qui savent lire l'allemand.
* MidiAnalyser de Michel Doza qui vous permet de conna
tre tous les
messages MIDI envoy
s par votre synth
, les messages tol
s, les canaux
utilis
s. C'est pratique pour faire rapidement le point sur les
caract
ristiques d'un clavier.
* Pour les malheureux n'ayant pas de p
riques MIDI et souhaitant
pouvoir
couter des MIDI files, un logiciel GMplay (CD Aminet 11) joue ces
fichiers en utilisant des
chantillons sonores. Les scores MIDI comportant
bien souvant plus de 4 voix, le logiciel mixe les sons de toutes les
pistes. Le r
sultat est honn
te mais est d'autant plus mauvais que la
machine est lente. Un A1200 acc
est souhaitable. Il s'agit
galement
d'une banque de sons int
ressante puisqu'il est accompagn
de tous les
instruments GM digitalis
Je vous ai pr
une partie des logiciels MIDI disponibles
actuellement. Tous ces logiciels sont accessibles
des prix faibles ou
nuls, et gr
eux, votre AMIGA pourra tout faire. Bien s
r, vous n'aurez
peut
tre pas une superbe interface pleine de couleur et de gadgets, mais
chaque fois, vous pourrez exprimer votre cr
ativit
aussi bien qu'avec des
logiciels pr
sents sur d'autres machines. Le gros avantage est que vous
pourrez profiter de l'
conomie effectu
e sur les logiciels pour acquerir un
rique Midi.
A bient
@{fg shine}R
mi Moreda@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepReal3d " Real 3D (09-93)"
@TOC MAIN
@{fg shine}R E A L 3 D
les textures@{fg text}
Quelques points obscursCette s
rie n'a pas pour but de se substituer au
manuel, mais d'
clairer les points obscurs de celui-ci. Il ne faut donc pas
attendre de r
alisation plus ou moins spectaculaire comme dans d'autres
ries du genre. Ce mois-ci, nous allons essayer de r
soudre un certain
nombre de difficult
s concernant les textures.
@{fg shine}L a f e n
t r e d a n s l e d
t a i l . . .@{fg text}
@{fg shine}Name@{fg text}: le nom doit
tre aussi pr
cis que possible afin d'
viter
toute
quivoque. Il est bon de personnaliser les noms pour chaque projet,
car admettons que l'on appelle une texture verre et qu'ensuite on charge un
objet d'un autre projet avec ses textures et que parmi elles il y en ait
galement nomm
e "verre", Real renommera cette derni
re "verre0". Par
contre, dans la hi
rarchie, le mapping ne sera pas renomm
"verre0" et on
aura un mapping sur "verre".
@{fg shine}Texture@{fg text}: comme je l'avais d
sugg
, il est int
ressant de
renommer les textures avec leur r
solution. Lorsqu'on en a une ou plusieurs
centaines, "Pattern25" et "Pattern26" ne disent rien. "Pattern-red-blue-
2x2" et "Pattern-green-grey-160x256" parlent d
un peu plus.
@{fg shine}S-map (uvwh)@{fg text}: Ne fonctionne qu'en "spline mapping". Le manuel dit
que les valeurs doivent
tre comprises entre 0 et 1, c'est heureusement
faux. On peut mettre des valeurs n
gatives dans u,v,w et h. Il peut
ressant d'animer un "spline mapping" en donnant diverses valeurs
l'origine (u,v) dans diff
rents "key frames", en jouant notamment avec
"tile x et y". La texture semblera glisser sur la surface. La m
me chose
est possible avec les dimensions de la texture (w et h), mais dans ce cas,
la texture semblera se rapetisser ou s'agrandir sur la surface de l'objet.
On peut essayer comme dans l'exemple de faire un tourbillon sur un objet en
entonnoir en faisant glisser une texture de bulles ou de vagues "spline et
bump (pas Color) mapping" entre les key frames (u et v =0) et (u et v =1).
De nombreuses am
liorations sont possibles, par exemple en mettant Tile x
2 et Tile y
1 ou inversement.
A titre d'exercice, on pourrait faire un petit concours
qui fera le plus
beau tourbillon. (La plus belle image sera publi
@{fg shine}Spline map@{fg text}: Pas grand chose
en dire, sinon que l'option est
cumulable avec les suivantes.
@{fg shine}Color map@{fg text}: Rien
expliquer.
@{fg shine}Bump, Transparency et Brilliance map@{fg text} : rappelons simplement que les
effets sont d
termin
s respectivement par les composantes rouge, verte et
bleue.
@{fg shine}Shadow map@{fg text}: si on ne veut pas d'effet sp
cial, il est pr
rable
d'utiliser un mapping en gris moyen avec des bords estomp
s vers le blanc
les ombres doivent
tre floues.
@{fg shine}Clip map@{fg text}: il existe des @{"fichiers" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Real1.8bt"} @{"d'arbres" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicSEPTEM/Real3.8bt"}
appliquer en texture.
Ces fichiers sont doubles. Une image est noire et blanche pour la
transparence de l'arbre, l'autre est pour la couleur. Ceci est valable pour
les autres logiciels que Real. Dans Real, il suffit d'attribuer la valeur
de la couleur de fond dans Transp. R, G, B et d'allumer le gadget de
"Transp. Col" pour mapper l'arbre sur une surface. En revanche, pour
d'autres effets, on peut tr
s bien prendre le fichier de silhouette de
l'arbre et d
finir un clip mapping avec l'option "Transp.col". Selon qu'on
laisse les Transp. R, G, B tous
0 ou
255, on obtient un masque positif
gatif de la silhouette. (voir fig Clip Mapping).
@{fg shine}Unshaded@{fg text}: Cette option qui supprime l'action des lumi
res et des
ombres est appel
e "bright" dans d'autres logiciels.
@{fg shine}Smooth@{fg text}: Pour ne pas avoir de taches de reflets de lumi
re sur les
bords. Tr
s utile pour les nuages, les gaz et tous les mat
riaux
transparents qui ne doivent pas montrer de reflets.
@{fg shine}Exclusive@{fg text}: Toutes les autres textures sont ignor
l'endroit o
une texture est appliqu
e en exclusivit
@{fg shine}Scope mask@{fg text}: Equivalence avec le clip map, mais petite diff
rence,
la couleur transparente n'y exerce pas d'influence, et l
il n'a rien,
ce n'est pas ce qu'il y a derri
re qu'on voit, mais le tunnel noir.
@{fg shine}Antialias@{fg text}: Cette option, nouvelle avec la version 3 am
liore
"vaguement" le rendu des damiers vers l'horizon, l
on observe en
ral soit un chaos total, soit un effet de moirage.
@{fg shine}Tile@{fg text}: La texture est divis
e et r
e autant de fois dans la
largeur que la valeur que l'on donne
x-freq et dans la hauteur autant de
fois que la valeur qu'on donne
y-freq.
@{fg shine}Flip@{fg text}: Renverse la texture.
@{fg shine}Grade@{fg text}: Option de d
. Elle n'est utile que si on s'approche
assez de l'objet pour y voir les contours carr
s des pixels, ou bien si on
utilise des mini-textures de quelques pixels de c
@{fg shine}Edge@{fg text}: Cette option existe
partir de la version 3. Elle ne sert
qu'avec "grade", l'option de d
pour des textures de quelques pixels.
Non-s
lectionn
e, le bord de la texture est d
vers la couleur de
l'objet. S
lectionn
e, le bord est d
avec la texture elle-m
@{fg shine}X/Y-Freq@{fg text}: Le nombre de fois qu'on r
te l'image de texture dans la
largeur et la hauteur. Dans la version 3, si on rentre des valeurs
gatives, la jointure est supprim
e sur les objets de r
volution.
@{fg shine}Transp. R, G, B.@{fg text}: C'est l
qu'on rentre les valeurs des composantes
rouge, verte et bleue de la couleur transparente.
@{fg shine}Specularity, Spec. bright.@{fg text}: les
chelles devraient
logarithmiques. Pass
le quart, on observe peu de changement. Un des
meilleurs r
glages pour qu'un objet ne soit pas terne est en-dessous de 6
pour spec et 18 pour spec.bright.
@{fg shine}Brilliance@{fg text}: La brillance, qu'on appelle dans d'autres logiciels
SCSI A3000, DKB Magnum 1200) et 4 cartes PC SCSI (NCR 810, Adaptec
1505/1541/2940). On pourra ajouter notre carte, la version rapide Adaptec
2940 UW, et d'apr
s Eagle Computer les cartes SCSI Cyberstorm et Cyberstorm
II fonctionnent. La Fastlane Z3 de notre config n'a pas fonctionn
correctement avec le Siamois. Les cartes SCSI Blizzard (A1200) ne
fonctionnent pas pour le moment dans l'attente d'un patch.
Le Siamois sera plus ou moins efficace en fonction de la rapidit
des
cartes SCSI.
Le disque SCSI externe a un r
le tr
s important. Sa rapidit
est
essentielle si vous voulez jongler entre les 2 machines sans contrainte.
Dans nos tests une unit
amovible Syquest 88c n'a pas bien fonction
dans
Quoiqu'il en soit le disque commun sera format
MSDOS. Il faudra que le
nom de ce disque soit le m
me dans l'Amiga et le PC (D: dans ce test est
notre disque commun). On peut se servir de cette unit
commune comme disque
dur de stockage ou, bien s
r toute autre unit
sur le PC. L'Amiga voit
toutes les unit
s (PC et Amiga). Le PC ne voit que les unit
s MSDOS.
@{fg shine}M i s e e n r o u t e@{fg text}
Attention vous
tes en train de lancer un double syst
me et
a ne
s'allume pas comme un simple micro. Je vous conseille de mettre en route
d'abord votre disque SCSI externe, l'Amiga et le PC dans la foul
e. Ensuite
vous allez vite boire un caf
et quand vous revenez, deux minutes plus
tard, vous pouvez commencer
travailler. Ce conseil vous
vitera de faire
des resets inopportuns sous pr
texte que "rien ne se passe
cran".
Laissez faire le syst
me. Cela para
t long mais
a marche parfaitement par
la suite.
@{fg shine}Michel: le PC fait reinitialiser deux fois l'Amiga: au moment de la
session DOS puis au d
marrage de W95 (il initialise deux fois le SCSI lors
du boot).@{fg text}
Au premier coup d'oeil, le Workbench pr
sente une nouvelle barre de
menus (de type Windows 95 - Siamese - Tools) @{"dans le bas de l'
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Siamfig1.16c"}.
Si vous avez d
le logiciel SiSys c
PC, au boot vous avez aussi une
nouvelle unit
nomm
e PC sur votre WorkBench.
Le bouton Siamese ouvre une @{"fen
tre menu" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Siamfig2.16c"} qui vous permet de configurer
votre option de connection ou de la modifier par la suite.
J'ai opt
pour une connexion me laissant les deux
crans. Il est tout
fait possible (et souhaitable) d'avoir un grand
cran commun aux deux
machines, mais cela n'autorise qu'un poste de travail
la fois. Nous
pouvons ainsi, avec deux
crans, deux claviers, et deux souris, conserver
le travail simultan
des deux machines et sauver sur le SCSI commun (
tour
le de pr
rence).
@{"Parmi les 10 boutons pr
sents" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Siamfig2.16c"}, nous avons valid
Server, Control PC,
Mount PC, Amiga 96. Ils sont essentiels pour assurer tous les
changes et
partages entre les deux machines.
Vous allez trouver maintenant un bouton Windows 95 qui va couper
l'affichage Workbench en basculant sur l'
cran PC Windows 95. Vous
maintenant sur le clavier et la souris PC (mais rien ne vous emp
d'utiliser le m
me clavier et souris pour les deux machines). L'affaire est
Vous avez donc dans l'Amiga un bouton pour basculer sur PC et la m
chose dans le PC pour revenir sur l'Amiga. @{"Sur le Workbench un ic
ne PC" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Siamfig1.16c"} qui
contient vos partitions MSDOS. Autrement dit, le PC est une extension
pendante ou non (selon les besoins) de l'Amiga.
@{fg shine}C o n c r
t e m e n t
q u o i c a s e r t@{fg text}
Vos fichiers images - animations - sons - textes, etc... pourvu qu'ils
soient affubl
s de leur extension (PC oblige) .XXX (.MPG, .IFF, .TGA, .WAV,
etc... pour
tre reconnu) seront sauv
s directement sur les disques PC et
donc pr
tre utilis
s dans les standards Photoshop, Premi
XPress,...
Ca sert aussi
importer directement dans l'Amiga des donn
es images et
sons, issues des disques et CD-Rom PC (nous n'avons pas eu le temps de
tester les
changes CD-Rom).
Autrement dit, vous avez dans la main deux machines qui se compl
tent
et vous faites appel au mieux de chacune.
@{fg shine}E x e m p l e s d e t e s t@{fg text}
* sauvegarde et chargement directes
partir de soft Amiga (Deluxe,
ADPro, ImageFx) d'images 24 bits de 1 Mo sur les partitions du PC. La
vitesse est ext
mement rapide et dans cette configuration ne change pas nos
habituels temps d'
criture SCSI.
* sauvegarde directe du d
part de DSS 8 d'un fichier .Wav vers le PC pour
l'exploitation sur Scala 100 ou Premi
* sauvegarde directe d'un fichier animation du PAR Amiga vers le disque
PC, ou acquisition d'un disque dur PC d'images pour l'animation et
l'enregistrement sur bande vid
o. Les extensions .00001 par exemple seront
respect
s, important pour le PAR. En fait, c'est l'option la plus
importante pour nous.
* la r
ration directe sur le disque PC de tous les fichiers (type
Photoshop, Corel, Creative Sound Blaster, etc...)
* formater une disquette sur l'Amiga, travailler sur le PC.
Tout est permis si vous avez envie de continuer
travailler le son et
l'image sur Amiga et l'exploiter sur des plates formes PC, qui sont
videmment plus r
pandues. Je pense que Siamois est une acquisition
cessaire dans cette optique, il nous reste
tester l'acc
s aux
riques du PC: CD-Rom, scanner, imprimante et de configurer le tout
sur DirectoryOpus. La documentation est tr
s compl
te mais en anglais dans
notre version.
@{fg shine}L e p r i x g l o b a l@{fg text}
Disque + Cartes SCSI Amiga et PC + Siamois, c'est un budget total de
3000
9000F, selon les contr
leurs et les disques, pour obtenir une
excellente connexion entre les 2 machines.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Siamois est exactement venu
temps pour ouvrir les configurations semi-
professionnelles Amiga vers les
quipements PC qui dominent le march
De nombreux softs Amiga n'ayant pas leur
quivalent, c'est un tr
s bon
produit.
@{fg shine}Bernard Tokatlian@{fg text}
Siamese System Prix : @{fg shine}1580F@{fg text}
Disponible chez : @{fg shine}DeltaGraph'X@{fg text}
@{fg shine}Comment nous avons install
le Siamese System@{fg text}
@{fg shine}C o m m e n
o n s p a r l e P C@{fg text}
Installez le disque dur commun sans connecter l'Amiga. Pr
parez-le avec
FDisk et formatez-le. Attention, dans notre cas l'unit
principale du PC
est en 0 partag
en trois partitions (C, D, E). Si vous ins
rez une autre
, par exemple le disque commun, en unit
trois, celui-ci sera
prioritaire par rapport
l'unit
0. Donc la partion de boot restera C, le
disque dur commun passera en D et les deux partitions restantes de l'unit
0 passeront en E et F.
Dans un PC les unit
s n'ont pas de noms propres. Si vous ajoutez une
tout se d
place. J'appelle cela les unit
s flottantes.
Ensuite comme l'indique la documentation, installez la carte, le c
rie, les cables vid
o, et le logiciel.
Modifiez dans le fichier C:SiSys.INI: shared_drive=D, et le num
ro de
l'unit
id=3.
@{fg shine}P a s s o n s
l ' A m i g a@{fg text}
Connectez le disque commun (Shared)
l'Oktagon (n'oubliez pas
teindre les deux machines). Allumez l'Amiga, et changez le num
d'unit
(6 par exemple) de la carte Oktagon a l'aide de OktagonPrefs. Cela
est aussi possible c
PC sur l'Adaptec, nous avons test
le deux options.
Donc nous avons maintenant:
carte PC Asustec en unit 7
carte Amiga oktagon en unit 6
DD 700 Mo commun en unit 3 nomm
DD syst
me PC en unit 0 nomme C E et F
Installez CrossDos, faite reconna
tre l'unit
commune et nommez le "DC"
(se sera le nom du dosdrivers). L'installation termin
e vous devez voir sur
cran Amiga l'unit
"D".
Maintenant, allumez les deux machines, ensuite installez SiSys.
Puis, dans le menu de "Siamese/Setting/Prefs" selectionner "SCSI
Network". Appuyer sur "(None)" et choisissez l'unit
DC (l'unit
commune ou
Shared doit toujours se terminer par un C). Si le logiciel c
PC est
vous devez voir apparaitre un tiroir nomm
PC. Attention ne faites
pas comme nous, ce tiroir
tait cach
derri
re un DOCK :-).
En cliquant sur l'icone PC vous devez voir appara
tre dans une fen
toutes les unit
s du PC. Petit bug, le menu de Siamese ne supporte pas
cran virtuel vertical.
- Maintenant, votre installation est termin
e, vous pouvez manipuler les
fichiers PC sur le WorkBench, avec Opus ou autres comme si c'
tait une
Amiga. Si les transferts sont trop longs, cela veut dire qu'il y a un
pin dans votre installation. Les noms longs, ainsi que les extensions,
seront respect
s dans les deux sens. Attention tout de m
me, le PC
n'accepte pas tous les caract
res ( "_" par exemple, souvent utilis
sur
Amiga).
@{fg shine}L e P C e s c l a v e@{fg text}
Vous pouvez
l'aide de "Siamese/Run" choisir un EXE PC et passer
directement sur PhotoShop. Il est s
r que l'on peut d
veloper le syst
me et
inclure les logiciel PC dans un dock Amiga ou sur les boutons de
DirectoryOpus.
@ENDNODE
@NODE octMiamitest " Miami (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M I A M I : l a c o n n e x i o n ' c l
s e n m a i
Une pile TCP/IP pour Amiga@{fg text}
Malgr
la forte croissance d'Internet, l'Amiga ne disposait toujours
pas de pile TCP/IP v
ritablement simple d'acc
s et conviviale. Car malgr
toutes les am
liorations r
centes dont a b
le maintenant c
AmiTCP, en particulier dans sa derni
re version 4.3, sa configuration
restait encore un obstacle majeur pour les novices.
@{fg shine}U n e r
v o l u t i o n@{fg text}
C'est dans ces termes que vous
tait annonc
e la venue de @{"Miami" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmain.16c"} dans
dition de juin d'AmigaNews. La suite d
montre que nous n'avions pas
tort, puisque depuis sa sortie, Miami provoque un v
ritable engouemement
dans la communaut
Amiga. Pourquoi cet engouement ?
Tous ceux qui s'y sont d
essay
vous le diront, il est plut
difficile, sans aide ou sans bonne connaissance pr
alable, de se connecter
l'Internet avec un Amiga. Le parcours du combattant commence avec la
recherche des logiciels n
cessaires. Heureusement que des CD-ROM, tels que
@-Net, sont d
sormais disponibles, r
unissant les logiciels impl
mentant
les divers protocoles
mettre en oeuvre (p.ex. PPP et TCP/IP) et les
logiciels applicatifs (p.ex. navigateur Web, lecteur de courrier et de
nouvelles, etc).
Jusqu'il y a peu, un seul logiciel pour Amiga permettait l'utilisation
du protocole TCP/IP : AmiTCP. Directement adapt
du monde Unix, AmiTCP
n'est pas un logiciel simple d'acc
s, et se distingue par une pl
thore
cutables et de fichiers de configuration. Malgr
le script Installer
fourni, il est peu probable de r
ussir sa premi
re connexion sans avoir
modifi
un de ces fichiers. Cet aspect a rebut
beaucoup d'utilisateurs
jusque l
Miami propose un concept totalement diff
rent. Tout est int
dans un
seul programme,
partir duquel vous pouvez modifier tous vos r
glages, et
tout est enregistr
dans un unique fichier de pr
rences, qui plus est au
format IFF, vous interdisant donc toute intrusion directe dans ce fichier,
ce qui risquerait de le rendre incoh
rent.
@{fg shine}F a i r e a m i - a m i a v e c M i a m i@{fg text}
M
me si @{"l'essentiel de Miami" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Minter.16c"} se trouve concentr
dans un seul
programme, vous aurez
galement
affronter deux autres petits programmes
s avec : @{"MiamiInit" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Minit.16c"} et @{"MiamiRegister" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mregis.16c"}. Ni l'un ni l'autre ne sont
indispensables pour faire fonctionner Miami.
MiamiInit sert
configurer votre modem et diff
rents param
tres
cessaires
votre connexion. Que ceux qui ont saut
au plafond en lisant
a se rassoient illico presto! Tout se passe de mani
re intuitive, et vous
tes guid
s pas
pas par quelques boutons et un texte d'explication tr
complet. Une fois entr
s les param
tres indispensables (p.ex. PPP ou
(C)SLIP,
login
password
), et normalement donn
s pas votre
fournisseur d'acc
Internet, @{"Miami tente une premi
re connexion" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mdialer.16c"}. Vous
avez sans doute entendu parler autour de vous de
script de connexion
Vous n'aurez pas ce souci avec Miami, qui, d
montrant l
toute sa
puissance, va le construire pour vous, en direct,
partir des informations
dentes et de ce que vous allez ajouter
la main pendant cette
premi
re connexion! Une fois la connexion
tablie, Miami va d
terminer le
plus d'informations possible sur votre acc
s (p.ex. PAP ou non, adresses
DNS, etc). Si tout s'est bien pass
, tous ces r
glages sont sauv
s dans un
fichier de configuration et pourront
tre recharg
s par la suite dans
Miami.
Le programme principal de Miami affiche une petite fen
partir de
laquelle il est ais
de modifier tel ou tel aspect de sa configuration
(p.ex. dispositif s
rie, PPP, TCP/IP, modem, etc). Toutefois, si tout s'est
bien pass
dans MiamiInit, vous n'aurez aucune modification
effectuer
tous ces param
tres, apr
s les avoir charg
s par l'option de menu
Importer depuis MiamiInit...
, et vous pourrez vous contenter d'appuyer
laconiquement sur le bouton
Connecter
pour votre premi
re (seconde en
fait) connexion avec Miami.
@{fg shine}M i a m i V i c e@{fg text}
Miami est en effet un programme vicieux : derri
re son apparente
simplicit
se cachent d'excellentes performances une fois la connexion
tablie. Bas
sur un code de TCP/IP (Net-2 4.4BSD-Lite) plus r
cent
qu'AmiTCP (4.3BSD), Miami doit th
oriquement permettre d'atteindre de
meilleures performances. H
las, apr
s une semaine d'essais via le Kiosque
IP (modem 28800, s
rie 57600), il n'a pas
possible de d
partager Miami
et AmiTCP. Les m
mes conclusions ont
mises en avant dans le magazine en
ligne
Amiga Report
(4.11). Il se peut cependant que les conditions
d'acc
s propres
chaque fournisseur influent sur les performances
relatives de Miami et AmiTCP: certains utilisateurs estiment Miami plus
performant.
Bonne nouvelle: Miami est compl
tement compatible au niveau API
(interface de programmation) avec bsdsocket.library, d'AmiTCP. Cela
signifie que tous les logiciels
crits initialement pour AmiTCP
fonctionnent sans probl
me avec Miami. Tous les programmes les plus connus
test
s avec succ
s: AmIRC, AmFTP, YAM, UMSrfc, Thor, Voyager,
IBrowse, AWeb, ainsi que les nombreux utilitaires
la Unix
livr
s avec
AmiTCP (p.ex. askhost, ping, traceroute, ncftp). Le seul parmi ceux-ci
exiger r
ellement AmiTCP est telnet, mais on peut le remplacer
avantageusement par Napsaterm, par exemple.
@{fg shine}I l n ' y a p a s q u e d u s o l e i l
M i a m i@{fg text}
Alors, devant tant d'aisance, devons-nous pour autant jeter
finitivement AmiTCP aux oubliettes ?
En fait, tout d
pend de vos besoins. Miami n'est pour l'instant destin
qu'aux connexions TCP/IP via une interface s
rie, gr
ce aux protocoles PPP
ou (C)SLIP, qu'il int
gre (
la diff
rence d'AmiTCP, qui est cependant
avec un pilote SLIP). Pour g
rer efficacement d'autres interfaces, il
faudra que Miami reconnaisse le standard d'interface r
seau SANA II,
par feu Commodore. Cela est pr
vu par son auteur (qui est aussi celui de
ppp.device, un pilote SANA II pour PPP, souvent utilis
avec AmiTCP), mais
en attendant, il faut se tourner vers AmiTCP, qui est conforme
cette
norme. Cela lui permet de pouvoir fonctionner au travers d'interfaces
seau aussi diverses qu'un c
null-modem
, un cable parall
le PLIP
ou une carte Ethernet.
Au niveau de la configuration, Miami l'emporte ind
niablement sur
AmiTCP, m
me si ce dernier, dans sa derni
re version commerciale 4.3, a
beaucoup progress
un script de configuration tr
s convivial et un
me de configurations pr
l'emploi pour tel ou tel fournisseur.
Cependant, il est int
ressant de noter que Miami n'est pas toujours
rement
automatique
: les utilisateurs de Wanadoo ou des
fournisseurs d'acc
s offrant un num
ro national (soit par Transpac,
36.06.44.44, soit par le kiosque IP, 36.01.13.13, par exemple) se
trouveront peut-
tre confront
l'incapacit
de Miami de reconna
l'invite envoy
e par les syst
mes de France T
com, ceci en raison de
caract
res peu catholiques pr
dant cette invite. Ce probl
me affectait
le pilote PPP du m
me auteur, alors qu'AmiTCP n'y est pas sensible. La
solution passe pour l'instant par le remplacement de l'attente de cette
invite (p.ex. WAIT "Ser?") par un d
lai suffisant (p.ex. DELAY 10).
Par ailleurs, Miami peut rebuter les puristes du TCP/IP, qui n'aimeront
peut-
tre pas voir disparaitre les fichiers de pr
rences
la BSD
qui
permettent de configurer AmiTCP de mani
re similaire
un syst
me Unix.
Autre pr
cision, Miami n'est livr
avec aucun autre utilitaire que
MiamiNetstat (diverses statistiques sur la connexion). Vous devrez donc
rer quoiqu'il en soit une distribution de AmiTCP (la d
mo 4.0 en est
la derni
re version disponible gratuitement) pour obtenir les utilitaires
s. Notez cependant que l'auteur pr
voit d'inclure ses propres
utilitaires dans les prochaines versions de Miami.
@{fg shine}Miami c'est en bas
droite sur la carte@{fg text}
Contrairement
AmiTCP, qui est un programme commercial (distribu
par
VillageTronic), Miami est un
contribuciel
(shareware), ce qui signifie
que le versement d'une contribution est exig
pour pouvoir s'enregistrer et
l'utiliser durablement (encourag
en cela par quelques restrictions). Cela
n'implique pas pour autant que Miami soit plus difficile
obtenir: il est
disponible gratuitement sur tous les sites FTP Aminet ainsi que sur les
derniers CD-ROM du m
me nom, ou bien encore sur sa page d'accueil. Les
limitations de cette version de d
monstration n'emp
chent pas d'utiliser la
quasi-totalit
des fonctions de Miami. Mais on ne peut pas l'utiliser plus
d'une heure d'affil
e, ce qui devrait vous inciter
vous enregistrer.
Le programme MiamiRegister
plus haut sert justement
a: vous
enregistrer aupr
s de l'auteur, qui vous renverra alors, une fois votre
paiement re
u, un code permettant de g
rer le fichier cl
sactivant
les limitations de Miami. Plusieurs tarifs sont possibles : normal ($35,
soit environ 200F), limit
un seul fournisseur (en cas d'accord avec
celui-ci), et diverses mises
jour (p.ex. depuis ppp.device, avec une
duction de $10). Les moyens de paiement sont ceux habituels pour un
contribuciel : liquide, mandat postal, ch
que (am
ricain), plus First
Virtual, ce qui est une int
ressante innovation! First Virtual vous permet
de payer directement via Internet, sous r
serve d'avoir un compte aux USA
ou une carte Visa. Cela vous permet de recevoir votre code en une soir
Pour comparaison, la version commerciale d'AmiTCP (4.3) co
te environ
750F dans le commerce, tandis que l'on peut b
ficier d'une remise
tudiant en commandant directement aupr
s des auteurs (environ 490F). D'un
autre c
, AmiTCP n'est pas limit
aux seules connexions via modem. Un
troisi
me comp
titeur vient d'entrer en sc
ne : TermiteTCP. Peut-
aurons nous la chance d'en faire un essai prochainement.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Miami est r
ellement le logiciel qui manquait
l'Amiga pour devenir,
me titre que le PC ou le Mac, une machine facilement connectable
l'Internet pour le grand public. Accompagn
de logiciels comme AmIRC,
IBrowse, AmFTP et Miami, l'Amiga devient aujourd'hui l'une des machines les
plus agr
ables pour une connexion Internet via modem et ligne t
phonique
DialUp
). Sa stabilit
est impressionnante. Pour preuve, depuis la
sortie de la derni
re version (1.1a), aucune bogue n'a encore
rapport
dans la cha
ne de courier
cet effet. Ce qui, pour un programme de cet
envergure, est impressionnant.
Il faut toutefois prendre garde au fait que, faute d'utiliser le
standard SanaII, Miami ne permet pas d'utiliser de carte ethernet ou
d'autres interfaces r
seau. Impossible, par exemple, d'utiliser votre Amiga
connect
par modem, comme passerelle Internet pour votre PC. Pour cela il
vous faut AmiTCP. Il en reste pas moins vrai que le succ
s actuel de Miami
est pleinement m
, et qu'il va incontestablement s'imposer comme un
standard.
@{fg shine}J
me Fleury (jerfl@cpod.fr) et Yann-
rick Proy (yeproy@imaginet.fr)
@{fg text}
Vous pourrez trouver des renseignements sur le paiement FirstVirtual en
@{fg shine}T o u t n o u v e a u t o u t c h a u d !
Octam ed SoundStudio v1@{fg text}
Le dernier n
de la s
rie Octamed est arriv
, mais au lieu de porter le
ro de version 7, le nourrisson est nomm
SoundStudio v1.
Pourquoi? Parceque les nouvelles fonctions pr
sentes lui autorisent un
tel nom. Je ne vous laisse pas plus dans l'attente, voyons comment se
sente cette version, et surtout ce qu'elle apporte.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n d u p r o d u i t@{fg text}
J'ai test
la version CD-ROM, et comme on fait bien les choses chez RBF
Software, le CD est rempli jusqu'au dernier bloc. Vous y trouverez entre
autres: 340Mo de Modules dont 30 au format S3M (de 4
8 voix); 100 Mo
chantillons 8 bits class
s par cat
gories; des
ditions du journal du
Med User Group qui comprend des aides, des trucs pour mieux utiliser
Octamed; les Docs compl
tes en anglais de SoundStudio (en Amigaguide); et
enfin, le logiciel et son guide en plusieurs langues dont le FRANCAIS! Et
oui, vous avez bien lu, sur le CD, entre l'italien et l'allemand, vous
trouverez SoundStudio en Fran
ais (ou presque...). Pas de manuel imprim
Le logiciel est utilisable directement du CD-ROM. Si vous l'installez sur
votre disque dur il r
clamera la pr
sence du CD dans le lecteur pour
marrer.
@{fg shine}L e l o g i c i e l@{fg text}
A pr
sent, entrons dans le vif du sujet. Au chargement aucun changement
ne saute aux yeux, mais des changements il y en a...
Au niveau des entr
es on peut
sent charger des modules aux
formats Screamtracker 3 et FastTracker 1.0. Aux dires de l'auteur, ces deux
formats de modules PC ont
rajout
s afin que les utilisateurs d'Octamed
puissent passer sur l'Octamed PC qui sera prochainement d
velopp
, mais ils
ne sont disponibles qu'au chargement, je ne saisis pas... Le chargement des
MidiFiles n'a pas
et on obtient souvent, comme dans la v6, des
quences souvent mal restitu
es. C
chantillons, pas de changement
(IFF, WAV...). Au niveau des sorties, la sauvegarde est possible aux
formats: Med depuis la v3, MidiFile, Module ex
cutable, mais pas de format
SoundTracker disponible. C
sortie sonore, on dispose du choix Amiga (8
et 14 bit), Toccata, Maestro, Delfina et, en gestion partielle, Aura. Je
cise, gestion partielle car bien que la carte Aura soit utilisable comme
dans la v6, elle ne l'est pas pour une des nouvelles facettes du logiciel
qui est le mixage multipistes.
@{fg shine}M i x a g e 6 4 p i s t e s@{fg text}
C'est la plus importante nouveaut
du logiciel. Une routine optimis
68000 et 68020 cod
e en assembleur et qui permet la superposition de 64
pistes en simultan
en 8 bits ou 16 bits. Bon, je m'explique... Le logiciel
prend en consid
ration les instruments, leur fr
quence et leur position
o, puis il les mixe entre eux pour aboutir
chantillon unique qui
peut
tre la r
sultante de la superposition de 1
64 pistes.
@{"Le mixage est param
trable" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Octa1.8c"}
: on peut d
terminer pr
mment combien de pistes doivent
tre mix
(de 1
64), la fr
quence du sample r
sultant et le mode/carte choisi (de 1
28 KHZ en 8 bit AMIGA, jusqu'
48KHz 16 bit avec la Maestro),
lectionner le mode st
o ou mono, avec ou sans lissage. Vous pouvez
utiliser dans votre module un m
lange de sons 8 bits et 16 bits,
SoundStudio g
re tout les formats au mixage.
Vous disposez donc de 64 voix virtuelles, que vous pouvez
couter en
temps r
el ou
crire en "direct to disk". Ces deux modes sont totalement
pendants.
* @{fg shine}Le temps r
el@{fg text}
Il ne faut pas se faire d'illusion, une machine 4 voix ou une carte ne
peuvent pas fournir 64 pistes avec une bonne qualit
sonore. Le facteur qui
sera d
terminant est votre configuration. Sur mon A1200 (avec 68030
Mhz et 10Mo de Ram, sans carte son) j'ai r
ussi, apr
s moulte r
glages
certes,
jouer un module 10 voix en mixant
15 kHZ mono sans lissage.
l'option son Amiga 14 bits qui marche
merveille, la qualit
sultat est nettement am
e et devient exploitable. Mais d
s que la
barre des 10 voix est transgress
e, que le lissage est activ
, le son est
et je perds des cycles (bloquage souris...) donc inutilisable. Le
mixage
tant gourmand en temps CPU, sa puissance va de pair avec la qualit
sultat (A500 s'abstenir...), le FPU est utilis
s'il est pr
sent.
D'apr
s les auteurs, la routine est capable de jouer un module en 10 voix
16 bits 48 KHz sur Toccata avec un A3000/25, et, un 68060 permettrait une
s bonne utilisation temps r
el de tout type. Comme je l'ai pr
, si
vous disposez de la carte AURA vous ne pourrez pas l'utiliser pour le mode
mixage de SoundStudio. Son utilisation est semble t-il trop gourmande en
temps machine, donc incompatible avec le principe du mixage temps r
@{fg shine}* Mode "direct to disk"@{fg text}
C'est je pense la r
elle finalit
du mixage. Ce mode vous permet
d'enregistrer votre module directement sur le disque dur et ceci
pendemment des sp
cifications de votre machine. L'
chantillon r
sultant
du mixage des 1
64 voix est
crit directement sur le disque dur et ceci
au format de votre choix. Ici, le logiciel n'est pas bouscul
, et il peut
prendre tout son temps pour bien faire son travail. Ainsi, le mixage d'un
module 16 bits multipiste de 5 minutes en 16 bits 48 KHz pourra prendre
plusieurs dizaines de minutes selon la machine, mais donnera un tr
s bon
sultat. Un point est cependant d
cevant, l'arr
t de l'enregistrement
n'est pas automatique, et il faut guetter la fin du module pour stopper
manuellement. Techniquement, la fr
quence utilis
e peut atteindre 65 KHz,
et les formats disponibles sont 8SVX, MAUD, AIFF et RAW. L'option lissage
(smooth) permet de limiter les parasites. On peut ainsi envisager de
digitaliser en interne ses productions et ensuite de les graver sur un CD
pour se faire un petit CD-AUDIO, ou un CD-ROM
couter avec le logiciel
PLAY16 (player d'
chantillons en direct from disk fournit sur le CD). Plus
simplement, on peut
galement digitaliser le pattern d'un rythme complexe
en 1
64 voix, afin d'utiliser le sample r
sultant comme instrument.
Une machine 8 bits peut ainsi produire un r
sultat 16 bits, mais
Octamed ne permet pas la composition en 16 bits sur des machines de base.
En effet, l'
coute de 16 bits sans carte n'est pas possible comme avec
Aural Illusion ou DSS. Alors quel int
t pour le 8 bits? Lorsque l'on mixe
deux sons 8 bits,
l'arriv
e, chaque son aura perdu de la qualit
, car on
est oblig
de supprimer lors du mixage des donn
es num
riques, pour
retomber sur un son 8 bits. Si vous mixez 16, 32, 64 pistes, il faut
s'attendre
ce que l'
chantillon obtenu ne soit pas d'aussi bonne qualit
que le module en
coute normale. On entend en g
ral un l
ger bruit de
fond qui est att
par l'option lissage, et une baisse notable du volume
des instruments. Maintenant si vous mixez votre module 8 bits en 16 bits,
on perd peu ou pas de donn
es num
riques.
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s M I D I@{fg text}
L'Amiga peut
sent utilis
en mode esclave, c'est
dire comme
rique MIDI. Seize instruments sont utilisables. A chaque canal de
ception MIDI correspond un instrument (canal #1 -> instrument 00).
L'auteur a r
cet outil dans l'optique d'utiliser deux Amiga afin
d'obtenir des modules en 8 vraies voix. Sur le premier micro (ma
tre) vous
composez en 4 voix Amiga et 4 voix MIDI, le second Micro est l'esclave et
joue les 4 voix MIDI qu'il re
oit. Deux probl
mes se posent alors : il faut
d'abord collectionner les Amiga (moi j'en ai deux!), ensuite il faut
pouvoir charger SoundStudio sur les deux
partir du CD-ROM (l
je ne peux
plus!). C'est pourquoi l'int
t est
mon avis limit
, d'autant plus que
l'esclave ne tol
re que l'effet de contr
le du volume.
Il est maintenant possible d'assigner une commande de contr
le MIDI
un code effet (@{"image 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Octa2.8c"}). Les codes de 31
3F pourront ainsi correspondre
au "Midi controller" de votre choix, ce qui simplifie nettement les
commandes qui s'effectuaient auparavant avec 05 et 00 sur deux lignes.
@{fg shine}A u t r e s o p t i o n s e t n o u v e a u t
s@{fg text}
@{fg shine}* FastMemPlay@{fg text}
cette option, la taille des
chantillons n'est plus limit
130Ko. Ils peuvent
tre stock
s dans la Fast et d
s au cours de
coute. Ils ne fonctionnent qu'en mode tracker 4 pistes ou mode mixage.
@{fg shine}* Staff notation@{fg text}
@{"Le mode port
e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Octa2.8c"} disparu dans la v6 est de retour. Possibilit
de choisir la
clef. On peut ins
rer, effacer, ajouter une port
e d'un nombre de mesure
termin
... Bien que ce mode soit bien plus performant que celui des
anciennes versions de Med, il n'est pas encore aussi pratique que celui de
Bars & Pipes, car il manque d'outils facilitant l'
dition.
@{fg shine}* Echo et panoramique St
reo@{fg text}
Octamed dispose
sent de deux effets temps r
el, il s'agit de l'
cho et
de la position st
o du son. Ils sont disponibles en mode mixage et
s'appliquent
chantillon r
sultant. Il n'est pas possible d'attribuer
l'effet
chantillon donn
(comme avec MusicLineEditor, voir ANews
90). Ainsi, toutes les pistes seront modifi
es. L'
cho est mono ou avec
alternance en st
glable). Sa fr
quence et sa profondeur sont
glables. L'effet st
o permet de positionner chaque piste (droite,
gauche, centr
e), l'option al
atoire d
place les pistes au cours de
coute.
On peut joindre un texte au module qui est affich
son chargement.
Une fen
tre type SLIST de la v3 est disponible afin d'avoir acc
rapidement aux r
pertoires contenant les
chantillons.
Lorsque vous utilisez une Toccata, Maestro ou Delfina, les canaux audio de
l'Amiga n'
tant pas n
cessaires, Octamed ne les mobilise pas. Il peuvent
donc
tre utilis
s par un autre programme.
On dispose
galement de quelques nouvelles options d'
dition, de la
possibilit
de choisir les r
pertoires disque par d
faut
ouvrir pour
chaque type de requ
te...
@{fg shine}P o i n t s p o s i t i f s@{fg text}
- La possibilit
de configurer les entr
es-sorties.
- Le mixage et la gestion des cartes 16 bits.
- Les nombreux param
tres r
glables par gadgets.
- La bonne organisation du CD-ROM et son prix.
@{fg shine}P o i n t s n
g a t i f s@{fg text}
- Pas d'arr
t automatique du mixage en direct to disk.
- MidiFiles toujours mal converties.
- N
cessit
du CD-Rom pour lancer le logiciel, ce qui rend
le mode esclave Midi difficile
utiliser.
- Pas de gestion de la carte Aura en mode mixage.
@{fg shine}E n c o n c l u s i o n@{fg text}
Octamed SoundStudio v1 a
particuli
rement travaill
pour les
possesseurs de cartes 16 bits. Il leur permettra de composer des modules ou
modules + Midi, avec possibilit
de panachage sons 16 bits et 8 bits. C'est
galement avec de telles cartes que le mixage 1-64 pistes pourra s'exprimer
au mieux. Pour les autres, cette nouvelle version pr
sente certains
avantages, si vous avez un microprossesseur rapide. Il s'agit l
d'un outil
ressant pour r
aliser des modules avec plus de 8 voix. Si vous
lent, l'option mixage vous permettra de convertir vos modules en
chantillon sonore 8 ou 16 bits. Mais, si vous n'avez ni RamFast, ni
disque dur, alors oubliez SoundStudio. La version la plus int
ressante est
la version CD-Rom, puisqu'elle comprend le logiciel en fran
ais avec son
guide, une banque de sons et de modules, et quelques logiciels dont PLAY16
pour
couter en direct from disk avec gestion des cartes, vos
chantillons
massifs. Egalement disponible en version disquette.
Octamed Soundstudio v1 est le logiciel qui permet l'utilisation en
simultan
de toutes les capacit
s de cr
ation musicale de l'Amiga. Il
regroupe un s
quenceur de module, un s
quenceur Midi et un module d'
dition
et conversion des
chantillons. Incontournable.
@{fg shine}R
mi Mor
da@{fg text}
Distributeur en France : @{fg shine}France Festival Distribution@{fg text}
Prix : @{fg shine}De 300F
690F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octPpage41 " ProPage 4.1 (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P r o P a g e l e r e t o u r@{fg text}
Depuis la disparition de GoldDisk (l'ancien
diteur de ProPage),
Pagestream 3 r
gnait seul en ma
tre incontest
sur le march
Amiga des
logiciels de PAO (Publication Assist
e par Ordinateur). Un
diteur Anglais
(LH Publishing) a eu la bonne id
e de reprendre la distribution de ProPage
dans sa version 4.1 et ce
un prix tr
s attractif.
@{fg shine}L e p a c k a g e@{fg text}
Dans la bo
te on trouve deux classeurs de plus de 200 pages chacun. Le
premier correspond au manuel d'utilisation, le second est un manuel
d'apprentissage nomm
"step-by-step" (pas
pas). On y trouve
galement
deux s
ries de quatre disquettes: la premi
re contient le programme
proprement dit, la seconde met
disposition des polices suppl
mentaires
et des fichiers d'exemples. Enfin, on y trouve bien s
r, l'incontournable
carte d'enregistrement. L'ensemble est de bonne qualit
et en...Anglais.
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
L'installation utilise le programme "Install" de Commodore et ne pose
donc aucun probl
me. Le programme fonctionne sur tout Amiga
minimum de trois M
gaOctets de m
moire, d'un disque dur, du workbench 2 ou
rieur. Toutefois, plus il y a de m
moire install
e, plus le programme
est agr
able
utiliser et plus on peut construire de gros documents
utilisant de nombreuses illustrations.
La "config" du test Le test de ProPage 4.1 a
sur un Amiga
4000 T avec 18 Mo de RAM et CyberGraphics.
@{fg shine}L a P A O@{fg text}
Un programme de PAO fonctionne diff
remment d'un traitement de texte:
la mise en page se r
alise uniquement
travers des bo
tes, m
me pour le
texte. C'est ce qui rend son approche assez difficile. Mais une fois la
technique acquise, ce genre de logiciel permet une tr
s grande libert
mise en page, inaccessible
travers un traitement de texte, aussi dou
soit-il. ProPage malgr
son grand
ge (cette version date de 1993), n'a
pas (ou presque) pris une ride. Gr
son encodage postscript, le support
des couleurs PANTONE et ses polices proportionnelles, ProPage permet de
rer des documents de qualit
vraiment professionnelle. Votre journal
AmigaNews est r
enti
rement sur ProPage depuis longtemps, c'est dire
les possibilit
s du programme.
Une session de travail se d
roule "grosso-modo" comme suit: Cr
ation
d'un texte ASCII dans un
diteur de texte (avec Article Editor puisqu'il
est fourni avec ProPage). Pr
paration des illustrations (dessins, images
es, clips Art, grabs d'
cran). Ouverture du programme et cr
ation
d'une page. Lors de la cr
ation, on peut dors et d
terminer son
format, son orientation, le nombre de colonnes qu'elle doit contenir, la
largeur des goutti
res, les marges, etc. Une fois la page cr
e, il faut
importer puis coller le texte dans la bo
te cr
e automatiquement avec la
page. Ensuite, il faut cr
er les bo
tes devant recevoir les illustrations,
les dimensionner et les positionner, puis y importer les images proprement
dites. A partir de ce moment, tout l'art de la mise en page commence: il
faut justifier le texte, mettre en valeur les titres comme sur un
traitement de texte. Ensuite il faut s'occuper des illustrations, les
placer et les dimensionner correctement
l'int
rieur des bo
tes, faire en
sorte que le texte contourne les illustrations, etc. C'est
vidence la
partie du travail o
l'on passe le plus de temps: il faut que cela soit
@{"joli et agr
able
lire!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ppage4.16c"}
@{fg shine}L ' i n t e r f a c e@{fg text}
L
on s'aper
oit que le programme est vieillissant, c'est qu'il est
incapable de charger les formats de fichiers les plus r
cents: le JPEG par
exemple ou encore un texte issu de FinalWriter. Les filtres d'importation
sont trop vieux (Textcraft, Excellence...) et il n'y a aucun espoir de les
voir
voluer. Pour contourner ce probl
me, il faut importer tous les
textes en ASCII et donc les sauvegarder dans ce format si on utilise un
traitement de texte. Pour les images il faut
viter
tout prix le JPEG,
les autres formats communs (BMP, GIF, IFF, PCX, TIFF) sont support
s. Pour
les clips, ProPage est limit
aux formats EPS et ProDraw mais dispose aussi
d'outils de dessin vectoriel permettant de cr
er des droites, des courbes,
des ellipses, des rectangles, des polygones et du dessin
main lev
Le logiciel est aussi interfac
avec ProDraw (programme de dessin
vectoriel), mais malheureusement ce dernier ne fonctionne pas correctement
sur mon 4000, sans doute une incompatibilit
avec le 68040 ou encore avec
les ROM 3.x. Bien que Propage dispose d'un petit logiciel de dessin
(bitmap) int
, il faudra de toutes fa
ons lui pr
rer Dpaint, PPaint
ou TVPaint tant ses fonctions sont d
tes. Enfin on peut utiliser
Article Editor (l'
diteur de texte) sans quitter le programme ProPage pour
modifier le texte s
lectionn
. En effet, bien que l'on puisse modifier le
texte directement dans ProPage, il est bien souvent plus commode
d'utiliser l'
diteur de texte fourni: l'
dition en est nettement
ProPage utilise le principe des maquettes (Template) qui permettent de
finir une page gabarit pour les pages de droite et de gauche. Ces pages
servent
finir des
ments (haut de page, bas de page, num
rotation,
illustration...) qui seront r
percut
s sur toutes les pages utilisant ces
gabarits. C'est utile par exemple pour cr
er de longs documents et
vite
d'avoir
s'en occuper page apr
s page, ou encore de modifier la
sentation g
rale d'un document sans toucher
sa mise en page. A la
ation d'une nouvelle page on peut d
cider d'utiliser le gabarit ou non,
ce qui rend le syst
me tr
s souple et efficace.
La gestion des liens entre pages et colonnes peut
tre g
e par page
ou par colonne tr
s facilement. Une page peut
tre enregistr
ment
tout moment et ins
e n'importe o
me dans un autre document. On peut
galement r
ordonner les pages par un tri visuel
la souris.
@{fg shine}L e s G
n i e s g
n i a l e s@{fg text}
ProPage dispose de fonctions @{"Genies" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ppage2.8c"} permettant d'automatiser des
rations de mise en page complexes. Ce sont en fait des programmes ARexx
que l'on peut
diter
loisir et il y en a plus de 60! C'est tout bonnement
nial. Ne vous privez pas non plus des quarante genies suppl
mentaires
que vous trouverez sur la disquette FredFish 724 (DonsGenies). En plus des
fonctions Genies, il y a
galement des pages Genies cr
es enti
rement
partir d'ARexx. C'est encore mieux que les pages Template car une fois la
page Genie ouverte il ne reste que le texte
y ins
rer: la mise en page
est enti
rement r
e et le document est pr
l'emploi. Cette version
propose plusieurs pages Genies int
ressantes comme des lettres type, des
pages pour imprimer des
tiquettes, un fanzine, etc. C'est un plus
formidable.
@{fg shine}L e s m a n u e l s@{fg text}
Les manuels sont malheureusement en Anglais et cela peut
tre un
handicap si vous ne ma
trisez pas du tout cette langue. Le premier manuel
est le manuel de r
rence: il passe en revue l'installation, les outils
internes du programme, tous les menus en d
tails, Article Editor et tous
les utilitaires fournis en suppl
ment. C'est clair, a
et relativement
complet. Relativement, car a mon avis il manque certains d
tails comme par
exemple la description des codes ProPage que l'on peut
diter dans Article
Editor. Le second manuel "Step-by-step" reprend les grandes lignes de la
mise en page avec ProPage
travers divers exercices. C'est bourr
d'astuces intelligentes qui vous faciliteront la prise en main du
logiciel. M
me un utilisateur chevronn
peut y trouver des choses
ressantes. Nul doute que l'auteur de ces manuels soit un expert es
ProPage. Ce manuel est limpide, explicite, tr
s illustr
, en d'autres
termes parfait. Le seul reproche que l'on puisse faire c'est qu'il fait
rence
ProDraw (non fourni) et que mon 68040 ne l'accepte pas.
@{fg shine}P r o b l
m e s e t b o g u e s@{fg text}
Du fait de son
ge et donc de la programmation de routines ignorant les
produits les plus r
cents comme CyberGraphics, il existe certains
probl
mes connus par l'
diteur et d'autres apparemment non connus.
Un probl
me existe avec l'Overdrive d'Archos ce qui provoque des
crashs. LH Publishing semble avoir une solution. Les Amigas non AGA avec
les ROM 3.1 ne peuvent obtenir la couleur qu'
travers une carte graphique.
Les Amigas AGA avec le workbench 3.1 et ROM 3.1 ne peuvent pas obtenir le
mode 16 couleurs. Pour ma part j'ai relev
des bugs dans le
rafra
chissement de l'affichage en mode Cybergraphics. Des blocs entiers ne
sont pas rafra
chis instantan
ment (par exemple lors d'un d
placement dans
la page): il faut cliquer sur les bo
tes avec l'outil appropri
pour que
leurs contenus puissent se r
afficher correctement.
ProPage est
galement tr
s capricieux avec les polices vectorielles. Il
n'accepte que les polices Compugraphic estampill
es GolDisk ou AGFA. Les
CGFonts provenant du DP ou d'autres programmes ne sont pas toujours
accept
es. M
me les polices fournies avec le programme ne sont pas
satisfaisantes en mode Postscript. Je n'ai pas r
ussi par exemple
un fichier ".ps" pour toutes les polices fournies: c'est un comble!
Heureusement, ProPage est livr
avec un ensemble de petits utilitaires qui
permettent de transformer les polices Postscript Type 1 en polices CG pour
ProPage et heureusement elles sont l
gions dans le DP.
Apr
s avoir pass
de longues heures
ses c
s, je n'ai
plorer que
de rares crashs. Ces derniers semblent provoqu
s par des probl
mes de
moire d'affichage: les menus et les boutons des bo
tes de dialogue
disparaissent parfois totalement. Pensez
sauvegarder r
rement vos
travaux en cours d'
dition, sinon...
@{fg shine}M a t
r i e l p o u r u n c o n f o r t o p t i m u m@{fg text}
Les remarques faites ici ne concernent pas exclusivement ProPage, mais
concernent aussi tous les autres logiciels de mise en page (quelque soit la
plate-forme). L'important c'est l'affichage: il faut un bon moniteur
pouvant afficher de hautes r
solutions. Le nec plus ultra serait un
moniteur 21 pouces ayant une r
solution d'au moins 1280 x 1024. Pour ma
part j'utilise un 15 pouces en 800 x 600: ce qui donne ma foi un confort
fort acceptable. J'ai
galement utilis
pendant longtemps le mode HiRes
640 x 512 mais dans ce mode le flickerfixer est r
ellement indispensable.
Essayez aussi le SuperHiRes ou le DBLPAL. Une carte graphique sera
galement fort appr
e. Comme d
dit auparavant il faut de la m
moire.
ProPage semble se contenter de 8 Mo de Fast RAM. Mais plus y en a, mieux
c'est car vous pourrez utiliser en parall
le d'autres programmes comme
PPaint ou ADPro. Une astuce pour
conomiser la m
moire consiste
enregistrer vos illustrations sous forme de brosses. Le gain m
moire est
vraiment spectaculaire. Le processeur utilis
est lui aussi primordial pour
le confort. Le 68020 donne un confort tr
s relatif: les rafra
chissements
sont assez longs. Avec un 68040 c'est nettement mieux et avec un 68060
cela doit
tre tr
s convivial, n'est-ce pas messieurs et mesdames de la
daction. Une bonne imprimante couleur
jet d'encre et/ou une imprimante
laser Postscript sont n
cessaires pour tirer le maximum du programme. Ce
riel n'est pas forc
ment indispensable puisque ProPage permet de
fabriquer des fichiers Postscript que tout imprimeur digne de ce nom est
capable de lire pour reproduire fid
lement votre document. Mais dans ce
cas, il faut pr
voir un support physique amovible pour transmettre vos
l'imprimeur. Enfin, pour fabriquer vos illustrations,
l'acquisition d'un scanner est tr
s utile.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
C'est un programme tr
s professionnel, certes d
par les logiciels
modernes comme PageStream 3.0i, mais
un prix d
sormais au ras des
querettes. Le choix se situe surtout dans votre porte-monnaie.
Pour : La qualit
des r
sultats, le prix
l'interface sympa et quasiment compl
Contre: L'absence de mise
jour possible
@{fg shine}Alain PIEDNOEL@{fg text}
@{fg shine}P H A S E 1 , 2 e t 3@{fg text}
Sous ce nom se cache une s
rie de 3 CDROM
s par E.M.C.
ComputerGraphic qui devraient interresser tous les fans des logiciels de
traitement de texte ou de PAO. Sur chaque CD on trouve une
lection de Clips" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ppclip1.16c"}
, d'images, de polices vectorielles (CG, Type1, ProDraw) d'
@{"assez bonne qualit
en g
ral" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ppclip2.2c"}
. De plus sur le premier CD on trouve quelques utilitaires sympas mais loin
tre in
dits, les d
mos de Typesmith2.5 et Pagestream2 et des mises
jour pas tr
centes (dommage). Cette s
rie de CD est malgr
tout
interressante puisque c'est de loin la compilatation de polices, de clips
et d'images la plus compl
te qui soit... et le tout au format Amiga. Si
vous
tes en manque d'
ments pour vos mises en page, n'h
sitez pas, cette
rie est pour vous.
@ENDNODE
@NODE octNewsVideo " News Vid
o (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" EDITORIAL (10-94)" LINK octEdito}
@{" News Amiga (10-94)" LINK octNewsamiga}
@{" News PC (10-94)" LINK octNewspc}
@{" News Vid
o (10-94)" LINK octNvideo}
@{" BRUIT DE COULOIR (10-94)" LINK octBruitcouloir}
@ENDNODE
@NODE octEdito " EDITORIAL (10-94)"
@TOC octNewsVideo
@{fg shine}E D I T O R I A L@{fg text}
Faisant suite
mes derni
res prises de t
te avec Windows 95, je vous
livre une fiction qui je l'esp
re ne deviendra jamais r
Michel):
"FLASH d'informations de ce mardi 20 octobre 2020, L'OFU nous informe
que Mr Bill G. a
lu pour trois ans par les pr
sidents des trois
grandes f
rations de l'OFU (PanAmerique, Europe et Asie) au poste de
ministre de la communication et de la coordination informatique. Ce vote
n'a surpris personne car le P.D.G. de la MSWCORP Mr Bill G.
tait d
pressenti pour prendre en main la direction de ce minist
re. Pour les
auditeurs qui
poque
taient trop jeunes pour avoir suivi l'expansion
de la compagnie de Mr Bill G, nous allons raconter un peu d'histoire:
il faut savoir que jusqu'en 2005 de nombreux services de communication
transitaient entre autres par le r
seau Internet (un espace de
communication libre et gratuit mais difficilement contr
lable et qui avait
connu ses heures de gloire
la fin du 21 si
cle). A partir de 2007 (date
laquelle fut cr
e l'OFU), les f
rations d
rent qu'il
tait temps de
se doter d'un v
ritable r
seau de communication plan
taire, (r
seau dont
ils auraient enfin le plein contr
le). Un minist
re fut cr
cet effet et
des responsables nomm
s. Il ne leur restait plus qu'
choisir l'entreprise
qui se chargerait de la "logistique system".
A cette
poque, la seule soci
en mesure de prendre en main un tel
projet
tait la MSWCORP, d'autant plus que son syst
me d'exploitation
tait
largement implant
dans les entreprises et chez les particuliers. Le
cahier des charges comprenait la circulation des besoins courants en
communication (vid
ophone, banque,
nergie, T.V.
la carte, etc...).
L'arm
e, la s
curit
rieure ou les f
rations, devaient pouvoir en
faire usage avec la garantie d'une parfaite s
curit
, d'autant que les
rations allaient mettre en place l'automatisation des pr
vements
obligatoires des administr
s (imp
ts et taxes diverses). Ainsi, la soci
MSWCorp de Mr Bill G fut donc choisie pour mettre en place ce syst
d'exploitation qui prit l'ampleur que nous lui connaissons aujourd'hui et
ce auquel
cet instant vous pouvez consulter notre cha
ne de "TV" ou
effectuer tous vos paiements quotidiens. Suite
cette nomination, Mr bill
G. a d
qu'il continuerait
soutenir financi
rement les syst
d'exploitations marginaux afin dit-il de stimuler la cr
ativit
des
ouvriers du secteur de la programmation.
Re-FLASH: A l'instant m
me, nous venons de recevoir une d
che de la
te ouest, nous informant qu'un central de service des paiements par carte
aurait subi une agression par virus informatique (les pertes n'ont pas
encore
chiffr
es). Ce virus aurait la signature de "McC", ce m
terroriste qui est responsable de la vague d'attentats aux virus qui a
touch
le mois dernier les diff
rents d
partements de la s
curit
aux
fronti
res de la f
ration PANAMERICAINE. "McC", qui n'a toujours pas
identifi
, est
la t
te d'un mouvement qui se fait appeler FLA (
@{"Front de Lib
ration de l'Amiga" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Fla.8bt"}
). Pour rappel, ce mouvement a comme origine un syst
me d'exploitation
consid
comme anarchiste d
s ses d
buts, et qui fut cr
dans les ann
80. Ces utilisateurs ont toujours refus
la grande normalisation de 2007.
L'OFU offrira un abonnement d'un an au c
ble M.S.Loisir pour tous
renseignements sur le d
"McC".
Enfin, un journal TV vient d'annoncer qu'il semblerait que le d
"McC", souhaite s'attaquer par virus interpos
s aux activit
s du groupe de
Mr Bill G. Selon ce journal, cette information serait fond
e sur le fait
que le service informatique du d
partement de la s
curit
serait aussi g
par une des filiales de MSWCORP. Nous avons contact
la MSWCORP, qui a
totalement d
menti ces all
gations.
--------------- retour en 1996.
@{fg shine}Eric Lapalu@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octNewsamiga " News Amiga (10-94)"
@TOC octNewsVideo
@{fg shine}N e w s A m i g a@{fg text}
@{fg shine}C A S A B L A N C A@{fg text}
MacroSystem annonce une version all
e du DRACO pour les vid
astes
amateurs (voir les pages de News allemandes). Casablanca se pr
sente sous
la forme d'une console d'effets vid
o et int
gre un 68040
33 MHz, un
contr
leur FAST SCSI-II, 4Mo de RAM, un lecteur de disquette (1,8 Mo) et
une carte DracoMotion. Au titre des curiosit
s, cet appareil ne dispose
d'aucun clavier ni m
me de souris mais est pourvu d'un track ball. Equip
d'une connectique suffisamment fournie puisqu'il est toujours possible de
rajouter un clavier pour le titrage et un jog shuttle, il affiche ses menus
sur un
cran vid
o de type t
vision (en RVB entrelac
). Mais c'est une
machine d
la vid
o et ne peut pas
tre transform
e en ordinateur.
Pour la vid
o (standard CCIR601), Casablanca dispose d'une prise
YC/composite PAL en entr
e/sortie et pourrait recevoir prochainement un
module optionnel, qui le rendrait compatible avec le format DVC (les
connecteurs DVC IEEE P1394 d'entr
e/sortie sont d
sur le bo
tier). Pour
le son, (3 pistes st
o 16 bits
48 Khz), les prises cinch st
o in/out
se trouvent en fa
ade et
l'arri
re. Le logiciel de montage MovieShop
permettrait de g
rer des temps d'enregistrement pouvant aller jusqu'
heures d'enregistrement (variable selon le type de compression ou selon le
disque dur utilis
). Il va de soi que des disques durs fast SCSI III AV
(type Micropolis) sont conseill
De la dimension d'un magn
toscope analogique (450*90*340). Casablanca
se 7 Kg. Il devrait
tre propos
"nu" aux alentours de 3000DM fin
octobre.
@{fg shine}D R A C O S H O W S@{fg text}
Les soci
s Vitepro et DeltaGraphX nous informent qu'ils organiseront
des journ
es de pr
sentation avec la nouvelle carte DracoMotion. Contactez-
les pour plus d'information. >
@ENDNODE
@NODE octNewspc " News PC (10-94)"
@TOC octNewsVideo
@{fg shine}N e w s P C@{fg text}
@{fg shine}C I S@{fg text}
La gamme PVR va se voir renforc
e par de nouveaux modules, avec entre
autres une carte d'effets "semi" temps r
el (un effet de fondu entre
quences serait ramen
un temps de calcul de 10 secondes).
@{fg shine}V I D E O D I R E C T O R@{fg text}
Ce logiciel de montage vid
o d'origine Amiga a
rachet
par la
PINNACLE. Ce rachat peut surprendre lorsque l'on sait que cette
est surtout connue par les vid
astes professionnels pour ses
processeurs d'effets 3D temps r
el (Aladin). Pinnacle aurait donc d
d'attaquer le march
grand public de la vid
o. Le montant du rachat
GOLD DISK serait estim
4,5 millions de dollars.
@{fg shine}P I N N A C L E s u i t e@{fg text}
La carte Vid
omachine dispose dor
navant d'un interfacage avec la carte
Aladdin (effets temps r
els 3D). Rappelons, qu'actuellement il existe un
parc de 14000 syst
mes Vid
o Machine install
s dans le monde. Pour preuve
de la qualit
de cette plate-forme de montage virtuel (ci cela
tait encore
cessaire), FR3 a r
cemment diffus
sur THALASSA un 26 minutes enti
rement
sur Vid
o Machine. Lorsque l'on conna
t les normes de qualit
es par FR3 pour la diffusion d'un reportage sur cette
mission, cela
est ce que l'on pourrait appeler "un bon coup de pub"
@{fg shine}B a i s s e d e p r i x c h e z F A S T@{fg text}
La DC20 passe
4990F et la DC1
1990F
@ENDNODE
@NODE octNvideo " News Vid
o (10-94)"
@TOC octNewsVideo
@{fg shine}N e w s V i d
o@{fg text}
@{fg shine}G S E / M P E 2 0 0 S X@{fg text}
Une nouvelle @{"table de montage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Nvfig1.8bt"} devrait bient
t voir le jour sur le
territoire fran
ais, la MPE2000 PRO. Int
dans un m
me ensemble: une
table de montage A/B roll g
rant 400 s
quences, un m
langeur vid
o de type
MX12 Panasonic avec gestion des chroma keys, un TBC, une table de mixage
audio et un titreur haute r
solution. Cette table dispose d'une
e/sortie analogique (yc,composite) mais aussi num
rique au format DV.
Enfin, GSE devrait la proposer aux alentours de 15900 F.
@{fg shine}T O S H I B A@{fg text}
Ce nouveau @{"magn
toscope VHS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Nvfig2.8bt"}, devrait int
resser les "d
voreurs" de
cassettes car il est
du syst
me PDC. Ce concept permet un choix tr
cis du d
but d'enregistrement du programme s
lectionn
(aux alentours
d'une seconde). Il dispose aussi d'un jog shuttle, et d'une entr
e audio
o en fa
ade.
Disponibilit
octobre
@{fg shine}S A N Y O@{fg text}
Sanyo annonce la sortie d'un @{"appareil photo" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Nvfig4.8bt"} concurrent
Canon et
Polaro
d. Cet appareil, qui est plus volumineux que ces concurrents,
fonctionne dans une r
solution de 640/480 et peut recevoir des cartes
moire de type PCMCIA (2 et 4 Mb). Il int
gre un flash mais ne dispose pas
de Zoom.
Sortie en France pr
vue pour fin novembre.
@{fg shine}S H A R P " D V C A U S S I "@{fg text}
Apr
s SONY, JVC et Panasonic, SHARP d
cide de sortir son
@{"mod
le num
rique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Nvfig3.8bt"}
. Cette appareil con
u sur la base des s
ries 8 mm et HI8 (VLE-34H et VLE
37H), int
gre un
cran cristaux
liquide couleur
matrice active T.V. Le
capteur est
d'une technologie OPC (r
glage de la mise au point
automatique, balance digital). En option un tuner T.V. plus une connectique
micro-informatique sont pr
vues.
Le prix annonc
pour le VL-DC1 est de 15000F. Commercialisation pr
pour la fin de l'ann
e en Angleterre.
@ENDNODE
@NODE octBruitcouloir " BRUIT DE COULOIR (10-94)"
@TOC octNewsVideo
@{fg shine}B R U I T D E C O U L O I R@{fg text}
@{fg shine}B I L L G A T E S@{fg text}
Respectant son planning de diversification, MICROSOFT s'est associ
avec la NBC pour cr
er une cha
ne de t
vision ayant pour th
l'actualit
. Cette cha
mettra ses informations parall
lement sur le
ble et sur Internet. Inquiet des risques d'extension, les cablo-
rateurs am
ricains ont port
plainte devant le FTC (Federal Trade
Commission) dans l'espoir de freiner les ardeurs "gargantuesques" de Bill
Gates. La cha
ne MSNBC devrait remplacer le canal "America's Talking". Les
moyens mis en oeuvre sont
la hauteur de ses ambitions (la cha
ne emploie
500 personnes r
parties dans une vingtaine de bureaux dans le monde) et
voit un parc de 20 millions d'abonn
@{fg shine}L ' i n v a s i o n c o n t i n u e@{fg text}
Selon certaines
tudes de march
, le nombre des PC multim
dia vendus
dans le monde a doubl
en 1995. Il aurait ainsi
vendu 20 millions
d'unit
quand la r
sistance Amiga, Michel?).
@{fg shine}S O N Y e n a r
. . .@{fg text}
Malgr
chec du MSX, le c
bre constructeur japonais revient
charge avec une nouvelle approche marketing (nom de code VAIO pour vid
audio, integrated operation). En fait, si "l'engin" est pourvu d'un design
original et de bonnes performances techniques (puisque d
en deux
versions 166 et 200 Mhz), il n'en reste pas moins que le concept en
question est un "simple P.C." pourvu d'une interface utilisateur "relook
style 3d, et de composants multim
dias. Cet appareil sera pour le moment
seulement distribu
sur le march
ricain.
@ENDNODE
@NODE octMoviemachine2 " Movie Machine II (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M O V I E M A C H I N E I I
La m
connue des vid
astes (partie1)@{fg text}
Le vid
aste utilisant un P.C. a souvent du mal
choisir une carte pour
ses applications vid
o, car si le P.C. dispose depuis peu du plug and play
(version PC de l'auto-config de l'Amiga), ceci ne r
sout pas pour autant
tous les probl
mes de disponibilit
et d'adresse de connecteur et l'oblige
donc
rechercher avant tout, une carte pouvant int
grer un maximum de
fonctions. Courant 1995 la carte Movie Machine de FAST fut pr
presse, mais fut victime d'un malentendu journalistique d
son
positionnement commercial (
cheval entre les mondes informatique et
o). Pourtant, cette carte disposait de nombreux atouts pour s
duire le
aste amateur.
Pour ce premier contact et pour vous permettre une meilleure
compr
hension sur le concept de cette carte, nous aurons une approche assez
rale. Le mois prochain, nous ferons un test plus d
taill
sur les
performances et le fonctionnement de cette carte en situation de montage
o. Pour ce test, nous utiliserons un Pentium 133
d'une carte
AZUSTEK, 32 Mo de RAM et un disque dur de 2,5Go IDE. Au passage, merci
VAV pour l'assemblage du P.C en urgence, sans qui ce test n'aurait pu
termin
dans les temps.
La MOVIE MACHINE II me rappelle par certains c
s la carte OpalVision
et son Roaster, une carte con
ue pour Amiga mais qui ne fut
malheureusement pas distribu
e en France.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
@{"La carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig1.8bt"} est fournie avec un c
ble multibroches auquel sont raccord
les diff
rents
ments audio et vid
* @{fg shine}En entr
e@{fg text}: deux connecteurs YC (avec adaptateur composite), un
connecteur pour prise antenne et un connecteur VGA sur lesquels est branch
ble qui le relie
la sortie de la carte graphique SVGA.
* @{fg shine}En sortie@{fg text}: deux connecteurs (un YC et un composite), un
connecteur audio jack 3,5 st
o (utilis
pour la carte TV TUNER) et la
sortie SVGA sur laquelle est connect
e le moniteur.
A l'installation de la carte, qui est plug and play, l'utilisateur peut
tre confront
un probl
me d'IRQ (probl
me surtout d
au concept hardware
de certaines cartes P.C, plus qu'
notre carte). Ce probl
me est r
solvable
dans 95% des cas par un d
placement de commutateur dips ou de fa
logiciel sous Windows 95. L'installation du logiciel s'effectue sous Window
95 ou 3.11 (3 disquettes).
Les d
butants appr
cieront certainement le fait qu'il soit possible de
lectionner le chemin d'installation du logiciel
la souris (disque dur,
partition et tiroir). Une fois la carte et ses logiciels installes, il est
cessaire d'effectuer quelques r
glages (
talonnage, etc...).
@{fg shine}L a c a r t e p r i n c i p a l e@{fg text}
@{fg shine}Le concept@{fg text}
Pour mieux comprendre le fonctionnement de la Movie Machine en vid
(son prix est de 4300F), il suffit d'imaginer une table de mixage vid
laquelle on aurait greff
une interface pour la communication avec un
ordinateur. La carte m
re, con
ue sur un concept modulaire, peut recevoir
en option deux modules enfichables sur des slots d
s. Le premier module
est une carte MJPEG (2900F) d
e aux montages num
riques et le second,
une carte MPEG (1200F) qui permet de lire des CDVIDEO du commerce ou des
alisations personnelles. Si vous souhaitez acqu
rir l'ensemble, FAST
propose un pack (Powerpack) pour environ 8000F.
Pour des applications vid
os "analogiques" la Movie Machine II est peu
gourmande en puissance processeur. Elle devrait m
me fonctionner avec un
AMIGA 4000/3000 ou 2000, muni d'une carte d'
mulation P.C. Pour
fonctionner, la carte se contente d'un simple 386
d'un bus ISA et de
8 Mo de RAM. Naturellement, lorsque l'on souhaite installer le module MPEG
pour passer au stade du montage virtuel, il devient alors indispensable de
passer
une configuration plus "muscl
e": de pr
rence un Pentium 133
Triton II
d'une carte contr
leur EIDE (rapide) ou mieux, une carte
SCSI III, 32 Mo de RAM, un disque dur de 4Go SCSI II (AV bienvenue) et pour
le confort visuel, un
cran 17 pouces.
@{fg shine}Possibilit
s@{fg text}
Lorsque l'on analyse cette carte on s'aper
oit qu'elle pourrait
remplacer dans une cha
ne vid
o/informatique huit p
riques (dont 2
avec les modules optionnels). Nous allons donc essayer d'en d
tailler
rapidement les quelques fonctions, ceci, en attendant le test du mois
prochain.
- @{"Digitaliseur vid
o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig2.24b"}: la carte num
rise, sous MOVIE T.V., une image en
temps r
el (une trame en 24 bits) au format vid
o (768 / 576). Les sources
sont s
lectionnables parmi 3 entr
es (YC/composite/ TUNER) au moyen de la
souris, et supportent les formats PAL,SECAM et NTSC.
- Genlock: la carte incruste tout texte ou graphique r
avec un
logiciel de dessin ou num
(avec la carte ou un scanner). Pour
incruster une de ces sources vid
os, les fichiers sont envoy
s dans une
moire de trame, puis g
s par le canal vid
o dit de premier plan
(frontground). Ce canal peut ensuite
tre mix
ou incrust
sur une des
sources vid
os externe (A ou B). Concernant la ou les couleurs
d'incrustations celles-ci sont param
trables en chrominance mais aussi en
luminance. Cette incrustation, peut s'effectuer avec une transparence. Il
est par contre n
cessaire d'utiliser un fichier 32 bits.
- Table de mixage vid
o: la carte permet d'appliquer des effets avec
transparence vid
la fa
on d'une table de mixage (une vingtaine sont
programm
s). Ces effets peuvent s'appliquer entre deux sources vid
externe ou interne (informatique/image vid
o gel
la vol
e/T.V.
tuner/s
quence vid
o num
riques).
- Correcteur vid
o: permet une correction s
e pour chaque source
o. La carte peut intervenir sur le signal vid
o de fa
on tr
cise.
Colorim
trie (par exemple dans le cas d'une mauvaise balance des blancs),
contraste, luminosit
et d
finition.
- Multitranscodeur: YC/composite, Composite/YC et PAL/Secam, NTSC avec
PAL/NTSC en sortie.
- Tuner T.V. SECAM: compatible t
texte, le tuner s'active avec le
logiciel TVTUNER et d
marre en "overlay".
- Gestion de l'alpha channel: cette fonction permet, entre autre, de
aliser des incrustations de titres ou de graphiques avec bords
transparents (avec des fichiers 32 bits), de fa
faire dispara
tre les
classiques effets de marche d'escalier d
la r
solution actuelle de la
o. Pour exploiter cette possibilit
, les titres ou images devront
s au pr
alable avec un logiciel g
rant l'alphachannel (TVPAINT ou
PHOTOSHOP par exemple).
@{fg shine}Canaux video@{fg text}
La carte dispose de deux canaux vid
os "frontground et background" plus
un plan r
l'alphachannel (pour la transparence).
Ces canaux peuvent se faire affecter l'une des quatre sources vid
disponibles, plus une m
moire de trame (512 ko).
- 2 sources externes: A et B, ces deux entr
es vid
os supportent, pour
rappel, un signal PAL,SECAM ou NTCS.
- 2 sources internes: une source est r
e au signal du tuner t
(symbolis
e sur le logiciel par une antenne) et l'autre
la carte vid
MPEG (ic
ne film).
- 1 m
moire de trame: la carte dispose d'une m
moire de trame. Celle ci
peut contenir une image vid
o gel
la vol
e (T.V. ou vid
o externe) ou
une image informatique (texte ou photo num
s avec la carte). Cette
moire de trame est g
e par le canal vid
o dit de premier plan
(frontground), puis mix
e ou incrust
e sur une des sources vid
o externe (A
ou B).
@{fg shine}L'overlay@{fg text}
La fen
tre de l'overlay permet d'afficher une source vid
o (MPEG, tuner
T.V. ou source vid
o externe) en 24 bits dans une r
solution d'
cran
pouvant aller jusqu'
une r
solution de 1280/1024, et cela m
me si le P.C.
est dans un mode 256 couleurs.
@{fg shine}L e s l o g i c i e l s@{fg text}
* @{fg shine}@{"Movie Studio" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig2.24b"}@{fg text}: ce logiciel a en charge toute la gestion des
fonctions vid
o de la carte. D'une simplicit
concertante, il permet
d'acc
der rapidement
chacune des fonctions de la carte: chargement
d'image ou de texte, gestion de l'incrustation et de l'alpha channel, choix
et param
trage du DVE, colorim
trie, etc... Movie Studio g
re en standard
une vingtaine d'effets vid
os pr
programm
es qui, pour rappel, sont en
temps r
el (volet, fondus aux noir, fondu avec transparence, r
duction
etc...), et si les effets pr
finis ne vous conviennent pas, il est
toujours possible d'@{"en cr
er de nouveaux" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig3.24b"}.
* @{fg shine}@{"Movie T.V" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig4.8bt"}@{fg text}: Movie TV fonctionne en overlay. Ce logiciel permet la
capture d'images fixes et g
re aussi le Tuner T.V. La source vid
riser est s
lectionnable
la souris (A, B, TVTUNER et MPEG si l'on
dispose de ce module). L'image captur
e peut
tre ensuite retouch
e et
sauvegard
e dans un des nombreux formats propos
s (JPEG, BMP, TIF etc.).
Movie T.V. g
re aussi les param
trages du TUNER.
@{fg shine}L e s o p t i o n s@{fg text}
(en test le mois prochain)
* @{fg shine}La carte @{"MJPEG FPS 60" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig5.8bt"}@{fg text}: cette carte est con
ue pour les vid
astes
qui souhaitent effectuer du montage virtuel. La compression s'effectue en
double trame, soit 50 trames par seconde et offre une r
solution proche de
l'Umatique. Cette carte est fournie avec ADOBE PREMIERE 4.0 LE et
PHOTOSHOP.
* @{fg shine}La @{"carte MPEG" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Mmfig6.8bt"}@{fg text}: cette carte permet la lecture de CD ROM au format
o MPEG ou de tout fichier compatible avec ce format. La carte est
fournie avec des gestionnaires pour WINDOWS 95 et le logiciel XING
d'encodage MPEG.
@{fg shine}P r e m i
r e s i m p r e s s i o n s@{fg text}
La qualit
du signal de sortie est au premier abord de bonne qualit
(les mires de test concernant la chroma. semblent le confirmer). Une bonne
nouvelle pour les utilisateurs institutionnels travaillant sur du mat
riel
mixte (composite et YC ): le signal YC r
en sortie r
duit fortement
le classique "jitter" du signal vid
o composite, confirmant que la carte
dispose bien d'un v
ritable circuit vid
o d'encodage YUV et pas seulement
d'un "pontage de c
ble".
Voila. Vous aurez remarqu
que mon "survol"
tait
rallonges (pas loin
du long courrier). Malgr
tout, je vous donne rendez-vous le mois prochain
pour un test d
finitif.
@{fg shine}Eric Lapalu@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octTechniqueclip " Technique du clip vid
o (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a , C a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Technique du clip vid
o@{fg text}
Les vacances sont derri
re vous? Le blues se fait sentir? R
agissez!
Sortez toutes vos cassettes pleines d'images et voyons comment r
aliser un
concentr
tonnant de vos meilleurs souvenirs... Action!
@{fg shine}I l f a u t
- l i - m i - n e r !@{fg text}
Si l'on en croit le Petit Larousse Illustr
, la d
finition du clip se
finit comme tel: "Court-m
trage cin
matographique ou vid
o qui illustre
une chanson, qui repr
sente le travail d'un artiste".
Plus prosa
quement parlant "faire un exercice de style en faisant
passer un maximum d'
motion en un minimum de temps". Prenez exemple des
bandes-annonces au cin
ma... Voyez comme elles peuvent
tre percutantes...
au point parfois de nous s
duire et aller voir le film en question... Un
exemple frappant est l'accroche de Traque sur Internet qui m'a fait louer
la cassette puisque j'avais loup
la chose sur grand
cran, et que depuis
que je lis la rubrique de Corinne Villemin Gacon, je voulais en savoir un
peu plus sur la chose... Et de m'apercevoir que d'Internet, il n'en est
question que pendant cinq minutes durant tout le film avec genre "comment
commander une pizza"... Vaste escroquerie pour adolescents pub
res s'il en
est, mais en tous les cas, on peut dire que la bande-annonce a
parfaitement r
ussie et a rempli son contrat.
La premi
re des choses
garder en t
te est de se dire que le clip sera
fait de fa
tre vu maintes fois. Il ne faut donc en aucun cas lasser
le spectateur, et dites vous bien que d
s le deuxi
me visionnage, les plans
longs n'engendrent que r
tition et monotonie une fois la surprise pass
Alors pour ce faire, r
duisez
l'essentiel chaque plan choisi, et par
, oubliez votre c
narcissique en voulant garder une s
quence o
vous apparaissez pendant 20 secondes alors que la plupart des autres plans
n'en font que 5, taillez, taillez encore pour ne garder vraiment que le
"best of" de vos images.
@{fg shine}L'art d'
tre synchrone: question de rythme@{fg text}
Parlons-en! Faire un clip, c'est "coucher" des images sur un morceau
musical. Sa r
alisation est r
gie par un code et des lois strictes: un slow
engendrera des plans plut
t longs avec des fondus-enchain
s, en accord et
en symbiose avec le rythme lent inh
rent
ce genre musical. Un rock, au
contraire, endiabl
on Simple Minds, demandera des s
quences encha
t "cut" de l'ordre d'une demi
quatre ou cinq secondes.
Et l
, de deux choses l'une. Soit vous connaissez d
la musique qui
accompagnera vos images, et vous filmerez en cons
quence. Pensez alors
recadrer, d
centrer votre image (vous ne tournez pas pour avoir un polaro
en rendu, que diable!). Soit vous d
cidez de ressortir vos vieux souvenirs
en improvisant... Et comme les images sont d
faites, il va falloir faire
plus attention... Pour bien illustrer ces propos, regardez les clips sur
M6, et, si vous avez l'oreille un tant soit peu musicale, vous vous
apercevrez tr
s vite que chaque plan est "raccord", c'est
dire
encha
,"cut" la plupart du temps syst
matiquement sur le rythme, le
tempo, la mesure, un coup de batterie, etc... Ce qui implique que si vous
voulez tenter l'essai et "clipper" l'anniversaire de Benjamin mais que vous
court d'images, la sagesse voudra que vous choisissiez une musique
avec des plages musicales, des "nappes" plut
t lentes pour boucler la
boucle et rallongiez vos s
quences afin de ne pas vous retrouver le bec
dans l'eau en plein milieu du morceau musical choisi, faute de "munitions".
@{fg shine}"Clipper" ses images, ok, mais en pratique? @{fg text}
C'est en premier lieu avoir un gros souci en moins. En effet, vous
allez vous passer du son direct enregistr
en m
me temps que vos images
puisque celui-ci sera remplac
par le morceau musical choisi... Cette mise
cart vous permettra vraiment de vous concentrer sur le montage vid
avec lequel vous allez vous en donner
coeur-joie... Tous les coups sont
permis, du zoom violent
la contre-plong
e naus
euse, du flou plus ou
moins artistique au boug
intempestif. Tout est une question de rythme...
musical. Lib
rez vous! Ce qui vous semblera faire partie des plans rat
pourra peut-
tre "fonctionner" en insert... ce qui implique d'
tre exigent
avec soi-m
me, rigoureux sur le d
rushage car m
me une s
quence d'une demi
seconde peut trouver sa place et avoir son importance dans le montage
final.
Au risque de fermer la porte
quelques amis vid
astes, la technique du
clip ne pourra se faire s
rieusement si votre mat
riel de montage ne
de pas l'insert vid
o, la meilleure configuration
tant un lecteur Hi8
ou SVHS avec un recorder SVHS (ou futur format DV).
D'autre part, pouvoir
couter le son par le biais de la molette "jog
shuttle" en avance-retour rapide sera un avantage ind
niable afin de placer
vos points d'entr
e exactement sur le changement de mesure.
1/ Commencez par ce qu'on appelle dans le jargon "toper" la bande de
l'enregistreur, c'est
dire, placez un cache sur votre cam
scope, ou bien
fermez compl
tement le diaphragme puis, lancez la lecture d'un c
l'enregistrement de l'autre. De cette fa
on, la bande aura
enregistr
totalement en mode "assemblage", ce qui permettra techniquement de proc
ensuite
toutes les insertions que l'on d
sire.
D'autre part, un noir continu sera pr
sent sur la totalit
de la bande,
ce qui aide parfois lorsqu'un insert est
refaire, et c'est bien plus
propre qu'une portion de bande non enregistr
e, si jamais il vous arrive de
trouver un l
ger d
calage entre deux s
quences.
2/ Si vous voulez gagner du temps, enregistrez en m
me temps le morceau
musical AVANT de penser aux images, en laissant au moins un minute ou deux
si vous
tes en d
but de bande. Si vous poss
dez un correcteur de graves et
d'aigus, (une table de mixage) profitez-en pour monter le son de votre t
ou de votre moniteur sur lequel est branch
votre mat
riel. De cette fa
c'est en poussant le volume un peu au del
de la normale que vous entendrez
si vos hauts-parleurs tiennent le coup... Vous abaisserez ainsi assez vite
le potar des basses et vous aurez ainsi un confort d'
coute le meilleur qui
soit en fonction des limites du moniteur. Attention! Il ne sert
rien de
faire vos corrections sonores en
coutant les pistes hifi de votre
toscope, puisque celles ci vont dispara
tre en m
me temps que vous
aurez plac
vos images... Alors, pour
viter toute mauvaise surprise,
coutez uniquement la piste longitudinale monaurale, c'est
dire la bande
son qui reste m
me apr
s insert vid
o. Ce sera celle ci que vous entendrez
une fois votre chef d'oeuvre fini.
3/ La bande son pos
e, il ne vous reste plus qu'
"coucher" vos s
quences
en changeant les plans sur le rythme musical comme expliqu
plus haut.
Il est clair que les vid
astes qui jouent d'un instrument, qui ont un tant
soit peu l'oreille musicale auront un avantage ind
niable sur les autres et
sauront tr
s vite trouver le bon rythme.
Ecoutez plusieurs fois le passage musical du d
la fin de la
mesure, calculez en gros le nombre de secondes, et placez votre point
d'entr
e vid
o en entr
e de cette mesure, puis voyez les images que vous
voulez faire coincider, et m
me si la s
quence est un peu trop longue,
tachez de placer les images les plus importantes, celles qui ont le plus de
signification pour vous, m
me si vous rognez sur le d
but ou la fin de
celles-ci. Ce n'est pas un probl
me si vous laissez courir votre point de
sortie, vous aurez t
t fait de placer le prochain point d'entr
e "cut" sur
la prochaine mesure, le prochain changement de rythme...et ainsi de suite,
quitte
attendre une mesure suppl
mentaire, que le rythme de la musique
soit en deux ou quatre temps.
@{fg shine}M
m e c o m b a t e n m o d e v i r t u e l ?@{fg text}
Oui
peu de choses pr
s, hormis le fait que ce sera bien plus rapide
puisque vous pouvez
diter la bande-son dans la time line pr
vue avec ses
courbes et ses pics les plus importants correspondant exactement
(par
exemple) un coup de batterie, donc toujours un changement de mesure, pic
sur lequel vous placerez la vignette repr
sentative de la derni
re image de
quence vid
o et vous collerez l'autre vignette repr
sentant l'image de
part de la s
quence vid
o suivante que vous voudrez faire rejoindre, soit
en "coup
coll
" soit rehauss
e d'effets divers. Et la force du virtuel
reste bas
e dans les possibilit
s multiples qu'engendrent ce syst
rien n'est jamais fig
et o
tout est permis!
Donc, plus vous serez pr
cis, incisifs, plus vos images gagneront
vues.
Il se peut qu'au bout d'une minute ou deux de montage effectif, vous
vous disiez que c'est trop lent au niveau des changements de s
quences vis
vis de la musique, ou alors que vous n'ayiez pas r
ussi
placer le
me des images de votre cassette... C'est le signal de NON RETOUR!
Stoppez tout et recommencez d'une mani
re plus rapide, m
me si cela vous
te. Pourquoi? Parce que le clip quand m
me termin
ne vous donnera que
des remords,
chaque passage, encore et encore... Et le clip vid
o est
tout sauf cela.
@{fg shine}E n c o n c l u s i o n@{fg text}
Si cet article prend comme r
rence le principe de fonctionnement et
de fabrication d'un clip, c'est peut-
tre dans le but de donner des id
es -
autant que faire se peut -
tout un chacun, que sa conception peut ne
durer que quelques minutes, sans pour autant ne pas se r
ler d'une
efficacit
rare s'il est fait avec talent.
astement votre !
@{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip1.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip2.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip3.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip4.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip5.8bt"}
@{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip6.8bt"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip7.8bt"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip8.8bt"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/clip9.8bt"}
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octImagine " Imagine (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L ' e x t r u s i o n a v a n t l ' a n i m a t i o n
A vos souris@{fg text}
Dans notre dernier article (ANews 92), nous avons franchi la premi
tape pour la cr
ation d'une animation, c'est
dire l'ouverture d'un
projet global et d'un sous projet de rendu.
L'
tape suivante nous dirige tout droit vers le modeleur. Le tunnel est
ment principal de notre sc
ne. C'est dans celui-ci que la CAMERA
voluera. Pour r
aliser celui-ci, nous allons utiliser la m
thode de
l'EXTRUSION. Deux m
thodes sont disponibles.
Lancez Imagine
allez dans le D
tail
diteur (RC->A2).
@{fg shine}M
t h o d e N
1@{fg text}
Extrusion suivant l'axe d'un objet.
Le seul axe disponible pour l'extrusion est Y.
Une question vous vient peut-
tre? Comment dois je faire, si je veux
extruder suivant X ou Z ?
ponse: impossible, il vous faut effectuer une rotation de l'axe de
l'objet pour choisir le sens d'extrusion.
Exemple: nous allons cr
er le profil
extruder. Pour ma part, j'ai choisi
le disk pour faciliter la compr
hension, mais il vous est possible si vous
vous sentez d'attaque, d'utiliser un profil de votre cru.
@{fg shine}C r
a t i o n d u d i s k@{fg text}
S
lectionnez menu
OBJET/ADD/PRIMITIVE
Un requester appara
t (primitive types), laissez les valeurs par d
faut
puis validez.
Un disque appara
cran, s
lectionnez-le soit d'un clic de souris sur
son axe ou par RC->F1.
Si vous d
sirez un tube ferm
aux extr
s, ne touchez
rien. Pour les
autres, d
truisez le point central. N'oubliez pas de passer en m
thode pick
point (RC->A3). Une fois celui-ci s
lectionn
, effacez-le.
Menu/OBJET/DELETE ou RC->AD
Repassez en mode Pick objet
RC->A2
@{fg shine}E x t r u s i o n@{fg text}
Nous allons indiquer maintenant le sens extrusion. Pour cela, il nous
faut orienter l'axe Y de l'objet.
Utilisez les @{"gadgets en bas d'
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Imfig1.8c"} pour une m
thode manuelle.
Validez ensuite votre manipulation en appuyant sur la barre d'espace ou
gadget OK.
Si vous voulez travailler avec plus de pr
cision, utilisez le requester de
transformation (RC->AT).
Une fois votre orientation r
e, il ne vous reste plus qu'
proc
l'extrusion (ENFIN!).
Menu/FONCTIONS/MOLD (RC->AE),
lectionnez EXTRUDE" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Imfig2.8c"}
@{fg shine}E x p l i c a t i o n d u r e q u e s t e r d ' e x t r u s i o
n@{fg text}
Requester EXTRUDE DATA
TO LENGTH: extruder suivant une longueur pr
cise, suivant le sens
d'orientation de l'axe Y.
LENGTH: indiquez ici la valeur d'extrusion
ALONG A PATH: extruder suivant un path ou chemin (pour la 2
thode).
PATH: nom du chemin, pour notre exemple CHEMIN (pour la 2
thode).
ALIGN Y TO PATH: aligne pendant l'extrusion l'objet suivant l'axe des Y
(pour la 2
thode).
SECTION: nombre de sections de l'objet extrud
(pour les 2 m
thodes).
Y ROTATION: donne une rotation suivant Y de l'objet au cours de son
extrusion.
X SCALING: change la taille de l'objet suivant X au cours de son extrusion
Z SCALING: change la taille de l'objet suivant Z au cours de son extrusion
X TRANSLATE: d
place l'objet suivant X au cours de son extrusion.
Z TRANSLATE: d
place l'objet suivant Z au cours de son extrusion.
@{fg shine}M
t h o d e N
2@{fg text}
Extrusion suivant un Path.
C'est cette m
thode que nous allons utiliser pour notre animation.
Un PATH ou chemin est constitu
tout simplement de plusieurs axes cr
s et
lectionn
s dans un ordre pr
cis, et reli
s entre eux.
Reprenez votre forme de base (DISK).
@{fg shine}C r
a t i o n d u p a t h@{fg text}
Passez en vue de dessus.
ez des axes et d
placez les
l'aide de la fonction move (@{"
tape 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ima1.16c"}), un
nombre de 4 ou 5 est tout
fait raisonnable. S
lectionnez-les ensuite
(cliquez sur les axes+shift) dans le sens d'extrusion que vous d
sirez,
puis utilisez la fonction MENU/OBJET/MAKE PATH
et le tour est jou
(@{"
tape 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ima2.16c"}).
Passez en mode pick objets et renommez celui-ci CHEMIN dans le requester
attributs (RC->F7)
Sauvegardez celui-ci sous le nom de "chemin cam
Il aurait
possible d'utiliser des chemins tout faits dans le menu
OBJET/ADD/OPEN PATH
ou CLOSED PATH .
Ensuite, de les
diter
l'aide des fonctions move, rotate et FRACTURE
(ajouter un axe sur le chemin), sans oublier au pr
alable de passer en mode
EDIT PATH.
@{fg shine}E x t r u s i o n@{fg text}
(@{"
tape 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Ima3.16c"}) S
lectionnez votre objet
extruder (DISK) et appelez le
requester d'extrusion (voir explications).
Voil
le cours sur l'extrusion se termine, entra
nez-vous
faire de
superbes tubes, il y a mati
l'imagination. Gardez votre plus r
ussi
ainsi que son chemin pour le mois prochain o
nous passerons dans le module
d'animation.
AmiExtrudeurs,
bient
@{fg shine}Pascal Taffin@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octLightWave " LightWave (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}U n c h a m p d e m
o r e s@{fg text}
Chers lightwaviens et lightwavienes, c'est apr
s deux mois de gros
travaux puis deux mois de vacances, que nous allons reprendre les cours de
LightWave. Enfin, la version 5.0 Amiga est disponible et malgr
les
rences avec les versions PC, il est heureux que Newtek n'ait pas
abandonn
la plateforme (merci les toasters aux US).
Une pol
mique est n
e tant du fait que les articles de LW et les grabs
crans de ce cours sont fais sur un PC! Autant que vous le sachiez tout
de suite: l'Amiga qui nous servait au d
but de ses articles a grill
et il
demeure irr
parable. Mais lisez-vous ces articles pour y apprendre quelque
chose ou voulez-vous relancer une futile querelle entre Amiga et Pc? Dites-
vous bien que si Newtek continue
velopper sur Amiga, c'est
mon avis
ce aux march
s des Amiga Toaster, des PC, des stations Sillicon et
Alpha. Ouvrez les yeux!
@{fg shine}S u i t e d u c o u r s d ' a v r i l 1 9 9 6@{fg text}
Au mois d'avril nous avons cr
orites dans le modeleur, si vous
avez suffisamment de m
moire (>10 MO) n'h
sitez pas
en cr
er d'autres,
l'effet final ne sera que plus r
aliste. Et oui!
Le gros probl
me lors de la r
alisation d'une sc
ne de ce type, c'est
la quantit
importante d'objets
manipuler pour r
aliser celle-ci. Cela
peut atteindre des dizaines, des centaines, voire des milliers d'objets.
Vous pouvez en voir un bon exemple dans votre vid
o-club pr
avec le
nouveau film SPACE 2063, dont les effets sp
ciaux sont du "made in
LIGHTWAVE".
Pour g
rer autant d'objets, il faut se faciliter la t
che au maximum et
viter une saturation de la m
moire... Le cours qui va suivre, vous
permettra de r
aliser un champ de m
ores qui au bas mot p
sera 200.000
polygones, de quoi faire palir un AMIGA4000 gonfl
de 64 MO de ram...
@{fg shine}L ' A s t u c e@{fg text}
Lancez LIGHTWAVE et passez dans le requester OBJECTS.
* @{fg shine}Etape 1:@{fg text}
Avant de charger nos m
orites, nous allons cr
er un "OBJET NUL"
l'aide
du gadget "ADD NULL OBJECT" tout simplement.
Renomez celui-ci en "PARENT" au moment de la sauvegarde
l'aide du gadget
"SAVE OBJECT". Il nous servira comme son nom l'indique de parent et, dans
la foul
e, de point de pivot pour nos m
orites. Maintenant chargez les
objets du mois d'Avril, M
orite1, M
orite2, etc...
Quittez le requester objets.
* @{fg shine}Etape 2:@{fg text}
Notre objet parent ainsi que nos "pierres de lune", apparaissent au centre
de l'
cran, S
lectionnez successivement celles-ci et assignez leur comme
parent, l'objet "parent",
l'aide du gadget parent (ouf!). Pour v
rifier
que votre manoeuvre est r
ussie, s
lectionnez l'objet parent et d
placez-
le; toutes vos m
ores doivent ce d
placer. Si ce n'est pas le cas,
recommencez l'op
ration.
* @{fg shine}Etape 3:@{fg text}
tape suivante consiste
placer
votre gr
les m
orites afin de
@{"cr
er un petit champ" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Lwfig1.16c"}
. N'oubliez pas de validez vos changements de position et de rotation (deux
fois "RETURN").
* @{fg shine}Etape 4:@{fg text}
Sauvegardez votre sc
ne sous le nom: "m
ores".
Retournez au requester OBJETS et rechargez vos m
orites
l'aide du
gadget "LOAD FROM SCENE" (sc
ne: m
ores).
Cette option de lightwave, vous permet d'ajouter des objets venant d'une
ne existante en gardant tous leurs param
tres.
tez la manipulation X fois, X d
pend directement de votre capacit
moire.
Retournez dans le layout.
Tous les objets de la sc
ne ont
X fois multipli
s. Vous l'avez peut
tre compris, pour r
aliser notre champ de m
ores, nous allons utiliser
toujours les m
ments que nous dupliquerons
chaque fois.
* @{fg shine}Etape 5:@{fg text}
lectionnez successivement tous les objets nomm
s "parent" et d
placez
les, tournez les, agrandissez les... afin d'obtenir un @{"champ de m
orites" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Lwfig2.16c"}
plus important.
Le but d'une telle manoeuvre est de pouvoir manipuler plusieurs objets
fois dans un temps record.
Placez votre cam
ra relativement
loign
e de vos m
ores. Ceux-ci doivent
appara
tre dans le lointain, et placez votre o
vos lumi
Passez dans le requester RECORD et nommez la sauvegarde RVB: "background"
tout simplement.
Sauvegardez votre sc
ne et calculez la premi
re image.
* @{fg shine}Etape 6:@{fg text}
Rechargez de votre disque dur l'image BACKGROUND001.iff par le biais du
menu IMAGES et placez-la dans le menu EFFETS, sous le module "image
background".
Ici nous appliquons la m
thode du calcul d'objets @{"sur une image de fond" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Lwfig3.16c"}
* @{fg shine}Etape 7:@{fg text}
Remodifiez vos objets "parent" comme l'indique l'
tape 5.
Rapprochez-les de votre cam
ra et recalculez la premi
re image.
Remplacez l'ancienne image background001.iff par la nouvelle en rechargeant
celle fra
chement calcul
Renouvelez les diff
rentes
tapes 5 et 6 plusieurs fois jusqu'
obtenir une
myriade de m
orites.(Pas mal non?)
A vous maintenent de placer une jolie plan
te et quelques
StartFlighters...
Pour ce cours nous n'avons travaill
que sur une image, mais rien ne vous
che d'appliquer cette m
thode sur une animation. La capacit
de votre
disque dur vous donnera les limites de la technique.
Voil
, pour ce mois-ci ce sera tout. A bient
oritologues' en
herbe.
@{fg shine}Pascal Taffin et Serge Brackman@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octReal3d " Real 3D (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}R E A L 3 D : Les textures proc
durales
Algorythmiquement votre...@{fg text}
Ce mois-ci nous allons continuer
tudier les textures, mais sous leur
angle algorythmique puisque nous allons nous concentrer sur les "handlers"
de la @{"fen
tre Materials" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Realmaterial.8bt"}.
Cette s
rie n'a pas pour but de se substituer au manuel, mais
clairer les points obscurs de celui-ci. Il ne faut donc pas attendre de
alisation plus ou moins spectaculaire comme dans d'autres s
ries du
genre. Avant tout, je voudrais revenir sur ce conseil du mois dernier si
vous
tes sous environnement CybergraphX. Je me suis personnellement
enregistr
chez le polonais "Miloslaw Smyk, ul. Orawska 22/34, 70-131
Szczecin, POLOGNE" et j'ai donc modifi
mon Default.prj pour int
grer cette
wfmh.library g
niale qui me sort non seulement mes fen
tres View en 15 bits
merveilleusement tram
s, mais aussi les gadgets "Visible" de la fen
Tools en relief. (Miloslaw nous dit que son oeuvre est compatible avec les
versions 3.11 et aussi 3.3 - que je ne connais pas).
@{fg shine}G
r a l i t
s@{fg text}
Les handlers (j'ai pris ici ceux de la version 3.11) sont des clefs
matiques qui se rajoutent
tous les r
glages que nous avons vus le
mois dernier. Ils sont tous
la position "default" par d
faut. Cette
position ne re
oit aucun param
tre. Les autres re
oivent soit une ou des
expression(s) math
matique(s), comme "Formula", soit une ou des
expression(s) en langage RPL, comme "RPL", ou bien des valeurs dans les
gadgets num
riques "a" et "b" pour le reste des positions.
Il est tr
s difficile de faire court, il faudrait au minimum deux pages
par handler pour les d
tailler. Chacun doit faire ses propres essais. Mon
le est de d
broussailler.
Pour RPL ou Formula, on ne peut pas rentrer n'importe quel param
tre,
je vais indiquer ceux qui conviennent. Par contre, la formulation d
passe
le cadre de cet
pisode ainsi que le RPL qui viendra en son temps (dans
quelques mois...)
Rappelons enfin ce que dit le manuel : "les param
tres sont pr
vus pour
voluer entre 0 et 100. En dehors de ces limites, les r
sultats sont
visibles".
@{fg shine}L e m a p p i n g h a n d l e r@{fg text}
Pour utiliser ce handler, il faut appliquer une texture en mapping,
c'est-
-dire qu'il faut avoir charg
une image qu'on va appliquer
l'objet.
- Formula et RPL : Les variables sont "x, y et z". Reportez-vous au
manuel page "R.1.8" pour voir comment elles sont appliqu
- Tilt: La texture est appliqu
e en oblique selon "a" (d
faut "a=1").
- Waves: L'application se fait par une sinuso
de avec "a" pour la
quence et "b" pour l'amplitude (d
faut "a=b=1").
- SwapXY: Ici, "x et y" sont intervertis et "a et b" ne jouent aucun
- Noise: La granulation est proportionnelle
"b". Pour "b=10",
granulation faible; "b=100", granulation forte; "b=1000", plus rien n'est
reconnaissable. Ici, "a" ne joue que le r
le de graine al
atoire. En
faisant
valuer "a" dans une animation, la granulation scintillera.
@{fg shine}L e s c o p e h a n d l e r@{fg text}
Scope veut dire ici quelle portion et sous quelle intensit
le mapping
sera visible.
- Formula et RPL: Les variables sont "s, sp, sb, br, tr, tu, ts, ro, ri".
"s" repr
sente le pourcentage de mixage de la texture pr
sente avec les
autres. Si "s" est n
gatif, l'objet dispara
t. Si "s=0", l'image est
invisible. Si "s=100 ou plus", l'image s'applique pleinement. Il y aurait
ment plus
dire en fonction de toutes les variables, mais ce serait
un trait
en 10 volumes...
- Sphere: L'image n'est visible que dans une sph
re centr
l'origine
de la texture. Le param
tre "a" d
finit le rayon de la sph
re, "b" ne joue
aucun r
- InvSqr: Plus on s'
loigne de l'origine de la texture, moins elle
s'applique. Plus "a" est petit, plus vite la texture s'estompe avec
loignement, "b" n'a pas d'influence.
- InvExp: La m
me chose qu'"InvSqr" sauf qu'au lieu de l'inverse du
, la progression est exponentielle et donc plus radicale.
- Local: L
, il s'agit d'un condens
de "Sphere" et de "InvSqr" puisque
l'image n'est visible que dans la sph
re, mais en se d
gradant vers le
bord.
- Temporal: L'image s'applique uniform
ment mais en fonction du temps.
Les valeurs pour "a et b" sont comprises entre "0" (0%) et "1" (100%); "a"
sente le facteur au temps "0", "b" au temps "1". Ainsi "a=0.100" et
"b=0.850" : le mapping est visible
10% au d
but,
85%
la fin de la
quence.
- Noise: Grenage al
atoire o
"a" repr
sente la grosseur du grain (tr
gros si proche de "0", tr
s fin vers "10", invisible dans les hautes
valeurs) et "b" l'intensit
(de "0.200" o
l'image est pratiquement
inalt
"5.000" o
elle est pratiquement invisible.
- Depth: Le mapping ne s'applique ici qu'entre la profondeur "a" et la
profondeur "b" (en m
tres absolus). "b" doit
tre plus grand que "a". Comme
le dit le manuel, pratique pour n'appliquer la texture que sur une face de
cube, par exemple.
- Angle: La texture ne sera visible qu'entre l'angle "a" et l'angle "b"
("0"
tant la surface, "-1" la perpendiculaire "derri
re", "1" la
perpendiculaire "devant"). Donc "a=0, b=1.1" ("1.1" pour
tre s
r) la
texture ne sera visible que sur la face avant; pour "a=-1.1, b=0", que sur
la face arri
re. Et bien d'autres possibilit
@{fg shine}L e b u m p h a n d l e r@{fg text}
Le @{"bump mapping" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicOCTOBRE/Realbump.8bt"} ne fonctionne pas si on applique une image. Il faut
donc s
parer les textures si on veut les deux.
- Formula et RPL : Les variables sont "bh, bx, by".
- Waves: "a" nous donne la fr
quence des vagues qui s'
tendent
parall
lement en direction des "x". "b" nous fournit l'amplitude (Au del
de "1.000", l'effet s'amplifiant, les vagues s'
tent, c'est-
-dire
qu'elles deviennent presque carr
- Bumps: Comme "Waves" sauf que les vagues s'
tendent dans les directions
"x et y", ce qui nous donne une structure r
re en forme de "bo
oeufs".
Noise: Relief al
atoire o
"a" repr
sente la grosseur du grain ("a" plus
, grain plus fin) et "b" la force.
- Roughness: Je dois dire que je n'ai obtenu aucun r
sultat. Je n'en
parlerai donc pas. Il semble y avoir une bogue.
@{fg shine}L e c o l o r h a n d l e r@{fg text}
- Formula et RPL: "R, G, B" en sont les variables.
- Bright: Les couleurs sont augment
es en fonction de "b" dans un rayon
termin
par "a".
- Waves: Similaire
"Bump Waves" sauf que c'est la couleur qui est en
jeu, bien qu'on puisse en confondre l'effet sur une surface plane.
- Granite: Seul "a" a une influence sur le grain qui imite le granite
(plus "a" est petit, plus le grain est gros).
- Noise: Similaire
Granite, sauf que joue ici un r
le: celui de
rajouter de la couleur jusqu'
un point exag
dont on peut jouer pour
faire du multicolore.
- Marble: Du marbre, bien s
r, si "a" est inf
rieur
"1.000" et m
"0.100", mais du mouchet
gulier au-dessus de "3.000". "b" r
l'intensit
comme de bien entendu.
- Dither: Aucune r
action constat
e de ma part. Et vous ?
- Col.repl: Idem. l'objet entier prend la couleur d
finie dans les
gadgets num
riques de couleur transparente et c'est tout. Pas de quoi
fouetter un spline. "a et b" sont muets.
@{fg shine}L ' i n d e x h a n d l e r@{fg text}
Celui-ci est diff
rent des autres. On en tire un index ("i") avec
lequel on peut choisir une texture index
e. Dans les param
tres "a et b",
on peut placer l'offset de la congruence et le modulo. Vous me direz, c'est
un peu herm
tique, alors prenons un exemple. Nous voulons faire une
animation de 20 images. Nous voulons mapper une texture bas
e sur une s
de 7 images index
es de 0
6 (par exemple de "pic.0"
"pic.6"), et nous
voulons d
marrer
la troisi
me image ("pic.2"). Alors laissons sur
"Default", faisons "a=2, b=7". Ensuite, rentrons dans le nom de la texture
"...chemin/textures/pic.%d". Le tour est jou
. Il fallait le trouver, car
ce n'est vraiment pas marqu
explicitement dans le manuel.
a m'a pris deux
heures pour comprendre le processus. Si on veut indexer plus d'images,
prenons le standard
quatre chiffres (genre "pic.0001") et le nom de la
texture
voquer sera ".../pic.%04d" (selon les conventions de
programmation C ANSI).
- Formula et RPL: Variable "i" comme index.
- PingPong: Comme "Default", sauf que l'index revient lentement au d
pour r
aliser une oscillation.
@{fg shine}L e m e n u@{fg text}
Le menu de la fen
tre "Materials" offre peu d'int
t. Les deux
fonctions les plus utiles sont les deux premi
res qui s
lectionnent l'image
mapper et qui la visualisent. Les raccourcis clavier (<R.Amiga-D> et
<R.Amiga-S>) suffisent. Transparent Color peut-
tre pratique si on ne veut
pas rentrer les valeurs manuellement, la s
lection de cet item rentre la
valeur de la couleur actuelle d
finie soit par la palette soit par la roue
de couleurs. "Tags" et "Procedure" appellent les fen
tres correspondantes,
les manuels ne disent pas un seul mot.
Le dernier item, la fen
tre "View" s'ouvre en plein milieu de la
tre "Materials". C'est un peu g
nant. Il suffit de la s
lectionner et
sactiver le menu "Project/Windows/No Gadgets", la d
placer, la
redimensionner
son go
t et
ventuellement r
activer l'option "No Gadget".
L'inconv
nient de cette fen
tre est qu'elle n'est qu'une quelconque fen
View qui montre les objets du projet en plus de ses objets propres. Alors
ce n'est pratique que sans objets ou en d
lectionnant leur pr
sence en
raytrace.
@{fg shine}D
n o n
o n s l e s b o g u e s@{fg text}
Que tous ceux d'entre vous qui ont remarqu
des bogues dans Real me les
signalent. Il y en a d'
videntes comme le rendu des surfaces courbes qui se
fait en 16 bits et non en 24 bits (on voit les bandes de couleurs tr
nettement).
J'ai constat
derni
rement que le fait de sauvegarder une fen
tre "View
Tools" dans l'environnement faisait planter au lancement de Real, mais peut-
tre est-ce une fac
tie du DraCo ?
@{fg shine}Jac Pourtant@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octInternet " Internet (10-94)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M a i s q u e l v i d e j u r i d i q u e ?
Gubler et les autres@{fg text}
Depuis plusieurs mois, la communaut
Internet est secou
e par de
nombreuses affaires largement m
diatis
es sur le mode du sensationnel. De
ces affaires est sortie l'id
e compl
tement fausse que l'Internet serait
une zone de non droit, qu'un vide juridique existe et qu'il devient donc
urgent de prendre des mesures
la hauteur de ces probl
@{fg shine}R a p p e l d e q u e l q u e s f a i t s@{fg text}
Le 23 janvier 1996, le livre, interdit de distribution, Le Grand Secret
du Dr Gubler, ex-m
decin personnel de Fran
ois Mitterrand, est diffus
sur
Internet. En quelques jours, des dizaines de serveurs dans le monde
dupliquent les informations disponibles initialement sur le Web du
cybercaf
de Besan
on de M. Pascal Barbraud, au nom de la libert
d'expression (1).
Le 7 mai 1996, une d
che de l'A.F.P. (Agence Fran
aise de Presse)
annonce l'interpellation et la mise en examen depuis le 6 Mai des g
rants
de deux F.A.I. (Fournisseurs d'Acc
l'Internet), FranceNet et WorldNet
par la Section de Recherche de Paris de la Gendarmerie Nationale. Selon la
che, les deux fournisseurs "diffusaient et transmettaient des images
caract
res p
dophiles". Le Lieutenant Colonel G
rard Broune, commandant de
la S.R. de Paris a bien pr
, lors de la conf
rence de presse, que ces
deux serveurs recevaient, stockaient et distribuaient mais ne produisaient
pas (2).
@{fg shine}Q u e d i t l a l o i@{fg text}
Dans la premi
re affaire, la loi est tr
s claire
ce sujet. Le fait de
diffuser Le Grand Secret sur Internet est:
1. une violation du code de la propri
intellectuelle, en l'occurrence
les droits d'auteur d
tenus par le Dr Gubler et les
ditions Plon.
2. une atteinte
la vie priv
e de la famille Mitterand (3). En aucun cas
la justice de son propre chef ne peut intervenir puisque les violations
sont d'ordre priv
. Ni la famille Mitterand, ni les
ditions Plon ou le Dr
Gubler n'ont port
plainte contre la diffusion du livre sur Internet. Il
n'y a donc pas de vide juridique. Le 26 janvier, le patron du CyberCaf
pour un tout autre motif: abandon de famille et non paiement de
pension alimentaire.
Dans la deuxi
me affaire, c'est directement le statut des F.A.I. qui
est en cause. Ceux-ci sont-ils responsables du contenu des informations
qu'ils v
hiculent? Sont-ils
diteurs comme les cha
nes de t
vision ou
simples transporteurs comme France T
com ou la Poste ? La loi ne r
pond
pas directement
cette question, cependant des textes de loi sont
applicables.
L'article 227/23 du code p
nal condamne la diffusion et la transmission
d'images de mineurs
caract
re pornographique. Il reste
savoir qui est
responsable de ce d
lit: celui qui a d
les images? Celui qui a d
les images avec la complicit
involontaire de son fournisseur d'acc
Monsieur Fran
ois Staechele, magistrat, intervenant dans le forum
lectronique public du chapitre fran
ais (4) sur cette affaire rappelle que
le F.A.I. exerce une activit
utile et licite et le principe de la libert
du commerce et de l'industrie interdit que le juge cr
e un cas d'incapacit
commerciale du fait d'autrui (5).
Il est
souligner qu'il n'est pas logique que les autres F.A.I.
n'aient pas
inqui
s pour les m
mes motifs.
@{fg shine}R
a c t i o n s@{fg text}
L'affaire Gubler a
, sans nul doute, l'
nement qui a fait couler
le plus d'encre, aussi bien au sein de la communaut
Internet qu'
l'ext
rieur. L'argument principal de ceux qui se f
licitaient de la
diffusion du livre
tait la censure intol
rable de la libert
d'expression
dans une d
mocratie. Argument fallacieux puisque les 33 000 exemplaires du
livre vendus avant son interdiction de diffusion, ont suffi largement
ler tous "les secrets" de ce livre. De plus, cette interdiction faisait
simplement suite au recours de la famille Mitterand contre l'atteinte
leur vie priv
e et non suite
la d
cision d'un quelconque censeur.
L'affaire des deux fournisseurs d'acc
s a eu un impact sans pr
dent
en France: celui de la gr
ve des newsadministrateurs de l'AFPI (6). La
protestation et l'indignation ont
unanimes aussi bien de la part des
professionnels que de la part des utilisateurs. Rares ont
travers
les m
dias traditionnels, les explications techniques sur le travail des
F.A.I. pour expliquer pourquoi des images p
dophiles ont
retrouv
es sur
des disques durs de deux d'entre eux. La principale id
e qui fut retenue
est que ceux-ci re
oivent, transmettent et diffusent des images interdites.
R
cemment, le Ministre Fran
ois Fillon, d
la Poste, aux
communications et
l'Espace, assurait qu'en aucun cas les fournisseurs
d'acc
s ne pouvaient
tre tenus responsables des contenus qu'ils ne
produisaient pas et qui circulaient sur Internet. Celui-ci a fait r
diger
un amendement qui devait prot
ger tous les F.A.I. si ceux-ci fournissaient
leurs clients un logiciel de filtrage et s'ils censuraient (ndla:
techniquement impossible) les serveurs selon les recommandations du C.S.T.
(Conseil Sup
rieur de la T
matique) (7). L'A.U.I. (Association des
Utilisateurs d'Internet (8)) fut la seule association
noncer violemment
cet amendement, le jugeant inutile, pr
cipit
et dangereux pour la
mocratie et la libert
d'expression. Le Conseil Constitutionnel lui a
, quelques semaines plus tard, indirectement raison puisque les
articles incrimin
s ont
s non conformes
notre constitution
@{fg shine}C e q u ' i l f a u t r e t e n i r@{fg text}
Contrairement
certaines id
es re
ues et construites de toute pi
Internet n'est pas une zone de non droit, ni un vide juridique. Simplement,
la complexit
des affaires et la pr
cipitation des r
actions et analyses
qui en sont faites, produisent des amalgames et des confusions.
L'internaute doit donc se m
fier des conclusions h
tives m
me s'il
pense d
fendre la libert
d'expression. Le 16 juin, un comit
minist
riel
(10), charg
de r
pondre
un certain nombre de questions que le
gouvernement se pose notamment sur les
volutions de la l
gislation,
rapporte "[...] que le droit actuel assorti de quelques adaptations permet
pondre de fa
on relativement satisfaisante, sur le territoire
national, au souci de garanties juridiques [...]"
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
villemin@freenet.fr@{fg text}
@{fg shine}L e s a d r e s s e s s u r l e N E T@{fg text}
(1) Pourquoi vous donnerai-je l'URL de ce fameux livre ? :-)
21) EPS bitmaps binaires (RGB and CMYK; cette fonction est exp
rimentale)
22) TBCPlus images & champs
23) EGS 7.x ic
nes d'ic
nification de fen
24) Datatypes 3.1
@{fg shine}Sauvegarde d'images@{fg text}
1) IFF-ILBM 24Bit (compress
et non-compress
2) IFF-DEEP 24Bit (non-compress
, utilis
par TVPaint, XiPaint et
Photogenics)
3) JPeg (taux de compression variables and optimisation; maintenant des
fichiers
JPEG progressif peuvent
tre cr
4) PPM-P6 (utilis
seulement par les logiciels PBM)
5) QRT
6) Targa 24Bit (compress
et non-compress
7) HHsXRL TC24 format (compress
avec ou sans pertes) Ce format est
cialement
destin
aux images trac
es qui doivent
tre compress
es sans pertes ou
avec des
pertes invisibles.
La compression est meilleure qu'IFF-ILBM ou Targa)
8) IFF-RGBN 12Bit (compress
@{fg shine}Arguments CLI ou tooltypes@{fg text}
DS=Downscale (number)
AS=Autoscale
FS=FineScaling
NR=NonRecursive
SM=Screenmode (name)
PS=PublicScreen (name)
RM=RequestMode
BM=BestMode
W=Width (number)
H=Height (number)
D=Depth (number)
Icons
Request
PW=PresentWindow
SL=SlideShow
BD=BackDrop
Black
BT=BlackTransition
Effects
NoEffects
Delay (number)
IE=IgnoreErrors
PF=PartialFiles
JPegQual (number)
JPegOpt
SlowJPeg
Random
CV64Patch
PicassoPatch
@ENDNODE
@NODE novNewsVideo " News Vid
o (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" EDITORIAL (11-95)" LINK novEditorial}
@{" News Multim
dia (11-95)" LINK novNewsmm}
@{" News vid
o (11-95)" LINK novNewsvid}
@ENDNODE
@NODE novEditorial " EDITORIAL (11-95)"
@TOC novNewsVideo
@{fg shine}E D I T O R I A L@{fg text}
La guerre du num
rique aura bien lieu et le Satis est, cette ann
l'occasion pour chaque fabricant de pr
senter son "artillerie". DVC,
Betacam SX, DVCAM, DSVHS seront les futurs outils des vid
astes. Les
formats analogiques comme le Betacam pour le professionnel ou le SVHS et le
Hi8 pour le particulier risque de se voir sonner le glas de la retraite
t que pr
vu. La mont
e en puissance du support informatique est
navant pour les professionnels l'occasion pour remplacer l'outil
analogique d'hier. L'amateur devrait rapidement lui embo
ter le pas sur
plateforme PC (une fois r
solue les probl
mes de Windows 95 et la barri
fatidique de 2Go). L'Amiga qui, lui, n'a pas ces probl
mes, ne dispose pas
pour le moment de solution num
rique op
rationnelle abordable (la solution
Digital Broadcaster est vendue aux alentours de 30000F).
D'autre part, des configurations avec des cartes de type AVMASTER ou
DC30 devraient voir leur prix baisser de 40 % d'ici 2 ans. Alors si pour le
aste la question concernant le devenir de l'analogique ne se pose plus
vraiment (m
me si l'on trouve encore en fonctionnement des bancs UMATIC),
il semble acquis que 1997 sera certainement l'ann
e de l'alternance. Il
reste par contre
souhaiter que l'Amiga soit non seulement une alternative
possible mais d'autre part qu'il dispose enfin d'une carte de montage
rique digne de concurrencer en prix et en performance le PC. Imaginons
par exemple un 4000/60 avec une carte de type VLAB MOTION modifi
e, avec
l'audio int
e et en bus ZORRO III, le PC n'aurait certainement plus qu'
bien se tenir. Le Draco Motion semble montrer le chemin (test probablement
le mois prochain)
L'Amiga
sa sortie fut le premier ordinateur pens
pour la vid
capable de faire scroller des images en 384*580 et en 4096 couleurs, alors
que,
la m
poque, d'autres essayait d'afficher p
niblement 8 couleurs
en 320 *200. C'est dire qu'en informatique les choses peuvent changer tr
vite.
@{fg shine}Eric LAPALU@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novNewsmm " News Multim
dia (11-95)"
@TOC novNewsVideo
@{fg shine}N e w s M u l t i m
d i a@{fg text}
@{fg shine}S o n y@{fg text}
Sony sort une @{fg shine}carte de num
risation vid
o@{fg text} qui dispose d'une entr
rique. Il sera enfin possible aux utilisateurs de cam
scopes ou de
toscopes au format DVC d'exploiter sur leur ordinateur les avantages
qu'offre le format num
rique. Ainsi, il va enfin
tre possible d'exploiter
les 75 dpi de ce format et permettre des num
risations d'image vid
"propres", avec des couleurs qui ne bavent plus (en attendant la
risation de s
quences annonc
e chez FAST ou MIRO pour le d
but 1997).
Cette carte qui fonctionne sur PC est livr
e avec un logiciel qui peut
fournir des images au format BMP. Ce logiciel pilote le cam
scope par la
prise lanc, et g
re la pause et les touches "avance" et "arri
re". Il
permet un rep
rage rapide via le time code.Le prix annonc
se situe aux
alentours de 4000F.
@{fg shine}M I R O@{fg text}
"Rendre
sar ce qui est
sar" Baisse de prix chez Miro (et non
pas FAST comme indiqu
dans le pr
dent num
ro): la DC 20 passe
4990F
et la DC1
1990F.
@{fg shine}M I R O (suite)@{fg text}
La @{fg shine}DC30@{fg text} est une nouvelle carte de montage virtuel pour PC. Elle
devrait corriger les faiblesses de sa petite soeur la DC20, et s'intercale
entre celle-ci et la carte AVMASTER. Elle offre de nombreuses nouveaut
par rapport
la DC20: Une compression de 3,5:1, un bus mastering PCI
(pour optimiser le transfert des donn
es vid
o vers le disque dur),
l'int
gration de composant audio (pour une parfaite synchronisation avec la
o) et une sortie en PAL/SECAM. Par contre, la carte DC30 ne dispose pas
de cache interne (
la diff
rence de l'AVMASTER) ce qui pourrait devenir
nalisant pour la num
risation vid
o sur une longue dur
e. Cela restera
rifier lors d'un prochain test. La carte devrait supporter un module
optionnel avec des entr
es num
riques (d
but 97).
Livr
e avec Adobe PREMIERE 4.2 LE et Asymetrix 3DFX, la DC30 est
propos
un prix d'accroche de 6990F (ce qui devrait faire plaisir aux
anciens possesseurs de DC20 mais que voulez vous, "ainsi va la dur loi de
l'informatique".
@ENDNODE
@NODE novNewsvid " News vid
o (11-95)"
@TOC novNewsVideo
@{fg shine}N e w s v i d
o@{fg text}
@{fg shine}S o n y@{fg text}
Un concurrent pour la cam
ra num
rique de JVC DRV1: Sony ne pouvait pas
laisser JVC occuper le march
du "micro" cam
scope num
rique. Aussi,
l'annonce d'un mod
le concurrent n'a surpris personne. Le terme de
@{"micro cam
scope" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Dcr.8bt"}
n'est pas usurp
pour cet appareil (hauteur 12,9,largeur 11,6,profondeur
5,9 cm) car ses dimensions le rapproche plus d'un appareil photo que d'un
scope (le Minox de la vid
o est n
), le poids se passe de commentaire
500g !. Histoire de faire dans la diff
rence, Sony a pourvu sa "bestiole"
d'un
cran LCD couleur orientable(6,4 cm) qui, il est vrai,
tait
indispensable vu la taille du viseur couleur (1,4 cm).
La miniaturisation ne se r
sume pas seulement
la "carrosserie" le
capteur par exemple est
de 810 000 pixels et d'un stabilisateur
rique, le zoom x10 est
quivalent
un 38-380 mm photo (x20 en
rique mais au d
triment de la qualit
o). Autre particularit
, la
capacit
d'enregistrement peut passer
90 minutes gr
un mode long
play mais avec une perte de la qualit
. A la diff
rence du mod
le, JVC, il
dispose de sortie num
rique ce qui pourra s'averer tr
s utile pour les
utilisateurs professionnels ayant besoin d'effectuer des sorties papier de
leurs prises de vue (architecte, et agents immobiliers par exemple). Cela
permet ainsi d'exploiter au mieux le mode photo (d
sent sur la
vx1000).
Concernant les autres fonctions, le @{fg shine}Sony DCR- PC7E@{fg text} est dot
d'une
prise Lanc et d'un son num
rique 12 bits, on retrouve ensuite des
fonctions plus classiques car communes
toutes les cam
ras num
riques
(TBC, time code, 16/9 et sortie Ushiden). Le prix annonc
est aussi "fa
Sony" environ 17000F.! disponibilit
courant d
cembre. n
@{fg shine}S o n y@{fg text}
"SONY V5000 en num
rique": Recette vid
o num
rique. Vous prenez une
base de VX1000 ensuite, vous la rallongez et vous lui rajoutez une
pauli
re de V6000, pour le viseur et la poign
e de ZOOM vous rajoutez une
"pinc
e" d'EVW325. Laisser "mijoter" le tout quelques minutes puis retirer
le moule, et vous obtenez l'impr
visible @{fg shine}VX9000@{fg text}. Un tel mod
surpris bon nombre de nos confr
res car
la fronti
re du monde
institutionnel et de l'amateur exp
riment
, ce mod
le pourrait entrer en
concurrence avec le combo EVW300 (l'entr
e de gamme institutionnelle du
constructeur) car si se cam
scope offre encore des avantages, son objectif
par exemple (de qualit
bien sup
rieure). La qualit
d'enregistrement
rique de la VX9000 est sans commune mesure avec L'EVW300 qui fonctionne
sur une base Hi8 (analogique) et grand pourvoyeur de drop.
Le choix risque donc d'
tre difficile pour les amateurs fortun
s ou les
petites structures institutionnelles, car la VX9000 SONY devrait
propos
e aux alentours de 40000F. Mais Sony ne pouvait pas laisser la
place libre
Panasonic qui annonce un Combo aux alentours de 50000F qui
est une sorte d' EVW300 docker en DVC. Nous verrons donc le mois prochain
les caract
ristiques d
taill
es de ce nouveau mod
le . En attendant, sachez
que si la base est bien une VX1000 au format num
rique DVC (capteur,
objectif, audio etc.), le format physique des cassettes, lui, a chang
, car
SONY utilise pour ce cam
scope d'
paule des grandes cassettes, plus
adapt
es au reportage, au mariage ou au spectacle (gala de danse par
exemple). La dur
e de ces cassettes peut
tre port
270 minutes (350F
la cassette). D'autre part ces cassettes pourront
tre relue directement
par un banc de montage institutionnel DVC Panasonic ou Sony. Si l'ergonomie
est plus "pro" sur la VX9000 que la VX1000, des petits d
tails (qui font
souvent la diff
rence) rappelle malgr
tout les origines amateurs de ce
camescope (cela n'ayant rien de p
joratif), nous verrons pourquoi le mois
prochain.
@{fg shine}P h i l i p s m e t l e t u r b o@{fg text}
Ce constructeur moins connu des vid
astes, propose un @{fg shine}nouveau
toscope de montage au format SVHS@{fg text}. Le VR967 rembobine une cassette
de 3 heures en 90 secondes!! et peut enregister vos
missions TV en DOLBY
SURROUND, mais il est surtout con
u pour le montage. Jugez plut
t: prise
lanc en fa
ade, prise synchro, new
dit et... surprise, une RS232
permettant de le connecter
un PC
du logiciel adapt
ou pourquoi
pas un Amiga. Pour le montage ce magn
toscope dispose aussi de fonctions de
mixage audio et d'une table de montage int
e (time code RCTC). Le prix
annonc
serait inf
rieur
9000F.
@ENDNODE
@NODE novEditplug " Edit Plug (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}E d i t - P l u g
Une table de montage sur Amiga@{fg text}
Il s'agit d'une interface
peine plus grande qu'une classique prise
d'imprimante, et qui comme elle, s'enfiche sur le port parall
le. Ce petit
boitier comporte trois prises femelles-jack 3.5-nomm
e PLAY 1 , PLAY 2 , et
REC 1. La documentation en anglais est maintenant traduite par VITEPRO .
Il appara
t d'ores et d
vident: asso
son logiciel,
l'interface permet le pilotage de trois machines (camescopes,
toscopes), pourvu qu'ils soient dot
s d'une prise LANC, protocole Sony
, d'une prises 5 broches, protocole Panasonic (possible aussi par jack
3.5), et / ou enfin, d'une possibilit
d'acquisition des signaux par infra-
rouge. Il existe un jeu de c
bles correspondant
chaque mode. Les autres
marques, si protocoles diff
rents, ne sont pas oubli
es pour autant .
@{fg shine}U t i l i s a t i o n@{fg text}
Le test auquel je me suis livr
a malheureusement
par le
logiciel (copie de l'original), qui a entra
soit des plantages, soit un
fonctionnement parfois erratique au niveau du pilotage. Le test d
finitif
vous sera propos
lprochainment. Cela dit, l'EDITPLUG laisse entrevoir de
elles possibilit
s, ce qui est corrobor
par le fait qu'il soit d
commercialis
et fonctionne sans coups ferir.
1-Installation sur disque dur: un peu laborieuse car n'utilisant pas le
classique INSTALL. Il faut cr
er des tiroirs et sous-tiroirs propres
chaque Item du logociel.
2-le c
blage: s'assurer que le control L se fait par des mini-jack 2.5,
le control S par des mini-jack 3.5. Le contr
le par IR est classique, genre
module ECHO 100 de SCALA. La connectique inter-machines est explicit
e par
des sch
mas, y compris avec Genlock.
3-le @{"logiciel" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Epecran.16c"}: il ouvre des
crans en basse r
solution. Pas de probl
sur les 1200 et 4000. Le constructeur mentionne des limitations sur 500,
600, 1500 et B2000 (m
moire chip et processeur lent). Au lancement s'ouvre
cran principal:
partir de l
tout est logique.
a- il faut param
trer les machines: bouton SETUP ->
@{"ecran system configuration" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Epsysconf.16c"}
b- il faut caler le TC (seul le RCTC est reconnu), si pr
sent sur la bande!
c- si le pilotage infrarouge est choisi, bouton LEARN dans l'
cran system
configuration ->
cran de configuration IR, pas si
vident
param
trer,
mais la doc est assez claire .
d- choisir l'emplacement o
seront sauvegard
s les Plans et S
quences:
bouton DIR dans l'
cran principal->
cran r
pertoire fichier.
e- passer au montage proprement dit: bouton EDIT dans l'
cran principal.
@{fg shine}E c r a n o f f l i n e@{fg text}
@{"Ouvert par le bouton Edit" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Epoffline.16c"},
la condition que l'on ait tap
un titre
dans la fen
tre FILM. A partir de l
, on peut travailler en 2 ou 3 machines
pour peu que le c
blage entre les trois soit correct. Si le recorder offre
la possibilit
d'insertion (on devrait toujours monter en insert), cette
capacit
est prise en compte. L'audio est g
dans cet
cran ainsi que la
@{"mise en oeuvre du TC" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Eptimecode.16c"}
. On retrouve bien
videmment les classiques points IN et OUT et les plans
sont automatiquement incr
s dans une fen
tre.
La s
lection des machines se fait par simple clic. Malheureusement
c'est au cours de manips en 2 ou 3 machines que j'ai constat
des
disfonctionnemnts: je pr
cise encore que je ne disposais que d'une copie de
l'original du soft. Cela ne met pas en cause la fiabilit
de l'ensemble et
c'est pourquoi je vous convie au v
ritable test le mois prochain.
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
Incontestablement, l'EDIT PLUG r
pond
une attente chez les vid
astes,
je ne dis pas "amateurs", car il y des scopes B
ta SP chez Sony qui ont une
prise Control S! A moins de 2000FTTC, voil
de quoi mettre de l'ordre dans
les cassettes qui s'amoncellent .
@{fg shine}Pierre Tiberi@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novCamescrea " Camescope et cr
ation (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a , C a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Vid
o et sports extr
mes... Osez l'
motion !@{fg text}
Un
lastique
une cheville et un cam
scope
l'autre... Ne me dites
pas que bon nombre d'entre nous qui pratiquent ce sport et se passionnent
pour la vid
o n'ont jamais vu cette pens
e leur effleurer l'esprit...
Alors, plut
t que de risquer un accident stupide, voyons la meilleure fa
de rendre par l'image les sensations multiples et les sueurs froides
qu'engendre ce formidable "exutoire".
@{fg shine}Pr
parez votre t
te...et votre mat
riel...@{fg text}
Une apr
s-midi d'
, en route quelque part sur la Route Napol
on pas
s loin de Grenoble,
destination du Barrage du Sautet. Je r
capitule le
nombre de batteries que j'ai d
emporter, six NP 77 environ; la journ
e va
tre longue. Le cam
scope V5000, le grand-angle si important, ainsi que
deux k7 hi8 de 60 minutes, le tout dans un sac en cordura bien r
sistant.
Au d
tour d'un tournant, appara
t le lieu magique, que j'avais imagin
tant et tant de fois
travers mes r
ves agit
s. Le coeur acc
re un peu
plus, une fois la voiture pos
e au parking. Nous descendons de la voiture,
je pr
re ne pas c
la tentation en prenant la cam
ra trop vite, au
risque de filmer tout et n'importe quoi, meilleur moyen de rapporter des
rushes n'ayant ni queue ni t
te, comme le font la plupart des cam
scopeurs,
avides "d'appuyer sur la g
chette" au moindre
ternuement.
R
gle n
1, toujours bien s'impr
gner du lieu dans lequel on va
"shooter", et m
me si l'envie vous br
le, prendre un maximum de recul vis
vis de ce qui vous entoure afin de savoir ce que sera votre plan de
travail.
R
gle n
2, la donne change si vous
tes spectateurs actifs ou passifs,
et le fait de vivre l'
nement ne pourra que vous
tre utile afin de bien
faire ressentir ce moment, rare par la suite durant la construction de vos
images. La journ
e dans ma t
tait scind
e en deux parties, mener
bien
mon bapt
me du feu, puis, refaire le chemin, avec le cam
scope comme t
moin
majeur de l'
nement. Le "rendez-vous"
tant dans deux bonnes heures, j'en
profitais pour observer les visages plus ou moins crisp
s des futurs
candidats. J'ai
galement fait le tour du site afin de savoir quels
taient
les meilleurs endroits depuis lesquels j'aurais les meilleures prises de
vue, sans oublier la course du soleil
prendre en compte afin de ne pas me
faire b
tement pi
ger par des images totalement surexpos
es, irrattrapables
malgr
le fait de me servir du diaphragme en manuel... Un b
mol au niveau
de ce site merveilleux, il ne vous est pas possible de filmer l'action d'en
bas, chose r
e aux organisateurs... qui se font un plaisir de vous
vendre les images inoubliables de votre saut... Il me faudrait trouver une
autre solution, car, sans ces plans l
, il y aurait toujours un go
d'inachev
dans le montage...
@{fg shine}L ' h e u r e a p p r o c h e . . .@{fg text}
Je reviens sur mes pas en regardant l'heure... Des hurlements toutes
les 10 minutes me mettent en bonne condition. De toute fa
on, "remont
niveau des bretelles" je me suis tellement conditionn
que rien ne peut
entraver ma route. J'ai eu largement le temps d'observer les multiples
sangles, ainsi que le syst
me qui relie l'
lastique d'une bonne dizaine
centim
tres de diam
mes chevilles. Vu la vitesse (environ 90
kilom
tres heure en bout de chute) placer un cam
scope sur soi rel
ve de la
gageure. Ne parlons pas d'un mod
le d'
paule qui aurait la particularit
vous emporter la m
choire si jamais l'engin venait
se d
tacher, ni m
d'un de ceux qui tiennent dans la main, coinc
vos mollets t
te vers le
haut; il ferait trop "corps" avec vous; m
me en pla
ant un grand angle vous
ne verriez pas grand chose...
Essayez de sauter avec, le cam
scope solidement arrim
dans la main
serait un risque d
pour le peu de r
sultats obtenus... La seule
possibilit
, quelque peu on
reuse, serait de louer une "paluche", ou mini
te de cam
scopique, articul
e de fa
englober tout votre
buste, reli
un magn
toscope dans un sac
dos par exemple. Il faut
juste avoir les moyens ou bien faire preuve d'imagination... Nous le
verrons par la suite.
@{fg shine}G
r o n i m o !@{fg text}
C'est enfin
mon tour. j'ai fait table rase de mes questions diverses
et me concentre sur l'escabeau que je vais devoir gravir. Qu'est ce que je
fais l
? Mes pulsations cardiaques sont pass
180/minute. Je me
rappelle juste des derniers conseils du moniteur: garder les yeux ouverts,
pousser le plus fort possible, les pieds en avant, comme sur un plongeoir,
de fa
ensuite avoir un superbe mouvement de balancier... qu'il a dit !
Je regarde vers le bas: 140 m
tres me s
parent du sol...du moins des
rochers. On est finalement peu de chose... Bref, apr
s une seconde ou deux
sitation l
gitime, je me lance, les poings en avant, les yeux
carquill
s, et puis la chute, 4 ou 5 secondes interminables, le vent qui
fuse aux oreilles, le regard qui vacille vers la fin, avant qu'une secousse
ne vous fasse revenir
la r
, celle d'
tre frein
dans la course, et
de rebondir vers le haut en direction du parapet qui vous para
t si proche
tout d'un coup. Et l
, pendant un laps de temps de deux secondes, il me
semble flotter dans les airs, magique instant o
quelqu'un aurait appuy
sur la touche "pause", avant que je ne reparte vers le bas en hurlant comme
un damn
, heureux comme un fou, histoire de d
charger mes piles...
La prise en charge ensuite n'est qu'une formalit
, on vous fait
descendre via un treuil durant trois minutes, vers une petite plateforme
naturelle dans la roche o
l'on est ensuite "lib
" et on remonte par des
chelles arrim
es dans la roche.
@{fg shine}M o t e u r . . . C a d r
. . . A c t i o n !@{fg text}
Une fois redevenu "zen", j'ai d
mon cam
scope et suis parti vers
le groupe en attente sur le pont. J' ai enregistr
un maximum de visages
plus ou moins anxieux, de sourires forc
s, de doigts en train de tirer sur
les harnais, de revisser le mousqueton
la corde de s
curit
le "ligne
de vie", histoire de se convaincre que le mat
riel tiendra le coup, des
plans sur le fameux
lastique, la fa
on dont il est pr
avant chaque
saut, le fait de devoir le remonter apr
s coup comme on tire une ancre, et
puis, bien
videmment, chaque "sauteur" avant l'
preuve, montant sur
l'escabeau comme on va
la guillotine, les faux d
parts, les mauvais
plongeons et les bons, en essayant de cadrer certains sauts d'une fa
rente, de fa
pouvoir jouer avec les images et
viter pour plus
tard une redite dans une succession de sauts choisis.
Puis, je suis descendu juste sous l'arche,
environ 30 m
tres sur le
, afin d'enregistrer les sauts,en pensant
deux avantages: le fait de
filmer en contre plong
e, ce qui met en avant la masse imposante du pont
vis du fr
le candidat qui s'
lance, sachant que comme l'action va
s vite, j'aurai tout le loisir de monter "cut" un plan vu d'en haut au
part ave les deux pieds du kamikaze qui disparaissent derri
re le parapet
raccord
avec un autre plan film
d'en dessous, en continuit
totale, comme
si l'action
tait film
e avec deux cam
ras plac
es aux endroits les plus
strat
giques. Le montage est facile, l'effet est garanti, pour peu qu'on
choisisse des actions avec des dominantes vestimentaires qui se rapprochent
des tenues pourtant diff
rentes des deux Kamikazes. Le spectateur
tellement absorb
par le saut n'y verra que du feu.
@{fg shine}L'image, pas mal, le son n'est pas en reste@{fg text}
Ma banque d'images bien constitu
e, il me manquait quelque chose de
primordial, le c
"voyeuriste" des touristes pour la plupart venus en
famille mass
s juste sous l'arche pas tr
s loin de moi. Les voir n'aurait
rien rajout
de plus dans mon montage, mais les imaginer
tait encore plus
vocateur. J'ai d
de n'enregistrer que la bande son, dont le "best of"
judicieusement plac
en insert, plac
ensuite durant le montage final
par dessus les sauts et les hurlements, ou bien pendant l'attente du
prochain t
raire qui s'
lancerait.
Les entendre m'a fait tout de suite fait penser aux "tricoteuses" qui
confectionnaient leur ouvrage pendant que l'on pla
ait les
lectrodes aux
condamn
la chaise
lectrique...
Ils
taient
mon avis plus l
pour traquer l'accident... Enfin, un
autre passage attitr
(apr
s les avoir film
s en train de chuter)
d'attendre chaque candidat
sa remont
e par les
chelles afin de les
cadrer et de lui demander ses impressions, ses craintes, le tout pris sur
le vif sans aucune pr
paration, brut d'
motion, et c'est l
que l'on peut
avoir un ou deux exemples frappants qui vous serviront pour le montage
final afin d'espacer les sauts, en jouant sur des temps forts et d'autres
plus calmes, en cassant le rythme. Mais par dessus tout, vous aurez la
possibilit
durant leur interview d'illustrer leurs propos par leurs sauts
s en insert sur leurs visages comme bon vous semble, ce qui est
vraiment un excellent exercice de montage et de r
alisation.
@{fg shine}L e g r a n d a n g l e r a j o u t e
l ' e f f r o i !@{fg text}
Nous savons que cet additif nous sert quand nous manquons de recul,
mais il peut agrandir la perspective,et les 140 m
tres du barrage du Sautet
peuvent en para
tre 200 lorsque vous simulez un saut via le cam
scope, en
faisant prendre le m
me chemin que vous avez pris, comme si vous gravissiez
les marches et que vous basculiez en avant, histoire de faire appara
tre en
une seconde le vide si imposant, tel que vous l'avez ressenti au moment de
franchir le pas. Le temps passait, j'
tais satisfait de mes images, mais
comme je l'ai dit un peu plus haut, il manquait des plans tr
s importants,
peut-
tre les plus visuels...Des plans d'en dessous!
Ne pouvant rien faire de plus dans cet endroit, je suis parti en
direction du pont de Ponsonnas,
une vingtaine de minutes du Sautet, o
les n
ophites peuvent s'exercer puisque le d
nivel
ne fait "que" 103
tres! L'endroit est presque aussi impressionnant car la vue d'en haut
embrasse toute la vall
e ainsi que le cours d'eau. J'ai r
ussi
me placer
totalement SOUS le point de chute, et ainsi,
filmer chaque sauteur comme
s'il allait se mettre l'oeil dans l'objectif...
Tellement impressionnant que je n'ai pas r
ussi
cadrer correctement
le premier, trop occup
savoir par o
je devrais sauter de c
s'il
arrivait le moindre p
pin ! J'ai r
ussi, en changeant mes angles,
constituer une banque d'images formidables avec laquelle j'ai pu terminer
mon montage par un clip de ces meilleurs moments avec, en insert son, la
chanson de J.L.Aubert intitul
e pour la circonstance "Le Grand Saut".
Cet exemple v
cu et pratique
mettre en oeuvre si vous affectionnez un
tant soit peu ce sport, vous donne les clefs (j'esp
re!) pour r
aliser un
montage vivifiant et tonique, sachant que nous nous donnons rendez-vous le
mois prochain pour d'autres trucs et astuces englobant le cadrage, le
montage et la r
alisation de vos meilleures images.
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut9.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut4.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut5.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut6.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut1.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut3.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut7.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut2.8bt"}
@{"!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Saut8.8bt"}
@{fg shine}Olivier Debats@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novXdve " X-DVE (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}X - D V E 2 . 5 0
Cr
ez des "Digital Video Effect "@{fg text}
Que les esprits chagrins se rassurent, l'actualit
n'est pas si morose
qu'on veut bien le dire du moins c
logiciel. Ce mois ci, un nouveau
programme nous vient d'Italie sous le doux nom de X-DVE 2.50. Bien que
nouveau en France, il ne s'agit pas l
d'une premi
re version mais bien
d'une premi
re importation et dont la distribution sur le march
fran
est assur
e par Vitepro.
Le concept n'est pas tout
fait nouveau puisque X-DVE permet de cr
des "Digital Vid
o Effect". J'ai autrefois utilis
un programme de ce type
qui s'appelait Animagic mais qui avait le d
faut de ne pas
tre tr
intuitif. C'est
mon avis un des aspects tr
s positif du produit qui nous
resse aujourd'hui: @{"l'interface" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Xdveecran.16c"} n'est pas sans faire penser
Scala mais
l'utilisation s'effectue au travers de nombreux requesters.
Le but de cet article n'est pas de r
aliser un test de ce logiciel mais
de vous parler de son existence et de vous livrer mes premi
impressions. Je n'ai eu en effet que quelques heures pour l'essayer avant
la cl
ture de ce num
ro. Un test complet vous sera livr
dans un prochain
ro (voire le prochain m
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
X-DVE est livr
sous la forme d'une bo
te contenant deux disquettes et
un manuel d'une soixante de pages r
dans la langue de Shakespeare. Un
seul petit regret par rapport au manuel, non pas qu'il soit r
anglais mais simplement qu'il fasse assez souvent r
rence
l'ancienne
version. J'ai toujours le sentiment d'avoir manqu
le d
but du film. Ceci
part, il est tr
s bien r
et accompagn
de grabs d'
cran et de
neuf exercices permettant une prise en main tr
s rapide. L'utilisation de
l'O.S2 voire O.S3 est plus que conseill
e. Ce logiciel
tant pr
vu pour
tre genlock
, il est bien entendu n
cessaire d'utiliser les modes Amiga
cet effet.
@{fg shine}A q u o i
a s e r t ?@{fg text}
X-DVE 2.50 permet de cr
er des flying logos, manipuler des brosses et
des brosses-anims avec une facilit
concertante. Vous pourrez cr
er et
diter vos logos avec les polices se trouvant dans votre r
pertoire 'Fonts'
ou d'autres que vous pourrez
ventuellement rajouter. Vous leur affecterez
les attributs de votre choix (couleur, ombrage et direction, transparence,
etc...).
Une fois vos logos ou brosses cr
s, vous reviendrez dans l'
diteur o
vous leur donnerez vie un peu
la 'mode Scala' en param
trant les effets
part et de fin. Class X, l'
diteur de ce programme, nous a g
car la
panoplie d'effets est tr
s importante. Jugez plut
t: @{"des effets 3D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Xdve3d.16c"}, des
slides (10), @{"des Warps" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Xdvewarp.16c"} (40 dont de superbes tourn
s de pages) et
@{"bien d'autres" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Xdvewind.16c"}
encore. Il vous est par exemple possible de faire appara
tre votre logo ou
brosse en utilisant une rotation sur les trois axes puis le faire
dispara
tre en mille morceaux par une explosion. Ces effets sont bien
entendus param
trables et disposent d'une @{"fonction preview" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Xdverender.16c"} fort agr
able. A
tout moment, comme pour la composition de vos logos, vous pouvez avoir une
e du r
sultat en faisant appel
la touche 'show' pour le texte et
'preview' pour les effets. Vous sauverez votre pr
sentation sous la forme
d'un script que vous pourez recharger
votre guise.
@{fg shine}I m p r e s s i o n s@{fg text}
Une fois calcul
es, les animations sont compress
es au format XFA et
rejou
partir de X-DVE. Les calculs pour le rendu m'ont donn
l'impression d'
tre tr
s rapides. Il faut avouer que Class X a r
ussi son
pari: les animations et les logos d
filent avec une fluidit
parfaite.
Cette qualit
devrait permettre de r
aliser des pr
sentations et des
riques de fort belle facture. Il sera int
ressant de voir si d'autres
programmes utiliseront dans l'avenir ce format de compression ce qui nous
promettrait de beaux jours. De toute fa
on, le pack logiciel est tr
complet et comprend aussi XFAPlay, permettant de rejouer les animations au
format XFA soit en "direct to disk", soit
partir de la m
moire sans
recharger le logiciel. Vous trouverez
galement un utilitaire interfac
avec ADPro et ImageFX permettant de retravailler et organiser vos anims
(XFA_Util).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Ce produit me para
s stable car je n'ai rencontr
aucun bug et
n'ai connu aucun plantage durant mes essais. Il faudra revoir ce logiciel
dans des conditions de test intensif. La prochaine fois, je vous
concocterai un article complet sur ce produit avec, pourquoi pas, une prise
en main. Ce logiciel ne devrait pas d
cevoir les plus exigeants et combler
les vid
astes qui souhaitent agr
menter leurs g
riques d'effets
spectaculaires. Je voudrais remercier Vitepro qui a mis
disposition ce
logiciel pour essais.
@{fg shine}Thierry Lamblot@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novReal3d " Real 3D (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}R e a l 3 D
La fen
tre Tool@{fg text}
@{"La fen
tre Tool" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Realtools.16c"}, bien pratique si on sait l'utiliser, renferme plus de
commandes que les raccourcis-clavier. Les fans du clavier la d
crieront,
mais elle enchante les "tout-souris".
Encore faut-il la ma
triser, c'est-
-dire reconna
tre les symboles
minuscules qui la composent. Pas trop de r
rences dans le manuel. C'est
pourquoi je vous offre (c'est vraiment un cadeau vu le temps qu'il m'a
fallu pour les composer) @{"quatre" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Realtool23.8bt"} @{"pages" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Realtool41.8bt"}
tacher ou
photocopier et
rer dans votre classeur Real, ou
pingler pr
s de votre moniteur.
J'ai tout laiss
en anglais, puisque toutes les r
rences sont en
anglais, et qu'elles parlent g
ralement d'elles-m
mes. J'ai d'ailleurs
l'intention de les mettre sur Aminet. H
las, tout n'a pas pu tenir sur
ces pages. Il y a un reste, il viendra plus tard avec les d
formations. Je
ne peux pas monopoliser le journal, le r
dacteur en chef me proposererait
sardoniquement de rebaptiser Amiga-News "Real3D-News". En tous cas, c'est
l'essentiel qui est concentr
ici.
@{fg shine}L e s n o u v e l l e s R E A L@{fg text}
Beaucoup de nouvelles, surtout depuis que je suis sur l'Internet.
D'abord, les pages int
ressantes pour que vous puissiez chercher vous-m
@{fg shine}www.msassoc.co.jp/
www.medios.fi/heikki/
www.radware.net/ftp/graphics/real3D/@{fg text}
On peut trouver des trucs et astuces dans la page "tfaq.html".
On peut s'abonner
une "mailing list" flottante traitant exclusivement de
Real.
Tous les messages (questions, r
ponses, trucs, etc... vous sont
adress
s directement...
a fait du monde dans la bo
te aux lettres tous les
jours, je vous assure!): "@{fg shine}real3d-list@ns1.win.net@{fg text}" ou bien "@{fg shine}majordom@n
s1.win.net@{fg text}".
On peut s'abonner
la "mailing list" de Real Soft. "@{fg shine}info@r
ealsoftint.com@{fg text}" est l'adresse pour obtenir des informations ou pour
s'abonner
cette mailing list.
@{fg shine}O B I@{fg text}
ENFIN! Il existe un logiciel permettant d'utiliser les riches textures
algorythmiques d'Imagine et d'Essence dans Real 3D. Cette merveille
s'appelle "Realize!". Pour une bonne nouvelle... elle ne vient pas de la
poste.
OBI (Object Interface) est un programme commercial pas nouveau (je le
connais depuis au moins trois ans) qui a l'air de refaire surface. C'est le
logiciel le plus complet de conversion d'objets entre toutes les plates-
formes (Caligari, Imagine, Lightwave, Sculpt, IFF, Real, etc...).
Une des personnes les mieux inform
es chez Real Soft et plus
particuli
rement c
Amiga qui r
pond chaque jour
mille questions sur la
mailing list (@{fg shine}ns1.win.net@{fg text}) est:
@{fg shine}David M. Ingebretsen
RealSoft NA (801) 486-9106
3D Physics / Binary Illusions
(801) 487-2111
L e c o m m e r c i a l@{fg text}
Il semble que la version courante soit la 3.4 (qui supprime des bogues
dans la 3.3... comme c'est original). La version 3.5 devrait sortir avant
l. Malgr
la profusion de renseignements qui tra
nent sur le web, je
n'ai rien trouv
qui fasse r
rence aux derni
res am
liorations. Voici la
derni
re liste de prix que j'aie obtenu de chez REAL SOFT:
* @{fg shine}Liste des prix REAL 3D - Ao
t 1996@{fg text}
REAL 3D V3.4
Windows 3.11/95/NT
789.00
DEC Alpha
1299.00
Amiga
339.00
Licences pour l'
ducation (par site)
Windows 3.11/95/NT
475.00
DEC Alpha
720.00
Amiga
200.00
* @{fg shine}SARE's @{fg text}
(par machine de rendu suppl
mentaire)
Windows 3.11/95/NT
115.00
DEC Alpha
235.00
Amiga
79.00
* @{fg shine}MISES
JOUR @{fg text}
(je ne sais ce qu'il entendent par l
Competitive Upgrade Windows
590.00
Competitive Upgrade DEC Alpha
975.00
Competitive Upgrade Amiga
250.00
V2 >> V3 Update (all platforms)
135.00
Windows >DEC Alpha
369.00
Amiga >Windows
400.00
Amiga >DEC Alpha
775.00
* Souscription
la lettre d'information Real 3D (pour 4 num
ros)
40.00
Une offre sp
ciale limit
e dans le temps r
duit ces prix de moiti
Mais aucune date n'appara
* En outre, pour les mordus et anglophiles, un ouvrage consacr
lisation sort de chez Real Soft,
crit par Bill Batchelor, un expert en
lisation spline, avec plus de 400 pages, 500 illustrations et exemples
@{fg shine}Le "Basic B-Spline Modelling Book" co
te US$ 69 plus le port.
Realize!
US$ 69
OBI Amiga Object Converter for US$149
Real existe
galement en versions (chacune diff
rente) Win 3.1, Win
3.11, Win95 & Win NT.@{fg text}
* Enfin, voil
l'adresse europ
enne qui devrait s'occuper de nous pauvres
cheurs de "Realisme":
ACTIVA INTERNATIONAL LTD et une alternative en Allemagne: DID GmbH
Une initiative int
ressante mais qui semble avort
e puisqu'elle est
encore dat
e de mai 96: un concours mensuel de cr
ation graphique avec Real
3D, toutes plates-formes confondues.
@{fg shine}Les oeuvres devaient
tre envoy
Kelly R. Brock (kerby@p
rimenet.com) (http://www.primenet.com).@{fg text}
Le mois prochain, j'essayerai d'en savoir plus sur le net et nous
traiterons des d
formations. jusque l
, "Realisez-vous" pleinement !
@{fg shine}Jac Pourtant
jac@avignon.pacwan.net@{fg text}
@{fg shine}Pour les fans de 3D et pas seulement Real, la bible :
Computer Graphics Principles and Practice by Foley, vanDam, Feiner, and
Hughes
Addison-Wesley Publishing Company
ISBN 0-201-12110-7@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novLightWave " LightWave (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e R a i l E x t r u d e@{fg text}
Eh bien, revoil
la s
rie LW relanc
e de plus belle pour 96/97 (du
moins je l'esp
re). Si vous avez des questions
nous poser, nous les
attendons sur notre E-mail: @{fg shine}artcom@nordnet.fr@{fg text} , et si vraiment vous
restez bloqu
, les objets utilis
s dans nos cours (LW & Imagine) seront
bient
t disponibles sur notre page WEB -> @{fg shine}http://home.nordnet.fr/~artcom@{fg text}
, qui pour l'instant est en pr
paration.
@{fg shine}Exercice 14: Le rail extrude, l'outil
tout faire.@{fg text}
Ce mois-ci, nous retournons dans le modeleur
la d
couverte d'une
fonction sublime: "RailExtrude" qui correctement utilis
e, va vous
permettre de mod
liser en quelques minutes des formes aussi compliqu
es que
des pieds de table scult
s ou des vases 'Ming' en passant par les boyaux
les plus r
pugnants (Beurk !).
Obtenir n'importe quoi 'avec' cette fonction est facile, obtenir
n'importe quoi 'de' cette fonction est plus d
licat. En effet, quelques
gles de base sont
suivre si vous ne voulez pas cr
er des formes aussi
bizarres qu'inexploitable.
Avant de commencer, enclenchez la grille en mode 'FIXED' et r
glez le 'pas'
en concordance avec la valeur de grille d'origine qui se trouve en bas
gauche (souvent 500 mm). Il faut que votre curseur tombe 'pile poil' sur
les croisillons de la grille.
En vue de dessus:
* Placez des points de fa
former une
toile par exemple.
* @{"Cr
ez votre polygone" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Lwfig1.8bt"} (racourci clavier: p)
* Centrez le
* Selectionez le point de gauche sur l'axe des X et copiez le dans une
autre banque (Layer)
Layer 2, vue de face
* @{"Placez des points" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Lwfig2.8bt"} en respectant la grille, verticalement parlant, au
dessus du point copi
lectionnez tous les points, et res
lectionez-les de bas en haut, dans
l'ordre, y compris le 1er point copi
* Make curve (Ctrl p)
* Mirror, sur l'axe des X, pour @{"obtenir la 2i
me curve" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Lwfig3.8bt"}
Layer 1, ombre 2, vue centr
* Multiply: @{"Rail extrude" SYSTEM "FJPEG AmigaNews96:PicNOVEM/Lwfig5.jpg"}, en gardant les param
tres d'origine.
Voil
, vous venez de cr
er un superbe pied de table Louis XIV!
L'astuce: il faut absolument que les curves aient la m
me origine que votre
forme
extruder.
Vous pouvez maintenant:
- essayer de changer les param
tres de rail extrude,
centrer votre polygone avant l'extrusion
- refaire les curves sans respecter la grille,
- etc...
Libre
vous, cette recherche autour de rail extrude vous fera
couvrir des choses ignobles, spectaculaires, ou simplement belles.
norme avantage de cette fonction par rapport
'Lathe', se trouve dans
la flexibilit
qu'apporte le rail extrude et dans les formes de bases qu'il
est possible de cr
er. Bon amusement,
bient
@{fg shine}Serge Brackman@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novImagine " Imagine (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L ' e x t r u s i o n a v a n t l ' a n i m a t i o n
A vos souris@{fg text}
Dans le num
ro pr
dent, nous avons cr
un chemin (path), qui a
utilis
pour cr
er par extrusion un tunnel (tube) plus ou moins r
gulier.
Pour notre derni
tape, nous allons les utiliser dans les modules
d'animation. Le premier objet servira de guide pour le d
placement et
l'orientation de la cam
ra et le second fera office de d
Lancez IMAGINE. Ouvrez le projet tunnel (voir ANEWS n
92) ou cr
ez-en
un nouveau. Logiquement, nos deux objets tunnel et chemin doivent se
trouver dans le sous r
pertoire OBJETS de notre projet TUNNEL.
@{fg shine}U n e p a r e n t h
s e@{fg text}
Une animation vid
o doit obligatoirement
tre jou
25 images seconde
pour garder une fluidit
imperceptible
l'oeil humain. C'est
dire que si
nous d
sirons avoir 8 secondes d'animation, il nous faut 200 images (8*25).
Cela coule de source... Comme vous pouvez le constater, lorsqu'un nouveau
projet est cr
dans Imagine, nous ne disposons que d'une seule image.
Passez dans l'action editor
Etape 1: l'action editor
La th
orie: c'est dans ce module que nous allons placer les fondations de
notre future animation. A premi
re vue il parait plut
barbatif, mais
une fois son fonctionnement compris, il devient un outil tr
s puissant.
Toutes les manipulations effectu
es dans celui-ci affectent le module Stage
editor et r
ciproquement. Nous sommes devant un
diteur d'animations en
ligne. C'est ici que l'on param
tre l'environnement (global) brouillard,
image de fond,
toiles. Les objets peuvent recevoir des effets ainsi que
des m
tamorphoses et un traitement peut
tre ajout
sur les images
calcul
es, par exemple les lens flares pour ne citer qu'eux.
@{fg shine}L a p r a t i q u e@{fg text}
Nous allons tout d'abord indiquer le nombre d'images que nous d
sirons.
Il suffit pour cela d'entrer la valeur dans le petit requester nomm
HIGHEST FRAME#. Pour une question de lisibilit
je n'emploierai que 50
images, mais rien ne vous emp
che d'augmenter cette valeur. Imagine vous
autorise 9999 images si le coeur vous en dit.
Ajoutons maintenant les objets. S
lectionnez le Gadget "ADD" en bas
cran (RC->Aa), puis d'un Clic de souris, s
lectionnez dans un
emplacement vide (NEW) et au niveau de la ligne ACTOR la premi
re image
(image 1) o
appara
tra l'objet. Et d'un 2
me clic la derni
re image (image
50) ou dispara
tra celui-ci. Cet intervalle correspond
@{"dur
e de vie de l'objet" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Im.16c"}
La manoeuvre effectu
e, un requester appara
t vous proposant au choix
d'ajouter un objet, une lumi
re, ou un axis. Choisissez objet et
lectionnez sur votre disque dur TUNNEL. Effectuez la m
me op
ration pour
l'objet CHEMIN. En cas d'erreur, utilisez le gadget INFO pour modifier ou
DEL pour effacer.
De la m
me mani
re, ajoutez une lumi
re. Laissez le requester lumi
par d
faut, puis validez.
Pour comprendre ce qui se passe lorsque vous effectuez ces
manipulations il faut quitter l'ACTION EDITOR pour passer au STAGE EDITOR.
TRES IMPORTANT, n'oubliez surtout pas de sauvegarder vos modifications:
Menu projet/Save changes (RC->As).
Passez dans le STAGE EDITOR. Vous pouvez le constater, nos deux objets
ainsi que notre lumi
re apparaissent, la cam
ra est un
ment permanent et
c'est la seule dont vous disposez.
Il est un peu regr
ttable que les deux modules ne forment pas un tout,
car lors d'une utilisation intensive, cela devient vite astreignant. Vous
comprendrez vous m
me tr
s vite pourquoi... Arr
tons nous l
pour ce mois-
ci. Pour le prochain num
ro je vous promet ENFIN!! du mouvement. Votre
patience sera r
compens
@{fg shine}Pascal Taffin@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novMusical " Musicalement Votre (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M u s i c a l e m e n t v
t r e !@{fg text}
En ce mois de novembre 1996, j'ai d
de changer la pr
sentation de
votre s
rie musique. Afin qu'elle vous apporte plus d'informations, cette
page est divis
e en deux parties : une partie documentation/excercice, et
une partie pr
sentation de logiciels. Vous trouverez dans les lignes qui
suivent la pr
sentation de l'outil TurboSound de Bars & Pipes et la
description d'une s
rie de logiciel qui vous permettront d'avoir acc
OctamedSoundStudio en Kit.
@{fg shine}D o c u m e n t a t i o n M i d i
Bars & Pipes Pro. (suite)@{fg text}
L'outil TurboSound permet
B&P d'utiliser des instruments AMIGA dans
vos compositions. Vous pourrez ainsi combiner MIDI et
chantillons, afin
d'avoir acc
un instrument, un son particulier ou
une piste
suppl
mentaire. Pour l'utiliser, il faut tout d'abord installer l'outil
TurboSound, puis le placer en sortie de la piste de votre choix (Cf ANews
94). Lorsque vous cliquez deux fois sur l'outil, une fen
tre s'ouvre
(image) et vous donne acc
une nouvelle barre de menu.
Trois modes d'utilisation sont possibles :
@{fg shine}Premier mode @{fg text}
Vous utilisez les instruments fournis par BlueRibbon (sur Compu Serve).
Chaque instrument couvre une ou plusieurs octaves. B&P ne modifie pas la
quence de l'
chantillon lors de l'
coute, comme c'est le cas sur les
Trackers, mais il calcule initialement toutes les notes. On se retrouve
ainsi avec un jeu d'
chantillons calcul
s, chacun d'entre eux
correspondant
une note. On peut gr
ce mode les
diter
individuellement. C'est sur ce principe que sont construits les
instruments fournis. Pour composer, vous proc
dez exactement comme s'il
s'agissait d'un instrument MIDI, donc
l'aide du clavier ou de l'
diteur.
Des effets peuvent, de plus,
tre appliqu
chaque instrument (menu
effects).
@{fg shine}Deuxi
me mode@{fg text}
Vous souhaitez utiliser un
chantillon de votre collection et construire
un instrument TurboSound. Gr
ce au menu Samples, chargez l'
chantillon
(IFF uniquement). Il appara
t alors dans la fen
tre. Vous avez ainsi
charg
la premi
re note. Si vous disposez de toutes les notes de
l'instrument digitalis
es, proc
dez ainsi pour chacune d'entre elles. Dans
le cas contraire, TurboSound va les calculer : dans le menu Sample choisir
l'option Create Octave. Vous pouvez alors
diter votre instrument et
l'utiliser. Pour le sauvegarder, vous utiliserez l'option Save du menu
TurboSound.
@{fg shine}Troisi
me mode@{fg text}
Vous composez un Kit de batterie en chargeant pour chaque note une
percussion diff
rente, afin que votre Amiga devienne bo
rythme. Ou
encore, vous chargez des voix digitalis
es ou effets sonores pour enrichir
vos compositions de quelques sons num
riques... Bref, TurboSound est un
outil tr
s utile et tr
s performant. Je vous laisse en juger.
@{fg shine}V o t r e s t u d i o e n k i t g r a c e a u D P . . .@{fg text}
@{fg shine}@{"PS3M recorder" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Ps3m.16c"} v1.9 de K-P Koljonen:@{fg text}
Ce logiciel vous permettra, comme OctamedSoundStudio test
le mois dernier,
de transformer vos musiques en
chantillons sonores. L'
chantillon
sultant, pourra
tre en IFF 8 bits, AIFF 16 bits et RIFF WAVE 16 bits
(format directement gravable sur CD-AUDIO), et le tout en mono, st
o ou
surround (son trait
par le logiciel). L'
chantillon est directement
crit
sur le disque dur, et le temps de "digitalisation interne" d
pend de la
quence et du mode choisis. Les modules peuvent
tre aux formats
Protracker, FastTracker, XM, S3M ou MTM et compact
s ou non avec XPK. Le
programme se pilote au CLI : on choisit le module source, le fichier
destination, le format de l'
chantillon, sa fr
quence pr
cise, et son
volume. Ce dernier peut
tre augment
si n
cessaire. Ce programme n'a rien
envier au mode direct to disk de OctamedSoundstudio, puisqu'il tol
re des
formats de modules plus vari
s et qu'il stoppe le mixage automatiquement
la fin du module. Un tr
s bon logiciel.
@{fg shine}HD_Play de Michael Koch (image) et Play16 de Thomas Wenzel@{fg text}
Ces deux logiciels permettent d'
couter vos
chantillons en "direct-from-
disk". HD-PLAY tol
re les formats IFF et WAVE 8 bits, son utilisation est
simple et conviviale gr
une fen
tre de contr
le compl
te. PLAY16, lui,
est beaucoup plus complet au niveau format, mais plus aust
re. Vous
l'utiliserez si les formats de HD-PLAY ne suffisent pas. Il vous permettra
de tout jouer sur une machine 8 bits. Il tient compte du format de
chantillon et des sp
cificit
s de la machine, et g
re le tout
automatiquement. Les formats tol
s sont: IFF & MAUD (Amiga), RIFF-WAVE &
VOC (PC), AIFF (MAC,Amiga), AU (Sun/Next), tous les formats RAW (LSB, MSB)
chaque fois en 8 ou 16 bits. En sortie, il utilise l'Amiga 8 bits,
14bits et la carte Maestro en 44,1 et 48KHZ uniquement. Deux excellents
les autres lui sont relatifs. Un codage de Freeman d'un contour objet est
donc constitu
d'un identifiant + une cha
ne de bits.
@{fg shine}A l g o r i t h m e@{fg text}
1 Pour tous les bords de l'image
2. Commencer
n'importe quel point A de la fronti
4. En cas d'
galit
, prendre la plus grande valeur de code (ou la plus
petite)
5. Coder son orientation
6. Continuer tant qu'il reste des pixels de bords
Cet algorithme n
cessite un param
tre qui est la taille du vecteur
orientation, celui-ci d
finit la finesse du contour que l'on veut coder.
D'autre part, il est souvent utile d'op
rer quelques pr
-traitements avant
de coder les contours car s'ils sont issus de d
tecteurs de bords, ils sont
souvent sujets au bruit et l'algorithme peut d
tecter deux contours
distincts comme
tant un seul et unique objet. Les plus simples sont les
rateurs morphologiques comme l'ouverture ou la fermeture (combinaison
successives d'
rosions et de dilations). Mais, simplicit
rime souvent avec
mauvaise qualit
dans ce domaine et les traitements de bases ne suffisent
finir un objet correctement.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Apr
s avoir montr
l'importance de la quantification des filtres de
traitements et la fa
on de comparer les d
tecteurs de bords, nous avons
expos
une m
thode classique de codage de contours et des d
tecteurs
directionnels employ
s en visionique. Nous nous engagerons, et cela d
s le
mois prochain, dans des descriptions g
triques des images afin de les
faire tourner, zoomer et d
former dans tous les sens!
Sur ce, n'h
sitez pas
m'envoyer vos remarques (et encouragements) par
e-mail, je r
ponds
tous les courriers!
@{fg shine}Barrou Diallo
diallo@cyceron.fr@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novBBSgfx " Un BBS d
au graphisme (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}U n B B S d
d i
a u g r a p h i s m e
GFX BBS :) par R
gis Levie@{fg text}
L'id
e de monter mon propre BBS remonte
un an environ.
Jusqu'alors, je fr
quentais assid
ment trois ou quatre boards, en qu
te de
DP et de tout ce qui pouvait avoir trait de pres ou de loin au graphisme.
Je recherchais donc images, textures, objets et autres utilitaires un peu
partout...
Petit
petit, je devins aussi passionn
de communication que
d'imagerie. C'est
ce stade que j'ai d
d'ouvrir un BBS d
graphisme, le but
tant de permettre aux graphistes/infographistes de se
rencontrer pour
changer des id
es et/ou des cr
ations personnelles, et
bien s
r, de se procurer les fichiers dont ils avaient besoin.
@{fg shine}P r e m i e r s p a s@{fg text}
Les premieres versions de GFX-BBS (il n'y a d'ailleurs que le nom qui
n'ait pas chang
depuis :) tournaient sous MAXBBS, un DP assez ancien,
sur Ramses. Bon,
a aura surtout servi
me faire la main et
comprendre comment fonctionne un BBS, c
Sysop... MAXBBS s'av
re vite
s insuffisant, voire carr
ment nul sur certains points (et non des
moindres : les transferts de fichiers entre le BBS et l'utilisateur
n'arrivaient jamais
terme... du moins sur la version que j'avais.
@{fg shine}O n c h a n g e d e s o f t . . . .@{fg text}
AmiExpress: tr
s connu dans le monde Amiga, mais la version que
j'utilisais
tait la derni
re Freeware en date, donc d'un
ge relativement
cannonique...
Cela dit, j'ai continu
le d
veloppement du BBS avec. Je suis aid
par
de nombreux programmes externes visant
implementer de nouvelles
fonctions... @{"les DOORs" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Gfxbbs4.16c"} :)
Le gros probl
me lorsqu'on utilise un soft d
ja fait, c'est qu'aussi
configurable soit-il, il ne fait jamais ce que l'on souhaiterait qu'il
fasse :)).
@{fg shine}Pourquoi ne pas d
velopper mon propre logiciel ?@{fg text}
Bonne id
e. Coup sur coup, je me procure la derni
re version du
BlitzBasic (pourquoi pas apr
s tout ?), et je propose
un sombre ami
Chilien auteur de nombreux DPs (GFX-LAB...) de d
velopper le soft de BBS en
C. Son id
e est l
rement diff
rente: pourquoi ne pas d
velopper
directement un langage de programmation d
la gestion d'un BBS?
Excellente id
Le projet est lanc
! Le SPL (Serial Programming Language, il aime bien les
termes pompeux) voit le jour quelques temps apr
s... de m
me qu'une ligne
phonique suppl
mentaire, qui permettra au BBS d'
tre accessible 24h/24
A partir de cet instant, GFX BBS va na
tre r
ellement. Les commandes du
BBS augmentent en m
me temps que les versions de SPL. Au d
but cantonn
dans un r
le de base de fichiers, GFX BBS
volue gr
un interfacage
avec UMS pour g
rer une base compl
te de messages/utilisateurs: ceci permet
donc la cr
ation de conf
rences locales, puis la gestion de conf
rences du
seau UC-NET en acc
s R/W et, depuis peu, de certaines conf
rences
Internet.
@{fg shine}U n e u t i l i s a t i o n f a c i l e@{fg text}
Pour un BBS d
au graphisme, il fallait quelque chose de diff
rent
au niveau de la pr
sentation. Il fallait aussi que le syst
me soit simple
utiliser: tout le monde n'a pas l'habitude des BBS !
J'ai donc mis un point d'honneur
er des menus et des pages
graphiques pour l'ensemble du BBS. D'une part, c'est plus agr
able, et d'un
autre c
, je pense que c'est plus pratique pour les nouveaux
utilisateurs.
Les commandes sont claires et les fonctions bien compartiment
(fichiers, messages, doors...)
Une aide graphique est disponible, et la doc du BBS est t
chargable
depuis le menu principal.
Evidemment, GFX BBS ne propose pas autant de services qu'un monstre
comme Ramses (par exemple) mais il est encore jeune... De plus, l'id
n'est pas de concurrencer qui que ce soit (bon courage!), mais bien de
proposer un lieu d'
change pour graphistes et infographistes.
Encore un d
tail... GFX BBS est TOTALEMENT gratuit pour tous ses
services, sans aucun ratio.
Force est de reconna
tre que la majorit
a tendance
abuser de cette
absence de ratios... enfin bon... :)
Amis graphistes... Vous
tes tous @{"bienvenus" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Gfxbbs1.16c"} @{"sur GFX" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Gfxbbs2.16c"} @{"BBS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Gfxbbs3.16c"} :)))
@{fg shine}Reg
GFX BBS Sysop.
[ FREE GRAPHIC BBS ] +2 GO ONLINE, V34+, 24h/24,
Ligne publique: 48.26.75.89
Distribution UC-NET@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novAmigatel " Amigatel (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}R e j o i g n e z n o u s s u r A m i g a t e l@{fg text}
Si vous gardez des moutons sur le Larzac et que vous vous sentez comme
une brebis
e le soir devant votre Amiga, ou encore si vos amis sont
s sur PC ou, simplement, si vous souhaitez communiquer avec d'autres
amiga
stes sans pour autant vous connecter
Internet, alors AMIGATEL est
fait pour vous. En effet, qui ne s'est jamais senti seul devant son Miga
quand surviennent le Guru ou autres pannes syst
mes. Naturellement, vous
pouvez toujours lancer un appel dans la rubrique des lecteurs d'Anews en
sollicitant Alain mais, dans le meilleur des cas, il vous faudra patienter
avec vos probl
mes jusqu'
la parution suivante de la revue. Vous souhaitez
vendre votre carte graphique,
changer deux barettes de 4Mo contre une de
8Mo ou obtenir les derni
res nouvelles concernant Viscorp et Amiga? Alors,
il est temps de remettre votre bon vieux Minitel en service. Op
rationnel
depuis 1992 et servi par 5 PC en r
seaux, Amigatel offre
la communaut
Amiga un outil de communication remarquable dont on a bien du mal
passer d
s lors que l'on commence
l'utiliser.
@{fg shine}A m i g a t e l m o d e d ' e m p l o i@{fg text}
La premi
re op
ration
effectuer consiste
er votre Bo
te Aux
Lettres (BAL): indispensable si vous voulez que vos futurs copains vous
envoient des messages. Apr
s avoir compos
le 3615 vous taperez AMIGATEL de
avoir acc
s au serveur. La page d'accueil vous invitera
votre "Pseudo" ou surnom, puis le mot de passe que vous aurez choisi. En
temps normal il faut passer par le 3615 pour s'accorder des cr
dits
permettant l'acc
s au 3614 nettement moins cher. On retiendra qu'une minute
de 3615 vous procure un cr
dit de 14 minutes pour le 3614 Amigatel.
Si vous avez suivi mes instructions, vous devez vous retrouver devant
le @{"sommaire g
ral" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Minitel3.16c"} d'Amigatel. Vous vous pr
cipiterez sur votre "Bo
lettres" afin de relever votre courrier ou passer un message (rubrique 3).
Actuellement, les 1500 BAL se trouvent regroup
es dans un annuaire fort
pratique
utiliser. Vous ferez votre petit march
en passant par la
rubrique "Petites annonces" o
vous trouverez certainement tout ce que vous
cherchez, o
vous vendrez le superflu (rubrique 4). Vous t
chargerez vos
"softs" pr
la possibilit
offerte par la rubrique 9. Si vous
souhaitez le @{"contact" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Minitel1.16c"} @{"direct" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Minitel4.16c"}, vous utiliserez les deux rubriques pr
vues
cet effet (12 et 13). Le dialogue vous autorise
communiquer en temps r
avec les utilisateurs d'Amigatel connect
s en m
me temps que vous. Le forum
5 vous permet de converser comme son nom l'indique
plusieurs (jusqu'
A ce sujet, j'ai pr
vu d'organiser, dans les semaines
venir, des
"forums" sur des sujets particuliers comme la vid
o et la 3D. La rubrique
16 vous prendra par la main pour vous conduire
l'Amiga Show 1996 en vous
indiquant le chemin et la liste des exposants. A ce stade, il existe
d'autres rubriques que je vous laisserai le soin de d
couvrir par vous m
: "Internet", "Les Clubs", "Le Kiosque", "Escom", "Amigatel" (pour
communiquer avec le serveur), "Commander Moon", "Jeu des 10 000" (pour
devenir riche), "Sondage du mois", "La boutique pro" (o
vous retrouverez
vos revendeurs pr
s: Deltagraph'X, ADFI, Euro Application, etc...) et
surtout "Rubriques Amiga". Cette derni
re a cette particularit
qu'elle
donne acc
un autre sous menu comprenant une bonne vingtaine de
nouvelles rubriques.
@{fg shine}L e s r u b r i q u e s A m i g a@{fg text}
"La Tribune"(1) c'est un peu la m
o de l'Amiga avec toutes les
nouvelles le concernant, qu"elles soient bonnes ou mauvaises. Celle-ci va
directement conditionnner la rubrique "Pol
mique" (23). Et oui, m
me les
pages de chignon existent sur Amigatel. Les programmeurs en herbe ou
confirm
s navigueront entre les rubriques "Langage C", "Assembleur",
"Amos", et "E". Dans la rubrique "Amiga soluces", les joueurs trouveront
certainement le passage secret ou la clef qui leur fait tant d
faut dans
leur jeu pr
. Il y a bien s
r aussi la rubrique "Help-Sos pour soigner
les moindres petits "bobos" de votre machine pr
e. Que vous soyez
passionn
s de vid
o, de graphisme, musique, d
mos, etc... Vous trouverez la
rubrique qu'il vous faut ; les rubriques "Commercial", "DP", Hardware,
"Blitz basic", "RTC
BBS", "Amiga-PC", "Emulation" venant compl
ter un
choix d
s vari
@{fg shine}Q u e l q u e s t r u c s@{fg text}
Afin d'utiliser votre messagerie au mieux, je vous conseille de
consulter le guide d'ailleurs assez bien fait ou vous trouverez toutes les
commandes n
cessaires. Par exemple, il vous est possible de r
rer un
message dans votre Bal en faisant "# envoi". Tr
s pratique quand on sait
que l'on peut stocker environ 150 messages en BAL: de cette fa
on, il est
possible de se constituer un "classeur" des messages importants (trucs ou
astuces par exemple) Amigatel vous offre aussi une possibilit
ressante
ce au 3615 : vous pouvez adresser un mailing
tous les utilisateurs
d'Amigatel et effectuer ensuite un suivi de la consultation de votre
mailing par les usagers.
A la connexion sur Amigatel, vous serez tout de suite inform
s de
tat" de votre BAL: un message sympa vous dira soit "Y'a rien de neuf
dans ta BAL" soit "Psst t'as re
u du courrier"
@{fg shine}P o u r q u o i A m i g a t e l@{fg text}
Comme je le soulignais en pr
ambule, les utilisateurs Amiga
prouvent
parfois un sentiment de solitude: d
laiss
s par de nombreux revendeurs
attir
s par le march
PC plus porteur, abandonn
s parfois par les amis
s eux aussi par le virus "Wintel". Il me para
t important que les
passionn
s que nous sommes se rassemblent quelque part afin de communiquer
et partager leur passion et aussi briser l'isolement. C'est pourquoi
Amigatel me para
t un excellent compromis pour qui ne se sent pas pr
affronter Internet ou simplement ne souhaite pas se perdre dans ses d
dales
et labyrinthes.
De plus, les projets d'Amigatel sont pour le moins prometteurs. Un
s Email et aux Newsgroup Internet est pr
vu dans les semaines
venir
sans abonnement
gler
partir du 3614 ou du 3615. Il sera m
me possible
d'exp
dier des fax
partir d'Amigatel.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Comme vous pouvez le constater, les possibilit
s offertes sont pour le
moins nombreuses et attractives et je suis persuad
que nombre d'entre vous
viendront nous rejoindre. A 13 centimes la minute apr
s 22H30, il serait
dommage de s'en priver. Et puis, le serveur d'Amigatel se trouvant dans le
Gard, certains soirs o
rien ne va et quand la d
prime vous envahit, vous
aurez peut-
tre la chance d'entendre les cigales chanter...
@{fg shine}Thierry Lamblot (BAL V.P.A)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novPrisedeson " Prise de son (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M a t
r i e l e t t e c h n i q u e d e l a p r i s e d e
s o n
Pour faire au mieux@{fg text}
La prise de son est une
tape capitale pour la r
ussite d'une bonne
sonorisation. Il faut par cons
quent apporter un grand soin
alisation. Il n'y a pas de recette miracle car chaque son pour
parfait devrait
tre pris d'une mani
re diff
rente. Je vais vous donner
quelques
ments afin de vous permettre de r
aliser au mieux vos prises de
@{fg shine}L e m i c r o p h o n e@{fg text}
Le premier
ment de la chaine est souvent le microphone.
Il s'agit d'un
ment extr
mment important, et son choix peut
terminant. Pour choisir quel type de microphone il faut utiliser il faut
tenir compte de l'intensit
du son que l'on veut enregistrer et de sa
quence :
* Le premier
ment est la pression accoustique. Si le son est de forte
intensit
tel que le son d'une trompette ou d'un saxophone qui peut
atteindre 100 db (d
cibels), il faudra alors utiliser un microphone
supportant une pression accoustique
e (sup
rieure
100 db) afin
viter un d
passement du seuil de tol
rance du microphone qui entraine
une distorsion du son r
sultant. Vous devrez tenir compte de ce param
pour choisir votre micro et choisir la distance s
parant la source sonore
du micro, l'intensit
d'un son diminuant avec l'
loignement.
* Le deuxi
me point est la bande passante utile. Elle s'exprime en Hertz
(Hz) et d
termine la capacit
du micro
restituer la fr
quence du son
qu'il re
oit. Ceci vous permet, par exemple, par le choix du micro de
lectionner certaines fr
quences et pas d'autres. Exemple, la gamme de
quence des notes d'une guitare acoustique est de 82
880 Hz. Vous
choisirez alors une bande passante d
butant
80Hz afin d'englober les
graves.
Si vous souhaitez acqu
rir un micro unique, le meilleur choix portera
sur un micro
bande passante de 50
18 000 Hz (une fr
quence haute
correspond
un son aigu).
* Le dernier point est la directivit
. Il existe des unidirectionnels
cardio
de ou encore des omnidirectionnels ... Cette donn
e indique la zone
ou le micro capte les sons. Un omnidirectionnel captera tous les sons
environants, alors qu'un unidirectionnel cardio
de se limitera aux sons
s devant le micro selon une zone pr
cise qui se r
ci s'il s'agit
d'un supercardio
de ou d'un hypercardio
de. Si vous souhaitez faire des
prises de sons d'ambiances ext
rieures l'omnidirectionnel est le plus
adapt
. Dans une pi
ce close le meilleur choix est un unidirectinnel. Il
s'agira d'un micro dynamique qui est
bobine (les moins cher). Pour
utiliser le micro vous prendrez un pied ou un petit tr
pied afin de ne pas
tenir le micro
la main, car tout frottement provoque un bruit parasite.
Si vous enregistrez des voix, une bonnette de protection pour le microphone
vous permettra de limiter les bruits de souffle.
Vous
sent en mesure de choisir un micro.
@{fg shine}L a t a b l e d e m i x a g e@{fg text}
Il s'agit du deuxi
me maillon de la cha
Quelle que soit votre type d'utilisation, c'est
dire que vous
digitalisiez par branchement direct
partir d'une sortie audio (synth
CD, sortie ampli...) ou
partir d'une prise de son micro, il est
rable de passer par une table de mixage. Pour qu'un
chantillon soit
de bonne qualit
il faut qu'il ait une amplitude maximum, ceci se traduit
sur l'
cran par un
chantillon dont la repr
sentation graphique occupe
toute la hauteur de la fen
tre. Il ne faut pas pour autant saturer, c'est
dire avoir des pointes coup
es sur la repr
sentation, qui correspondent
des moments ou le signal est trop fort. Pour permettre de r
gler au mieux
le niveau d'entrer, le moyen le moins hon
reux est une table de mixage, qui
vous permet de pr
amplifier une source sonore afin d'obtenir une amplitude
maximum ou d'att
nuer cette source afin d'
viter la saturation. On peut de
plus faire varier le niveau d'entrer au cours de l'enregistrement. Dernier
point, un signal trop fort peut endommager votre digitaliseur, la table de
mixage sert
galement de protecteur.
@{fg shine}E n b r e f . . .@{fg text}
Les derniers maillons sont le digitaliseur et le logiciel de
digitalisation. Je ne m'
tendrai pas sur ce sujet
tant donn
que de
nombreux tests ont
sur ANews, rappellons simplement DSS+ et
MegaloSound pour les 8 bit et la Toccata pour la 16 Bit. Le choix de la
quence de digitalisation est important, plus la fr
quence est haute,
meilleur est le r
sultat. Je vous conseille une fr
quence de 22 KHz. Dans
tous les cas ne descendez pas en dessous de 8 KHz.
Pour r
ussir votre @{"prise de son" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Priseson.16c"}, placez vous dans des conditions
telles, que le son qui vous interesse est largement dominant. Evitez toute
saturation aussi bien du micro que de la digitalisation. Pour cela aidez
vous des indicateurs de la table de mixage ou du mode Monitor des logiciels
de digitalisation qui vous permettront de r
gler au mieux le niveau
d'entr
e, et la distance micro/source sonore. L'id
al est de tout r
aliser
en int
rieur dans un lieu clos (comme en studio). Il faut alors savoir
faire jouer votre imagination afin de trouver comment imiter
l'aide
d'accesoires un son particulier, ce qui vous
vitera bien des d
placements.
Pensez aux studios de sonorisation qui font du tonnerre avec une plaque de
@{fg shine}R
mi Moreda@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novTermscsi " Terminaison SCSI (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T e r m i n a i s o n S C S I@{fg text}
Bus SCSI: unit
s internes et externes
Une petite parenth
se "hardware" pour vous parler de la b
te noire
laquelle tout utilisateur/trice d'Amiga (ou Sun, Mac.. voire m
me PC!) doit
se frotter, quand le moment vient d'ajouter ou rajouter tel ou tel
rique: le bus SCSI, et ses fameux r
seaux de terminaison.
@{fg shine}L e b u s S C S I e n 2 m o t s@{fg text}
De son vrai nom Small Computer System Interface, ses bases ont
es par IBM dans les ann
es 60, puis il a
officiellement introduit
en 1986 (ANSI X3.131) et n'a cess
voluer avec les unit
s s'y
connectant: jeu de commandes plus
tendu, vitesse de transmission accrue,
transferts synchrones.. Versatile, il s'adapte en th
orie
n'importe quel
type de p
rique, autorisant les cohabitations les plus folles sur le
ble: disque dur, streamer, CDROM, ordinateur(s)..
Chacun des p
riques connect
au bus SCSI se voit affecter un
ro d'unit
unique ID# de 0
7, 7
tant celui ayant la plus haute
priorit
en cas d'acc
s simultan
de plusieurs p
riques. Chaque unit
SCSI peut en principe devenir
son tour ma
tre du bus SCSI, mais en
ral, seul le contr
leur SCSI (dans l'ordinateur qui g
re le tout) joue
les "gardiens de troupeau", et s'attribue donc le n
d'ID# 7 avec la
priorit
maximum. De plus, rien ne vous emp
che d'avoir plus d'un
contr
leur SCSI dans l'Amiga : chacun d'eux pourra g
rer ses propres ID# de
6 sur son propre bus SCSI, augmentant ainsi le nombre maximum d'unit
En th
orie,
chaque ID# peuvent se connecter de 1
8 unit
dant
galement chacune un num
ro d'unit
logique LUN# (Logical Unit
Number) unique. Cela commence
faire un sacr
paquet de connexions
possibles ! Mais en pratique, peu ou pas d'unit
rent des LUN#
multiples. Une des exceptions connues est le multi-lecteur de CDROM
Nakamichi, qui attache un LUN# diff
rent
chacun des CDROM qu'il contient.
S'il ne faisait pas cela et utilisait un ID# diff
rent par CDROM, le bus
SCSI serait "plein" (tous les ID# 0..6 utilis
s) et il serait impossible
d'y connecter ne serait-ce qu'une seule unit
suppl
mentaire !
D'origine, le standard SCSI inclut par exemple des commandes pour
interroger les unit
s qui y sont connect
es. De fait, tout programme de
partitionnement de disque dur va, au pr
alable, aller interroger le disque
en question, s'enqu
rir de ses param
tres, et les communiquer au syst
me et
l'utilisateur. Il est bien loin le temps des premiers disques durs avec
un bus ST506, qui demandaient
l'utilisateur d'entrer
la main leurs
param
tres,
tant dans l'impossibilit
de les communiquer eux-m
mes au
me! (cf les cartes C= A2090 et A2090A)
@{fg shine}C o n n e c t i o n s a u x u n i t
s S C S I@{fg text}
Du point de vue hardware, le bus SCSI interne "classique" se compose
d'un connecteur 50 points m
le (type BERG ou HE-10) sur chacune des unit
es entre elles par un c
ble nappe (de bonne qualit
, blind
externe) et autant de connecteurs femelles qu'il y a d'unit
s sur le bus.
Le standard SCSI s'est bonifi
travers les
ges (SCSI-1, SCSI-2..) mais
ce type de connectique interne a n
anmois
conserv
Les connecteurs vers les p
riques externes sont en g
ral des
SubD 25 (style port parall
le et s
rie des PC, dont Apple a
curseur sur les Mac), ou bien des grosses SubD 50 (mod
le char d'assaut
pour la taille, stations de travail Sun anciennes) ou les toutes derni
Micro-SubD 50 (Sun r
centes).
Les signaux reli
s aux broches impaires (1..49, sauf la 25, voir plus loin)
sont tous reli
la masse, tandis que les signaux pairs (2..50, sauf la
26) v
hiculent les signaux de commande et le bus de donn
es 8 bits. Ce type
de connexion (1 signal + masse, appel
single-ended) diff
re du type SCSI
rentiel (differential) qui v
hicule chaque signal 2 fois avec une
polarit
diff
rente (1 signal "+" et un "-").
Un tel bus SCSI diff
rentiel, par rapport au bus simple, autorise des
vitesses de transfert nettement plus
es gr
sa plus grande
immunit
au bruit
lectrique, permet d'utiliser jusqu'
25m de c
ble ainsi
que de relier des p
riques internes et externes entre eux.
Le bus SCSI simple, lui, est en principe limit
6m de c
ble maximum
(mais d'exp
rience 2m maxi sont plut
conseiller) et r
des
connections en interne. Apple, qui a utilis
le SCSI d
s ses d
buts, a fait
sa forte t
te en pr
rant entre autres le bus simple pour ses liaisons
SCSI externes, ce qui n'
tait pas pr
conis
au d
part (pour des raisons
d'immunit
moindre aux bruits tout au long des connecteurs
internes/externes + longueurs de c
ble). L'histoire a fait qu'on a
privil
cette "entorse
la r
gle" car plus simple
mettre en oeuvre..
et pas si peu fiable que
a apr
s tout.
Par contre, on ne peut pas m
langer de p
riques utilisant les 2
types sur le m
me bus, mais le diff
rentiel est r
des unit
haut de gamme, tandis que les p
riques SCSI "courants" sont tous du
type signal + masse classique (tels tous les bo
tiers Apple, cf ci-dessus).
@{fg shine}T e r m i n a i s o n s d e b u s@{fg text}
Tout bus sans exception, SCSI ou autre, transf
rant des donn
haute
vitesse, requiert une certaine charge (imp
dance de ligne) pr
cise, pour
viter les rebonds HF (haute fr
quence) intempestifs des signaux. Je vous
ferai gr
ce du cours sur les filtres HF, qui m'ont fil
des migraines
cole.. Par exemple sur l'Amiga, les lecteurs de disquettes, les bus
Zorro II/III, m
me les sorties vid
o RGB et composite n'y coupent pas, pas
plus que le bus SCSI lui-m
Pour ce faire, les premi
re et derni
re unit
s, donc
chaque bout du
ble, doivent comporter des r
seaux de terminaison qui "chargent" chaque
signal du bus conform
ment aux sp
cifications techniques. Pour un lecteur
de disquette par exemple, une simple r
sistance de 150 ohms au +5v par
signal suffit. Pour le SCSI, il faut une combinaison pr
cise de 220 ohms +
330 ohms reli
es au +5v et
la masse, pour obtenir la charge
caract
ristique voulue.
Celle-ci se retrouve le plus souvent sous la forme d'un r
seau de
sistances: une ou plusieurs petites barrettes (jaunes, rouges, noires..)
comportant toutes les r
sistances n
cessaires, qui s'enfichent
la demande
sur l'unit
SCSI qui en a besoin: la premi
re et la derni
re donc. Chaque
barrette comporte une broche 1, rep
e par un point sur elle-m
me et une
marque (ou une pastille carr
elle doit
tre implant
e sur le
circuit imprim
Les seules diff
rences entre unit
s SCSI r
sident dans le nombre de
broches et de r
seaux n
cessaires: certaines en utilisent 3 (Trumpcard,
disques durs anciens..), d'autres 2 (A2090A, GVP..), d'autres encore ont
les charges int
es au circuit
lectronique (on parle de charge active
commut
e par transistors, sur disques r
cents), d'autres enfin (surtout les
tiers externes) utilisent un "bouchon SCSI" qui est en fait un
connecteur moul
dans lequel se trouvent noy
es toutes les r
sistances ad
hoc. Ce dernier mod
le est de loin le plus pratique car il peut s'enlever
et se remettre sans d
montage compliqu
Pour activer ou d
sactiver les terminaisons selon la position de
l'unit
dans la cha
ne SCSI, on peut enficher ou enlever les r
seaux (et
tous
la fois !), ou bien le jumper correspondant dans le cas de charges
actives, ou enfin le bouchon externe.
@{fg shine}T e r m i n a i s o n s , e n a v o i r o u p a s@{fg text}
La r
gle d'or est "une terminaison
chaque bout de la cha
ne",
respecter imp
rativement. Mais peut-
tre le constructeur de votre carte
SCSI Amiga en a-t-il d
autrement, et l
est la source de tous les
maux.
Souvent, pour son c
pratique car d
finitif, la solution retenue est
soit de souder d'office les r
seaux sur le contr
leur (tel que RN2 et RN3
sur GVP A2000 HCD8+, RN5 et RN7 sur A2090 par exemple), soit de ne rien
souder du tout (emplacements vides RN2 et RN3 sur GVP A500 HD+). D'autres
contr
leurs mieux pens
s ont leurs r
seaux mont
s sur support, donc
extractibles
volont
(tels que sur GVP Combo et Trumpcard Pro).
Quel que soit le cas, la r
gle d'or s'impose, donc les terminaisons
doivent
tre install
es sur le contr
leur et/ou sur la premi
re et/ou la
derni
re unit
de la cha
ne, que celles-ci soient install
es en interne
et/ou en externe.
Si la cha
ne SCSI comporte des unit
s internes et externes, seules les
derni
res unit
s interne et externe doivent comporter des terminaisons, et
celles-ci doivent
tre enlev
es du contr
leur SCSI qui de fait se retrouve
en milieu de cha
ne. D'o
hic si elles y sont soud
es d'origine! Mieux vaut
alors les dessouder proprement, puis souder des supports
la place pour
pouvoir les replacer par la suite
loisir.
Par d
rogation, les contr
leurs SCSI (tels les GVP HCD8+) comportant un
seul disque dur interne mont
me la carte, ne sont reli
s ensemble que
par une courte longueur de c
ble (5cm maxi) et dans ce seul cas, une seule
terminaison (sur le contr
leur ou le disque) est admise. L'exp
rience
prouve qu'avec 2 terminaisons si proches l'une de l'autre, le bus des GVP
se bloque la plupart du temps, alors que cela ne devrait pas
tre le cas!
(merci GVP)
Compliqu
? Allez, @{"un petit dessin" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicNOVEM/Scsi.2c"}
clairant utilement un long discours.
@{fg shine}A l i m e n t a t i o n d e s t e r m i n a i s o n s@{fg text}
Une astuce suppl
mentaire du bus SCSI est de pouvoir alimenter les
terminaisons
distance, par le signal TERMPWR en broche 26 (la broche 25
en regard est en l'air). En effet, charger les 18 signaux de commande SCSI
introduit une consommation sur le +5v non n
gligeable (300mA et plus) que
l'alimentation d'une unit
externe peut ne pas pouvoir fournir si elle est
de faible puissance. J'en ai fait l'exp
rience sur un bo
tier "maison": le
disque seul d
marrait bien puis une fois les terminaisons en place, plus
rien. La faute en revenait
l'alimentation, calcul
e trop "juste".
Chaque unit
a donc la possibilit
(ce n'est pas obligatoire, cf ci-
s) d'alimenter les terminaisons soit
partir de sa propre
alimentation, soit gr
ce au +5v g
reusement mis
disposition en broche
26, transmis
travers une diode de protection et un fusible de 1A pour se
ger contre tout court-circuit dans le c
ble (il ne faut pas oublier
que ce +5v est "entour
" de masses !).
Le tout est de savoir qui au juste va fournir ce +5v.. Logiquement, ce
devrait
tre le r
le du contr
leur SCSI, puisque c'est lui qui arbitre les
changes entre lui-m
me et les autres unit
s "esclaves". Sur les cartes GVP
par exemple, la place est pr
vue sur le circuit imprim
pour implanter la
diode et le fusible, mais ils n'y ont pas
soud
s ! Ce genre d'
conomie
de bouts de chandelles semble h
tre l
gion, par cons
quent la broche
26 doit recevoir le +5v d'ailleurs, s'il alimente les terminaisons des
s sur le bus.
Sinon, certains p
riques SCSI ont tout pr
vu, et incorporent
d'origine la diode et le fusible pour pouvoir alimenter la broche 26 par
leur propre +5v. Ce mode est soit fig
(cas de mon CDROM Sony CDU-8003A,
dans l'unit
Apple CD300 externe) soit commutable par jumper, et alimente
donc
la fois les terminaisons propres
l'unit
mais aussi celles sur
l'unit
l'autre bout de la cha
En ce qui concerne l'implantation de ces composants sur les cartes GVP
qui en sont d
pourvues, j'en parlerai plus longuement la prochaine fois.
Quel int
t d'alimenter toutes les terminaisons
partir d'une seule
source ? Mettons que, comme moi, vous ayez un disque dur interne et un
externe, dans son propre bo
tier avec sa propre alimentation. Chacun des 2
disques a donc ses r
seaux de terminaisons install
s, et ceux sur la carte
contr
leur enlev
s, comme expliqu
ci-dessus, mais:
- si les terminaisons sont aliment
es par chaque disque s
ment, et
que je d
cide de ne pas allumer le disque externe, ses terminaisons sont
physiquement connect
es au bus SCSI (install
es en permanence) mais non
aliment
es en +5v: le bus SCSI est mal charg
chaque bout et se bloque;
- si les terminaisons sont toutes aliment
es par le contr
leur SCSI dans
l'Amiga via la broche 26, peu importe si le disque externe est allum
pas, ses terminaisons seront toujours sous tension: aucun probl
@{fg shine}E n c a s d e p
p i n ( s )@{fg text}
Si le contr
leur SCSI fait des siennes, reste bloqu
au d
marrage, ne
trouve pas une unit
SCSI, si des "r/w errors"
la pelle viennent troubler
l'Amiga, etc, etc, etc.. la majorit
de ces probl
mes trouve sa source dans
des r
sistances de terminaison absentes, mal plac
es, mal aliment
es (par
la broche 26) ou des c
bles trop longs ou de pi
tre qualit
(non blind
s en
externe).
Pour les GVPistes, en attendant la suite au prochain num
ro, il est
conseill
d'essayer d'abord sans aucune terminaison, puis de les rajouter
par unit
(y compris le contr
leur lui-m
me) jusqu'
ce que la
situation (le bus) se "d
bloque". Essayer toutes les combinaisons! H
las,
c'est comme si le circuit contr
leur SCSI (AMD 33C93A-16) nous faisait des
caprices
on, selon les p
riques qui lui sont connect
Oh, je garde sous silence les probl
mes inexpliquablement fr
quents
d'incompatibilit
entre unit
s SCSI, tels les disques durs Quantum autant
s pour leur vitesse de transfert que pour leur "susceptibilit
envers leurs voisins sur le bus SCSI (j'ai test
!), tels les syst
amovibles (Syquest, Iomega, DAT, CDROM..) dont le changement de cartouche
non reconnu par le gestionnaire s'accompagne des pires m
faits, etc.. Nous
en avons tous plein nos tiroirs.
Bon, je ne vais pas vous g
cher la vie avec de telles mesquineries.
Disons que lorsque les unit
s et les gestionnaires Amiga sont bien
programm
s (you call this dreamland), tout marche toujours bien.. en
principe..
Si d'aventure vos d
boires r
sistent
tout, je me ferai un plaisir de
vous aider. Ecrivez-moi!
@{fg shine}P-chan.
EMAIL: p-chan@akane.swb.de@{fg text}
R
rences Personnelles et "The SCSI bus", Magazine Byte F
vrier/Mars
1990.
@ENDNODE
@NODE novC " C (11-95)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C e t C + +
Exec et la programmation orient
e objet@{fg text}
Voici une nouvelle s
rie d'articles sur le syst
me d'exploitation: Exec
et la programmation orient
e objet. J'ai d
sur Amiga avec
l'environnement Devpac: assembleur et d
bogueur, et non avec le compilateur
C que distribuait SAS,
poque. Aussi je vous conseille de vous procurer
un compilateur C (du domaine public) si vous commencez
programmer, car
vous aurez
la fois un compilateur et un assembleur (mais vous pouvez
aussi vous int
resser
d'autres langages comme ceux pr
s dans
AmigaNews).Comme pr
requis, il faut d
conna
tre la syntaxe du C et
savoir faire des
ditions de liens et pour cela, je vous renvoie aux
articles d
parus dans ANews (l'ann
e 1995 est disponible sur CDROM).
Idem, vous devez aussi conna
tre la signification des mn
moniques du
langage machine (de notre miga) telles que: JMP, BSR, RTS,... et des
rents modes d'adressage.
Toutefois, du langage Basic au Smalltalk ou du
P 6502 au PowerPC, les
techniques de base ou concepts des langages ou architectures machines sont
currentes et vous ne perdrez jamais votre temps
apprendre l'un plut
que l'autre.
Le premier article traite des fonctions virtuelles de C++ v1.0 (sans
ritage multiple, ni exceptions, ni templates). Apr
s cette introduction
sur un des m
canismes important de C++, nous verrons comment construire un
module-biblioth
@{fg shine}L e s f o n c t i o n s v i r t u e l l e s a v e c C / C + +
@{fg text}
@{fg shine}Principe@{fg text}
C'est une indirection. L'adresse de la fonction est prise dans un tableau
au moment de l'ex
cution. Dans un autre langage
objets, on appelle ce
canisme: lien dynamique.
Exemple: pour d
tailler ce m
canisme, j'ai choisi une classe B qui h
rite
d'une classe A. Voici le sch
ma d'h
ritage:
___________
/ Classe A
---------------
|affo() |
|virt. aff() |
---------------
/|
|
_____|______
/ Classe B
----------------
|affo() |
|virt. aff() |
---------------
La fonction affo() n'est pas virtuelle, aff() l'est.
Mais les 3000'istes doivent sortir leurs scies !@{fg text}
Phase 5 a pu se procurer un stock important de processeurs 68040
40MHz de deuxi
me main, et a eu la bonne id
e de partager cette "occasion"
avec les utilisateurs en proposant des cartes acc
ratrices
bas prix. On
trouve la carte pour 1200 en France
moins de 2000FTTC, et la carte pour
3000 (T) et 4000 (T)
entre 2500 et 3000F.
Vu les prix actuels d'environ 4500F pour une carte 1260 (avec
processeur 68060
50MHz) et de 5800F pour une Cyberstorm MkII (68060),
l'achat d'une carte ERC devient tr
s int
ressante, surtout pour
l'utilisateur non-professionnel qui veut donner un s
rieux coup
d'acc
ration
son syst
me sans se ruiner.
D'apr
s la rumeur, Phase 5 aurait achet
un lot de 68040 de l'ancien
stock de Apple, qui a vu ses ventes de machines 68040 en nette diminution
cemment et qui concentre actuellement tous ses efforts sur ses machines
PowerPC, les PowerMac. Mais, peu importe le provenance, Phase 5 appelle ces
processeurs des "recycl
s" (ca fait mieux qu''occas') et les installe sur
ses cartes 1260 pour 1200, qui deviennent 1240T-ERC pour l'"occasion", et
Cyberstorm Mk II, qui prend, en cette configuration, l'appellation
Cyberstorm Mk II 040/40 ERC.
Il est important de noter que ces processeurs ne sont pas des versions
conomiques ou brid
es ou sur-acc
es, et que les cartes sur lesquels
ils sont implant
s sont identiques aux versions 68060. Les cartes sont
garanties comme toutes les autres, et la mise
jour vers un processeur
68060 est possible.
@{fg shine}P o u r t o u r 1 2 0 0 s e u l e m e n t . Q u o i q u e . .
.@{fg text}
D'apr
s Phase 5, la carte 1240T-ERC ne peut pas s'installer dans un
1200 standard, mais seulement dans un 1200 dont la carte m
re a
install
e dans un tour. C'est peut-
tre d
la norme EC. Cependant, J
de VAV Vid
Marseille nous signale qu'il a install
une 1240 dans son
Amiga 1200 personnel et qu'elle fonctionne sans probl
me. Seul
inconv
nient: le ventilateur sur le processeur d
passe la carrosserie sous
la machine et il est n
cessaire d'installer des petits pieds.
@{fg shine}E t l e 3 0 0 0 ?@{fg text}
Dans les publicit
s, la carte Cyberstorm II 40/40ERC est vendue pour
A3000 (T) et A4000(T). Cela veut dire, normalement, pour A3000 et A3000T,
et A4000 et A4000T. Nous avons test
la carte dans un 3000, et il vaut
mieux le dire tout-de-suite, c'est une op
ration qui n
cessite
l'utilisation d'une scie
taux, ou, dans notre cas, d'une meuleuse
lectrique!
@{"Comme le montre si bien la photo" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/ERC.8bt"}, la carte, une fois install
e sur la
carte m
re du 3000, d
passe la hauteur disponible. Le petit ventilateur
lectrique qui surplombe le radiateur de refroidissement, lequel surplomb
le processeur, emp
che la r
-installation de la plaque m
tallique port-
lecteurs.
Nous avons donc @{"coup
un carr
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Erc2.8bt"} pour laisser d
passer le ventilateur
dans la t
l'endroit o
se place le deuxi
me lecteur de disquette. De
nos jours, les configurations avec deux lecteurs de disquette sont plut
rares, donc ce n'est pas si grave que
a. En plus, il est parfaitement
possible d'installer au-dessus de l'endroit d
, une petite grille qui
laisse passer l'air et qui permet d'installer
son tour un disque dur 3.5.
Dans notre cas, nous avons utilis
un morceau de la carrosserie plastique
d'un vieux moniteur. Le plastique, de la longueur et largeur d'un lecteur
3.5, se cale parfaitement entre le lecteur de disquette DF0 et le rebord
rieur de la plaque en t
le, cachant ainsi la d
coupe dans la t
Ceux qui doutaient, comme nous, qu'un 68040 gourmand en courant et
producteur de chaleur pourrait se loger dans un 3000 sans refroidissement
suppl
mentaire, sont
s. La machine tourne depuis deux semaines sans
t. Avec 32 Mo de m
moire,
a change la vie!
@{fg shine}P e r f o r m a n c e s@{fg text}
Les performances de ces deux cartes seront mesur
es dans un prochain
article. A premi
re vue, elles sont excellentes, et on peut en dire autant
pour la compatibilit
. Une carte pour A2000, la 2040 ERC, est
galement
vu, avec SCSI int
, pour environ 2500F!
@{fg shine}Ed
@ENDNODE
@NODE decApollo1240 " Apollo 1240 (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A p o l l o 1 2 4 0
Le 68040/40 enfin pour l'A1200.@{fg text}
Celui qui d
sirait acc
rer son @{"Amiga 1200" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/1200.8bt"} n'avait jusqu'
aujourd'hui
pas vraiment le choix. Soit on prenait un 68030 pour
pargner son porte-
feuille, mais avec un gain de vitesse limit
, soit on prenait un 68060 pour
avoir le plus rapide des 1200, mais
un prix prohibitif. La solution vient
encore une fois d'Allemagne, avec Apollo qui propose sa carte
base de
68040, soit une solution interm
diaire plut
t int
ressante.
@{fg shine}V e r s i o n t e s t
e@{fg text}
68040
40 Mhz, avec option SCSI
8 Mo EDO,
disque dur Seagate 270 Mo,
1200 sans tower.
@{fg shine}R e n c o n t r e a v e c u n 0 4 0@{fg text}
Elle a mis longtemps
se faire! Non pas que je mette en cause le
sympathique magasin de Marseille
qui je l'avais command
e, mais plut
Apollo qui a l'air de tenir la France pour un march
de deuxi
gorie... Ce n'est donc qu'apr
s un long mois d'attente que j'ai enfin
u la b
L'emballage noir est identique
celui de la Blizzard 4, ce qui a
provoqu
quelques frayeurs en moi au d
but :)
Pourtant un fois ouvert, c'est bien une carte 68040 qui est apparue.
Premi
re surprise, le processeur est plac
Amiga, et non vers
l'ext
rieur comme on aurait pu le penser pour assurer une bonne
ventilation. En revanche, celui-ci est surmont
d'un radiateur et, bonne
nouvelle, d'un petit ventilo aliment
par la carte elle m
me. Pas besoin de
bricolage suppl
mentaire donc, tout est d
fait.
L'installation sous la trappe est toujours aussi difficile, mais une
fois que c'est fini, on souffle de soulagement
:). Le temps de mettre une
barette de 8 Mo EDO dans le slot et je boote: impeccable, tout marche sans
le moindre probl
me. Le seul changement est le bruit du ventilo qui,
coupl
avec celui du disque dur, rend le 1200 plut
t bruyant: on s'y fait
avec le temps.
@{fg shine}L e 1 2 0 0 p l u s r a p i d e q u ' u n 4 0 0 0 / 4 0 !@{fg text}
Vous connaissez le r
flexe, d
s que le WorkBench est charg
, je lance
SysInfo et AIBB pour @{"voir les r
sultats" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/1240test.2c"}.
Une seul mot: impressionnant! SysInfo donne
peu pr
s comme r
sultat
30 Mips et 7.5 Mflops. La vitesse relative
un 1200 de base est de 23
fois, et par rapport
un 4000/040 de 1,5 fois! AIBB, plus pr
cis, apporte
d'autres comparaisons. Voir dans le tableau.
A l'utilisation en g
ral, l'A1200 est d'une souplesse et d'une
rapidit
s appr
ciables. Ceux qui aiment les d
mos ou les jeux comme
Breathless ou Alien Breed 3D 2 seront ravis. Mais c'est surtout avec des
logiciels comme LightWave3D ou Imagine que la carte d
livre toutes ses
possibilit
s. Le Fpu int
et la vitesse de la carte sont parfaits pour
le travail en 3D et le rendering.
Pour id
e, le QuickRender d'Imagine ne prend plus que quelques
secondes, l
mon ancienne 30
50 Mhz mettait plus d'une minute
calculer. La mod
lisation est aussi plus ais
e. Plus la peine d'attendre 15
secondes
chaque fois que l'Amiga affiche les 2 ou 3000 points de votre
objet: 68040 rules!
@{fg shine}Une solution bien pratique et pas si ch
re@{fg text}
La premi
cessit
est de disposer de la 68040.library qui est
fournie depuis le WB 3.0. Sans
a, l'Amiga ne boote pas :(. Ensuite, il
faudra d
barrasser votre 1200 de tous ses p
riques pour fournir assez
lectricit
la carte. En effet, le 68040 est un processeur en 5,5
volts, donc il tire pas mal.
Pour un 1200 en Tower, pas de probl
me, mais pour la version originale,
il vaut mieux alimenter un second disque dur ou un lecteur CD-Rom
ventuel
par l'ext
rieur. Chez moi par exemple, le CDx4 est branch
sur une alim
externe pour plus de s
curit
De plus, utilisant HDSleep pour
conomiser le disque dur, je me suis
rendu compte qu'en red
marrant le disque dur, le ventilateur du 40 faisait
un bruit bizarre et ralentissait, le temps que l'autre ventilateur se
rallume... J'utilise la carte depuis plus d'un mois, et je n'ai jamais eu
de probl
Enfin, il vaut mieux sur
lever son 1200, m
me si le 40 est bien
ventil
: deux pr
cautions valent mieux qu'une!
@{fg shine}A l l e z , y ' a b i e n q u e l q u e s r e p r o c h e s
. . .@{fg text}
Premi
rement, la doc que j'ai re
u est en allemand... Mais bon j'ai eu
le choix : soit
a, soit attendre plus longtemps que le magasin me la
traduise. Pour ma part, je connais l'allemand, donc... mais Apollo aurait
au moins pu mettre une doc en anglais pour
viter les complications.
Ensuite, la Ram n'est extensible qu'
32 Mo, alors que la plupart des
concurrents vont jusqu'
128 Mo: bizarre...
Il est dommage aussi de ne pas pouvoir d
sactiver la carte de mani
logicielle pour tous les softs qui sont r
calcitrants avec le 40. Seuls
quelques jumpers indiquant la Ram, le type de CPU et l'option SCSI
sents. La seule chose
faire est de taper sous CLI "Cpu Nocache" pour
sactiver les caches de donn
es et d'instructions. On se retrouve alors
avec un Amiga
6.2 Mips, soit l'
quivalent d'un 68030
28 Mhz. Rageant.
Enfin, Apollo clame que la carte est
volutive vers le 68060 jusqu'
66 Mhz
l'oscillo est en effet
80 Mhz sur la carte
). Malheureusement, le 68040
l'air bien soud
et non sur un support comme on aurait pu le penser. Je
me demande alors comment l'op
ration est possible...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Il reste que cette carte est une possibilit
s int
ressante pour les
Amigars qui veulent booster
moindre prix. Rappelons que le 68060 co
deux fois plus cher (
environ 5000 Frs
) et que d'apr
s un test officiel de
Motorola, il ne fait que 8 Mips de plus en version 50 Mhz... Il existe de
plus une 1240
25 Mhz qui co
te seulement un peu plus cher que la Blizzard
IV. Inutile de passer en tower, la carte marche parfaitement sur le bon
vieux 1200 de Commodore. A ce propos, il faudra qu'on m'explique pourquoi
Apollo arrive
rentrer un 40 dans un 1200 normal, et pas Phase 5 dont la
carte 40, certes moins ch
re, n'est pr
vue que pour les towers. Ah, les
res de l'Amiga... (Ed: si, la Blizzard rentre)
@{fg shine}Benjamin Yoris
afe@www.mygale.org
Fanzine Amiga Forever: www.mygale.org/08/AFE
Carte Apollo 1240 pour Amiga 1200:
version 40 Mhz 2500 Frs
version 25 Mhz 1890 Frs
chez VAV Vid
Marseille@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decDopus55 " Directory Opus 5.5 (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D i r e c t o r y O p u s 5 . 5
Gestionnaire de fichiers@{fg text}
Imaginez un Workbench qui vous permette de faire plusieurs choses
fois, sans jamais
tre bloqu
par une copie en cours ou l'affichage d'un
vaste r
pertoire, qui reconna
t automatiquement le type des fichiers
affich
s et vous permet d'appeler le programme le plus adapt
pour chacun,
qui vous permet de cr
er des palettes flottantes de boutons ou d'ic
nes,
ainsi que des menus suppl
mentaires.
Vous en r
viez ?
Opus le fait...
@{fg shine}T a x o n o m i e@{fg text}
On peut classer les utilitaires de manipulation des fichiers en deux
grandes familles.
Avec la premi
re, on dispose d'autant de fen
tres que l'on veut. Le
double clic sur un r
pertoire ouvre une nouvelle fen
tre qui en liste le
contenu. Le double-clic sur un programme lance celui-ci, et le double-clic
sur un autre fichier tente de lancer le programme appropri
pour charger ce
fichier. Enfin, il suffit de faire glisser un fichier d'une fen
une
autre pour qu'il soit d
ou copi
. Ce fonctionnement, vous le
connaissez bien, c'est celui du WorkBench de l'Amiga, du Finder du
Macintosh, ou du Gestionnaire de fichiers de Windows 3.11. C'est aussi
celui de Browser II, un superbe utilitaire d
crit dans le num
ro 60.
Avec la seconde, on ne dispose que de deux fen
tres en regard l'une de
l'autre, et on acc
de rapidement
toutes les actions sur les fichiers et
pertoires gr
une pl
thore de boutons, plut
t que d'avoir
passer
par d'
ventuels menus comme c'est le cas avec les pr
dents. Cet autre
mode de fonctionnement ne vous est sans doute pas
tranger, il trouve son
origine dans le monde PC avec Norton Commander et PC Task, et de nombreux
utilitaires Amiga s'en sont jadis inspir
: CLImate, DirUtil, DiskMaster,
DirWork, etc.
@{fg shine}L e m a r c h
O p u s@{fg text}
Et Directory Opus, me direz-vous? Et bien, jusqu'a la version 4, Opus
faisait partie de la seconde famille. La version 5 a
un changement
radical: sans totalement renier son pass
, Opus est d
sormais multi-
tres et multi-t
ches, rejoignant ainsi,
plus d'un titre, le
curseur qu'a
Browser II.
Opus 5.x vous permet donc d'ouvrir autant de fen
tres (les
listeurs
que la m
moire disponible vous le permettra, comme le Workbench. Il y a
cependant une diff
rence: si le Workbench ouvre une nouvelle fen
chaque fois que l'on double-clique sur un r
pertoire, Opus, lui, r
utilise
la fen
tre courante. Cela permet ne pas encombrer son
cran de fa
inutile, mais c'est parfois ind
sirable. Opus permet cependant l'ouverture
d'une nouvelle fen
tre en appuyant sur la touche Majuscules avant le double
clic. On peut seulement regretter qu'on ne puisse pas choisir le mode
d'ouverture par d
faut,
l'aide d'une option dans les r
glages, comme le
propose Browser II.
Le mode de fonctionnement par fen
tre source et fen
tre destination,
avec action s
lectionn
e dans une barre de boutons globale, est toujours
disponible, avec cependant la facult
d'avoir plusieurs fen
tres d'un type
ou de l'autre: on peut ainsi d'un clic copier le contenu de deux
pertoires dans un troisi
me, ou dupliquer le contenu d'un r
pertoire dans
deux autres.
Mais l'int
t du multi-fen
trage serait bien limit
s'il devait
s'arr
ce type de situation et au seul confort de visualisation (le
fait de ne pas avoir
devoir jongler avec deux fen
tres seulement pour
passer d'un r
pertoire
un autre, comme c'
tait le cas avec Opus 4 ou
DirWork 2.1).
Qui n'a pas pest
en ne pouvant rien faire de ses fen
tres de Workbench
pendant que celui-ci explore un gros r
pertoire sur une disquette
ration h
las tr
s lente)? Quelle d
rision en effet de disposer d'un
me d'exploitation au fonctionnement multi-t
ches r
et d'y acc
au travers d'une interface ne pouvant pas en tirer parti !
Contrairement au Workbench, Opus est multi-t
ches, ce qui vous permet
de continuer
travailler dans certaines de vos fen
tres pendant qu'une
ration un peu longue se d
roule dans d'autres. La
granularit
de ce
multi-t
ches est cependant moins fine que celle de Browser II : avec une
che cr
e pour chaque fen
tre (plus quelques autres qu'on ne d
taille pas
ici), Opus bloque toute nouvelle op
ration dans les fen
tres dans
lesquelles il se passe d
quelque chose (p.ex. les fen
tres source et
destination d'une copie). Browser II cr
e, lui, une nouvelle t
che pour
chaque op
ration : aucune fen
tre ne bloque une
ventuelle nouvelle action.
(Mais il faut bien avouer que cela conduit parfois
de cruelles erreurs:
lancer deux op
rations concurrentes sur la m
me disquette arrache de tels
cris au lecteur de disquettes que l'on apprend vite
se m
fier du multi-
ches...)
Enfin, ce qui frappe
l'utilisation de Directory Opus, ce sont les
multiples possibilit
s que l'on a pour r
aliser la m
me op
ration. Par
exemple, le d
filement du contenu d'une fen
tre s'obtient soit par les
classiques ascenseurs, soit par les touches de curseur, soit par le
placement de la souris, tout en appuyant sur son bouton droit. Si l'on y
ajoute les nombreux @{"menus contextuels" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Dopus1.16c"} (tr
la mode), les non moins
nombreuses possibilit
s de configuration (barres de boutons ou d'ic
nes,
menus, etc), ainsi que l'exploitation du moindre pixel (cliquer sur le bord
gauche d'une fen
tre revient
afficher le r
pertoire parent), Opus se
le d'une tr
s grande flexibilit
, qu'entache cependant l'in
vitable
impression de complexit
engendr
@{fg shine}Q u o i d e n e u f , d o c t e u r ?@{fg text}
Les utilisateurs de Directory Opus 5, qui n'ont rien appris jusqu'ici,
l'attendaient avec impatience: qu'apporte cette nouvelle version 5.5?
Parmi les innovations majeures, notons:
- Le mode d'affichage par noms peut faire appara
tre les titres des
rentes colonnes, ceux-ci
tant des boutons permettant de choisir, par
un clic, l'ordre de tri des fichiers, et par un d
placement, l'ordre des
colonnes.
- Un nouveau mode d'affichage fait son apparition, alliant l'esth
tique
de l'affichage des ic
nes aux les nombreuses fonctions du mode d'affichage
des noms seulement.
- Une interface avec le protocole FTP permet de se promener dans les
pertoires d'un ordinateur distant (p.ex. un site Aminet) comme s'il
s'agissait de r
pertoires du disque dur de l'Amiga (@{"figures 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Dopus2.16c"} @{"et 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Dopus3.16c"}) !
- Le menu contextuel affich
pour un clic du bouton droit sur une ic
peut
tre enrichi d'entr
es sp
cifiques au type du fichier associ
- Il n'est plus n
cessaire d'activer une fen
tre pour que l'appui sur le
bouton droit de la souris (ou celui du milieu) soit interpr
pour cette
- La zone de saisie du r
pertoire list
, est munie d'un historique que
l'on fait d
filer
l'aide des touches
- Chaque fen
tre peut d
sormais avoir ses propres r
glages (c.
.d. sa
barre d'ic
nes, son menu utilisateur, son format, etc).
- Les barres d'outils peuvent
tre red
finies
la vol
e, gr
une
interface conviviale.
- Les types de fichiers (cf. la biblioth
whatis.library
associ
Browser II) peuvent
tre cr
s et modifi
la vol
e eux aussi, et avec la
me facilit
- De nouvelles commandes internes, de nouvelles commandes AREXX, etc.
@{fg shine}I n c o m p a t i b i l i t
s d ' h u m e u r@{fg text}
L'auteur d'Opus, Jonathan Potter, est un vieux briscard de l'Amiga et
il semble en conna
tre toutes les ficelles: son logiciel exploite
fond
les capacit
s de l'Amiga, sans contourner le syst
me de mani
re ill
gale.
Il est tellement bien fait que son m
canisme de synchronisation des t
ches
n'est pas affect
par un syst
me de priorit
dynamique des t
ches, tel que
celui introduit par Executive (cf. num
ro pr
dent). Ce n'est pas le cas
de Browser II qui est un plus chatouilleux
ce niveau l
, et qu'il est
rable de retirer des t
ches dont la priorit
est r
ajust
Par contre, si l'on utilise MuFS, le syst
me de fichiers multi-
utilisateurs, Opus ne reconna
t pas le propri
taire et le groupe d'un
fichier, et n'affiche pas correctement le volume sp
cial HOME: parmi les
autres volumes, ce que sait faire Browser II.
De plus, les utilisateurs de NewIcons ne pourront obtenir l'affichage
correct des couleurs de leurs ic
nes que s'ils utilisent Opus en
remplacement du Workbench (ce qui est de toute fa
on conseill
Ce dernier probl
me n'est pas une bogue mais est inh
rent
la nature
respective des deux programmes.
@{fg shine}Ed: l'A3000 utilis
pour la gestion r
dactionnelle de ce journal
tourne depuis un mois avec un Workbench Opus sans probl
me notable.
Pour rendre moins p
nible la transition de l'ancien Workbench il a fallu
garder en "Sortie" l'ic
ne d'Opus4, logiciel qui tourne sans difficult
me temps qu'Opus 5.5. En fait, cette transition s'est pass
e assez
facilement, et Opus4 a
"Rang
" apr
s deux semaines.@{fg text}
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
La notion r
sumant le mieux Directory Opus, c'est la multiplicit
appartenant
la fois
l'une et l'autre famille de gestionnaires de
fichiers, il ne fonctionne pas totalement comme l'une ou comme l'autre, ce
qui d
soriente au premier contact. Impression renforc
e par le foisonnement
de comportements de chacun des deux boutons de la souris, suivant la zone
se trouve le pointeur et suivant la touche
ventuellement press
e en
me temps.
Mais si l'on sait passer outre cette premi
re impression d
rangeante,
Directory Opus se r
le d'une puissance et d'un aboutissement in
s. Il
suffit en fait de savoir faire abstraction de beaucoup de ses possibilit
et de les d
couvrir peu
peu. Opus devient alors un parfait remplacement
du Workbench, et un aboutissement de la voie ouverte jadis avec Browser II.
@{fg shine}D i r e c t o r y O p u s e t I n t e r n e t@{fg text}
Opus b
ficie d'un r
pertoire propre dans la hi
rarchie d'Aminet,
moin du soutien de ses utilisateurs : biz/opus.
Il a aussi plusieurs pages Web permettant d'en savoir plus, de
mo d'AWeb-II 2.1 se trouve sur Aminet: @{fg shine}biz/demo/AWeb.lha
@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decExposatis " Expo SATIS 96 (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S A T I S 1 9 9 6@{fg text}
Le num
rique est partout Le Salon des Techniques de l'Image et du Son (
@{"SATIS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Satislogo.8bt"}) se
roulait au Parc des Expositions Porte de Versailles
Paris du 22 au 25
octobre. Cette ann
e encore, les professionnels et amateurs de tous poils
se pressaient
la rencontre des technologies de demain. Et ils n'allaient
tre d
cus. Le salon 1996 venait confirmer la tendance du SATIS 1995 :
le num
rique
tait partout omnipr
sent. Le nombre de participants et la
surface occup
e ont connu une augmentation de 30 % par rapport
l'ann
dente.
@{fg shine}L a v i d
o : l e s g
a n t s a c t u e l s@{fg text}
D
s votre arriv
e au salon vous sentiez la pr
sence de la technologie
de pointe gr
la pr
sence en ext
rieur d'un @{"
cran g
ant plein jour" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Ecrancl.8bt"} et
la pr
sentation par "Planning Cam
ra" de Steadicam et de Steadicar (voiture
travelling) . On ne pouvait bien s
r pas manquer le stand de Sony qui
l'instar de Panasonic, JVC et autres pr
sentait toute sa gamme pro. Bien
entendu @{"Sony" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Platosony.8bt"} ne pr
sentait pas son cam
scope "grand public" DCR VX 9000 (on
lange pas les genres) mais il
tait tout de m
me possible de le palper
sur d'autres stands (celui d'International Vid
o par exemple). Je rappelle
que ce cam
scope d'
paule Tri CCD est une d
clinaison du mod
le DCR-VX-1000
et qu'il utilise les grandes cassettes DV (num
rique).
Il
tait cependant possible de d
couvrir un nouveau cam
scope Tri CCD
au format DVCam et portant le nom DSR 200P. Ce cam
scope sera commercialis
partir du printemps 97 pour un prix oscillant entre 40000 et 45000F HT
soit
peu pr
s le tarif de vente d'une EVW 300. H
las, Sony n'a pas inclus
de bague de zoom manuel sur ce mod
le... De son cot
@{"Panasonic" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Panasonic.8bt"} pr
sentait
le concurrent direct de ce mod
le mais en DVC Pro pour un prix de 48000F
HT. La lutte sera chaude pour la conqu
te du march
institutionnel...
Panasonic pr
sentait son banc de montage portable AJLT.75 qui venait
tre prim
en obtenant le Satis-Fecit; On n'
tait pas peu fier de cette
distinction sur le stand Panasonic. C
montage, j'ai suivi avec grand
t la pr
sentation d'une version b
ta d'une station de montage
hybride, chez Sony, nomm
e Edit-Station ES-7. Cet ensemble utilis
sous
Windows NT permet de piloter jusqu'a 3 lecteurs et 1 enregistreur en DVCam
en ayant acc
250 effets de transition en temps r
J'ai
s impressionn
par la pr
sentation par @{"Canon" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Canon.8bt"} de deux
ras reli
des
crans de contr
le et soumises
des vibrations plus
que parkinsoniennes. L'une d'elle
tait munie d'un stabilisateur optique et
la diff
rence de stabilit
d'images
tait assez
tonnante.
J'ai
auusi un peu intrigu
par les
crans pr
s par la Centrale
du Moniteur. Du minuscule au grand
cran et dans des finitions diff
rentes.
Il faut savoir que certains de leurs
crans acceptent le 15Khz et devraient
laisser passer les modes Amiga.
@{fg shine}L ' I n f o g r a p h i e@{fg text}
Face
face se trouvaient Fast et Miro qui pr
sentaient la carte AV
Master pour le premier et la nouvelle Miro DC 30 pour le second. Ces deux
cartes sont ce qui se fait de mieux dans le monde PC pour le montage
virtuel, pour un prix ne d
passant pas les 10000 F (tarif carte). A noter
que j'ai appris que, depuis le 24 octobre, il serait posssible d'utiliser
des partitions sup
rieures
2 Go sous Windows 95 (
rifier). Le face
face des deux concurrents pr
sentait l'avantage pour les amateurs et
institutionnels de comparer les deux produits en n'effectuant que quelques
tres.
Quelques m
tres plus loin, CIS pr
sentait le PVR. Celui-ci s'est
enrichi, et il est possible de lui ajouter la carte F/X 3500. Elle permet
duire de fa
on tr
s importante les temps de calculs de transitions au
cours des montages r
s sous Speed Razor et Adobe Premi
re. Un bo
tier
appel
PVR 422 autorise le contr
le d'un magn
toscope
partir du PVR.
Juste
tait pr
Scala Multimedia MM 100 (pour PC) et aussi la
toute derni
re mouture de TVPaint: TVPaint Animation. Il s'agissait d'une
version b
ta de la version 4 et qui
tait pr
par son cr
ateur, Herv
Adam. Ce logiciel reprend
videmment les fonctions graphiques qu'on lui
conna
t, mais
galement, et c'est l
que r
side la nouveaut
, permet la
gestion de brosses et brosses anims un peu
la fa
on Deluxe Paint, la
puissance en plus. Les t
visions auront la possibilit
de r
aliser des
logos et flying-logos du plus bel effet en un temps record. A noter qu'il
est possible d'interfacer TVPaint Animation avec le PVR. Commercialisation
vue fin 1996. Il n'est h
las pas pr
vu de d
velopper ce programme sur
Amiga pour l'instant.
A c
de TVPaint, Animation tournait Lightwave 3D, version 5 (tourner,
le mot est faible). J'utilise la version 4 de Lightwave sur mon 4000, et je
dois dire que j'ai
estomaqu
par l'
volution du logiciel: 200 nouvelles
fonctions int
es, support de l'OpenGL (affichage des objets dans leur
forme finale dans le modeleur comme dans le layout), modification et
placement des textures en temps r
el dans le modeleur, m
tamation
(gestion des m
taformes : cr
ation des formes organiques tr
s simplement)
etc...
Lightwave tournait sous Windows NT sur une machine
e d'un bi-
processeur Pentium Pro 200 et de 132 Mo de RAM: une fus
e. Il faut pr
ciser
qu'une version est pr
vue d'ici la fin de l'ann
e pour le Power Mac et
certainement dans les m
mes d
lais sur Amiga. Il m'a cependant
impossible de savoir ce que contiendrait la version 5 sur Amiga (OpenGL or
not OpenGL)
@{fg shine}Q u a n d D a v i d b a t t r a G o l i a t h@{fg text}
Enfin, j'ai gard
le meilleur pour la fin: la pr
sence de l'Amiga et de
son cousin @{"Draco gr
DeltaGraphX" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Draco.8bt"}. G.R Schmidt et J.M Granger
proposaient des d
monstrations du Draco avec sa carte Draco Motion et aussi
une version b
ta de MovieShop 4 toute en couleurs. Le logiciel ainsi
relook
, offre une bien meilleure convivialit
et une ergonomie
ciable.
Etait
galement pr
pour la premi
re fois, le Draco Wheel, petit
pupitre de montage permettant de contr
ler le Draco pendant les op
rations
de montage. Celui ci s'av
re tr
s pratique pour
diter les s
quences, les
effacer ou les copier, etc... Il m'a
galement
confi
qu'une nouvelle
carte graphique sous Cybergraphx viendrait remplacer la carte actuelle sur
le Draco.
Enfin, la carte DEC Alpha (
300 Mhz) est attendue pour la fin de
l'ann
e (Ed: pas s
r, voir page 10). Cette carte permettra d'optimiser les
temps de calculs des transitions dans Movie Shop. Des accords ont d
s entre MacroSytem et ProDad afin que les logiciels tirent partie de
la carte Dec Alpha. Croisons les doigts afin que cette tendance se
ralise (please, New Tek, read me!).
MacroSystem a r
un gros travail en peu de temps, et le Draco
pourrait bien devenir l'Amiga de demain. De l'Amiga il y en avait aussi
bien s
r, puisque Deltagraphx effectuait des d
monstrations de Scala sur un
Amiga 1200
d'une carte Blizzard 1260, d'un TBC et d'un genlock
Sirius. Il
tait
galement possible de voir tourner TVPaint 3.6, associ
une tablette graphique Wacom ArtPad.
L'excellent logiciel de ProDad, Monument Designer,
tait aussi de la
partie. Gr
ce programme, il est possible de positionner des sources
lumineuses de fa
affecter les titres. A noter que ce logiciel a fait
l'objet d'une francisation par DeltaGraphX.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Que retenir de ce SATIS 1996? Je pense personnellement que cette ann
tait un bon "cru". Un salon en extension. La prise d'assaut des diff
rents
march
s par le num
rique. J'y ai trouv
la pr
sence des amateurs tr
importante; la pr
sence de Miro et Fast avec leurs cartes Miro DC 30 et AV
Master n'y est certainement pas
trang
re. Il me para
t aussi primordial
une
tape cruciale marqu
e par le choix et la d
finition des standards
de demain, le grand public puisse faire part de ses envies. Il offre un
march
norme et il serait dommage de le n
gliger
une
poque tant marqu
par le ch
mage.
@{fg shine}Thierry Lamblot@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decCamescrea " Amiga, camescope, cr
ation (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A m i g a , C a m
s c o p e e t c r
a t i o n
Sports extr
mes (2)...
Un cam
scope dans la neige@{fg text}
Ne prenez pas ce titre au premier degr
! En revanche, l'exercice de ce
mois de d
cembre est
mettre dans les mains de skieurs vid
astes
tents car aujourd'hui il sera de bon ton de "bombarder tout schuss" et
SURTOUT de laisser ses b
tons... au vestaire... D
@{fg shine}Tricotez lui une petite laine pour l'hiver !@{fg text}
Qui pense
la p
riode de No
l sait que les cimes vont s'enneiger
rapidement, et qu'il va falloir ressortir l'
quipement de la naphtaline,
farter les skis, pr
parer le surf, et, si possible, ramener quelques images
de cette p
riode b
nie pour les chanceux qui peuvent s'adonner aux plaisirs
des sports d'hiver... Ne pensez pas que le cam
scope sera dans ce cas l
(la derni
re roue du carosse) car, bien au contraire, les
ments ne lui
seront pas tr
s favorables, de l'extr
me luminosit
en passant par le
sol... glissant, ou bien encore l'humidit
ambiante.
Premi
re des choses
penser: personne n'est parfait et il faut pr
voir
le pire. La meilleure solution pour qui veut garder un bon maniement de son
scope est d'oublier (sauf cas particulier) les sacs
tanches, ou bien
encore, les caissons qui sont formidables, mais uniquement dans l'eau car
hors de son
ment, la maniabilit
est voisine du z
ro absolu... Bref, il
n'existe pas vraiment de solution miracle
ce jour, alors il va falloir
jouer serr
. Un syst
me dont je me sers, qui vaut ce qu'il vaut, est de
commencer par placer la cassette puis ensuite scotcher les rebords de la
trappe, confectionner au moyen de plastique
bulles transparents une
double coque qui va entourer totalement la partie arri
se cache le
toscope de la V5000, tout en prot
geant
galement les c
s, ce
jusqu'
la base de l'objectif. Seul le viseur orientable reste dans son
plus simple appareil. Il sera d
pour un travelling l
ger, mais en
revanche gard
dans la continuit
, dans le prolongement de l'appareil,
capuchon relev
pendant une descente rapide. Si par malheur vous chutez,
cet accessoire parmi l'un des plus fragiles ne sera pas le premier
grer...
@{fg shine}Batteries au chaud et filtre neutre obligatoire ! @{fg text}
Les batteries, entr'autres faites de cadmium nickel, ne supportent pas
vraiment les baisses de temp
rature. Pensez toujours
garder celles-ci
bien au chaud sous votre doudoune si vous ne voulez pas qu'elles "rendent
l'antenne" au bout de 5 minutes d'utilisation. Evitez les ceintures-
batteries qui sont par d
finition reli
es au cam
scope, il serait
able, gr
ce au verglas, d'avoir, soit la prise arrach
e, soit voir
votre engin vous suivre pendant votre chute en rebondissant un peu
partout...
De plus, quand vous partez skier, vous n'oubliez pas vos spatules? Et
bien, faites de m
me avec le filtre, ce petit additif qui l'air de rien
vous rendra bien des services, le premier
tant d'abaisser automatiquement
et ainsi r
duire l'exposition d'une valeur d'un diaph. ou deux car le blanc
immacul
et la r
ration intense risque de vous causer les pires tracas
la relecture de vos images. D'autre part, ce filtre "neutre" vous
garantira le bon
quilibre des couleurs. L'autre avantage sera une
protection syst
matique du verre si fragile de votre oeil de cam
ra qui se
jouera des gifles enneig
Bien, une fois fin pr
t, de deux choses l'une:
-Vous
tes adeptes des pistes vertes. Continuez de bien apprendre la
trise de vos skis.
-Pour les autres, sachez qu'un cam
scope ne peut s'encombrer de b
tons,
nous n'avons que deux mains, et elles seront bien assez ocup
es comme cela!
Le premier exercice (apr
s avoir quitt
le tire-fesses) est de vous amuser
suivre les skieurs, en "chasse neige" au d
but afin de vous familiariser
avec la prise en mains qui ne pourra vraiment bien se faire au niveau de la
compl
mentarit
des cadrages que si vous avez un cam
scope d'
paule, et en
quence vous servir au mieux de la poign
e judicieusement plac
e sur le
tier.
@{fg shine}E c o n o m i s e z 4 0 0 0 0 0 f r a n c s !@{fg text}
Ma
trisez votre respiration, essayez progressivement de varier les
angles en vous servant de votre corps comme d'un m
canisme de Steadycam
(syst
me professionnel astucieux (et hors de prix) d'un bras articul
tenant la cam
ra et lest
de poids et contre-poids qui permet de courir en
filmant sans aucun tressautement de l'image...
Et comme vous n'avez pas de Steady, vous
loignerez votre oeil du
viseur en vous focalisant sur votre fa
on de bien absorber les creux et les
bosses (tel Grospiron) sans pour autant faire bouger votre cam
scope par
des gestes brusques qui ruineraient tous vos efforts... Vous parviendrez
assez rapidement
compenser les disparit
s du relief, tout en effectuant
des travellings d'une incomparable douceur, qui vous permettront dans le
mouvement, de suivre, voire m
me devancer un partenaire, ce, en retournant
doucement le cam
scope vers l'axe choisi. Le fait ainsi de "coller
l'action" rendra votre montage d'autant plus vivant et agr
able
regarder.
Le deuxi
me exercice est pour ceux qui n'ont pas froid aux yeux, ou
bien pour les autres qui ont un cam
scope ayant fait d
la "guerre des
tranch
es". L
encore, les b
tons sont totalement inutiles. Le but est de
descendre d'une traite une portion relativement importante de piste, soit
seul, soit accompagn
d'un "li
vre" qui devra par d
finition aller plus
vite que vous. A ce stade de la comp
tition, il vous sera impossible de
viser... et de tenir en
quilibre. C'est l
que vous allez troquer votre
filtre neutre de protection par un grand angle qui aura plusieurs
avantages, celui d'amortir les boug
s, de stabiliser l'image comme si vous
aviez un stabilisateur optique, d'accentuer l'impression de vitesse,
surtout dans les contours de l'image. Vous vous d
brouillerez afin que le
scope soit le plus proche possible du sol. Pensez
tre relativement
accroupi, le cam
scope tenu en bout de bras tendu comme si vous aviez vos
tons, et avant le d
part, r
glez votre obturation le plus faiblement
possible, comme le 1/50 de seconde, qui aura ainsi pour effet d'apporter du
"flou" en plus, gr
la vitesse avec laquelle vous descendrez le
Enfin, il faudra viser "
vue", donc conna
tre parfaitement son
riel. Faites bien attention
ne pas trop baisser la cam
ra durant le
"schuss", car voir par la suite sur son t
viseur le blanc d'une piste
seule n'a aucun int
ret. D
brouillez vous pour bien embrasser le champ de
vision, au moins la ligne d'horizon. Votre "li
vre" prend tout son int
si vous parvenez
pratiquement remonter
sa hauteur, mais pensez bien
(comme sur les autoroutes)
laisser un espace suffisant entre lui et vous
afin de ne pas friser la catastrophe s'il lui venait
l'esprit de se
laisser choir!
@{fg shine}Une astuce pour les "p
vres cam
scopes de paume"@{fg text}
Cet exercice de descente rapide ne donnera les meilleurs r
sultats
qu'avec un cam
scope "full size". Les autres, m
me munis d'un stabilisateur
sont difficilement maniables dans ces condidtions sp
cifiques, car bien
trop l
gers. Rassurez-vous, tout n'est pas perdu, car, pour les formats
ridiculement petits, prenez par exemple un vieux sac de sport
anse
respectable, placez le cam
scope
l'int
rieur, la t
te coll
e vers
l'avant, et faites un rond au moyen d'un feutre autour de l'objectif d
muni de son grand-angle, rond que vous allez ensuite d
couper le plus
proprement possible. Cette ouverture correspondra au champ de vision de la
ra. Afin de prot
ger l'engin, il sera pr
rable de placer et bloquer
un morceau de verre translucide recouvrant l'ouverture. Replacez ensuite le
scope, v
rifiez votre image dans l'oeilleton, et ensuite, quand tout va
bien, bloquez-le le plus solidement possible. Prot
gez le par de la mousse.
Enfin, alourdissez votre sac
l'arri
re afin d'
quilibrer au mieux la
partition des masses, de fa
galement
ce que la prise au vent ne
soit pas trop probl
matique... si le sac commence
tanguer durant la
descente tout ce syst
me n'aura servi
rien!
De cette fa
on, aid
par le stabilisateur optique op
rationnel, le
grand angle, et les poign
es du sac, vous parviendrez
vous constituer une
ribambelle d'images plus fortes et plus saisissantes les unes que les
autres, votre cam
scope etant bien prot
. Vous penserez
refilmer depuis
de la piste le parcours identique du skieur que vous aviez devant
les yeux durant la folle descente, afin de faire un classique montage fait
de plans "en ext
rieur" de l'action entrecoup
de rushes en descente "tout
schuss".
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Les petits conseils du jour vous serviront
bien ma
triser le
maniement de votre cam
scope, que ce soit lors d'une glissade pas bien
chante, jusqu'au d
nivel
d'une piste rouge en plein
lan (pour les
noires, je ne r
ponds plus de rien!). Quoiqu'il advienne, pas de b
tises,
revenez-nous entiers avec la cam
ra si possible. Bon ski pour celles et
ceux qui auront la chance d'y
tre et Joyeux No
vous tous.
astement v
@{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Cames1.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Cames2.8bt"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Cames3.8bt"} @{"----" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Cames4.8bt"} @{"____" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Cames5.8bt"}
@{fg shine}Olivier Debats @{fg text}
@ENDNODE
@NODE decMonument " Monument pour MovieShop (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M o n u m e n t D e s i g n e r 2 . 0 p o u r M o v i e S h
Enfin un logiciel de titrage digne de ce nom pour MovieShop...@{fg text}
MovieShop, pour ceux qui ne le savent pas, est un logiciel de montage
rique. Il n
cessite une carte V-Lab Motion sur Amiga ou une carte Draco-
Motion sur DRACO (voir articles pr
dents).
@{fg shine}L e s p l u s :@{fg text}
- @{"L'alpha channel" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Mdalpha.256"}
- @{"La gestion des attributs de texte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Mdtext.16c"}
- Les
crans CyberGFX
- L'image vid
o en fond
- Le lissage
- @{"La pr
-visuallisation" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Mdpreview.256"}
@{fg shine}L e s m o i n s :@{fg text}
- Aucun outil d'alignement pour un
ensemble de blocs
- Pas d'effet de sortie entre deux blocs
- Lenteur d'affichage
Une des lacunes de MovieShop, jusque l
tait la pauvret
des options
de titrage qu'il offrait. N
cessitant un
diteur de texte et une longue
pratique, le titrage sur MovieShop avait le m
rite d'exister.
Il manquait un programme plus puissant; MacroSystem ne l'avait pas, ProDAD
l'a fait pour nous, et c'est une r
ussite.
Monument Designer n'est pas un module d'effets suppl
mentaires, mais
bien un programme ind
pendant. Il se lance simultan
ment
MovieShop, et
communique avec lui pour l'
dition ou le calcul d'images avec
incrustations. Il est d
l'utilisation conjointe avec MS, mais il
permettra de faire des sauvegardes aux formats SSA, ILBM, SSA et RGB.
@{fg shine}Q u e p e u t - i l p o u r n o u s ?@{fg text}
Il propose l'incrustation de textes et d'images, avec des effets
d'apparitions et de masque, et une gestion de la transparence (alpha
channel), le tout "
la souris" ou presque. En bref, tout ce qu'est sens
offrir un titreur. Mais Monument Designer va plus loin: il offre une
interface bien pens
e, des textures, des ombrages et la 3D sur les lettres
en plus d'une gestion des attributs de texte originale.
Une fen
tre de pr
-visuallisation acc
rera le travail en r
duisant le
temps de calcul pour se faire une id
e de ce que va donner votre travail.
Il supporte les
crans CyberGFX, et offre m
me l'image vid
o en fond en
32000 couleurs pour les
crans 16 bits. Cette option ralentit
consid
rablement le travail, mais elle devient rapidement indispensable
(Cybervision64 et 040/40 au minimum...)
Une chose importante
souligner, c'est la qualit
du lissage g
par Monument Designer. Il est parmi les meilleurs que j'aie vus, tous
titreurs confondus, stations "pro" comprises.
@{fg shine}E n p r a t i q u e . . .@{fg text}
Du c
de MS, un module d'effet est disponible dans la liste, et il
suffit comme pour les autres de faire un "drag and drop" pour le
positionner dans la Time-line. Ceci
tant fait, une fen
tre affichant un
ro al
atoire de projet, va s'afficher graca
un bouton de
communication avec Monument Designer.
Une fois que l'on aura cliqu
sur celui-ci, on va se retrouver sur
cran de Monument Designer, et, en fond de fen
tre de travail, l'image du
but du positionnement du module MD sera affich
e si les pr
rences de MD
correctement r
Deux possibilit
s: afficher des textes que l'on saisira au clavier ou
que l'on importera, ou bien cr
er des bo
tes o
l'on pourra importer des
images.
@{fg shine}L e s t e x t e s . . .@{fg text}
Hormis la gestion des attributs de texte, gestion tr
s performante qui
est ind
pendante pour chaque lettre, que ce soit en taille kerning et
autre, MD offre de multiples possibilit
s d'agr
menter l'aspect des
lettres. Des images mapp
es sur la partie frontale des lettres peuvent
utilis
es, soit une image pour chacune des lettres, soit une image pour
l'ensemble des lettres de la bo
te. Le m
me traitement peut
tre appliqu
avec @{"des d
s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Mdgrad.256"}, pr
finis ou g
s par un petit dialogue du
programme. Des effets de transparence sont possibles sur les lettres,
s par le mode "alpha".
La gestion de l'ombrage et de l'aspect 3D est tr
s simplement obtenue
l'aide d'un cercle gradu
et d'une fen
tre de pr
-visuallisation.
Tout, vraiment tout est param
trable et cela ne bride pas l'imagination!
@{fg shine}L e s i m a g e s . . .@{fg text}
En fait, les bo
tes de dialogue sont les m
l'exception des
attributs propres aux textes. Ainsi, une image peut
tre d
e ou
affich
e avec un ombrage. Une profondeur "3D" est
galement r
alisable. Une
transparence (alpha channel) r
glable, soit avec des images de d
s N/B
soit g
s par le dialogue de d
, va permettre d'ajuster la
transparence de l'objet tr
ment et pas seulement de mani
aire. Les formes les plus d
es sont possibles, le blanc
tant la
couleur qui fait appara
tre l'image.
@{fg shine}L e s o b j e t s l u m i n e u x@{fg text}
Sp
cialit
de MD, il s'agit en fait d'images bitmap en N/B avec
s. Ils
claircissent des zones en fonction des images qui les
finissent, donnant par l
l'impression de lampes,
clairs ou "lens
flare". C'est selon. J'adore...
@{fg shine}L e s e f f e t s . . .@{fg text}
Le syst
me utilis
par MD est le bloc de temps pouvant comprendre un
certain nombre d'objets qui seront positionn
s de mani
re fixe les uns par
rapport aux autres. Ils sont affich
s dans une "Time-line", et celle-ci
peut contenir plusieurs blocs. Un effet d'arriv
e et un effet de d
part par
bloc sont possibles. Les effets sont nombreux et disponibles dans une liste
invariable. Certains ne font que traverser l'
cran avec un angle pr
fini, d'autres posent le bloc comme arrang
, selon un angle d'arriv
fini lui aussi.
A relever, le mauvais choix de l'interface dans la Time-line. Cliquer
dans la zone rose d
finissant l'effet de d
part ou d'arriv
e est difficile,
mieux vaut passer par les menus. Une fois le "truc" acquis, c'est
utilisable. Cela se dimensionne dans le temps, soit
la souris en
tirant
la zone, soit
travers le module de d
finition de temps qui g
re les temps
des effets d'arriv
e et de d
part, ainsi que la longueur de l'affichage en
mode "pause".
@{fg shine}E n v r a c . . .@{fg text}
- Les ic
nes ne sont pas tr
s parlantes pour certaines, et un bout de
texte en aurait facilit
la compr
hension.
- La documentation est faite pour la version normale de Monument
Designer. On risque d'
tre un peu perdu au d
but. Le didactisme est
lamentable, et sur ce point, la doc pourrait
tre grandement am
e. Par
contre, elle est compl
te du point de vue des r
rences.
- DU cot
de MS, il n'est pas possible de superposer deux projets MD,
des titrages multiples dans diverses fen
tres ne sont donc pas possibles.
Haarrrggg....
Je suis frustr
Monseigneur ProDAD, je vous en prie, faites en sorte de pouvoir superposer
des projets, ce serait un v
ritable plus!
@{fg shine}C o n c o n i c l u s i o n@{fg text}
Un tr
s bon programme, un titreur de tr
s bonne facture. Il demande
tre am
, mais il est compl
tement utilisable. Je le recommande
ceux
qui poss
dent @{"MovieShop" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Mdmovies.16c"} et qui n'ont pas encore de logiciel de titrage. Une
mise
jour est annonc
e pour la fin de l'ann
@{fg shine}Patrick Conconi@{fg text}
Monument Designer 2.0 pour MovieShop
Editeur : @{fg shine}ProDAD@{fg text}
Prix : @{fg shine}environ 1450F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decInternet " Internet (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P
d o p h i l i e
:'-(
Traque sur Internet@{fg text}
S'il existe bien des crimes qui soul
vent particuli
rement
l'indignation et la r
volte, ceux sont bien les crimes perp
s contre les
enfants (1). Depuis plusieurs mois, vous pouvez constater la prolif
ration
diatique de nombreuses affaires concernant la p
dophilie et/ou
l'exploitation sexuelle des enfants. Internet n'est pas
pargn
par ce
ne. Vous avez eu l'occasion d'entendre plus d'une fois que les
dophiles trouvent gr
lui, un terrain de diffusion privil
Le Congr
s Mondial (2) contre l'exploitation sexuelle d'enfants
des
fins commerciales (ou CSEC) s'est d
du 27 au 31 ao
t 96
Stockholm
en Su
de. Il s'est centr
sur trois
ments: la prostitution d'enfants, la
traite et la vente d'enfants
des fins sexuelles, et la pornographie
enfantine. Son objectif fut d'
tablir un bilan (les causes, les
exploiteurs, les victimes, les cons
quences, les facteurs de croissance ou
de stimulation du march
etc.) et de jeter les bases d'une coordination et
de coop
ration internationale. La technologie et les m
dias ont
deux
domaines
s, parmi d'autres, pour mieux comprendre leur responsabilit
ou leur implication dans la cha
ne d'exploitation.
@{fg shine}L a t e c h n o l o g i e e t l e s m
d i a s@{fg text}
Les r
cents progr
s de la technologie ont rendu la pornographie
enfantine plus facile
aliser,
vendre,
distribuer et plus difficile
tecter: les cam
scopes, les magn
toscopes, les
quipements de
alisation vid
o pour amateurs, les ordinateurs permettent une r
alisation
en toute clandestinit
. Autrefois, la quasi-obligation de passer par des
laboratoires commerciaux de d
veloppement avait permis de nombreuses
nonciations et poursuites judiciaires. Contrairement aux photographies et
aux films vid
o, la pornographie transmise par ordinateur est beaucoup plus
difficile
tecter. L'accessibilit
par le grand public
des r
seaux
internationaux du m
me type qu'Internet facilite la diffusion de ces
productions
chelle de la plan
La presse et les m
dias traditionnels sont aussi montr
s du doigt: le
CSEC d
clare que "[ceux-ci] jouent
galement un r
le majeur dans le domaine
de l'exploitation sexuelle des enfants,
la fois positif et n
gatif. Du
gatif, les m
dias ont sans doute contribu
raliser une
imagerie sexuellement explicite, et
orienter les valeurs morales. [...]
Souvent,
galement, la tentation de diffuser ou d'imprimer des images
sensationnelles a elle-m
me fr
la pornographie et donc l'exploitation,
et a donn
lieu
des critiques du voyeurisme de la t
vision ".
Doit-on en conclure qu'il faut, pour lutter contre l'exploitation
sexuelle des enfants, supprimer toutes les technologies et les vecteurs de
communication qui sont utilis
s? Doit-on d
noncer ceux-ci comme
responsables? Ce ne sont pas, en tout cas, les conclusions du CSEC.
@{fg shine}U n e e x p l o i t a t i o n d e s
m o t i o n s@{fg text}
Il ne faudrait pas imposer les arguments
motionnels et
pidermiques,
devant l'horreur suscit
e par l'exploitation sexuelle des enfants, comme
rieur aux arguments rationnels. L'exploitation des
motions est une
thode comme une autre de manipulation ou de revenu financier. C'est une
rive h
las trop fr
quente de la part de ceux qui traitent l'information
et qui la rapporte sur le mode du sensationnel. Plusieurs affaires r
centes
sur Internet o
le mot p
dophilie a
employ
moignent de la
sensibilit
de l'opinion sur ce sujet et de la tentation de faire la chasse
aux sorci
Le 7 mai 96, deux fournisseurs d'acc
Internet ont
s (3)
parce qu'ils "diffusaient et transmettaient des images
caract
dophile [d
che AFP]". Ceux-ci exer
aient leur activit
l'identique de
leurs autres coll
gues: leur arrestation a eu un caract
re arbitraire,
aucune poursuite n'est
l'ordre du jour [Cf. Anews " Mais quel vide
juridique ?"].
Le 29 ao
t 96, la d
che n
281704 de l'AFP annonce "40 millions de
pages p
dophiles et un million d'images visibles sur Internet". N'importe
quel internaute
tait capable d'affirmer l'impossibilit
d'un tel chiffre.
Un rectificatif a eu lieu dans l'apr
s-midi. Une annonce fa
te au m
moment que les d
bats du CSEC.
Le 20 septembre 96, un e-mail "Child Fun" est envoy
de nombreux
internautes contenant des propositions commerciales concernant de la
pornographie infantile. L'AUI (Association des Utilisateurs d'Internet) a
un dossier et fait une d
claration s'intitulant "Internet, r
seau
dophiles stupides ou provocation m
diatique? (4)". Il semble
vidence que cet e-mail soit un geste de calomnie contre une personne
dont les coordonn
taient donn
es avec l'espoir, sans aucun doute, de
clencher une flameware sans pr
dent contre celle-ci.
@{fg shine}O n o u b l i e n o s e n f a n t s !@{fg text}
Les amalgames et les tentatives de r
ration d'affaires o
le mot
dophile est employ
trop l
rement, d
tournent notre attention des r
exploiteurs d'enfants, des origines des abus sexuels et des m
thodes
conis
es pour la lutte contre ces pratiques. Il est affolant de lire
dans le rapport du Congr
s que "des individus et des groupes tr
s divers,
tous les niveaux de la soci
, contribuent
ces pratiques d'exploitation.
On y trouve des interm
diaires, des membres de la famille, le monde des
affaires, des prestataires de services, des clients, des dirigeants de
communaut
s et des fonctionnaires du gouvernement, qui tous peuvent
contribuer
cette exploitation par indiff
rence, par ignorance des graves
quences que subiront les enfants, ou bien en perp
tuant des attitudes
et des syst
mes de valeurs qui consid
rent les enfants comme des objets
commerciaux ".
Parall
lement au renforcement d'une coop
ration internationale, de lois
sur la protection des mineurs, le Congr
s encourage et pr
conise une plus
grande et meilleure diffusion d'informations "pour parvenir
des
changements de conduite afin de lutter contre cette pratique" et
"promouvoir au sein de la soci
des attitudes et des comportements
sexuels responsables, qui respectent le d
veloppement de l'enfant ainsi que
sa dignit
et son respect de lui-m
L'ignorance et une m
connaissance de ce douloureux sujet, sont des
facteurs reconnus comme mettant un frein
la lutte contre les abus sexuels
d'enfant. Internet peut donc jouer un r
le important et positif, tout comme
les m
dias, en permettant
un faible co
t une tr
s large diffusion
d'informations. Vous pouvez d
trouver de nombreux articles et documents:
claration des droits de l'Homme (5), d
claration des droits de l'enfant
(6), pages Web d'association, d'organisation, de mouvement pour la
protection de l'enfance (7), de nombreux articles d'informations traitant
des abus sexuels (8) etc. L'article que vous
tes en train de lire fait
exclusivement r
rence
des sources disponibles sur Internet, d
ches de
l'AFP incluses.
@{fg shine}I n t e r n e t , t e r r a i n p r i v i l
g i
?@{fg text}
Concernant la circulation de contenu ill
gal et pr
judiciable sur
Internet, la Commission Europ
enne parle dans son rapport de "ph
statistiquement limit
[concernant] un
ventail de domaines distincts" (9).
Ce document, dans un langage clair, fait une excellente analyse de ce
qu'est Internet, son fonctionnement, ses enjeux pour nos soci
s de
demain, sur la coop
ration internationale
mettre en oeuvre pour une bonne
utilisation du r
seau et sur une r
flexion de lutte contre les d
lits.
Internet ne repr
sente ni un vide juridique, ni un espace d'impunit
ce qui est ill
gal off-line, le reste on-line. Le 5 novembre 96, un jeune
homme de 22 ans, habitant de Kirland Lake, (Ontario, Canada) a
et accus
d'avoir fabriqu
, import
du mat
riel et distribu
de la
pornographie infantile sur Internet. La police parle de "[...] la plus
importante saisie de pornographie infantile jamais r
e au Canada".
L'enqu
te se poursuit et des arrestations auraient
faites en Californie
(Etats-Unis) [d
che AFP n
051657]. Le 31 octobre 96, 40 personnes furent
es et accus
es d'utiliser Internet pour regarder et distribuer du
riel pornographique impliquant des enfants. Six gouvernements sur plus
de quatre continents ont collabor
l'op
ration Starburst qui a dur
plusieurs mois. Ce fut la plus vaste initiative internationale dans ce
domaine [Communiqu
de la police de West Midlands, Royaume-Uni].
Au jour o
cris cet article, un pr
tre catholique britannique a
condamn
mardi
six ans de prison pour abus sexuels sur jeunes enfants et
pour avoir utilis
le r
seau Internet afin de diffuser ses exp
riences
che AFP n
121702]. Malgr
certaines difficult
s que peut pr
senter la
recherche des auteurs d'actes criminels (anonymat possible, falsification
dans la cha
ne de distribution d'information, complexit
de cette derni
etc.), il n'y a pas impossibilit
d'action. Les arrestations de (r
seaux
de) p
dophiles ou autres sont loin d'
tre termin
es et elle d
montrent
qu'Internet ne repr
sente pas un paradis pour criminels.
Aucune
tude actuelle ne permet d'affirmer qu'Internet est responsable
d'une augmentation de la pornographie infantile. Cependant, des r
flexions,
des concertations et des coop
rations internationales doivent se mettre en
place pour faciliter la lutte contre des contenus ill
gaux circulant sur
Internet. Il ne s'agirait pas d'aboutir
des moyens de censure mais de
renforcer les
changes d'informations (g
rales, judiciaires,
gislatives) et de clarifier les cha
nes de responsabilit
s afin que
celles-ci incombent
ceux qui les cr
ent. Si des adaptations de la
gislation s'imposaient, les dispositions les plus restrictives ne doivent
tre appliqu
es du simple fait qu'Internet poss
de un vaste bassin
potentiel d'audience [cf. rapport de la Commission Europ
enne sur le "
Contenu ill
gal et pr
judiciable sur Internet"] Mais la plus terrible des
conclusions est de r
aliser qu'en d
finitive "[les enfants] sont exploit
par une soci
qui leur r
te constamment que les possessions sont plus
importantes que la dignit
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
c.villemin@freenet.fr
L e s r e p
r e s d a n s l e t e x t e@{fg text}
@{fg shine}(1)@{fg text} C'est odieux, honteux, horrible et
coeurant :'-(
@{fg shine}(2)@{fg text} http://www.childhub.ch/webpub/csechome/ - World Congress
Against Commercial Sexual Exploitation of Children - rapports et
DEC Alpha 21066/233mhz @{fg shine}236 sec 6,086 sec@{fg text}
DEC Alpha 21064/266mhz @{fg shine}150 sec 3,227 sec@{fg text}
DEC Alpha 21064/275mhz @{fg shine}107 sec ?@{fg text}
DEC Alpha 21164/333mhz @{fg shine} 77 sec 1,380 sec@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decLightWave " LightWave (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A l ' a s s a u t d e s h a u t s s o m m e t s . . .
La m
thode metanurbs@{fg text}
Avec Curves et patch, que la montagne est belle. L'exercice du mois
dernier sur la fonction rail extrude n'
tait que le premier d'une longue
rie ax
e essentiellement sur le modeler de notre soft pr
Nous allons reprendre le proc
par curves pour cr
er une mini
montagne, mais rien ne vous emp
che, une fois la technique ma
e, de
liser des formes beaucoup plus complexes telles que des voitures ou
me des visages. Cette m
thode est nettement plus
e sur la derni
version de lightwave, elle s'appelle metanurbs...
* Lancez le modeleur et passez en vue de dessus.
* Enclenchez la grille en mode "fixed" et r
glez le pas
500mm dans le
menu DISPLAY/OPTION.
* Placez 5 points
gale distance, de fa
former une droite, le
premier devant
tre plac
x=-2 y=0 z=2.
* Puis, cr
ez une curve ouverte MAKE CURVE (CRTL P). Voir @{"figure 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Lwfig1.16c"}
* S
lectionnez la fonction MULTIPLY/CLONE. Un requester appara
t vous
demandant le nombre de clones: entrez 4 et l'offset -1
l'axe Z (distance
placement
chaque cr
ation). Voir @{"FIGURE 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Lwfig2.16c"}
* Copiez les curves
l'aide du gadget COPY (en bas de l'
cran)
* Faites pivoter celles-ci de 90
suivant l'axe y
l'aide de la fonction
rotate. Le centre de rotation doit
tre x=0 y=0 z=0.
* Avec la fonction le gadget PASTE collez les curves pr
cedement copi
* A pr
sent les 10 curves forment un damier. voir @{"figure 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Lwfig3.16c"}
* Si les manipulations ont
es correctement, les intersections
doivent passer par tous les points.
* Il nous faut
sent MERGER les points dans le menu
TOOLS/POINTS/MERGE
car les curves ne sont pas li
es entrent elles et la fonction patch ne
fonctionne pas sans cela.
* C'est le moment de donner du volume
notre damier
l'aide de la
fonction MOVE: nous allons d
placer les points. Un petit conseil:
lectionnez en vue de dessus les points que vous d
sirez d
placer et
passez en vue de face pour les d
placer vers le haut ou vers le bas. Voir
@{"figure 4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Lwfig4.16c"}
* la derni
tape consiste
PATCHER les curves. En clair, cela
consiste
remplir notre damier par des polygones exploitables par les
autres fonctions du modeler.
* S
lectionnez dans le sens horaire les curves du premier carr
en haut
gauche, puis utilisez la fonction PATCH dans le menu multiply. Je vous
conseille une subdivision de 6 maximum. Il n'y a pas de limite pour celle-
ci, cela d
pend de votre m
moire.
* Renouvelez l'op
ration pour "chaque carr
de curves" du damier. Voir
@{"figure 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Lwfig5.16c"}
* Lorsque tous vos carr
s sont remplis, merger une nouvelle fois les
points et le tour est jou
. Il ne vous reste plus qu'
vous entra
manipuler les curves associ
la fonction patch.
C'est un tr
s bon apprentissage pour mod
liser par la suite avec les
metanurbs
@{fg shine}Serge Brackman@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decImagine " Imagine (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}V o t r e p r e m i
r e a n i m a t i o n I m a g i n e
De la lumi
re au bout du tunnel@{fg text}
Le moment que vous attendez impatiemment depuis plusieurs mois (HUM!)
est enfin arriv
. Votre premi
re animation avec Imagine est au bout de ces
quelques lignes...
Toutes les
tapes que vous avez affront
es dans les cours pr
dents:
ation d'un projet, la mod
lisation des divers
ments, et la mise en
place de ceux-ci dans l'action
diteur seront vite oubli
es lorsque votre
animation s'agitera devant vos petits yeux
carquill
* Lancez imagine et ouvrez votre projet TUNNEL ainsi que le Rendering
subproject.
* Passez dans le stage
diteur: tous les
ments dont nous avons besoin
s'y trouvent: le tunnel, le chemin, la lumi
re, la cam
ra. (@{"voir figure1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Imfig1.8c"})
* Vous pouvez les s
lectionner d'un clic de souris mais en cas de
superposition de ceux-ci, il vous est toujours possible de les valider soit
par nom, soit par requester. Voir dans le menu pick/select "find by name"
(RC->AV) et "find by requester" (RC->AF). C'est aussi valable dans le
modeler.
* Dans cette fin d'exercice et pour ce type d'animation (d
placement sur
un chemin), nous n'avons pas besoin d'ex
cuter de manipulations sur les
ments dans le Stage
diteur.
* Enclenchez dans le menu display VIEW CAMERA, la vue de perspective
s'est transform
e en vue de cam
* Dans l'
tat actuel de la sc
ne, rien ne peut bouger. Si vous voulez
rifier, lancez un preview dans le menu ANIMATE/Make preview. R
sultat des
courses: n
Rappelez vous, le mois dernier, nous avions plac
dans l'action
diteur,
ments de notre animation, sans leur donner vie. Ne perdez pas de vue
que la cam
ra doit se balader sur le chemin et, jusqu'
sent, rien ne
lui indique la d
marche
suivre.
* Passez dans l'action
diteur.
* Question: comment indiquer
notre cam
ra qu'elle doit se d
placer sur
le chemin?
* R
ponse:
l'aide du gadget DELETE, effacez les deux premi
res couleurs
de la cam
ra (POSN,ALIGN).
* Avec le gadget ADD cliquez sur la position de la cam
ra (POSN), un
requester appara
lectionnez l'option FOLLOW PATH (suivre un chemin),
indiquez l'image de d
but et de fin, et le nom du chemin
suivre (CHEMIN)
puis validez.
* Effectuez la m
me manoeuvre pour ALIGN en s
lectionnant cette fois-ci
ALIGN to PATH (orient
par rapport au chemin) dans le requester. Cela
vitera
la cam
ra un d
placement en crabe dans le tunnel. (@{"voir figure 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Imfig2.16c"})
* Il vous est possible d'effectuer ces m
mes manoeuvres pour la lumi
si vous voulez que celle-ci se d
place avec la cam
* Les modifications faites, sauvegardez et repassez dans le stage
diteur.
* Lancez un preview, et miracle!! dans la vue de la cam
ra, nous nous
Si vous voulez calculer une animation finale, il vous faut repasser dans le
projet
diteur. S
lectionnez
l'aide du gadget RANGE la s
rie d'images
calculer. Pour le format de vos images, voir le gadget Modify dans le
rendering subproject.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Comme vous l'avez peut
tre constat
depuis quelques mois, Imagine est
un logiciel relativement complexe. Il faut forger pour devenir forgeron. Je
ne peux que vous conseiller d'
tre patient. Si vous passez la barri
re de
l'apprentissage, les chemins de la 3D vous seront grand ouverts et peu
importe le logiciel que vous utiliserez
l'avenir.
@{fg shine}Pascal Taffin@{fg text}
@ENDNODE
@NODE decTrtimages " Traitement d'images (12-96)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T r a i t e m e n t n u m
r i q u e d e s i m a g e s ( 4
) Transformations g
triques et d
formations@{fg text}
Lors des articles pr
dents, nous avons
diff
rentes m
thodes en
vue de traiter des images num
riques, d'en am
liorer les caract
ristiques
ou d'en extraire des informations de contours. Apr
s avoir consid
l'image comme une fonction bidimensionelle qui associe une valeur de
luminance
chaque pixel, nous avons d
crit des op
rateurs qui s'appliquent
point par point et sur un environnement restreint. Il en d
coule toutes les
thodes bas
es sur la notion de masques, appel
s aussi filtres locaux ou
noyaux de convolution. Cette fois-ci, nous allons nous int
resser
aspect plus g
trique du traitement de l'image puisque le th
me de cet
article repose sur des transformations de pixels.
En effet, qui dit coordonn
es de pixel sous-entend rep
re (si possible
orthonorm
) et l'on peut appliquer des op
rations g
triques aussi bien
sur ce rep
re que sur ces pixels. Elles se r
sument souvent concr
tement
aux fameuses transformations lin
aires de base comme la translation, la
rotation ou l'homoth
tie (zoom). Ces transformations peuvent
appliqu
es dans l'espace des r
els R comme celui des complexes C. Dans ce
dernier cas, de nombreuses manipulations sont possibles et des effets
ciaux comme l'effet de loupe sont d'une simplicit
concertante. Voyons
comment mettre en oeuvre toute cette th
orie!
@{fg shine}P r
c a u t i o n s d e d
p a r t@{fg text}
Pour transformer une image en une autre, il faut pr
voir une zone
destination qui correspond
l'image finale. Nous consid
rerons que cette
zone est de m
me taille (largeur, hauteur) que l'image originale pour
simplifier les explications. Dans toutes les op
rations de ce genre, le
processus consiste
parcourir lin
airement,
l'aide de boucles imbriqu
(en x,y) l'image destination et,
rechercher dans l'image source le pixel
correspondant au vu de la transformation escompt
e. Cette d
marche para
peu intuitive
priori, car l'on aurait plut
t tendance
parcourir l'image
part, calculer la transformation du pixel courant puis, de le stocker
ses nouvelles coordonn
es dans l'image finale. En fait, cette m
thode est
oriquement possible, mais elle induit des artefacts dans l'image finale.
Pourquoi? Tout simplement parce que l'on est pas s
r qu'
chaque pixel de
part correspond son image (au sens math
matique) dans la zone de
destination. En proc
dant,
l'inverse, le programme recherche, en fait,
tous les ant
dents de la transformation dans l'image source. Il faut donc
appliquer l'op
ration inverse (@{"cf. fig. 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtgraph.8c"}).
Une deuxi
me remarque concerne, la non-existence d'ant
dents. Dans ce
cas, il faut pouvoir fixer une valeur qui correspond
la valeur du fond.
Le moyen le plus simple consiste
remplir, avant tout traitement, l'image
avec la valeur de fond que l'on souhaite.
@{fg shine}R o t a t i o n e t t r a n s l a t i o n d ' i m a g e s@{fg text}
La rotation d'image d'un angle A en degr
, peut s'exprimer par la
multiplication de tous ses points [x,y] par une matrice de rotation:
@{fg shine}
[ cos(A) sin(A) ]
[X Y] = [ x y ] * [ -sin(A) cos(A) ]@{fg text}
A est l'angle de rotation en degr
. Comme dans la plupart des langages, les
arguments des fonctions trigonom
triques sont exprim
s en radians. Il faut
rer une transformation pour passer des degr
s en radians:
@{fg shine}
Radian(A) = Degr
(A)/180*3.1415 @{fg text}
Les coordonn
es (X,Y) sont les coordonn
es du point ant
dent au point
(x,y) dans l'image originale. Si on applique seulement la rotation, l'image
finale sera d
e, il faut donc inclure une translation pour changer le
centre de rotation. De fa
on classique, on place le centre de rotation au
milieu de l'image:
@{fg shine}
centrex = largeur /2
centrey = hauteur /2 @{fg text}
Une translation s'exprime donc comme suit:
@{fg shine} [X Y] = [ x +tx y+ty]@{fg text}
Algorithme de Rotation Centr
Fonction Rotation (Image source, Image destination, angle_degre, centrex,
centrey)
@{fg shine}
DEBUT
PI = 3.1415
c = cos(angle_degre/180*PI) /* Pr
calcul du cosinus */
s = sin(angle_degre/180*PI) /* Pr
calcul du sinus */
Pour tout pixel j <hauteur Faire /*parcours en colonne */
D
col21 = (j-centrey) * s
col22 = (j-centrey) * c
Pour tout pixel i < Largeur Faire /*parcours en ligne */
D
x = (i-centrex) * c - col21 + centrex
y = (i-centrex) * s + col22 + centrey
Prendre la valeur enti
re de x et y
Si x>0 ET x<largeur ET y>0 ET y < hauteur Alors
destination(i,j) = source(x,y)
Sinon
destination(i,j) = couleur fond
Fin
Fin
@{fg text}
La @{"figure 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig3.8bt"} montre un exemple de rotation d'@{"image" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig2.8bt"} d'un angle de 60
@{fg shine}L ' h o m o t h
t i e d ' i m a g e s@{fg text}
Cette transformation est encore plus simple que les pr
dentes et est
e sur les m
mes principes. Il suffit, pour agrandir une image de
multiplier chacun des points par un facteur homoth
tique H et de regarder
dans l'image source la valeur correspondante.
@{fg shine}[X Y] = H * [ x y ]@{fg text}
Il n'est pas exclu de multiplier la composante x par un facteur Hx et la
composante y par un autre facteur Hy, auquel cas, nous obtenons ce que les
maticiens appellent une similitude de l'image.
Rappel:
Nous parcourons l'image destination, donc, il faut op
rer la transformation
inverse:
Pour une rotation d'angle A, il faut fournir l'angle oppos
(-A)
Pour une translation de Tx,Ty pixels, il faut indiquer (-Tx, -Ty)
Pour un zoom grossissant de coefficient H=3,il faut DIVISER les coordonn
par 3 ou les multiplier par 1/3!
@{fg shine}O p t i m i s a t i o n s p o s s i b l e s@{fg text}
Nous avons vu comment effectuer des manipulations sur une image
partir des coordonn
es de chaque point de l'image destination. Pour cela,
les coordonn
es cart
siennes auxquelles nous appliquions une transformation
via une matrice
taient utilis
es. Voyons maintenant, une autre fa
on de
der en utilisant les coordonn
es de chaque point sous forme de nombres
complexes. Pour ceux qui ont gard
de mauvais souvenirs de leurs cours de
maths, pas de panique. Voici justement le moment de comprendre
quoi peut
servir ce genre de petites b
tes curieuses. Ceux qui par contre n'en n'ont
jamais entendu parl
, voyez comme il est facile de faire des
transformations avec ces nombres "imaginaires".
@{fg shine}Les nombres complexes pas si complexes que
a !@{fg text}
Les coordonn
es (x,y) d'un point forment un nombre complexe z tel que
z = x i + y (i
tant un nombre imaginaire tel que i*i = -1). Cette
criture n'est pas int
ressante pour nous. Par contre, z peut aussi
s'exprimer ainsi :
@{fg shine} z = r exp(iA)
avec: r = sqrt(x*x+y*y) (1)
A = atan(y/x)@{fg text}
srqt est la fonction "Racine carr
e" et atan est la fonction "arctangente".
r et A correspondent aux coordonn
es polaires et nous pouvons revenir aux
coordonn
es (x,y) par :
@{fg shine}
x = r cos(A) (2)
y = r sin (A)@{fg text}
Nous venons de voir comment passer de (x,y)
la forme z = r exp(iA) et
inversement. Que se passe-t-il maintenant si l'on modifie r ou A?
@{fg shine}L e s t r a n s f o r m a t i o n s c o m p l e x e s@{fg text}
Soit un point (x,y) de l'image destination exprim
sous la forme (r,A).
En modifiant r ou A et en allant chercher le point correspondant (x',y')
(2) dans @{"l'image source" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig4.8bt"}, nous effectuerons toutes sortes de transformations
es et complexes.
a) Application
toute l'image :
Rotation de l'image d'un angle B :
@{fg shine} r, A+B@{fg text}
Agrandissement de l'image d'un facteur n :
@{fg shine} r*n, A@{fg text}
Diminution de l'image d'un facteur n:
@{fg shine} r/n , A@{fg text}
Effet de vagues :
@{fg shine} r + L cos(r), A @{fg text}
avec: L param
tre de la largeur des vagues
b) Transformation limit
un cercle de rayon R
@{"Effet loupe grossissante " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig5.8bt"}:
@{fg shine} r*(cos(r/R*PI/2)*S+1), A@{fg text}
Loupe r
cissante :
@{fg shine} r/(cos(r/R*PI/2)*S+1), A
Effet Distorsion:
@{fg shine} r, A+cos(r/R*PI/2)*N@{fg text}
avec N = nombre de tour
Voir @{"figure 6" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig6.8bt"}, @{"7" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig7.8bt"} et @{"8" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig8.8bt"} pour illustration!
@{"Effet Vagues " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews96:PicDECEMB/Trtfig9.8bt"}:
@{fg shine} r+S*cos(r/R*PI/2*N), A@{fg text}
avec N = nombre de vagues, S = facteur d'amplification
Remarque: les calculs ne se font que pour r<R
Avec toutes ses petites formules, il vous est ainsi possible de
transformer des images gr
des effets sp
ciaux tr
s amusants. Ce ne
sont que des exemples et la combinaison de ces effets peut donner des
sultats impressionnants. Notons aussi, que ces tranformations sont plus
simples dans l'espace des complexes que dans celui des r
els. Les
param
tres peuvent
tre chang
volont
et donner lieu a des animations.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Nous avons
quelques transformations g
triques lin
aires. Il
en existe beaucoup d'autres, un peu plus complexes math
matiquement, mais
qui permettent des d
formations
lastiques des images, c'est
dire que
chaque point subit une loi de d
formation diff
rente de celle de son
voisin. Ces transformations connaissent des applications courantes en